تقي زاده

تقي زاده

Avec son plan pour la Palestine, le président des Etats-Unis montre qu'il décide pour le monde sans avoir consulté aucun pays.
Attendu depuis plusieurs années et concocté par Jared Kushner, gendre et conseiller du président Trump, le plan du président américain doit être présenté ce mardi à Washington, en présence du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Il est déjà largement rejeté par l'Autorité palestinienne et par le Hamas.

Après plusieurs reports, le plan de paix américain pour le Proche-Orient, baptisé le "très grand plan" par Donald Trump, sera dévoilé mardi 28 janvier à partir de 12 h 00 (18 h 00 à Paris) par le président des États-Unis aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, mais en l'absence d'un représentant palestinien. Ce plan, salué comme "historique" par Israël, n'a que peu de chances d'aboutir tant il est rejeté d'avance, avec force, par les Palestiniens.
 
L'armée américaine rest très silencieuse après avoire perdu un avion sophistiqué en Afghanistan. Les talibans prétendent avoir abattu l'avion militaire.
Un bombardier E-11A de l’Armée de l’Air américaine, a été abattu par les talibans lors d’une opération de renseignement dans la province de Ghazni, dans l’est de l’Afghanistan. Selon les rapports, tous les militaires à bord qui étaient « membres de la CIA » ont été tués.

Quelques heures après l’incident, un porte-parole des talibans a publié une déclaration sur Twitter revendiquant une nouvelle attaque cette fois ci-contre l’hélicoptère de l’armée afghane aux environs de Sharana, capitale de la province afghane de Paktika.

« Ce soir, après l’incident de Ghazni, un hélicoptère militaire ennemi a été abattu près de Sharana, la capitale de la province de Paktika, il a été complètement détruit. Tous les occupants de l’appareil sont morts », a-t-il indiqué.

L’hélicoptère du renseignement de la CIA et l’hélicoptère de l’armée afghane ont été abattus par les talibans alors que l’écrasement en série des hélicoptères américains et afghans se poursuit depuis plusieurs mois.

En mai 2019, un hélicoptère américain s’est écrasé dans la province de Helmand, suivi d’un accident d’hélicoptère de l’armée afghane dans la région d’Hairatan de la province de Balkh. Un autre accident d’hélicoptère dans le district de Sayedabad de la province de Wardak s’est également produit. Près de l’aéroport de Kandahar, trois hélicoptères de l’armée se sont aussi écrasés en une journée et il y a trois jours, un autre hélicoptère de l’armée est tombé dans la ville de Kajaki, dans la province de Helmand.

Les crashs en série des hélicoptères américains et afghans surviennent alors que l’ancien conseiller afghan pour la sécurité nationale, Rahmatullah Nabil, a averti à la mi-janvier dans une déclaration que les talibans étaient équipés d’un système de défense antiaérienne à savoir : les roquettes à l’épaule.

« Compte tenu des récentes évolutions dans la région, je pense qu’il ne serait pas surprenant, si l’accord de paix entre les talibans et les États-Unis n’est pas finalisé d’ici le printemps ou l’été, de voir les talibans être équipés d’un système de défense aérienne portable qui changera la donne en leur faveur », avait déclaré M. Nabil.

Il est à noter qu’après l’invasion de l’Afghanistan par l’Armée rouge soviétique, les Russes avaient une supériorité majeure sur les combattants afghans (Moudjahidines) en raison de leur capacité de combat aérien, mais qu’après un certain temps, une fois les Afghans équipés de missiles antiaériens et de lance-épaules, la donne a changé et le cours de la guerre a été modifié en faveur de ces derniers qui ont réussi à renverser 270 hélicoptères et aéronefs de l’ex-Union soviétique.

Les B-52 de l'US Air Force que les Américains disent avoir mobilisés pour frapper les "infrastructures iraniennes" ont-ils déjà fait faire pschitt à l'image de l'USS Abrams Lincoln qui a pris la fuite cette semaine au bout de 10 mois de "mission" dans le golfe Persique et sans jamais oser franchir les contours de la mer d'Oman ? 

