تقي زاده

تقي زاده

Le ministère koweïtien de l'Intérieur a annoncé lundi que les autorités locales avaient démantelé trois cellules de l'organisation djihadiste Daech qui projetaient des attentats au Koweït.
 
Cinq Koweïtiens ont été arrêtés, dont un policier et une femme qui ont reconnu avoir planifié des attentats contre une mosquée chiite et contre une installation du ministère de l'Intérieur, a déclaré le ministère dans un communiqué.

Toutes les personnes arrêtées ont reconnu être membres de Daech, indique le communiqué. La police koweïtienne recherche en outre un homme originaire d'un Etat non précisé du Golfe persique et un Asiatique qui ont apporté une assistance à l'une des trois cellules, a ajouté le ministère de l'Intérieur.

L'annonce du démantèlement des trois cellules intervient un an après un attentat suicide commis par un Saoudien lié à Daech qui s'était fait exploser dans une mosquée chiite, tuant 26 fidèles. Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier jamais commis au Koweït. La justice koweïtienne a condamné un homme à mort et a infligé des peines de prison de deux à quinze ans à huit personnes pour avoir prêté assistance à l'auteur saoudien de l'attentat.

Le porte-parole a précisé que le maire de Maale Adumim avait été informé dans la nuit de la décision prise par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son ministre de la Défense Avigdor Lieberman d'autoriser le projet de nouveaux logements dans cette colonie située à l'est de Jérusalem.

Selon des médias, M. Netanyahu a également donné son accord à un projet de 240 nouvelles habitations dans les colonies de Jérusalem-Est, ainsi que pour 600 unités de logements pour les Palestiniens à Beit Safafa, un quartier arabe de la ville.

Les bureaux de MM. Netanyahu et Lieberman ont refusé de commenter ces approbations présumées à Jérusalem-Est ou à Maale Adumim.

La construction des colonies dans les territoires palestiniens est toujours contestée par l'ONU et les ONG internationales défendant les Droits de l'homme.

Personne ne semble comprendre les conséquences de la décision britannique de quitter l’Union européenne. Les commentateurs, qui interprètent la politique politicienne et ont perdu depuis longtemps la connaissance des enjeux internationaux, se sont focalisés sur les éléments d’une campagne absurde : d’un côté les adversaires d’une immigration sans contrôle et de l’autre des « pères fouettards » menaçant le Royaume-Uni des pires tourments.

Or, les enjeux de cette décision n’ont aucun rapport avec ces thèmes. Le décalage entre la réalité et le discours politico-médiatique illustre la maladie dont souffrent les élites occidentales : leur incompétence.

Alors que le voile se déchire sous nos yeux, nos élites ne comprennent pas plus la situation que le Parti communiste de l’Union soviétique n’envisageait les conséquences de la chute du Mur de Berlin en novembre 1989 : la dissolution l’URSS en décembre 1991, puis du Conseil d’assistance économique mutuelle (Comecon) et du Pacte de Varsovie six mois plus tard, puis encore les tentatives de démantèlement de la Russie elle-même qui faillit perdre la Tchétchènie.

Dans un futur très proche, nous assisterons identiquement à la dissolution de l’Union européenne, puis de l’Otan, et s’ils n’y prennent garde au démantèlement des États-Unis.

Quels intérêts derrière le Brexit ?

Contrairement aux rodomontades de Nigel Farage, l’UKIP n’est pas à l’origine du référendum qu’il vient de gagner. Cette décision a été imposée à David Cameron par des membres du Parti conservateur.

Pour eux, la politique de Londres doit être une adaptation pragmatique aux évolutions du monde. Cette « nation d’épiciers », ainsi que la qualifiait Napoléon, observe que les États-Unis ne sont plus ni la première économie mondiale, ni la première puissance militaire. Ils n’ont donc plus de raison d’en être les partenaires privilégiés.

De même que Margaret Thatcher n’avait pas hésité à détruire l’industrie britannique pour transformer son pays en un centre financier mondial ; de même ces conservateurs n’ont pas hésité à ouvrir la voie à l’indépendance de l’Écosse et de l’Irlande du Nord, et donc à la perte du pétrole de la mer du Nord, pour faire de la City le premier centre financier off shore du yuan.

La campagne pour le Brexit a été largement soutenue par laGentry et le palais de Buckingham qui ont mobilisé la presse populaire pour appeler à revenir à l’indépendance.

