
تقي زاده
L'Algérie se repositionne...
Avec la crise syrienne qui s’éternise et les espoirs d’une résolution pacifique – ou tout du moins, d’un retour à une relative accalmie en Libye – qui se font très distants, l’Algérie devrait d’ores et déjà commencer à suspecter qu’elle pourrait très vite se retrouver dans les viseurs anglo-américains.
De plus en plus d’éléments indiquent que c’est précisément ce qu’elle fait.
Après avoir survécu à une tentative de déstabilisation durant les révolutions colorées dites des « printemps arabes, » d’inspiration et d’orchestration occidentale, l’Algérie fait tout ce qu’elle peut pour renforcer sa sécurité à l’intérieur, autour et sur ses frontières. C’est pourquoi elle accroît sa coopération avec son pays voisin la Tunisie, cible des terroristes soutenus par l’occident et les nations du CCG (Conseil de Coopération du Golfe, ndt).
Après avoir réagi très vite et avec une main de fer, toutes les tentatives de perturbation du gouvernement algérien ont été repoussées pendant le cours des révolutions colorées et des déstabilisations conçues par les États-Unis. Pourtant, bien que les quelques manifestations du style « printemps arabe » aient été inefficaces et qu’elles n’aient pas duré longtemps, l’Algérie ne s’est pas simplement reposée sur ses lauriers par la suite. En fait, l’Algérie a choisi de renforcer sa sécurité, d’améliorer ses capacités militaires, et de travailler en coopération avec ses voisins pour s’assurer de ne pas devenir une proie facile de futures déstabilisations et autres révolutions colorées.
L’Algérie s’attache également à approfondir ses relations avec la Russie et tous les pays qui font partie de ce bloc non-officiel mais évident, contre L’OTAN. En d’autres termes, l’Algérie se rapproche d’une adhésion à ce groupe de nations multi-polaires qui essaient d’agir comme contrepoids des puissances de L’OTAN.
On trouve deux exemples marquants du renforcement de la coopération entre l’Algérie et cette alliance anti-OTAN dans le récent approvisionnement de 40 hélicoptères d’attaque russes pour l’Algérie et la récente visite diplomatique du gouvernement algérien en Syrie.
L’hélicoptère connu sous le nom de « Night Hunter » en Russie, a la réputation d’être l’un des meilleurs mondiaux, capable d’exécuter des missions aussi bien en journée que de nuit, et dans des conditions météo des plus difficiles. L’hélicoptère est livré avec une possibilité de modification MI-28NE qui permet à l’appareil de pouvoir être piloté depuis le cockpit du pilote et le cockpit du pilote opérateur.
La livraison de ces hélicoptères russes à l’Algérie n’a rien de nouveau. En 2005-2006, la Russie avait fourni à l’Algérie 28 chasseurs Su-30MKA, 16 avions d’entraînement Yak-130 et 185 tanks T90S. En 2015, un contrat avait été signé entre les deux pays pour la livraison de 14 chasseurs Su-30MKA, prévue pour 2016-2017. Cette acquisition d’hélicoptères MI-28 est liée à un accord bilatéral entre la Russie et l’Algérie.
« Les militaires algériens sont satisfaits de la qualité des armes russes, qui ont fait leurs preuves dans les conditions très spécifiques du pays, particulièrement dans le désert avec des températures extrêmement élevées et des tempêtes de sable. Il y a donc de bonnes perspectives quant au prolongement d’une coopération rapprochée dans le domaine militaro-technique, sur une vaste gamme d’approvisionnements, » déclarait Alexandre Zolotov, l’ambassadeur russe en Algérie, dans une interview à RIA Novosti.
Bien que ces livraisons ne soient pas d’un grand intérêt médiatique en soi, le contexte dans lequel elles ont lieu mérite d’être discuté.
