
تقي زاده
The Times of Israel révèle la collaboration entre le Mossad et l’OMK lors de l'agression contre l'Iran
Un quotidien israélien a révélé une collaboration entre le service d'espionnage israélien, Mossad et le groupuscule terroriste Moujahedin-e-Khalq (OMK) lors de la récente agression illégale contre l’Iran en juin dernier.
Dans un article (blog) paru dans le journal israélien The Times of Israel, le journaliste indépendant américain Julian Rennell a déclaré que la collaboration entre le Mossad et l’OMK, qui remonte à au moins 2002, avait atteint « de nouveaux niveaux de sophistication » au cours des 12 jours d’agression israélo-américaine contre l’Iran.
Les « éléments opérationnels » de l’OMK ont établi des « maisons secrètes à Téhéran, où ils fabriquaient des lanceurs et des mortiers portables» , tout en menant des « activités de propagande et de collecte de renseignements pour soutenir les objectifs israéliens, a-t-il affirmé.
Les intérêts irano-arméniens sont étroitement liés (Araghchi)
À la veille de la visite officielle du président de la République islamique d’Iran, Massoud Pezeshkian, en Arménie, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a rédigé un article publié ce samedi 16 aout sur le site Internet de l’agence de presse d’État d’Arménie, Armen Press, dans lequel il a mis en lumière les liens historiques et profonds entre Téhéran et Erevan.
Dans son article, le chef de la diplomatie iranienne a fait part du lien indéfectible entre les Iraniens et les Arméniens, une relation nourrie par des siècles d’échanges culturels, de respect mutuel et d’expériences communes, en se référant aux paroles du grand écrivain et poète arménien Hovhannès Tumanian, selon lesquelles l’amitié est tel un arbre aux racines profondes ; plus on l’arrose, plus il grandit.
En ce qui concerne les relations culturelles profondes entre les deux pays voisins, M. Araghchi a fait référence aux fêtes communes irano-arméniennes, telles que Mehregan, Navasard ou encore Vardavar (Fête de l’Eau), ainsi qu’à la présence d’une communauté arménienne en Iran, qui témoignent de la richesse de la coexistence de ces deux nations.
Dans ce droit fil, le ministre iranien des Affaires étrangères a écrit que les Arméniens sont la plus grande minorité religieuse en Iran, avant de faire état de leur représentation au Parlement.
Dans son article, M. Araghchi a rappelé que la République islamique d’Iran était l’un des premiers pays à reconnaître l’indépendance de l’Arménie en 1991, une décision qui illustre la profondeur de nos relations et l’engagement constant de l’Iran à se tenir aux côtés de ses voisins dans les moments clés de l’histoire.
Sur le plan économique, le partenariat Iran-Arménie est fondé sur des intérêts mutuels, toujours selon l’article de M. Araghchi qui a indiqué que l’Iran est toujours l’un des partenaires commerciaux les plus importants de l’Arménie, en dépit des sanctions unilatérales, ce qui signifie la confiance mutuelle entre les deux pays.
Dans son article, le chef de la diplomatie iranienne a affirmé que la complémentarité de nos économies offre d’innombrables opportunités de croissance et de développement, qui peuvent apporter la prospérité au peuple iranien et arménien.
Al-Araji insiste sur la nécessité de maintenir les relations de Bagdad avec des pays amis et frères
Les États-Unis sont profondément préoccupés par l’accord de sécurité entre la République islamique d’Iran et l’Irak. C’est pourquoi le chargé d’affaires des États-Unis a rencontré le conseiller à la sécurité nationale de l’Irak, qui a insisté sur la nécessité de maintenir les relations de Bagdad avec les pays amis et frères.
Le chargé d’affaires de l’ambassade des États-Unis en Irak, Steven Fagan, a rencontré ce samedi 16 août le conseiller à la sécurité nationale de l’Irak, Qassem al-Araji. La réunion a porté sur les moyens de renforcer les relations bilatérales entre les États-Unis et l’Irak, ainsi que sur l’importance de poursuivre la coopération dans la lutte contre le terrorisme et d’échanger des informations et des expériences.