Contrairement à ce qu’explique la presse européenne, le départ des Britanniques de l’UE ne se fera pas lentement parce que l’UE va s’effondrer plus vite que le temps nécessaire aux négociations bureaucratiques de leur sortie. Les États du Comecon n’ont pas eu à négocier leur sortie parce que le Comecon a cessé de fonctionner dès le mouvement centrifuge amorcé. Les États membres de l’UE qui s’accrochent aux branches et persistent à sauver ce qui reste de l’Union vont rater leur adaptation à la nouvelle donne au risque de connaître les douloureuses convulsions des premières années de la nouvelle Russie : chute vertigineuse du niveau de vie et de l’espérance de vie.

Pour la centaine de milliers de fonctionnaires, d’élus et de collaborateurs européens qui perdront inévitablement leur emploi et pour les élites nationales qui sont également tributaires de ce système, il convient d’urgence de réformer les institutions pour les sauver. Tous considèrent à tort que le Brexit ouvre une brèche dans laquelle les Eurosceptiques vont s’engouffrer. Or, le Brexit n’est qu’une réponse au déclin des États-Unis.

Le Pentagone, qui prépare le sommet de l’Otan à Varsovie, n’a pas non plus compris qu’il n’était plus en position d’imposer à ses alliés de développer leur budget de Défense et de soutenir ses aventures militaires. La domination de Washington sur le reste du monde est terminée.

Nous changeons d’ère.

Qu’est-ce-qui va changer ?

La chute du bloc soviétique a d’abord été la mort d’une vision du monde. Les Soviétiques et leurs alliés voulaient construire une société solidaire où l’on mette le plus de choses possible en commun. Ils ont eu une bureaucratie titanesque et des dirigeants nécrosés.

Le Mur de Berlin n’a pas été abattu par des anti-communistes, mais par une coalition des Jeunesses communistes et des Églises luthériennes. Ils entendaient refonder l’idéal communiste débarrassé de la tutelle soviétique, de la police politique et de la bureaucratie. Ils ont été trahis par leurs élites qui, après avoir servi les intérêts des Soviétiques se sont engouffrés avec autant d’ardeur pour servir ceux des États-uniens. Les électeurs du Brexit les plus engagés cherchent d’abord à retrouver leur souveraineté nationale et à faire payer aux dirigeants ouest-européens l’arrogance dont ils ont fait preuve en imposant le Traité de Lisbonne après le rejet populaire de la Constitution européenne (2004-07). Ils pourraient eux aussi être déçus par ce qui va suivre.

Le Brexit marque la fin de la domination idéologique des États-Unis, celle de la démocratie au rabais des « Quatre libertés ». Dans son discours sur l’état de l’union de 1941, le président Roosevelt les avaient définies comme (1) la liberté de parole et d’expression, (2) la liberté de chacun d’honorer Dieu comme il l’entend, (3) la liberté du besoin, (4) la liberté de la peur [d’une agression étrangère]. Si les Anglais vont revenir à leurs traditions, les Européens continentaux vont retrouver les questionnements des révolutions française et russe sur la légitimité du pouvoir, et bouleverser leurs institutions au risque de voir resurgir le conflit franco-allemand.

Le Brexit marque aussi la fin de la domination militaro-économique US ; l’Otan et l’UE n’étant que les deux faces d’une seule et unique pièce, même si la construction de la Politique étrangère et de sécurité commune a été plus longue à mettre en œuvre que celle du libre-échange. Récemment, je rédigeais une note sur cette politique face à la Syrie. J’examinais tous les documents internes de l’UE, qu’ils soient publics ou non publiés, pour arriver à la conclusion qu’ils ont été rédigés sans aucune connaissance de la réalité de terrain, mais à partir des notes du ministère allemand des Affaires étrangères, lui-même reproduisant les instructions du département d’État US. J’avais eu il y a quelques années à effectuer la même démarche pour un autre État et j’étais arrivé à une conclusion similaire (sauf que dans cet autre cas, l’intermédiaire n’était pas le gouvernement allemand, mais le français).

