تقي زاده

تقي زاده

samedi, 20 juin 2020 22:45

Verset du jour

Al_Anaam_Surreh_Versue_125

فَمَن يُرِدِ اللَّهُ أَن يَهْدِيَهُ يَشْرَحْ صَدْرَهُ لِلْإِسْلَامِ ۖ وَمَن يُرِدْ أَن يُضِلَّهُ يَجْعَلْ صَدْرَهُ ضَيِّقًا حَرَجًا كَأَنَّمَا يَصَّعَّدُ فِي السَّمَاءِ ۚ كَذَٰلِكَ يَجْعَلُ اللَّهُ الرِّجْسَ عَلَى الَّذِينَ لَا يُؤْمِنُونَ ﴿١٢٥﴾

Sourate 6, verset 125 ➡️
"Et puis, quiconque ALLAH veut guider, IL lui ouvre la poitrine à l'Islam. Et quiconque IL veut égarer, IL rend sa poitrine étroite et gênée, comme s'il s'efforçait de monter au ciel. Ainsi ALLAH inflige Sa punition à ceux qui ne croient pas."

Il [le Coran] dit qu'ALLAH swt guide qui IL veut. Qui ALLAH guide-t-IL et élargit sa poitrine pour l'Islam ? يُرِدِ يَهِسَه أَن يَهْدِيَُه يَشْرَحْ صَدْرَُه لِلْإِساللَّامِ ? La réponse est qu'ALLAH swt guide quiconque lui demande de le faire sincèrement. Malheureusement, nous ne demandons pas à ALLAH swt de nous guider parce qu'au début, nous faisons ce que nous voulons et ensuite nous l'imputons à ALLAH swt en disant : "Insha'Allah, c'est bon". Cet appel à ALLAH swt n'est pas guidance. 

Au début de chaque action et de chaque parole, nous devrions nous arrêter brièvement et demander à ALLAH swt si c'est correct ou non ? Est-ce que c'est conforme à Ta Volonté ou non ? Des expressions telles que "Ô ALLAH ! dois-je dire ou non ?", "Ô ALLAH ! dois-je aller ou non ?", "Ô ALLAH ! dois-je manger ou non ?" sont toutes des demandes sincères d'orientation.

C'est alors qu'ALLAH swt élargit votre poitrine pour [contenir] l'Islam et si vous ne le faites pas, ALLAH swt resserre votre poitrine d'une manière qui vous fait croire que vous êtes dans le Royaume des Cieux, mais ce n'est que votre supposition ? كَأَنالسَّاَا يَصالسّّالسَّعُ فِي َّاَاءِ. Donc, soyez d'abord en contact avec ALLAH swt avant et à travers tout ce que vous faites, puis faites-le parce que vous allez être des soldats dans la Réapparition de l'Imam Mahdi (ajtfs) insha'Allah.

Allaāma Tabātabāī a déclaré : "Nos actes dépendent entièrement des événements de ce monde". Cela signifie que nous devrions rapidement devenir bons parce que le monde nous attend. La corruption a atteint son point culminant, la vertu devrait donc atteindre son point culminant pour avoir un effet sur les événements du monde et ouvrir la voie à la Réapparition de l'Imam Mahdi (ajtfs), Insha'Allah.

samedi, 20 juin 2020 22:44

Verset du jour

Al_Anaam_Surreh_Versue_50

ۚ قُلْ هَلْ يَسْتَوِي الْأَعْمَىٰ وَالْبَصِيرُ ۚ أَفَلَا تَتَفَكَّرُونَ ﴿٥٠﴾

Sourate 6, verset 50 ➡️
".....Dis: « Est-ce que sont égaux l'aveugle et celui qui voit ? Ne réfléchissez-vous donc pas ? »"

Lequel d'entre nous croit que nous sommes aveugles (aveugles de voir le monde intérieur), si quelqu'un a ce sentiment et même si une infection des yeux est devenue si importante ? Il arrosera ses yeux et fera quelques actions pour se libérer de cela.
Nous ne réalisons toujours pas que nous sommes aveugles, dit le Coran : ?أفَلَا تَتَفَكََكُونَ , pourquoi ne le pensez-vous pas ?

Nous sommes aveugles dans un premier temps à nous-mêmes ; nous ne nous connaissons pas et nous ne réalisons pas que nos œuvres d'adoration sont peut-être à l'apogée de l'égoïsme, peut-être ne réalisons-nous pas que nous sommes probablement égoïstes ? Nous pouvons penser que nous nous améliorons constamment ; par conséquent, nous justifions toutes nos actions.