Au cours de la réunion, al-Araji a examiné avec Fagan les détails du protocole d’accord de sécurité récemment signé par l’Irak avec la République islamique d’Iran sur le contrôle des frontières ; un accord qui renforcera la sécurité et la stabilité dans la région et empêchera la contrebande et les infiltrations illégales.
Suite à la récente visite du secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de l’Iran, Ali Larijani, à Bagdad, les deux pays ont en effet signé un protocole d’accord pour maintenir la sécurité des frontières et lutter contre le terrorisme.
Le port d’Eilat paralysé par lourdes dettes et le blocage de ses comptes
Le port d’Eilat, unique accès maritime d’Israël sur la mer Rouge, est dans la panade depuis le blocus naval imposé par l’armée yéménite. Les rapports des médias sionistes font état d’un arrêt total des activités du port et des crises profondes qui en découlent.
Lourdes dettes fiscales, blocage des comptes du port et des efforts infructueux du régime sioniste pour fournir une aide financière aux travailleurs du port, comptent parmi les problèmes évoqués par la presse israélienne.
Les efforts de la Fédération générale des syndicats, connue sous le nom de Histadrut, pour soutenir financièrement le port d’Eilat en versant 5 millions de shekels (un dollar équivaut à environ 3,5 shekels) sur les comptes des travailleurs ne sont rien de plus qu’une simple retouche ou une goutte d’eau dans l’océan, rapporte le site d’information « Day by Day in Eilat » ce samedi 16 août.
« En raison de l’arrêt de ses activités, le port d’Eilat est, en plus d’une grave crise prolongée et d’un cumul de dettes fiscales foncières envers la municipalité, confronté à la saisie de ses comptes bancaires. »
Sistan-et-Baloutchistan : Jaish al-Adl revendique une attaque contre les forces de police
Le groupe terroriste Jaish al-Adl a revendiqué le samedi 16 août la responsabilité d’une fusillade dans la province du Sistan-et-Baloutchistan, dans le sud-est de l’Iran, contre les forces de l’ordre. Un policier iranien a été tué en martyr et un autre blessé lors de cet échange de tirs avec les terroristes.
La fusillade s’est produite vendredi soir à Iran Shahr, une ville de cette région frontalière du Pakistan et de l’Afghanistan. Les assaillants, blessés, ont pris la fuite et sont désormais activement recherchés par les forces de sécurité de la RII.
Le policier décédé a été identifié comme étant le sergent-major Ramin Sadeghi, officier de patrouille de la police de la province.
Après le sommet Trump-Poutine, les Européens tentent de reprendre la main
Très peu d’informations ont filtré sur la rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine. Mais les échanges diplomatiques, on le sait, ont repris de plus belle entre Américains, Européens et Ukrainiens, avec l’objectif de resserrer les rangs afin de maintenir la pression sur Moscou et, à terme, faire organiser une rencontre entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue russe.
Concernant le contenu du sommet, la seule certitude est l’absence d’un accord de cessez-le-feu. Le président américain a expliqué sur Truth Social, que s’il excluait un cessez-le-feu, c’était pour viser « directement un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre ». Dans l’attente d’un tel aboutissement, les échanges téléphoniques s’enchaînent au-dessus de l’Atlantique et en Europe depuis que les dirigeants américain et russe ont quitté l’Alaska.
Selon une source diplomatique requérant l’anonymat citée par l’AFP, Donald Trump a appelé Volodymyr Zelensky depuis Air Force One, l’avion présidentiel américain, pour l’informer des principaux points de ses discussions avec Vladimir Poutine. Une rencontre entre les présidents américain et ukrainien est d’ailleurs prévue le lundi 18 août à Washington qui constitue, pour l’heure, le seul acquis concret du sommet Trump-Poutine pour Kiev.
Mais cette perspective inquiète les observateurs à Kiev, qui relèvent que Trump renvoie à l’Ukraine la responsabilité de trouver un terrain d’entente avec Moscou, alors que tous les appels lancés par Kiev en faveur de la paix sont restés sans réponse.
