
تقي زاده
ICBM iranienne contre Dimona!
Peu d'officiels israéliens, pourtant si férus ces jours-ci à décrire très haute en couleur et avec détails une guerre Israël/Iran, se donnent la peine de s’arrêter sur ce qui s'est passé le 25 décembre,
sur les côtes sud de l'Iran dans le cadre d'un ultime scène de guerre reconstruit dans le cadre de l'un des plus grands exercices militaires qu'ait jamais réalisée l'Iran, scène connu désormais sous le nom d'attaque à 16 missiles. Même le Sioniste Yoaz Handel, ministre des communication et romancier de formation n'ose s'y attarder pas plus que quelques secondes. Interrogé ce dimanche par le journal Zaman Ysrael, l'intéressé auteur d'un roman il y a dix ans où il a imaginé à quoi pourrait ressemble le choc direct Israël/Iran ne fait pas l'exception à la règle.
Pour ceux et celles des analystes qui suivent depuis des années les coups d bluff israéliens contre l'Iran, et ils sont désormais même très nombreux aux Etats unis d’Amérique par se trouver agacés par ces fanfaronnades, une question se pose tout de suite : Peut on imaginer réellement un "après frappe anti Dimona" pour Israël?
Le 25 décembre vers midi, une réplique grandeur nature du réacteur nucléaire israélien à base de plutonium a été pris pour cible de 12 des 16 missiles Sol-Sol iraniens de type Sejjil, Emad, Zelzal, Ghadr, Zulfekar et Dezful dont la portée varie entre 350 et 2200 km. En un temps de records de 57 secondes le cœur du réacteur a été atteint par des les missiles qui se suivaient l'un après l'autre et d'où s’échappent une fumée orangée, faisant découvrir un phénomène encore jamais vu côté des missiles iraniens. Au demeurant, ces images n'ont pas tardé à s'accompagner d'un curieux commentaire du commandant en chef de la Force aérospatiale du CGRI? le général Hajjizadeh qui a affirmé à la presse :
" ... les missiles balistique tactique iranienne aurait une vitesse de Mach 15 à Mach 20 en phase finale, ... ce que rendra trop difficile la tache des missiles intercepteur, ... d'autant plus que la manœuvrabilité de nos missiles leur permet désormais de s'abattre sur les cible suivant le mécanisme Multiple Rounds Simultaneous Impact ". Trop d'analystes mais pas israéliens ont cru voir à travers cette précision apportée par le général Hajizadeh, précision qui allait si merveilleusement avec les images des engins iraniens laissant échapper une fumée orangée, la confirmation du fait que le monde se trouvait face à l'émergence des capacités hypersoniques en Iran. Quelques jours plus tard, cette impression s'est trouvée confirmée quand l'Iran a lancé avec succès " trois objets scientifiques" à 470 km de la terre à l'aide de Simorgh ou un porte-satellite iranien. Simorgh est-ce l'ICMB à l'iranienne?
Là encore aucun commentaire n'est venu dui côté d’Israël. Et pourtant certaines publications spécialisées américaines ont relevé la simultanéité des deux événements, l'épisode à 16 missiles et le lancement de Simorgh pour conclure que "l'avertissement balistique iranien contre Israël prend désormais une allure hypersonique". Ce qui revient à dire que cette troisième guerre mondiale à quoi rêve Handel pourrait ne pas forcément suivre une action militaire israélienne contre l'Iran. Car un peu comme le cas de l'Ukraine, quel pays ouest européen membre de l'OTAN ou quel porte-avions US aimerait se faire frôler par des missiles hypersoniques d'une portée de plus de 2200 km et qui porte en plus la signature de l'Iran?
Mais Israël et ses parrains n'en ont pas été au bout de leur surprise: Au fait outre la participation à cette simulation d'attaque hybride contre Dimona de 10 drones Shad-136, alias le tueur de Mercer Street, qui eux avaient pour charge de bousiller les bâtiments annexes du réacteur, quatre des 16 missiles semblaient avoir visé avec précision non pas Dimona lui même mais un centre militaire de recherches dans la miniaturisation des ogives nucléaires situé à treize kilomètre du fameux complexe nucléaire de Dimona dans le désert du Néguev au sud d’Israël.