Chacun devrait penser qu'il est probablement aveugle et qu'ALLAH swt est un Guérisseur. En particulier pendant le Ramadan : si nous ne sommes pas guéris avant la Nuit d'al-Qadr, nous devrons attendre l'année suivante !!!  Puisque dans la Nuit d'al-Qadr, les destins sont écrits et que le destin de chacun s'harmonise avec ses dernières actions. Si nous voulons monter et être grands pour ALLAH swt, alors nous devons chercher le pardon tout le temps.

samedi, 20 juin 2020 22:42

Verset du jour

An_Nesa_Surreh_Versue_175

فَأَمَّا الَّذِينَ آمَنُوا بِاللَّهِ وَاعْتَصَمُوا بِهِ فَسَيُدْخِلُهُمْ فِي رَحْمَةٍ مِّنْهُ وَفَضْلٍ وَيَهْدِيهِمْ إِلَيْهِ صِرَاطًا مُّسْتَقِيمًا ﴿١٧٥﴾
Sourate 4, verset 175 ➡️
"Alors ceux qui croient en ALLAH et qui s'attachent à LUI, IL les fera entrer dans une miséricorde venue de LUI, et dans une grâce aussi. Et IL les guidera vers LUI dans un chemin droit."
Selon ce verset, si vous voulez être des adeptes de l'Imam Mahdi (ajtfs), qu'ALLAH swt vous favorise par Sa Miséricorde et être guidés sur le chemin de l'Imamat et de la Wilayah ?  فسَيُدْخِلُهُمْ فِي رَحْمَةٍ مِّنْهُ وَفَضْلٍ وَيَهْدِيهِمْ إِلَيْهِ صِرَاطًا ُسفِيْتَقِيمًا, vous devez faire deux choses :
1.  Croire en ALLAH swt فَأَمَآمَن ِينِّينَ ُواُوا الََّهِ, avoir foi en LUI et augmenter le niveau de votre foi et de votre croyance. Comme ALLAH swt l'a dit, "Ô vous qui avez cru, croyez ? یا ایها الذین آمنوا آمنوا ", ce qui signifie "augmentez le niveau de votre foi".
2.  "Tenez-vous à LUI", cela signifie "invoquez ALLAH swt" constamment ? واعْتَصَمُوا بِهِ. C'est pour cette même raison qu'ALLAH swt nous dicte de dire : "C'est TOI que nous adorons et à TOI que nous demandons" dans la sourate La Fatiha des prières quotidiennes. Nous pourrions alors LUI demander : "Guide-nous sur le Chemin Droit", ce qui signifie que "MOI-même [ALLAH], JE te tiendrai la main et te conduirai sur le Chemin Droit". En fait, le Chemin Droit est l'Imamat et la Tutelle. Et pour l'instant, le Chemin Droit est l'Imam Mahdi (ajtfs).
Pratiquez ceci, voyez sur quoi vous êtes dépendants et qui vous sollicitez. Si vous pouviez être dépendant d'ALLAH swt et LE solliciter, vous atteindriez le Chemin Droit. Le niveau de notre foi est faible. Nous ne croyons pas qu'ALLAH swt soit Le Seul à Qui nous devrions demander. Alors renforcez votre foi en invoquant ALLAH swt.

samedi, 20 juin 2020 22:41

BIOGRAPHIE D'IMAM JAFAR SADIQ

Le sixième Imam du descendant du Prophète Mohamed (sawas), Ja’far Sadiq (AS) est né le Vendredi 17 Rabi' al-Awwal de l'an 83 de l'Hégire. Son célèbre titre était "al-Çâdiq" (Le Véridique). Il a été élevé par son grand-père, l'Imam Zayn al-'Abidine pendant 12 ans, et ensuite sous le patronage de son père, I'Imam Muhammad al-Bâqir pendant 19 ans.

La période de son Imamat a coïncidé avec la période la plus révolutionnaire et la plus fertile en événements de l'histoire musulmane, la période où l'on a assisté à la chute de l'Empire omayyade et à la montée de la dynastie abbasside.

Les guerres intestines et les bouleversements politiques apportaient des changements rapides dans le gouvernement. Donc le Saint Imam a assisté aux règnes de différents rois, depuis la chute d'Abdul Malik jusqu'au souverain omayyade, Marwân Ibn al-Hakam. Il a survécu jusqu'à l'époque de Abul Abbâs al-Saffâh et d'al-Mançour, tous deux de la dynastie abbasside.

Sous l’Imamat du 6e Imam (AS), les conditions de diffusion des sciences islamiques furent donc encore plus propices. Non seulement le contexte politique était favorable mais par ailleurs, suite aux efforts de publications des hadiths du 5e Imam (AS) et de ses élèves, les gens avait pris conscience de leurs besoins en connaissances islamiques et attendaient d’autres « récits » concernant les « gens de la Maison ». De plus la dynastie omayyade était vacillante. La dynastie abbasside qui n’était pas bien établie cherchaient une légitimité à travers le soutien de la famille des martyrs de Karbala.



L’Imam Ja’afar Sadiq (AS) se mit à diffuser les sciences religieuses et des textes islamiques. Les doctes et les savants venaient de tous les coins pour l’interroger au sujet des sciences islamiques, de l’histoire des prophètes, des Imams, de la philosophie… Celui-ci discutait avec diverses catégories sociales, dialoguait avec les représentants des différentes nations et religions.