Les propos pro-iraniens et anti-israéliens du chef de l’armée sud-africaine suscitent la controverse
Un récent déplacement en Iran du chef de l’armée sud-africaine, le général Rudzani Maphwanya, a déclenché une polémique après qu’il a promis un soutien militaire et politique à la République islamique et condamné le génocide perpétré par le régime israélien à Gaza.
Le général Maphwanya s’est rendu en Iran la semaine dernière pour rencontrer de hautes autorités militaires iraniennes, où il a transmis les salutations du président et de la ministre de la Défense d’Afrique du Sud.
Il a affirmé que Téhéran et Pretoria partagent des objectifs communs et se sont toujours tenus « aux côtés des peuples opprimés et sans défense du monde », avant de critiquer le régime sioniste pour le génocide des Palestiniens dans la bande de Gaza. Le général sud-africain a également dénoncé l’armée israélienne qui bombarde les civils, lorsque ces derniers font la queue pour obtenir de la nourriture.
Faisant référence aux relations bilatérales de longue date Iran-Afrique du Sud, le général Maphwanya a appelé à un approfondissement des liens, en particulier en matière de coopération en défense.
La présidence danoise de l’UE plaide pour des sanctions contre Israël
La Première ministre danoise Mette Frederiksen a déclaré vouloir profiter de la présidence tournante de l’Union européenne pour accentuer la pression sur Israël. Elle a évoqué la possibilité de sanctions ciblées en réponse à la crise humanitaire à et à la poursuite de la colonisation en Cisjordanie.
Dans une interview accordée au quotidien Jyllands-Posten, le 16 août, la responsable du gouvernement danois a estimé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu représentait « un problème en soi » et que son exécutif allait « trop loin » dans sa politique.
Mette Frederiksen a qualifié la situation à Gaza de « catastrophique », dénonçant à la fois l’ampleur des pertes civiles et l’annonce de nouvelles implantations en Cisjordanie. Elle a indiqué vouloir rallier les autres États membres de l’Union européenne à des mesures de rétorsion.
Les propos pro-iraniens et anti-israéliens du chef de l’armée sud-africaine suscitent la controverse
Un récent déplacement en Iran du chef de l’armée sud-africaine, le général Rudzani Maphwanya, a déclenché une polémique après qu’il a promis un soutien militaire et politique à la République islamique et condamné le génocide perpétré par le régime israélien à Gaza.
Le général Maphwanya s’est rendu en Iran la semaine dernière pour rencontrer de hautes autorités militaires iraniennes, où il a transmis les salutations du président et de la ministre de la Défense d’Afrique du Sud.
Il a affirmé que Téhéran et Pretoria partagent des objectifs communs et se sont toujours tenus « aux côtés des peuples opprimés et sans défense du monde », avant de critiquer le régime sioniste pour le génocide des Palestiniens dans la bande de Gaza. Le général sud-africain a également dénoncé l’armée israélienne qui bombarde les civils, lorsque ces derniers font la queue pour obtenir de la nourriture.
Faisant référence aux relations bilatérales de longue date Iran-Afrique du Sud, le général Maphwanya a appelé à un approfondissement des liens, en particulier en matière de coopération en défense.
Le plan de Smotrich visant à « enterrer » l'État palestinien reflète le projet dit du « Grand Israël » de Netanyahu, selon le Hamas
Le mouvement de résistance palestinien Hamas affirme que le plan du ministre israélien des Finances d’extrême droite, Bezalel Smotrich, visant à étendre de manière scandaleuse l’occupation israélienne en Cisjordanie, reflète le projet dit du « Grand Israël » du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.
Mahmoud Mardawi, haut dirigeant du Hamas, s'exprimant ce vendredi 15 août sur la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a souligné: « Smotrich exprime la position réelle du régime israélien, mais Netanyahu, d’un point de vue diplomatique, tente de se cacher derrière la position de Smotrich. »