L’Algérie est bien sûr de plus en plus préoccupée par l’accumulation des méfaits de l’EI dans la région, notamment en Libye et en Tunisie, et elle se concentre sur la sécurité de ses frontières avec les deux pays touchés mais aussi avec le Niger et le Mali pour les mêmes raisons. Le gouvernement algérien, qui a su réagir rapidement aux menaces terroristes pas le passé, craint peut-être que l’EI puisse perpétrer d’éventuelles attaques à l’intérieur de ses frontières, en lien avec le positionnement futur de l’Occident contre la structure gouvernementale du pays.
En février, l’Algérie et la Russie se sont engagées dans un plan de renforcement de la coopération sur les plans militaire et économique.
Concernant la Syrie, le lundi 25 avril 2016 marque la première visite officielle de responsables algériens dans le pays depuis 2011, signalant également une tendance au resserrement des liens et de la coopération avec le pays en conflit, malgré les pleurs et les cris des États-Unis et de l’OTAN. Plus tôt, en mars, le ministre syrien des affaires étrangères Walid Mu’allem avait rendu visite à la capitale algérienne avec pour but déclaré d’approfondir et de renforcer les relations économiques entre les deux pays.
Ainsi le décrit Ulson Gunnar dans son article intitulé, « Washington’s Fake War on ISIS ‘Moves’ To Libya » – (La Fausse Guerre de Washington contre l’EI se "déplace" en Libye, ndt) :
« L’EI n’est non seulement plus en sécurité en Syrie, mais le pays est devenu pour eux un cimetière dans lequel ils sont enterrés vivants. Et ce n’est pas grâce à une campagne anti-terreur menée par Washington et ses alliés, mais grâce aux opérations rapides et efficaces de Moscou, Téhéran et leurs alliés à Damas. En effet, avec la coupure des voies d’approvisionnement de l’EI vers leurs sources en Turquie et le refoulement de leurs troupes qui sont repoussées à travers le territoire syrien, la liquidation de leurs forces en Syrie est en très bonne voie. De la même façon en Irak, les simulacres d’opérations US pour stopper l’EI ont ouvert la voie à des coopérations plus importantes entre Baghdad, Téhéran et Damas.
Ce qui se voulait être une tentative de division et de destruction de l’aire d’influence iranienne à travers la région, se révèle être en fait ce qui va la galvaniser.
Exfiltrer les groupes de mercenaires de l’EI en dehors de la région est important pour s’assurer qu’ils puissent vivre et participer à d’autres combats. En les déplaçant en Libye, Washington et ses alliés espèrent qu’ils seront suffisamment hors de portée de la coalition montante qui les affronte réellement dans la région du Levant. Plus encore, les mobiliser en Libye permet à d’autres « projets » laissés en reste suite aux « printenmps arabes » d’être revisités, comme la déstabilisation et la destruction de l’Algérie, de la Tunisie et peut-être même en vue d’une nouvelle tentative pour déstabilser et détruire l’Egypte.
La présence de l’EI en Libye pourrait également être utilisée comme un prétexte pour une intervention militaire bien plus large et illimitée des forces U.S. et européennes avec leurs alliés du golfe persique, à travers toute l’Afrique. Comme les États-Unis l’ont fait en Syrie, en conduisant des opérations pendant plus d’un an et demi complètement en vain, mais qui ont permis d’installer des forces sous proxy pour continuer d’affaiblir et de menacer les nations ciblées, ils pourraient procéder de la même manière avec l’EI en Libye avec une propagation inévitable et prévisible vers l’extérieur. »
En effet, Gunnar résume en somme ce que l’Algérie sait et craint vis à vis de l’EI et des plans Anglo-américain/OTAN pour l’hégémonie mondiale. Cela explique pourquoi l’Algérie se prépare pour un potentiel repositionnement sur l’Occident en terme de zones de combat, qui se déplace de la Syrie vers la Libye et plus encore vers l’ouest.
Bien que ce ne soit pas une nouvelle renversante, l’affection croissante de l’Algérie pour le bloc de nations lié à la Russie est un nouveau signe de la perte d’influence de Washington à travers le monde et de la faillite de plus en plus grande de la position tenue par les U.S.A et l’OTAN.