L’Imam éduqua de nombreux croyants, format de multiples élèves ; des centaines de livres rassemblant les hadiths chi’ites et les propos scientifiques de l’Imam durent publiées sous le nom de « Principes » (Oçoul). Profitant du cours répit que lui laissait la lutte entre les Ommayades et les Abbassides, l’Imam (AS) consacra son temps à l’éducation des musulmans et à la formation des spécialistes des sciences religieuses : plus de quatre mille savants ont profité de son enseignement, de son savoir et de sa sagesse.

L’Imam (AS) avait demandé à ses élèves d’enregistrer par écrit les cours qu’il leurs dispensait. Il leurs disait : « Aux périodes troubles et d’anarchie de nombreuses œuvres sont détruites ; vous aurez alors besoin de ces livres et de ces textes qui deviendront les seules références religieuses et scientifiques des musulmans. »

Aussi à ses cours les élèves de l’Imam (AS) apportaient leurs plumes et leurs encriers…

Ses disciples ont compilé des centaines de livres relatifs aux différentes branches de la science et de l'art. Outre le "Fiqh" (la Jurisprudence), le "Hadith" (la Tradition) et le "Tafsîr" (l'exégèse), l'Imam dispensait également des cours de mathématiques et de chimie à certains de ses disciples. Jâbir Ibn Hayyân al-Tartûcî, le célèbre savant en mathématiques était l'un des disciples de l'Imam, et a beaucoup appris des connaissances et de la guidance de ce dernier, ce qui lui a permis d'écrire 400 livres sur des sujets divers.

La chute des Omayyades et la montée des Abbassides ont constitué les deux importants événements de l'histoire musulmane. L'état d'anarchie était en progression. On se trouvait au milieu d'une telle obscurité mortelle que le personnage de l'Imam Ja’far Sadiq (AS) se dressait comme un phare déversant continuellement sa lumière pour éclairer les vastes étendues des ténèbres pécheresses qui l'entouraient. Le monde s'inclinait devant sa personnalité vertueuse et admirable. Abou Salma Khallâl lui a offert le trône du califat, mais l'Imam, perpétuant la tradition caractéristique de ses ancêtres a décliné fermement cette offre en raison des conditions critiques qui prévalaient à l'époque.

C'est une vérité historique indéniable que d'affirmer que tous les grands savants de l'Islam étaient redevables, pour ce qui concerne leur instruction, aux Ahl-Elbayt qui constituaient la fontaine des connaissances et de l'instruction pour tout le monde. Al-'Allamah al-Chiblî écrit dans son livre "Sirat al-Nu`mân'': "Abou Hanifah a fréquenté pendant une très longue période l'Imam al-Çâdiq, acquérant auprès de lui des connaissances étendues et précieuses en matière de Fiqh et de Hadith. "Tous les deux math-hab (rites) islamiques -le sunnisme et le chiisme - croient que la source des connaissances d'Abou Hanifah provenait principalement de son association avec l'Imam al-Câdiq."

En raison de ses immenses connaissances et de ses nobles enseignements, les gens se sont rassemblés autour de lui avec toute la dévotion et toute la révérence qui lui étaient dues. Cette haute position et le pouvoir croissant de notre Imam (AS) n'a pas manqué de susciter la jalousie et surtout la peur du gouvernant abbasside, Mançour al-Dawânîqî qui, craignant la popularité de l'Imam, a décidé de le supprimer.

Pendant toute sa vie et à toute heure, en cachette ou en public, l’Imam enseignait les vérités de l’Islam et mettait son savoir et sa culture à la portée de tous. Pour résumer, on peut dire que ses discours et ses conseils inestimables ébranlèrent les murs de l’ignorance et du mensonge, refondant la véritable doctrine du Saint Prophète (saww). C’est pourquoi l’on considère que le 6e Imam (AS) comme le fondateur de la doctrine shi’ite, d’où la dénomination de doctrine Ja’farite donnée à l’école ou rite shi’ite.



A sa naissance c’est l’omeyyade `Abd al-Malik qui régnait, quand il devint imâm c’était Hichâm. Il vit passer les cinq derniers omeyyades et la prise du pouvoir par les abbassides. Il est mort pendant le règne du deuxième abbasside al-Mansûr.



Sa succession va créer un problème car son fils Ismâ`il ben Ja`far, successeur désigné, est décédé avant lui en 760. A` la mort de Ja`far as-Sâdiq, la majorité préféra prendre pour imâm son deuxième fils Mûsâ al-Kâzim plutôt que son petit-fils Muhammad ben Ismâ`il que suivirent les ismaéliens.df



Il mourut martyr en 148/765 selon les traditions chi’ites, empoisonné par ordre du calife Abbasside, al Mansûr. Après la mort de son père, il devint Imam par Ordre divin et décret de ses prédécesseurs. Durant son imamat, le sixième Imam, jouit de plus grandes libertés et d'un climat plus favorable pour la propagation des enseignements religieux. Ce répit fut la conséquence de révoltes en terre islamique, notamment le soulèvement de Moswaddah visant à renverser le califat omeyyade, et des guerres sanglantes qui aboutirent finalement à sa chute. Les circonstances plus favorables à l'enseignement chi’ite étaient aussi le résultat du terrain que le cinquième Imam avait préparé pendant son imamat de vingt ans par la propagation des enseignements véritables de l'Islam et des sciences de la famille du Prophète.