Le fait qu'il s'agissait du missiles Dezful ou Ghadr n'est pas clair, mais cela prouve que l'Iran suit attentivement l’évolution de l’arsenal non-conventionnel israélien, considéré comme l’un des plus prolifique au monde mais qu’il dispose de données sensibles sur certains aspects de ce programme nucléaire militaire datant de la fin des années 50 comme le programme de miniaturisation des têtes nucléaires et l’emplacement de certains laboratoires secret y afférents. Handel ne le sait peut pas, mais le ciblage d'un centre de production de mini bombe nucléaire ne laissera pas grand à l'entité d'inscrire son attaque contre l'Iran dans la durée.
Même un quotidien allemand comme, Frankfurter Rundschau l'a compris : " les responsables israéliens ont cependant parlé à plusieurs reprises d'une action militaire contre le programme nucléaire iranien. Mais les détracteurs avertissent que le gouvernement de Joe Biden considère cette prise de position d'Israël comme plus destructrice. D'autant que le président américain est extrêmement intéressé par le redémarrage de l’accord nucléaire avec l'Iran.
« Mais on dit que Washington soutiendrait les menaces verbales de Tel-Aviv parce que, d'une part, les pourparlers de Vienne semblent être au point mort, et en 2015, ils ont abouti en raison d’une pression d’envergure », ajoute le journal. Et de poursuivre : « Les rodomontades d’Israël ne sont qu’un jeu avec le feu, et elles ne sont probablement rien de plus qu'un bluff. À elle seule, même l'armée de l'air moderne d'Israël ne peut pas briser les centrifugeuses souterraines iraniennes. Cela nécessiterait des bombes spéciales ayant une puissance de pénétration énorme dont l'armée israélienne ne dispose pas. Washington ne semble pas intéressé par une véritable intervention armée. L'expert de la défense et ancien député de la Knesset Ofer Shelah conseille de mettre fin à la rhétorique, que personne ne prend au sérieux, au lieu de présenter l'Iran comme une menace existentielle pour Israël. L'ancien Premier ministre israélien Ehud Barak partage une évaluation similaire : « Les Iraniens sont pratiquement invulnérables, ils parviendront à un équilibre stratégique avec Israël et élargiront leur liberté d'action dans la région ».
Les F-35 frapperont la Crimée ?
Les médias chinois ont confirmé que Washington et l'OTAN seraient exposés à une catastrophe majeure s'ils attaquaient la Russie, équipée de systèmes de défense aérienne russes S-300PM-2 installés en Crimée.
Selon le site web chinois Sohu les systèmes de défense aérienne russes sont dotés d'une station radar multifonctionnelle et d'un système de détection et de suivi de cibles cachées.
« Le S-300PM-2 peut détecter et attaquer les chasseurs furtifs de cinquième génération, à une distance de 200 à 250 kilomètres », ajoute la même source. Et de poursuivre : « Dès que les avions américains "F-35" violeront l'espace aérien russe, ils seront abattus par ces systèmes de défense aériens russes».
Récemment, les pays occidentaux et Kiev ont prétendu que la Russie envisagerait d’attaquer l’Ukraine. Cependant, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov a qualifié d’infondées ces allégations qui ont but de mettre de l’huile sur le feu des tensions.
« La Russie ne représente aucune menace pour n’importe quel pays », a-t-il souligné précisant que toute tentative de résoudre la crise dans le sud-est de l'Ukraine par la force aurait les conséquences les plus graves.
Poutine met Biden en garde contre des sanctions majeures contre la Russie (Kremlin)
Le président russe, Vladimir Poutine est «satisfait» de son entretien téléphonique jeudi avec Joe Biden et a mis en garde le président américain contre des sanctions massives contre Moscou liées à l'Ukraine qui seraient une «erreur colossale», a indiqué le Kremlin.