Premières conséquences au sein de l’UE

Actuellement, des syndicats français rejettent le projet de loi sur le Travail qui a été rédigé par le gouvernement Valls sur la base d’un rapport de l’Union européenne, lui-même inspiré par les instructions du département d’État US. Si la mobilisation de la CGT a permis aux Français de découvrir le rôle de l’UE dans cette affaire, ils n’ont toujours pas saisi l’articulation UE-USA. Ils ont compris qu’en inversant les normes et en plaçant les accords d’entreprise au-dessus des accords de branche, le gouvernement remettait en réalité en cause la prééminence de la Loi sur le contrat, mais ils ignorent la stratégie de Joseph Korbel et de ses deux enfants, sa fille naturelle la démocrate Madeleine Albright et sa fille adoptive la républicaine Condoleezza Rice. Le professeur Korbel assurait que pour dominer le monde, il suffisait que Washington impose une réécriture des relations internationales dans des termes juridiques anglo-saxons. En effet, en plaçant le contrat au-dessus de la Loi le droit anglo-saxon privilégie sur le long terme les riches et les puissants par rapport aux pauvres et aux misérables.

Il est probable que les Français, les Hollandais, les Danois et d’autres encore tenteront de se détacher de l’UE. Ils devront pour cela affronter leur classe dirigeante. Si la durée de ce combat est imprévisible, son issue ne fait plus de doute. Quoi qu’il en soit, dans la période de bouleversement qui s’annonce, les ouvriers français seront difficilement manipulables, à la différence de leurs homologues anglais, aujourd’hui désorganisés.

Premières conséquences pour le Royaume-Uni

Le Premier ministre David Cameron a argué des vacances d’été pour remettre sa démission à octobre. Son successeur, en principe Boris Johnson, peut donc préparer le changement pour l’appliquer instantanément à son arrivée à Downing Street. Le Royaume-Uni n’attendra pas sa sortie définitive de l’UE pour mener sa propre politique. À commencer par se dissocier des sanctions prises à l’encontre de la Russie et de la Syrie.

Contrairement à ce qu’écrit la presse européenne, la City de Londres n’est pas directement concernée par le Brexit. Compte tenu de son statut particulier d’État indépendant placé sous l’autorité de la Couronne, elle n’a jamais fait partie de l’Union européenne. Certes, elle ne pourra plus abriter les sièges sociaux de certaines compagnies qui se replieront dans l’Union, mais au contraire elle pourra utiliser la souveraineté de Londres pour développer le marché du yuan. Déjà en avril, elle a obtenu les privilèges nécessaires en signant un accord avec la Banque centrale de Chine. En outre, elle devrait développer ses activités de paradis fiscal pour les Européens.

Si le Brexit va temporairement désorganiser l’économie britannique en attente de nouvelles règles, il est probable que le Royaume-Uni —ou tout au moins l’Angleterre— se réorganisera rapidement pour son plus grand profit. Reste à savoir si les concepteurs de ce tremblement de terre auront la sagesse d’en faire profiter leur peuple : le Brexit est un retour à la souveraineté nationale, il ne garantit pas la souveraineté populaire.

Le paysage international peut évoluer de manière très différente selon les réactions qui vont suivre. Même si cela devait tourner mal pour certains peuples, il vaut toujours mieux coller à la réalité comme le font les Britanniques plutôt que de persister dans un rêve jusqu’à ce qu’il se fracasse.

A l’issue de la bataille de Falloujah, un convoi d’environ 500 véhicules a permis aux combattants de Daesh de fuir la ville vers la Syrie.

Le Pentagone a refusé de le bombarder au motif qu’il s’agissait de véhicules civils et qu’il transportaient probablement les épouses et enfants de certains jihadistes.

L’armée irakienne a cependant décidé de le bombarder, détruisant plus de 200 véhicules et tuant ses occupants.

Les militaires irakiens sont persuadés que le Pentagone avait reçu instruction de laisser s’échapper les conseillers de la CIA qui encadraient les jihadistes.