L'Imam profita des circonstances pour répandre les sciences religieuses tout au long de son imamiat, contemporain de la fin des omeyyades et du début du califat Abbasside. Il instruisit plusieurs savants dans les différents domaines des sciences spéculatives et traditionnelles (aqli' wa naqli) tels Zarârah, Mohammad Ibn Muslim, Mu'min Tâq, Hishâm Ibn Hakam, Abân Ibn Taghlab, Hishâm Ibn Salim, Hurayz, Hishâm Kalbi Nassâbah et Djâbir Ibn Hayân l'alchimiste. Même certains savants sunnites importants comme Sufyân Thawri, Abu Hanifah, le fondateur de l'école Hanafi, Qâdî Sukûni, Qâdî Abu al Bakhtari, et d'autres, eurent l'honneur d'être parmi ses étudiants. On raconte que de ses cours sortirent quatre mille savants dans le hadith et autres sciences. Le nombre de hadiths rapportés des cinquième et sixième Imams dépasse celui des hadiths rapportés du Prophète et des autres dix Imams réunis.

Mais vers la fin de sa vie, l'Imam fut soumis à de sévères restrictions de la part du calife Abbasside, al Mansûr , qui ordonna de torturer et d'assassiner beaucoup de descendants du Prophète qui étaient chi’ites, du point qu'il surpassa en cruauté les Omeyyades. Sur ses ordres, ils furent arrêtés par groupes, certains jetés dans des prisons profondes et sombres et torturés jusqu'à la mort; d'autres furent décapités, enterrés vivants ou placés dans les fondations ou entre les murs de constructions et emmurés vivants.

Hishâm, le calife omeyyade, avait ordonné que le sixième Imam fut arrêté et en présence de son père, le cinquième Imam, emmené a Damas. Plus tard, l'Imam Sadiq fut arrêté par Saffâh, Ie calife Abbasside, et emmené en Iraq. Finalement Mansûr le fit arrêter de nouveau et emmener à Sâmarrah où il fut gardé à vue. Mansûr était rude et irrespectueux envers l'Imam et projeta plusieurs fois de le tuer. Finalement l'Imam fut autorisé à retourner à Médine où il passa le reste de sa vie dans la retraite, jusqu'à ce qu'il soit empoisonné à la suite des intrigues de Mansûr.



A l'annonce de la nouvelle du martyre de l'Imam, Mansûr écrivit au gouverneur de Médine, lui ordonnant de se rendre à la maison de l'Imam sous prétexte d'exprimer ses condoléances à la famille, et de demander à voir et à lire le testament de l'Imam. Quiconque était choisi par l'Imam comme son héritier et successeur devait être décapité sur place. Le but de Mansûr était évidemment de mettre un terme à toute la question de l'imamat et des aspirations chi’ites. Quand le gouverneur de Médine, conformément aux ordres reçus, lut le testament, il vit que l'Imam avait choisi quatre personnes plutôt qu'une seule pour administrer son testament : le calife lui-même, le gouverneur de Médine, Abdallah Aftah, le fils aîné de l'Imam et Mussa, le plus jeune fils. De cette manière le complot de Mansûr échoua

Al Manssour résista de longues années avant de faire assassiner l'Imam as-Sadeq car il lui fallut de longues années pour que son pouvoir soit stable.

Puis, il prit la décision d'agir selon la tradition Omeyyade consistant à tuer l'Imam l'époque !

Il ordonna que l’Imam (as) soit empoisonné et Ja'far as-Sadeq mourut le 25 Chawal de l'an 148 de l'Hégire en Martyre comme les autres Imams, il était âgé de 65 ans.

QUELQUES PAROLES DE L'IMAM JA'FAR AS-SADEQ (as) -Trois genres de personnes ne recevront que le bien : Les silencieux, ceux qui évitent le mal et ceux qui se rappellent Allah (dikr).

-Le sommet de la fermeté se situe dans la modestie.

-La valeur originelle de l'homme est déterminée par sa raison ('aql).

-La valeur de son appartenance familiale est déterminée par sa religiosité.

-La valeur de sa générosité est sa piété.

-Les hommes sont égaux de part leur appartenance à Adem (as).

-Craignez bien de faire l'injustice, les souffrances des victimes de l'injustice s'élèvent vers le ciel.

-Il y a trois choses sans lesquelles le monde ne peut se réformer (changer dans le bien):

-la sécurité, la justice et la fertilité.