«Nous sommes satisfaits des discussions qui ont eu lieu aujourd'hui, jeudi 30 décembre », a déclaré à la presse le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov, à l'issue de cet entretien qu'il a qualifié de «franc», «concret» et «constructif».
L'échange téléphonique entre Poutine et Biden, le deuxième en moins d'un mois, intervient avant des pourparlers entre responsables américains et russes à Genève le 10 janvier, en pleines tensions autour de l'Ukraine.
Kiev et ses alliés occidentaux accusent en effet la Russie d'avoir massé des dizaines de milliers de militaires à la frontière de l'Ukraine en prévision d'une éventuelle invasion.
Lors d'un précédent entretien téléphonique début décembre, Biden avait menacé Poutine de sanctions «comme il n'en a jamais vu» en cas d'attaque contre l'Ukraine.
«Ce serait une erreur colossale qui pourrait avoir des conséquences les plus sérieuses », a déclaré Ouchakov, ajoutant que de telles mesures punitives constitueraient une «rupture» dans les relations.
La Russie a récemment présenté deux projets d'accord visant, selon elle, à apporter des «garanties» pour sa sécurité en excluant notamment tout futur élargissement de l'OTAN en Europe de l'Est, notamment à l'Ukraine.
Lors des pourparlers à Genève en janvier, «nous avons besoin d'un résultat, et nous nous efforcerons d'obtenir un résultat sous la forme d'une garantie pour la sécurité de la Russie», a ajouté Ouchakov.
"Aïn al-Asad n'a été qu'un début..."
Signé par Abdel Bari Atwan, l’éditorial du Jour de l’an de Rai al-Youm était consacré au deuxième anniversaire de la mort en martyr de l’ancien commandant de la force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général de corps d’armée Qassem Soleimani, et ses camarades de combat dont notamment le numéro 2 des Hachds al-Chaabi d’Irak, Abou Mahdi al-Mohandes.
« Lorsque le leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei, reçoit la famille du général Soleimani à l’occasion du deuxième anniversaire de son assassinat, et souligne que ceux qui sont à l’origine de cet assassinat paieront très cher leur crime terroriste, cela signifie que les attaques de missiles ayant visé les bases militaires américaines à l’aéroport d’Erbil, ou Ain al-Assad dans la province d’Anbar, ne suffisent pas. Même si ces bases sont démantelées, même si toutes les forces américaines partent, une plus grande vengeance finira par tomber et cela est inévitable ».
Ultimatum de la Résistance expiré; première méga-opération, imminente
« Il n’y a aucun signe que les forces américaines soient vraiment en train de quitter l’Irak », a affirmé un membre du bureau politique du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, une composante de la Résistance irakienne, dénonçant la « tromperie » de Washington à ce sujet.
« Le retrait américain d’Irak n’est qu’une ruse », a affirmé dimanche 2 janvier Ahmed Abdel-Hossein, membre du bureau politique du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, cité par l’agence de presse Tasnim.
« Nous n’avons constaté aucun signe d’un retrait des forces américaines d’Irak ; les militaires américains ne se sont pas reculés vers leurs bases en Jordanie ou les pays du golfe Persique », a-t-il ajouté.
Ce membre du mouvement Asaïb Ahl al-Haq a précisé : « Les États-Unis insistent sur le maintien de leurs forces et pour le faire, ils avancent comme prétexte la défense de leurs intérêts en Asie de l’Ouest. Le retrait d’Irak ou de Syrie serait le dernier souci des Américains.
440 attaques aux missiles contre l'Arabie et Cie
Yahya Sarre, porte-parole des forces armées yéménites, a expliqué dimanche 2 janvier les bilans des opérations de l’armée yéménite et des Comités populaires en 2021.
Selon la chaîne de télévision Al-Masirah l’opération des forces conjointes yéménites en 2021 a conduit à la libération de 12 000 kilomètres carrés du territoire yéménite.