samedi, 02 juillet 2016 22:11

La Mosquée al-Aqsâ

Le Haram ash-Shérif d'al-Quds est un ensemble d’édifices religieux (144 000 m2) regroupant la Mosquée al-Aqsâ (ou Qibli au dôme gris), le Dôme du Rocher, l’esplanade, les souterrains Al Aqsa Qadim, Masjid Buraq et Masjid Marwani situé à Jérusalem en Palestine occupée. Les mots "Masjed al-Aqsâ" signifie en arabe "lieu de prosternation (de façon générale) le plus éloigné".
Avant l'Islam
L’édification de cet endroit sacré s’est faite dès les débuts de l’ère humaine, sur l’Ordre de Dieu, par le père de l’humanité le prophète Adam(p) qui en traça les limites, 40 (..  ans?) après l’instauration des bases de la Ka'ba (à la Mecque).
Selon un propos rapporté de Muslim d'Abû Dhar, le Prophète Mohammed(s)  répondit à sa question sur quelle fut la première mosquée (Masjid) bâtie sur terre ? : « La mosquée sacrée (de la Mecque) », et à celle de quelle fut la seconde ? : « La mosquée d’al-Aqsa, et entre les deux, quarante.. ».
Vers l’an 2000 avant J.C, le prophète Abraham(p) l'aurait rebâtie, comme il(p) a rétabli la Ka'ba à La Mecque.
Le prophète Suleiman(p) renouvela son édification vers l’an 1000 avant J.C.
Mais après la destruction du Temple en l'an 70 par les Romains et l'exode des Juifs de Palestine, le lieu fut laissé à l'abandon.
Avec l'arrivée de l'Islam
La mosquée al-Aqsâa une place particulière pour les Musulmans. C'est vers elle que la prière des Musulmans était dirigée (d'où son appellation "la première qibla de l'Islam") jusqu'à l'an II de l'Hégire, jusqu'au moment où fut révélé au Prophète(s) le changement d'orientation de la prière.(1)
Et lorsque le Prophète Muhammad(s)fit le voyage nocturne de la Mecque à Jérusalem et la Montée au ciel (al-Isra wa-l-Mi’raj(2)), ce lieu acquit une importance accrue. La tradition rapporte qu'il(s) pria alors devant tous les Prophètes(p).
C'est ‘Umar ibn al-Khattab, le second "calife", qui entra à Jérusalem, y pria la première fois et y fit construire la mosquée al-Aqsa en l'an 637 apJC. Il. Un pèlerin chrétien de cette époque la décrivit comme ayant une grande structure en bois, avec des poutres et des planches. La région fut placée sous le gouvernorat de Mû'âwiyyah, fils d'Abû Sufyân, 'convertis' à l'Islam après avoir été défaits après la victoire de La Mecque.
En 690/1apJC-72H, le calife omeyyade ‘Abd al-Malik reconstruisit la mosquée al-Aqsâ, en dur et en plus grand. Il avait cependant construit auparavant, à environ 200 mètres au nord, une  magnifique construction octogonale bâtie sur un rocher – le dôme du Rocher– supposé être celui à partir duquel  le Prophète Mohammed(s) serait monté au ciel. Il avait alors utilisé des traditions architecturales et des mosaïques apprises des Byzantins, avec un dôme de 20 mètres, recouvert, à l’origine de feuilles de plomb et des calligraphies ornant les murs.
Sous la dynastie abbasside, les nefs de la mosquée d'al-Aqsâ changent d'orientation. Le "calife" abbasside al-Mahdi construisit, en 780, quinze travées perpendiculaires au mihrab(3), dont une magnifiée au centre.
Entre 970-1073, Jérusalem fut entre les mains de l'Empire fatimide, basé en Egypte, qui se chargea de reconstruire la mosquée, en 1033, après un tremblement de terre, en bâtissant une nef centrale et sept grands arcs sur sa façade (au lieu des quatorze précédents) soutenant le toit massif, puis de la restaurer en 1047. Seule, la zone près dumihrab datant des Omeyyades fut préservée, tandis que les piliers actuels datent de cette période fatimide.
En 1073, Jérusalem fut conquise par les Turcs seldjoukides.
Puis en 1099 par les Croisés qui y firent un bain de sang selon certains dires. Mais la mosquée al-Aqsâ ne fut pas détruite : elle servit de palais pour les rois de Jérusalem. Les calligraphies à l'intérieur de la mosquée furent recouvertes, les tapis de prière jetés et le mihrab muré de briques.
Le Dôme du rocher fut transformé en une église, le "Temple du Seigneur". Les calligraphies durent recouvertes et le rocher, revêtu de marbre, servit d'autel pour les prières.
(1) {Certes, Nous voyons ton visage se tourner et se retourner en tous sens vers le ciel. Nous allons te donner une orientation que tu agréeras : tourne ton visage face à la Mosquée sacrée. Où que vous vous trouvez, tournez votre visage dans sa direction. Ceux à qui le Livre a été donné savent fort bien que c’est la Vérité venue de leur seigneur, et Dieu n’est pas inattentif à ce qu’ils font..}(144/2 ) 
قَدْ نَرَى تَقَلُّبَ وَجْهِكَ فِي السَّمَاء فَلَنُوَلِّيَنَّكَ قِبْلَةً تَرْضَاهَا فَوَلِّ وَجْهَكَ شَطْرَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ وَحَيْثُ مَا كُنتُمْ فَوَلُّواْ وُجُوِهَكُمْ شَطْرَهُ وَإِنَّ الَّذِينَ أُوْتُواْ الْكِتَابَ لَيَعْلَمُونَ أَنَّهُ الْحَقُّ مِن رَّبِّهِمْ وَمَا اللّهُ بِغَافِلٍ عَمَّا يَعْمَلُونَ
(2){Par le Nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.1. Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée Al-Haram à la Mosquée Al-Aqsa dont Nous avons béni l'alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est Lui, vraiment, qui est l'Audient, le Clairvoyant.}(1/17 ) Les versets suivants évoquent le Livre donné à Nabi Moussa(p) pour guider bani Isrâ'îl, qui, malgré cela, sèmeront la corruption sur terre.
بسم الله الرحمن الرحيم  سُبْحَانَ الَّذِي أَسْرَى بِعَبْدِهِ لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الأَقْصَى الَّذِي بَارَكْنَا حَوْلَهُ لِنُرِيَهُ مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ
(3)"Mihrab" : souvent décoré avec deux colonnes et une arcature, est une niche qui indique la qibla, c'est-à-dire la direction de la Ka'ba à La Mecque vers où se tournent les musulmans pendant la prière.  Il est souvent au milieu du mur de la qibla.
Principale source : Lost Islamic History de Firas al-Khateeb - USA Illinois
En s'unissant avec le régime hébreu, les responsables du régime saoudiens renforcent la dominance des sionistes dans le monde musulman, a déclaré le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
Ce se passe aujourd'hui en Palestine est une réponse au message de l'Imam Khomeiny (que Dieu le bénie) et montre également que l'umma islamique est réanimée. Cela entraîne la victoire de l'umma islamique, a dit l'ayatollah Araki dans un discours avant les prières de vendredi de la ville iranienne d'Arak.