Le regard de l'enfant vers ses parents, par amour pour eux est une adoration

Imam as-Sadiq (Psl) a dit sur l’autorité de son noble père l'Imam al-Baqir (Psl) :
«Rien ne va corrompre le cœur autant que de commettre des péchés. Le cœur va les rencontrer et va continuer jusqu’au moment où les péchés vont triompher. Alors le cœur va être renversé en envers».
(Mishkat ul-Anwar fi Ghurar il-Akhbar. Hadith # 1501).
L'Imam Jaa'far as-Sadiq (Psl) a dit :
« L’amour de ce monde éphémère est l’origine de tous les péchés ».
(Al-Kafi, vol. 2, p.315.)
L'Imam Jaa'far as-Sadiq (Psl) a dit :
« Penser à la mort souvent, car celui qui pense souvent à la mort va s’abstenir de ce monde ».
Mishkat ul-Anwar fi Ghurar il-Akhbar. Hadith # 1779).
Selon l'Imam as-Sâdiq (p) , le Prophète (Pslf) disait dans son invocation :
«O mon Dieu ! Je me protège auprès de Toi contre un enfant qui serait de trop pour moi , une richesse qui serait gaspillée à mon détriment et une épouse qui me ferait vieillir prématurément ....»
L’Imam as-Sâdiq (Psl) rapporte ce hadith du Prophète (Pslf):
« Que deviendra-t-il de vous lorsque vos femmes se seront perverties et que vos jeunes se seront adonnés au libertinage sans que vous n’ordonniez le bien ni n’interdisiez le mal ! »
- « Une telle chose pourrait-elle arriver, ô Messager d’Allah ? » s’étonna-t-on.
-« Oui » dit-il, en poursuivant: « Et pire encore ! Que deviendra-t-il de vous lorque vous interdirez le bien et recommanderez le mal ! » – « Une telle chose pourrait-elle arriver ? » lui demanda-t-on encore.
-« Oui » dit-il en ajoutant: « Et pire encore, que deviendra-t-il de vous lorsque vous considérez le bien un mal et le mal un bien »
-Trois genres de personnes ne recevront que le bien : Les silencieux, ceux qui évitent le mal et ceux qui se rappellent Allah (dikr).
-Le sommet de la fermeté se situe dans la modestie.
-La valeur originelle de l'homme est déterminée par sa raison ('aql).
-La valeur de son appartenance familiale est déterminée par sa religiosité.
-La valeur de sa générosité est sa piété.
-Les hommes sont égaux de part leur appartenance à Adan (Psl).
-Craignez bien de faire l'injustice, les souffrances des victimes de l'injustice s'élèvent vers le ciel.
-Il y a trois choses sans lesquelles le monde ne peut se réformer (changer dans le bien) : la sécurité, la justice et la fertilité..

25 du mois Chawal 148 AH, marque l'anniversaire du décès en martyre de  6em des 12 imams successeurs légitimes du prophète d'Allah (sawas).
Durant sa vie, il fonda la première université de l'histoire où il enseignait toutes les sciences. Dans cette école, il a formé plus de 4000 savants dont Jabir ibn Hayan à qui on doit la science de l'algèbre,  etc... 
L'imam Malick, un des 4 fondateurs des écoles de fiqh sunnite lui-même disait : "Aucun œil n’a jamais vu, aucune oreille n’a jamais entendu, aucun cœur n’a jamais connu un homme meilleur que Ja’far al-Sadiq en ce qui concerne son savoir, son adoration et sa piété. »

 
Vers la fin de sa vie, l'Imam as-Sadeq (Que la Paix de Dieu soit sur lui) fut soumis à de sévères restrictions de la part du calife Abbasside, al-Mansûr, qui ordonna de torturer et d'assassiner beaucoup de descendants du Prophète(sawas) du point qu'il surpassa en cruauté les Omeyyades.
Sur ses ordres, ils furent arrêtés par groupes, certains jetés dans des prisons profondes et sombres et torturés jusqu'à la mort; d'autres furent décapités, enterrés vivants ou placés dans les fondations ou entre les murs de constructions et emmurés vivants.
Hishâm, le calife omeyyade, avait ordonné que le sixième Imam fut arrêté et en présence de son père, Imam Muhammad al-Baqer, emmené à Damas. Plus tard, l'Imam as-Sadeq fut arrêté par Saffâh, Ie calife Abbasside, et emmené en Iraq.
Finalement al-Mansûr le fit arrêter de nouveau et emmener à Sâmarrah où il fut gardé à vue. al-Mansûr était rude et irrespectueux envers l'Imam et projeta plusieurs fois de le tuer. Finalement l'Imam fut autorisé à retourner à Médine où il passa le reste de sa vie dans la retraite, jusqu'à ce qu'il soit empoisonné à la suite des intrigues de al-Mansûr.
Al-Mansûr résista de longues années avant de faire assassiner l'Imam as-Sadeq car il lui fallut de longues années pour que son pouvoir soit stable. Puis, il prit la décision d'agir selon la tradition Omeyyade consistant à tuer l'Imam de l'époque !
Il ordonna que l’Imam (Que la Paix de Dieu soit sur lui) soit empoisonné et Jaafar as-Sadeq mourut le 25 Chawal de l'an 148 de l'Hégire en Martyre comme les autres Imams, il était âgé de 65 ans.
A l'annonce de la nouvelle du martyre de l'Imam, al-Mansûr écrivit au gouverneur de Médine, lui ordonnant de se rendre à la maison de l'Imam sous prétexte d'exprimer ses condoléances à la famille, et de demander à voir et à lire le testament de l'Imam.
Quiconque était choisi par l'Imam comme son héritier et successeur devait être décapité sur place. Le but de al-Mansûr était évidemment de mettre un terme à toute la question de l'imamat et des aspirations chi’ites.
Quand le gouverneur de Médine, conformément aux ordres reçus, lut le testament, il vit que l'Imam avait choisi quatre personnes plutôt qu'une seule pour administrer son testament : le calife lui-même, le gouverneur de Médine, Abdallah Aftah, le fils aîné de l'Imam et Moussa, le plus jeune fils. De cette manière le complot de al-Mansûr échoua.
Que la paix soi sur Imam Jafar Sadeq as.