Falloujah: dernier point
Les forces irakiennes du contre-terrorisme se sont déployées aux abords de la ville de Falloujah pour la première fois depuis le début de l'offensive pour reprendre cette cité des mains du groupe terroriste de Daech, ont indiqué de hauts commandants.
"Les forces d'élite du service de contre-terrorisme (CTS), la police d'al-Anbar et des combattants de tribus locales (...) ont atteint les camps de Tarek et Mazraa", au sud et à l'est de Falloujah, a affirmé à l'AFP Abdelwahab al-Saadi, commandant en chef chargé de l'opération à Falloujah.
"Ces forces vont entrer dans Falloujah dans les prochaines heures pour la libérer de Daech", a-t-il dit.
L'offensive pour la reprise de Falloujah, bastion à 50 kilomètres à l'ouest de Bagdad, a été lancée dans la nuit de dimanche à lundi par des dizaines de milliers de combattants des forces irakiennes et des forces paramilitaires des Hached al-Chaabi.
Le porte-parole du CTS Sabah al-Noman a confirmé le déploiement de ses forces, sans toutefois se prononcer sur le moment de l'assaut. "Elles se sont dirigées vers Falloujah (...). L'opération est en train de prendre la force d'une guerre urbaine avec le siège de la ville par les forces irakiennes", a-t-il dit.
"Les forces du CTS vont donner l'assaut dans la ville, c'est ce dans quoi elles sont spécialisées", a affirmé Noman.
Ces forces d'élite ont dirigé les assauts sur plusieurs villes irakiennes reprises aux terroristes au cours des deux dernières années. Leur implication marque ainsi une nouvelle phase dans l'opération militaire.
110 terroristes liquidés
Pendant ce temps, le commandement des opérations de Bagdad a fait état de 110 terroristes de Daech tués dans les opérations de ce samedi, et de 2030 civils évacués lors de "la progression des forces irakiennes sur l'axe de Karma, au nord Est de Falloujah".
Dans un communiqué du commandement des opérations de Bagdad cité par al-Manar, "les forces sécuritaires (…) avec le soutien des combattants du Hached Chaabi et des tribus, de l'aviation irakienne et de la coalition internationale, (…) ont liquidé 110 terroristes et blessé 20 autres ces dernières 24 heures. 18 véhicules ont été carbonisés dont un qui était piégé".
Le texte du communiqué ajoute: "Les opérations ont permis de saisir une ceinture explosive et des produits utilisés dans la fabrication des ceintures explosives, de désamorcer 535 charges explosives, de détruire trois usines de minage et de deux bulldozers, et de démanteler 20 maisons piégées".
Sur un autre plan, le commandement des opérations de Bagdad a fait état de "507 familles évacuées, composées de 2030 personnes, qui ont emprunté des passages sûrs".
Où sont les hommes de Falloujah?
Dans le cadre des combats à Falloujah, des images sur des centaines de personnes fuyant à l'extérieur de la ville montrent que la majorité écrasante de celles-ci sont des femmes et des enfants.
En effet, des rapports de presse révèlent que les terroristes de Daech exécutent tous les hommes et les jeunes qui refusent de combattre dans leurs rangs.
La commission des Nations Unies pour les affaires de réfugiées a mis en garde contre des dizaines de milliers de personnes bloquées à Falloujah, et sérieusement menacées. Cette commission a avancé le chiffre de 50 mille personnes en danger !
Solliciter l'aide du Hached Chaabi
Des centaines de familles de Falloujah dans le village Abou Zdeira (au nord) ont sollicité l'aide du Hached Chaabi et des forces de sécurité pour lever le siège imposé par Daech.
Selon le site Sumaria news, rapportant le témoignage d'un citoyen encerclé, "des centaines de familles présentes dans le village sont encerclées par Daech et sont interdites de sortir".