Évoquant le passage de l’armée yéménite de la phase défensive à la phase offensive en 2021 Yahya Saree a déclaré que les forces armées yéménites avaient repoussé plus de 223 attaques de la coalition agresseur saoudo-émiratie en 2021.
Faisant référence à l’abattage de 12 drones américains Scan Eagle au Yémen le porte-parole des forces armées yéménites a déclaré que les forces yéménites avaient mené 194 opérations offensives contre les mercenaires de la coalition saoudienne.
Quand bâton et carotte changent de camp...
Le huitième tour des pourparlers de Vienne pour lever les sanctions illégales imposées à l’Iran a commencé tandis que le septième cycle s’est terminé par faire valoir les positions de principe de l’Iran exigeant la levée de toutes les sanctions. À cet égard, Mohammad Hossein Mohtaram, analyste iranien, a écrit une note sur les perspectives des pourparlers de Vienne et les impacts du récent exercice iranien Grand Prophète 17 sur ces négociations.
« Lors du dernier tour de pourparlers à Vienne, l’Iran a pris le dessus dans les négociations et a contraint les parties occidentales d’accepter presque 80 % des exigences iraniennes, et ce, malgré les tentatives destructives des responsables israéliens et des médias occidentaux en dehors de la salle des négociations », a-t-il indiqué.
Dans ce droit fil, le représentant russe a également tweeté : « Bien que les pays occidentaux s’y soient initialement opposés, ils ont accepté les exigences iraniennes qui sont, en fait, les droits inaliénables de la nation. »
Concernant l’avenir des pourparlers de Vienne, l’analyste a indiqué : « Bien que la levée des sanctions illégales américaines contre l’Iran soit tout à fait possible, les négociations à Vienne pourraient être confrontées à des défis majeurs par le manque de garanties solides de la part des Européens lors des tours précédents, ainsi que le mauvais bilan des États-Unis et leur approche destructive de négocier pour négocier à laquelle l’Iran s’est fortement opposé ».
MO: les USA n'arrivent plus à barrer la route à la Chine
Les États-Unis tentent d’abuser de leur influence sur les pays du golfe Persique, afin d’empêcher la Chine de renforcer son influence dans la région du Moyen-Orient. Cette approche aura-t-elle une chance de réussir ?
L’escalade de tensions entre les États-Unis et les Émirats arabes unis au sujet du rapprochement entre Abou Dhabi et Pékin a conduit les responsables émiratis à revoir leurs pourparlers avec Washington sur l’achat d’avions de chasse F-35 et d’autres armements sophistiqués américains. Le cadre général de cet accord d’un montant de 23,4 milliards de dollars a été approuvé par l’ancien gouvernement américain peu de temps après la signature du soi-disant accord d’Abraham entre les EAU et le régime sioniste.
Cet accord transformerait les EAU en premier pays arabe qui dispose d’avions furtifs F-35, de drones MQ-9B Reaper et d’autres équipements militaires dernier cri américains. Cependant, l’ambassade des EAU à Washington a annoncé le 15 décembre que certaines restrictions surtout les études analytiques sur l’équation qualité-prix ont fait qu’Abou Dhabi revienne sur son plan d’achat de quelque 50 avions F-35.
La Russie barricade la côte est contre les USA
À peine quelque jour après l’attaque israélienne contre le port de Lattaquié, l’apparition provocatrice d’un avion de reconnaissance américain près des frontières de la Syrie et de la base navale russe à Tartous s’est terminée par des conséquences extrêmement désagréables pour l’US Navy.
Concernant la réaction de la Russie, les forces aérospatiales russes ont fait voler un chasseur russe et un avion de reconnaissance russe depuis de la base aérienne de Hmeimim pour l’intercepter, perturbant finalement la mission de l’avion américain.
Selon Avia.pro, un avion de reconnaissance militaire américain anti-sous-marin Boeing P-8A Poseidon ayant décollé d’une base aérienne de l’île de Sicile et a tenté de mener une opération de reconnaissance à côté de la base militaire russe de Tartous.