Dix personnes demandent à l'Imam Ali p. la même question! 

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Il leur répond avec 10 réponses. Alors le premier d'entre eux est venu Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Et lui, que la paix soit sur lui, répondit: La connaissance est meilleure, Il lui a dit: Quelles preuves? Il a dit: Parce que la connaissance est l'héritage des prophètes et que l'argent est l'héritage de Qarun, Haman et Pharaon. Alors l'homme est allé voir ses amis avec cette réponse, et il leur a enseigné. Un autre d'entre eux s'est levé et lui a demandé comme le premier avait demandé Il a dit: Oh Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Et lui, que la paix soit sur lui, a dit: La connaissance, Il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que l'argent le garde et que la science vous garde), alors il est retourné voir ses amis et leur a dit: Ils ont dit: Il m'a cru, Alors le troisième s'est levé, Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Que la paix soit sur lui a dit: Connaissance, Il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que le propriétaire de l'argent a de nombreux ennemis et que le propriétaire du savoir a de nombreux amis), Alors il est retourné vers ses compagnons et leur a dit Alors la quatrième rose, Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? La paix soit sur lui, a dit: La connaissance, il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que l'argent si vous agissez dedans diminue, et la connaissance si vous agissez dedans augmente). Il est donc retourné voir ses compagnons et les a informés Donc le cinquième, Il a dit: Oh Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Et lui, que la paix soit sur lui, a dit: En effet, la connaissance est meilleure. Il a dit quelle preuve? Il a dit: (Parce que le propriétaire de l'argent est appelé le nom de misère et de blâme, et le propriétaire de la connaissance est appelé le nom Honneur et grandeur) alors revenez à ses compagnons et informez-les de cela Alors le sixième s'est levé et a dit: Oh Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Et lui, que la paix soit sur lui, a dit: En effet, la connaissance est meilleure. Il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que l'argent a peur du voleur, et la science n'a pas peur), alors il est allé à Ses compagnons et les en informer, Alors la septième rose, Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Que la paix soit sur lui: les connaissances sont meilleures, il a dit: quelles preuves? Il a dit: (Parce que le propriétaire de l'argent sera tenu responsable de lui le jour de la résurrection, et le propriétaire de la connaissance intercédera pour ses frères le jour de la résurrection) Alors le huitième s'est levé et a dit: O Ali, la connaissance vaut mieux que l'argent. Il a dit: (Parce que l'argent est étudié pour la durée et le passage du temps, et que la science n'est ni étudiée ni Wears), alors il est retourné voir ses compagnons et les a informés de cela. Alors la neuvième rose, Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Il a dit: Plutôt, la connaissance Il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que l'argent endurcit le cœur et que la science éclaire le cœur), il est donc retourné à ses compagnons Il leur a dit cela. Alors le dixième rose, Il a dit: O Ali! quelle est la meilleure science ou l'argent? Que la paix soit sur lui a dit: Connaissance, Il a dit: Quelles preuves? Il a dit: (Parce que le propriétaire de l'argent grandit et se magnifie, et que le propriétaire du savoir est sujet à des serviles pauvre gars) Il est donc retourné voir ses compagnons et les a informés de cela. Ils ont dit: Dieu et son messager sont véridiques, et il ne fait aucun doute que la porte de la cité des sciences est tout. Alors Ali, que la paix soit sur lui, a dit: (Par Dieu, si toutes les créatures me le demandaient, tant que j'étais vivant Je n'ai pas pardonné, et j'ai répondu à chacun d'eux avec une réponse autre que la réponse de la fin de l'éternité. 
Joyaux de Mutalib Al-Turaihi, p. 135, 119 h 