Le site Al-Masdar News qui avait fait état du déploiement de six de ces appareils à Diego Garcia en Océan Indien fait état de l’atterrissage urgent de l'un de ces bombardiers nucléaires en Espagne.
Selon le site, le déploiement des bombardiers B-52 à destination de la base aérienne de Diego Garcia, s'est soldé par un incident dangereux : Pour des raisons inconnues, l'un des avions a effectué un atterrissage d'urgence sur une base aérienne en Espagne et ce alors qu'il pourrait y avoir des armes nucléaires à bord de l'avion.
"La panne et l' atterrissage d'urgence indiquent  que les B52 ne sont pas réellement du tout prêts à mener des opérations militaires", poursuit le site. 

Dimanche après-midi, les sources irakiennes ont fait état de tirs de roquettes contre la zone verte de la capitale irakienne, Bagdad. La chaîne BBC évoque ce lundi matin que l'ambassade US n'y a pas échappé.

À en croire la BBC, quatre roquettes ont été tirées, dimanche 26 janvier, en direction de l'ambassade américaine dont une aurait explosé non loin d'un restaurant, faisant des blessés. Le tir de roquettes n'a pas été revendiqué mais la Résistance irakienne a à plusieurs reprises affirmé que son face-à-face avec les Américains est désormais ouvert et qu'elle n'a rien à cacher.

 

Plusieurs personnes ont été blessés selon la chaîne irakienne Al-Sumaria qui se référait à des sources au sein des forces de l'ordre. Al-Arabiya indique pourtant qu'un haut responsable du département de la Défense US s'est refusé à rendre public le bilan de blessées mais il a affirmé qu'il n'y a pas eu de mort.

En cas de guerre USA/Iran que compte faire la Russie? Al-Monitor se pose la question et tente d'y apporter la réponse sur la base des donnés existantes. « La Russie semble être sur le point de revoir sa copie en termes de la vente d'armements à l'Iran surtout que l'embargo anti-Iran touche à sa fin. »

« Jusqu'ici les responsables russes se montraient bien réticents à ouvrir leur arsenal militaire et surtout balistique à l'Iran ; mais depuis que ce pays a engagé un bras de fer militaire contre les États-Unis et est entré en conflit direct avec les Américains à coup de missiles extraordinairement précis,  la Russie semble avoir changé son fusil d'épaule. Que ce soit au Yémen avec les missiles d'Ansarallah ou au Liban avec ceux du Hezbollah, les innovations et les optimisations apportées par les techniciens iraniens  ou pro-iraniens aux missiles soviétiques sont une chose qui n'échappe guère à la Russie. D’où ce virage pro-Iran en Russie. Depuis l'escalade des tensions USA/Iran dans la foulée de l'assassinat à Bagdad du général de corps d'armé Qassem Soleimani, le cercle des décideurs en Russie semble être convaincu que la vente d'armes à l'Iran profite non seulement à ce dernier, mais aussi à la Russie. Vladimir Volfovitch Jirinovski dirigeant des libéraux-démocrates russes a affirmé début janvier que la Russie a besoin d'ajuster « ses coopérations militaires avec l'Iran » et « de lui vendre des armements modernes » : « les batteries de missiles S-400 et S-500 pourront barricader le ciel iranien contre n'importe quelle menace et c'est cela que la Russie devra faire ».

Le 23 janvier, le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé qu’il dévoilerait très bientôt son plan de paix pour mettre fin au conflit israélo-palestinien (Deal du siècle). En outre, il a invité le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son rival du Parti bleu et blanc, Benny Gantz à Washington.

Benny Gantz a accepté l’invitation de Donald Trump pour discuter avec lui de l’initiative de paix de l’administration américaine.