Quelques minutes seulement après le début de la mission, le conseil militaire a été contraint de fuir, car il a été intercepté par un chasseur des forces aérospatiales russes, pris dans le ciel depuis la base aérienne de Hmeimim.
Comment les drones israéliens seront enterrés au Maghreb?
Les largesses militaires US/Israël à l'encontre de Rabat qui s'est traduites en novembre et en décembre 2021 par l'annonce de la livraison massive de drones, de missiles, d'avions de chasse, de DCA et autres ingrédients nécessaires à la fabrique d'une guerre au Maghreb, guerre qui est une étape nécessaire au projet dit Grand Maghreb n'a certes pas échappé aux Algériens. Peu de réaction officielle pourtant du côté d'Alger qui continue à oeuvre dans le sens d'une ingénieuse neutralisation des plans US/Israël sans crier sur les toits. Certes Alger a avalé ses couleuvres et éviter de venger le sang de trois Algériens tués à coup de drones à Tindouf fin 2021 mais ceci fut un piège tendu par l'entité aux Algériens et aux Marocains pour les pousser à la guerre, piège dans lequel les premiers ne sont pas tombés au contraire des Seconds.
DE LA NAISSANCE À LA MORT !!!!*
*- L'Imâm Ali Ibn Abi Talib dans Nah-jul-Balagha, a dit : « Je suis plus intime avec la MORT, que le NOURRISSON avec le SEIN de sa MÈRE ».*
*- Qu'est-ce que cela veut dire ??*
*- Ou plutôt, qu'est-ce que notre bien-aimé IMÂM veut nous faire comprendre ??*
*- Nous savons que les premières semaines d'ALLAITEMENT, permettent de Nouer un LIEN spécial avec le NOURRISSON. C'est le meilleur moyen, pour que la Mère et son NOURRISSON fassent CONNAISSANCE à travers ce LIEN.*
*- Nous savons aussi, qu'à la NAISSANCE de son BÉBÉ, une Mère est submergée par un sentiment d'AMOUR et un profond DÉSIR de le PROTÉGER.*
*- Quand l'Enfant est dans le Ventre de sa Mère, ce LIEN qui les UNIT est le Cordon Ombilical.*
*- Quand l'Enfant tête le SEIN de sa Mère, ce LIEN qui les Relit est la VEINE OMBILICALE qui est directement reliée au COEUR.* ❤
*- Cela, nous le savons aujourd'hui ! Mais l'Imâm ALÎ lui, il y'a 1.400 : Comment Pouvait-il savoir tout cela ??*
*- Maintenant, essayons de comprendre le LIEN qui existe entre l'image de cet Enfant qui TÊTE le SEIN de sa Mère, et la MORT !*
*- Le NOURRISSON, est le symbole de la NAISSANCE, puis de la VIE !*
*- Et Nécessairement, après la Vie, il y'a la MORT ! Ces 3 étapes sont étroitement LIÉES :*
*- NAISSANCE.*
*- VIE.*
*- MORT.*
*- La MORT étant le RETOUR vers ALLÂH Az-Zawajal .. Pour le Jugement Dernier !*
*- Vous me direz légitimement : Mais Imran Chirazi, quel est donc ce Cordon Ombilical qui relie la Naissance, puis la Vie et la MORT ??*
*- Le CORDON OMBILICAL qui RELIE ces 3 Étapes entre Eux est, l'AMOUR de Ah-Al-Beyt. Ce Fameux Câble ou Habl, dont le CORAN parle.*
*- L'Amour d'Allâh est conditionnel à l'Amour envers Prophète sawas et son Ah-Al-Beyt car ils sont ce "Cordon Ombilical" .. de la même façon qu'une Mère y est LIÉE envers son Bébé !*
*- Voilà comment l'Imâm ALÎ, par son ÉLOQUENCE et son HUMILITÉ, nous fait savoir l'importance et la Nécessité de passer par Ah-Al-Beyt...*
*- Qui es-tu, Ya Alîîîîi !!!*