Porter assistance à un croyant dans l’embarras
Safwân al-Jammâl était assis un jour [dans le Haram à La Mecque] en présence de l’Imam Jafar as-Sadiq (as) quand un homme (originaire de La Mecque) entra et exposa le problème auquel il se trouvait confronté. Il apparut qu’il s’agissait d’un problème pécunier qu’il n’arrivait pas à résoudre.
“Lève-toi vite, dit l’Imam as-Sadiq (as) à Safwân, et va aider ton frère en religion à résoudre son problème.»
Safwân partit et revint après la résolution du problème.
“Comment cela s’est-il passé? demanda l’Imam (as).
Dieu a permis que l’affaire s’arrange, lui répondit-il.
“Sache que le fait d’avoir assisté quelqu’un dans l’embarras – aussi minime cela semble-t-il pour lequel tu n’as dû consacrer que peu de temps – est plus méritoire que sept “tawafs” autour de la Ka‘ba.»
Puis l’Imam (as) poursuivit: “Un jour, un homme confronté à un problème vint voir l’Imam Hassan (as) et demanda son aide. L’Imam (as) se chaussa sur le champ et ils se mirent en route. En chemin, ils aperçurent l’Imam Hussein (as) fils de ‘Ali en train de prier. L’Imam Hassan (as) demanda à l’homme: “Comment se fait-il que tu ne sois pas allé voir Hussein?” Il répondit: ”C’est lui que je voulais voir pour lui demander de l’aide, mais je m’en suis abstenu lorsque l’on m’a dit qu’il était en retraite (‘itikâf).” Pourtant, reprit l’Imam Hassan (as), s’il t’avait aidé, cela aurait été mieux pour lui qu’une retraite d’un mois.” 

 
Tiré de Qussas al-Abrâr de Shahîd Motaharî, N.91, pp163-164
Malcolm X, également connu sous le nom d'El-Hajj Malek El-Shabazz (en arabe : الحاج مالك الشباز), né le  à Omaha (Nebraska) et mort assassiné le  à Harlem (État de New York), est un orateur, prêcheur, porte-parole de la Nation of Islammilitant politique et défenseur des droits de l'hommeafro-américain.
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Au retour de son pélerinage à la Mecque, Malcolm X a publié une lettre ouverte (extraite de son autobiographie - discussion avec le journaliste Alex Haley) sur l'Islam, les peuples sous domination coloniale et le racisme en Amérique. Au journaliste qui lui demande s'il va définitivement abandonner le nom de Malcom X au profit de son patronyme musulman, il répond: "Je vais continuer de porter le nom de Malcolm X tant que perdure la situation qui a produit ce nom". Et tire les conclusions politiques de son expérience spirituelle de pélerin sur le site sacré de la Ka'aba édifiée par le prophète Abraham Alayhi al salam .

"Jamais je n'ai connu d'hospitalité aussi sincère ni de fraternité aussi bouleversante que celles des hommes et des femmes de toutes races réunis sur cette vieille Terre Sainte, patrie d'Abraham, de Muhammad salla Allah alayhi wa salam et des autres prophètes des Saintes Écritures. Durant toute la semaine qui vient de passer, j'ai été à la fois interdit et charmé par la bonté et la gentillesse déployées, autour de moi, par des personnes de toutes les couleurs."

"J'ai eu la chance de visiter la cité sainte de la Mecque, j'ai fait sept fois le tour de la Ka'aba, guidé par un jeune nommé Muhammad; j'ai bu l'eau du puits de Zam-Zam, j'ai fait sept fois l'aller-retour, en courant, entre les collines de Safa et Marwa. J'ai prié dans l'ancienne cité de Mina et j'ai prié sur le mont Arafat
"Il y avait des dizaines de milliers de pèlerins, qui étaient venus de partout à travers le monde. Ils étaient de toutes les races, il y avait des blonds aux yeux bleus et des noirs africains. Mais nous nous soumettions tous aux mêmes rituels, dans un esprit d'unité et de fraternité que mes expériences, aux États-Unis, m'avaient amené à croire impossible entre un Blanc et un Noir.

"L'Amérique a besoin de comprendre l'Islam, parce que c'est la seule religion qui ignore le racisme. À travers mes voyages dans le monde musulman, j'ai rencontré, discuté et même mangé avec des gens que nous aurions considéré comme des Blancs, aux Etats-Unis – mais la mentalité du Blanc était absente de leur esprit et avait été remplacée par l'Islam. Jamais auparavant je n'avais vu une telle fraternité réunissant des gens de toutes les races."

"Peut-être serez-vous renversés par ces mots, surtout venant de moi. Mais ce que j'ai vu et vécu au cours de ce pèlerinage m'a obligé à réviser certaines idées qui étaient miennes, à rejeter certaines conclusions auxquelles j'étais parvenu. Cela n'a d'ailleurs pas été très difficile. Car en dépit de mes fermes convictions, j'ai toujours été un homme qui sait faire face à la réalité et qui l'accepte, qui aime vivre de nouvelles expériences et apprendre de nouvelles choses. J'ai toujours gardé un esprit ouvert, ce qui est nécessaire à une flexibilité qui va de pair avec toute quête intelligente de la vérité.

"Au cours de mes onze derniers jours, ici, dans le monde musulman, j'ai mangé dans le même plat, bu dans le même verre, dormi sur le même tapis et prié le même Dieu que mes frères musulmans aux yeux les plus bleus, aux cheveux les plus blonds et à la peau la plus blanche qui soient. Dans leurs paroles comme dans leurs actes, les musulmans « blancs » sont aussi sincères que les musulmans « noirs » d'Afrique, qu'ils soient du Nigéria, du Soudan ou du Ghana. Nous sommes véritablement frères. Parce qu'ils croient en un seul Dieu, ils excluent de leur esprit, de leurs actes et de leurs comportements toutes considérations raciales."