 Nous, umma islamique et le peuple iranien, devons être sûres que dans cet affrontement avec l'arrogance mondiale, nous serons sans aucun doute vainqueurs et la résistance est la condition de cette victoire, a-t-il souligné.
    
Les responsables du régime saoudiens renforcent la dominance des sionistes dans le monde musulman, a-t-il insisté.

Malgré la pression de l'arrogance mondiale dans la région, la révolution islamique était réalisée sous la direction de l'Imam Khomeiny. L'Iran islamique suit l'exemple du vénéré l'Imam Ali (As). La voie de l'Imam Ali est la voie de la résistance qui aboutit au victoire, a-t-il ajouté.
Vendredi, "un homme d'une cinquantaine d'années est mort d'asphyxie après que les soldats (israéliens) ont utilisé des gaz lacrymogènes contre des Palestiniens manifestants à Qalandia", a annoncé le ministère palestinien de la Santé.
 Des journalistes étaient au village de Qalandia, qui sépare Ramallah de Jérusalem-Est. Ils ont indiqué que des Palestiniens, qui attendaient de franchir le point de passage pour prier à la mosquée al-Aqsa, ont lancé une manifestation, avant que celles-ci ne répliquent.


A la mi-journée, environ 280'000 Palestiniens avaient assisté à la prière du dernier vendredi du mois sacré du ramadan à la mosquée Al-Aqsa. Un porte-parole de la mosquée a dit en attendre encore davantage dans la soirée.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a recommandé à tous les services et administrations du pays à être sensibles au problème des salaires faramineux et à y réagir avec fermeté.

Selon le texte publié par le bureau de presse du premier vice-président iranien, Eshaq Jahanguiri, le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a recommandé à tous les services et administrations du pays de prêter une attention toute particulière au versement de salaires inhabituels et à faire preuve de sévérité dans ce domaine.