Ayant requis l'anonymat, ce citoyen a appelé le Hached Chaabi et les forces sécuritaires à lever le siège et à les sauver.
Volley-ball: face au Canada, l’Iran s’impose trois sets à deux
L’équipe d’Iran a réussi à battre le Canada trois sets à deux. Prochain rendez-vous mardi, contre la France.
Les Iraniens ont souffert, mais ont assuré l’essentiel face au Canada. L’équipe de volley-ball de Canada ont dominé les deux premières manches (29-27, 25-19).
Dès la troisième manche, les Iraniens ont finalement repris les devants pour s’imposer trois sets à deux (25-20, 25-21, 16-14).
L’équipe nationale d’Iran doit toutefois se montrer plus constante mardi contre la France et doit s’imposer aux Bleus pour se rapprocher de son objectif podium, et se qualifier pour les Jeux Olympiques de Rio.
Pour rappel, l’Iran avait réussi son entrée dans le tournoi de qualification olympique de Tokyo, en dominant l’Australie trois sets à zéro.
L'Iran, porté par son capitaine Saïd Ma'rouf, a eu la tâche plus facile face à l'Australie, ne concédant aucune manche (25-17, 25-19, 25-18).
L'Occident utilise "la guerre douce" pour nuire à l'establishment islamique
Le leader iranien a exprimé ses inquiétudes quant aux influences de l'ennemi dans les affaires du pays et a déclaré que l'Occident cherche "à influencer nos décisions et nos centres décisionnels, pour changer les croyances du peuple et pour modifier les calculs et les positions des officiels iraniens".
Il a critiqué certaines tendances politiques "pour leurs critiques des fondations révolutionnaires de l'establishment islamique, y compris les Gardiens de la Révolution Islamique, le Conseil des Gardiens et la jeunesse révolutionnaire", déclarant que ces critiques suivent le chemin tracé par les étrangers qui veulent affaiblir l'establishment de l'intérieur.
L'ayatollah Khamenei a tenu ces propos lors d'une réunion avec les nouveaux membres de l'Assemblée des Experts qui sont légalement mandatés pour décider du leadership du pays.
Il a souligné que l'accord entre l'Iran et les puissances mondiales, conclu en juillet dernier, ne devrait pas être interprété comme un signe avant-coureur de l'influence des Etats-Unis en Iran.
"Nous ne permettrons pas l'interférence économique, politique ou culturelle des Etats-Unis en Iran, et nous répudierons leurs efforts avec tout ce que l'on a", a-t-il clamé, ajoutant que l'Iran n'autorisera pas non plus l'influence des Etats-Unis dans la région.
L'Iran et le P5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine plus Allemagne) ont signé un accord global sur le programme nucléaire de Téhéran le 14 juillet 2015.
Le Premier ministre de l’Inde a offert un Coran au Guide suprême
Le mois du Ramadan : « Le printemps de la Foi »
Lettre aux Européens sur le Mahdi
Possibles sanctions contre l’Iran sur le dossier des droits de l'homme (Sherman)
Wendy Sherman, ancienne sous-secrétaire d’Etat américaine, a déclaré jeudi que Washington pourrait en cas de besoin prendre la décision d'une nouvelle série de sanctions contre l’Iran sur le dossier des droits de l’homme.
« Nous avons des sanctions contre l’Iran sur le dossier des droits de l’homme et contre toute entité étant impliquée dans la violation des droits de l’homme dans ce pays », a-t-elle prétendu au Centre d’Etudes stratégiques et internationales des Etats-Unis (CSIS), à Washington, capitale des Etats-Unis.
Sherman, qui dirigeait l’année dernière l’équipe de négociateurs avec l’Iran, a déclaré que Washington pourrait, si le besoin se faisait sentir, ajouter des entités sur la liste des sanctions sous le prétexte d’avoir violé les droits de l’homme. Et ce, alors que récemment un républicain américain a présenté une résolution à la Chambre des représentants demandant aux organisations juridiques dans ce pays de ne pas accepter le plaidoyer des parties iraniennes dans les dossiers judiciaires relatifs au versement d’indemnités aux victimes du terrorisme.