"J'ai pensé, en les voyant, que si les Blancs américains admettaient l'Unicité de Dieu, ils pourraient peut-être admettre également l'unicité de l'homme et ils cesseraient de s'affronter, de nuire à autrui pour des raisons de couleur."

"Le racisme étant le véritable cancer de l'Amérique, nos “chrétiens” blancs devraient se pencher sur la solution islamique du problème; solution qui a fait ses preuves, et qui pourrait peut-être intervenir à temps pour sauver l'Amérique d'une catastrophe imminente – celle-là même qui s'est abattue sur l'Allemagne raciste et qui a fini par détruire les Allemands eux-mêmes."

"Chaque heure passée ici en Terre Sainte m'a permis de mieux comprendre le problème racial des États-Unis. On ne saurait blâmer le Noir pour son agressivité dans ce domaine : il ne fait que réagir à quatre siècles de racisme conscient de la part des Blancs. Mais si le racisme mène l'Amérique au suicide, je crois que les jeunes Blancs de la nouvelle génération, ceux des universités, verront ce qui crève les yeux, et que nombre d'entre eux opteront pour la vérité spirituelle. C'est le seul moyen qu'ait encore l'Amérique d'éviter le désastre auquel mène inévitablement le racisme."

"Jamais je n'ai été honoré comme ici. Jamais je ne me suis senti plus humble et plus digne. Qui aurait cru qu'un simple Noir américain serait comblé de tant de bénédictions. Il y a quelques nuits de cela, un homme que l'on aurait appelé un « homme blanc », aux Etats-Unis, un diplomate de l'ONU, un ambassadeur, un ami des rois, m'a gracieusement cédé sa suite à l'hôtel, m'a donné son lit pour la nuit. Jamais je n'aurais même rêvé d'être l'objet d'un pareil honneur, d'un honneur qui, aux Etats-Unis, aurait été réservé à un roi, et non à un Noir."
« Louanges à Dieu, le Seigneur des mondes! »

Que ALLAH☝?nous donne la bonne compréhension de l’islam.
Ali Chari’ati est connu dans le monde entier comme un intellectuel éminent, un penseur révolutionnaire et un islamologue progressiste. Dans un court documentaire, un certain nombre d'intellectuels arabes ont estimé que son héritage devait être apprécié et préservé.
Ali Shariati (23 décembre 1941-29 juin 1977) était un écrivain iranien, sociologue et chercheur religieux, combattant politique et théoricien de la révolution islamique d’Iran. 
 
Khanjar Hamieh, chercheur et enseignant à l'Université du Liban, estime que les discours de Shariati s'adressaient au grand public, même sans formation universitaire, qui tirait leçon des idées de Chari’ati qui appelait à la réflexion grâce à son influence et son charisme.
خنجر حمیه، محقق و مدرس دانشگاه لبنان
« Chari’ati, n'a été considéré comme il le mérite, dans les cercles intellectuels, la pensée politique contemporaine, les milieux intellectuels iraniens et arabes. Nous sommes responsables de l'éducation de la jeune génération comme l'a fait Chari’ati qui a essayé de libérer la société de l'ignorance et nous a laissé un héritage précieux qui mérite d’être loué et reconnu. Nous sommes responsables de nous construire et nous pouvons nous inspirer des idées du Dr Chari’ati », a-t-il dit.
 
Mohammad Hassan al-Amin, prédicateur et écrivain libanais, au sujet de Chari’ati a déclaré : « Dans la pensée de Chari’ati, une conception erronée de la religion est une forme de colonialisme. C'est pourquoi il se pose comme poète, analyste et défenseur de la vraie religion, et attaque toutes les formes de religion qui conduisent à l'exploitation humaine et à l'ignorance. Chari’ati a laissé de nombreuses œuvres qui peuvent être une source d’inspiration aujourd’hui non seulement en Iran mais aussi dans le monde arabe et le monde islamique ».
محمدحسن الامین، خطیب و ادیب اسلامی لبنان
Mahboub Abdul Salam, penseur soudanais et secrétaire général de l'Association arabe des intellectuels religieux, a dit à propos de Chari’ati : « On ne peut pas dire que Chari’ati appartenait à une secte ou à une école particulière. Dans aucun de ses livres, il n’y a de distinction entre chiites et sunnites. Il parlait de la nation islamique et avait un esprit ouvert et une orientation humaine, et n'est jamais tombé dans le nationalisme. Chari’ati est tombé très vite en, martyr. Il serait faux de dire qu'au cours de la dernière décennie de la vie de Chari’ati, nous avons été témoins de l'épanouissement de sa philosophie et de ses pensées car à cette époque, dans l'atmosphère révolutionnaire de l'Iran, l'opinion avait besoin de ses idées fortes et révolutionnaires. Un grand nombre de jeunes, influencés par les idées de Chari’ati, ont rejoint la révolution et se sont soulevés. Chari’ati faisait partie de l’élites intellectuelle de la révolution iranienne et à mon avis, était une source claire et pure, autour de laquelle les autres élites révolutionnaires se sont rassemblées pour ensuite, rejoidre le leadeur de la révolution ».