Le premier vice-président iranien, Eshaq Jahanguiri, avait envoyé le 14 juin une lettre au Guide suprême de la Révolution islamique, dans laquelle il a rappelé que le 11e gouvernement (celui du président Rohani, NDLR) s’était attelé, depuis le début de son mandat, à rétablir l’ordre, notamment dans les affaires financières, ainsi que le respect total des règlements et des lois.

La lettre précise ensuite que des informations ont été reçues depuis la moitié de l’année 1394 (vers la fin de l’année 2015) qui faisaient état de salaires inhabituels et particulièrement injustes, qui étaient payés à la suite de décisions des instances légales. C’est alors que le gouvernement a décidé de prendre le problème à bras-le-corps, proposant des lois imposant des limites et des restrictions.

Il y a dix jours, lors de l’audience accordée au président iranien, Hassan Rohani, et aux membres du cabinet, le Guide suprême de la Révolution islamique avait jugé que l'affaire des salaires faramineux était une violation des valeurs de la Révolution.

Il a donc recommandé, faisant allusion à l’ordre donné par le président Rohani à son vice-président, que l’affaire ne tombe pas aux oubliettes et soit poursuivie avec sérieux.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a aussi demandé qu’on annonce les résultats de l'enquête au peuple.

Le scandale des salaires faramineux reçus par certains directeurs gouvernementaux ont fait, ces dernières semaines, la une des médias en Iran.

Certains directeurs et présidents des banques et des établissements financiers ont été renvoyés tandis que d'autres ont démissionné.

Au moins deux policiers ont été tués, près de 20 autres blessés, et une prise d'otages était en cours dans la nuit de vendredi à samedi dans un restaurant du quartier diplomatique de Dacca, visé par une attaque revendiquée par le groupe Daech.
 Une dizaine d'individus armés ont attaqué le restaurant Holey Artisan Bakery de la capitale du Bangladesh, fréquenté par des diplomates et des expatriés, a-t-on appris auprès de la police et de témoins.

Les assaillants ont fait irruption vers 21H20 (15H20 GMT) en ouvrant le feu et faisant usage d'explosifs, d'après ces sources.

Daech a rapidement revendiqué la fusillade et une prise d'otages, a annoncé l'agence Amaq, liée à l'organisation extrémiste. Des commandos de Daech attaquent un restaurant fréquenté par des étrangers dans la ville de Dacca, au Bangladesh, a affirmé Amaq dans un communiqué relayé sur les réseaux sociaux.

L'attaque a fait plus de 20 morts de différentes nationalités, a ajouté Amaq, précisant que les commandos ont pris des otages dans le restaurant Artisan.

Selon le responsable du restaurant Sumon Reza, qui a réussi à s'échapper, une vingtaine d'étrangers auraient été pris en otages.

Quelques clients ont réussi à s'échapper, mais la police a indiqué qu'un certain nombre - non précisé - étaient encore retenus à l'intérieur de l'établissement plusieurs heures après l'assaut.

Près de 40 personnes, pour moitié des étrangers, restaient bloquées à l'intérieur de l'établissement, ont pour leur part affirmé certaines d'entre elles qui ont pu joindre des proches par téléphone, a relaté la télévision privée Ekattur TV.
Le rapport du Quartette sur le Proche-Orient demande à Israël de cesser « d'urgence » sa politique de colonisation en Cisjordanie, a indiqué jeudi l'envoyé spécial de l'ONU au Proche-Orient, Nickolay Mladenov.
Les négociations de compris entre le régime de Tel-Aviv et l’Autorité autonome palestinienne ont capoté en 2014. La raison de cet échec trouve ses origines dans le fait que l’entité sioniste continue d’implanter des colonies en Cisjordanie et sur le secteur l’Est de Qods.

Israël et l’Autorité autonome palestinienne ont organisé des négociations de compromis à plusieurs reprises sous l’égide des Etats-Unis d’Amérique. Mais Israël fait la sourde oreille à la demande de la communauté internationale et continue de construire de nouvelles colonies dans les territoires occupés de la Palestine. Ce régime ne tient pas également ses promesses censées émanciper des prisonniers palestiniens croupissant dans ses geôles.

Les Etats-Unis ont utilisé le droit de veto à 43 reprises pour empêcher la condamnation d'Israël par le Conseil de sécurité. Washington n’a pas également hésité à empêcher la réhabilitation des droits des Palestiniens au sein de plusieurs organisations internationales.