Cette résolution intervient alors que les autorités iraniennes ont annoncé qu’elles entameraient une poursuite juridique pour intenter une action en justice contre la décision de Washington de prélever 2 milliards de dollars sur les fonds iraniens gelé aux Etats-Unis
La Cour suprême américaine a condamné le mois dernier l’Iran à verser 2 milliards de dollars pour indemniser les familles des victimes de l’attentat à la bombe de 1983, qui seront prélevés directement sur les fonds iraniens gelés aux Etats-Unis.
L’Iran dément toute implication dans l’explosion de 1983 au sein du contingent américain, qui a fait 241 morts.
L'arrivée de Lieberman au sein du gouvernement provoque un remaniement
Le ministre israélien de l'Environnement a officiellement démissionné de ses fonctions pour protester contre la nomination de l'ultranationaliste et extrémiste Avigdor Lieberman comme ministre israélien de la guerre.
Avi Gabbay, en déposant sa lettre de démission, a écrit :
"Cette manœuvre politique et cette nomination récente sont des actions dangereuses qui négligent ce qui est l'essentiel pour la sécurité d'Israël et, qui plus est, contribuent à la montée de l'extrémisme et aident à creuser le fossé entre les couches de la société."
La nouvelle de la démission du ministre israélien de l'Environnement intervient quelque temps après que Benjamin Netanyahu, le Premier ministre d'Israël, a nommé Lieberman comme nouveau ministre de la guerre. En tant que chef du parti du Likoud, Netanyahu s'est coalisé avec le parti d'extrême droite, Israel Beytenou, dans l'objectif d'obtenir une majorité parlementaire.
Le parti d'extrême droite Israel Beytenou, dirigé par Lieberman, dispose de six sièges au parlement israélien, la Knesset, et avec la nomination de leur leader à la tête du ministère de la guerre, la coalition de Netanyahu, qui possédait déjà 61 sièges sur les 120 que compte le parlement, en disposera de 66, ce qui lui permettra d'asseoir sa politique au sein de la Knesset.
Lieberman vient de remplacer Moshe Ya'alon, ancien ministre israélien de la guerre qui, dit-on, a présenté sa démission en signe de protestation contre la coalition du Likoud avec le parti Israel Beytenou.
Netanyahu avait blâmé Ya'alon pour avoir soutenu les propos de certains responsables israéliens, comparant Israël avec l'Allemagne nazie.
Ya'alon, en réaction aux agissement de Netanyahu, a officiellement démissionné du cabinet et a dit :
"Des fonctionnaires dangereux et extrémistes sont en passe d'obtenir une prédominance sur Israël et le Likoud."
La Russie n’a élaboré aucun projet de nouvelle Constitution pour la Syrie
Sur sa page Facebook, le président syrien a dit que les informations diffusées selon lesquelles Moscou aurait élaboré un projet de Constitution et l'aurait soumis à Damas étaient fausses, a écrit ce vendredi l’agence de presse syrienne SANA.
« Aucun projet de Constitution future ne viendra de l’étranger. Il sera entièrement syrien : discuté et accepté entre les Syriens eux-mêmes et ensuite soumis au référendum. Le reste est sans valeur et insignifiant », est-il dit dans un message de Bachar al-Assad, le président syrien.
« Ces deux derniers jours, certains médias avaient écrit que la Russie avait élaboré un projet de nouvelle Constitution pour la Syrie. Damas dément l’existence d’un tel projet », est-il affirmé dans ce message.
Certains médias avaient rapporté que Moscou avait préparé un projet de Constitution et l'avait soumis à la Syrie, et ce alors qu’auparavant le président russe avait dit qu’il revenait au peuple syrien d’élaborer sa nouvelle Constitution.