« Je peux déjà vous dire que le plan de paix conçu par le président Trump marquera l’histoire comme un jalon important permettant à différents acteurs au Moyen-Orient d’aller enfin de l’avant avec un accord régional historique », a déclaré Gantz.

Pour Benjamin Netanyahu, le « Dead du siècle » serait une « opportunité historique » exceptionnelle : « Une opportunité de la sorte n’arrive qu’une seule fois dans l’histoire et nous ne pouvons pas la rater. J’ai bon espoir que nous sommes au seuil d'un moment historique pour Israël », a déclaré Netanyahu dans un communiqué.

En revanche, des responsables palestiniens ont averti que le plan du président américain Donald Trump qui devrait être annoncé cette semaine, déclencherait une nouvelle vague de manifestations de masse en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza. Ils ont affirmé que l’administration Trump n’avait pas informé les Palestiniens de son intention de publier le plan.

Le mouvement palestinien ''Djihad islamique'' a demandé la mobilisation générale et la préparation des Palestiniens pour défendre Al-Qods et la mosquée d'Al-Aqsa.
Le mouvement palestinien ''Djihad islamique'' a demandé la mobilisation générale et la préparation des Palestiniens pour défendre Al-Qods, la mosquée d'Al-Aqsa et contrer les complots israélo-américains.
Ce mouvement palestinien a insisté qu'Al-Qods appartient à la nation palestinienne et cette nation le défend avec son sang.

Le Djihad islamique a une autre fois exprimé son opposition au Deal du siècle. Il a annoncé son opposition à tout plan qui atteint les droits et les principes nationaux de la Palestine.

Le mouvement  palestinien a demandé que tous les groupes palestiniens s'éloigner des divergences. Il a demandé l'unité de la nation palestinien dans la situation délicate actuelle où le Trump voulait dévoiler son projet appelé le Deal du siècle.

Un million de manifestations irakiennes contre la présence d'occupants américains ont eu lieu à Bagdad à l'invitation du dirigeant irakien Sadr Muqtada al-Sadr hier vendredi 25 février 2010.

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

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Manifestations de millions d\'Irakiens contre le régime terroriste américain

 

C'est un combat perdu d'avance : avec toute les bonnes volontés du monde, Tel-Aviv ne saura convaincre les Israéliens de ce que la frappe balistique iranienne du 8 janvier contre Aïn al-Asad "n'a rien d'inquiétant". A renfort des informations sur de supposées capacités de la DCA israélienne, les sources proches à l'armée israélienne essaient de contrer la crainte et la méfiance des milliers de colons, sans grand succès. En effet, les colons ont tous les droits de se dire ceci : les missiles palestiniens nous font broyer du noir, quid des missiles "iraniens? C'est dans l'objectif de faire taire ce genre de questions que le cabinet israélien a ordonné aux médias de minimiser les effets des frappes balistiques de l’Iran contre les bases américaines d’Aïn al-Asad et de Harir, situées l’une à 160 km de Bagdad et l’autre à Erbil.

Selon le site d’information irakien Al-Maalomah, les États-Unis seraient en négociation avec les autorités de la région du Kurdistan irakien pour y construire des bases militaires et augmenter le nombre de leurs militaires à 2 000. 

Des discussions au sujet du renforcement de la présence militaire des États-Unis seraient en cours. Elles porteraient également sur les relations économiques et le développement du rôle de l’OTAN dans la lutte anti-Daech en Irak.  

Des propositions ont été faites au Kurdistan irakien à savoir la construction d’une base militaire près de Suleimaniyah, au sud d’Erbil près de Halabja et l’augmentation du nombre des soldats de 200 à 2 000 (en plus des 5 000 forces US présentes en Irak), rapporte une source occidentale citée par al-Maaloumah.

La plupart des forces US qui se sont récemment retirées de l’Euphrate oriental ont été déployées au Kurdistan irakien. Le nombre des soldats américains installés près des champs pétroliers de l’Euphrate est passé de 1000 à 500.