تقي زاده

تقي زاده

Hananeh Khalafi, représentante de la république islamique d'Iran aux compétitions internationales du Saint Coran des Emirats Arabes Unis, réservées aux dames, a présenté ce mercredi, à la 4e journée des compétitions, sa lecture, en présence du jury.Hananeh était ce matin la première concurrente des compétitions internationales du Saint Coran de Cheikha Fatima bint Moubarak.
Elle a répondu aux 3 questions posées par le jury.
Considérée comme la plus jeune des concurrents participant à la première édition des compétitions coraniques des EAU, réservées aux dames, Hananeh doit se présenter dans l'après-midi sur la place des lecteurs pour répondre aux deux autres questions qui seront posées par le jury.
Les compétitions coraniques des EAU se tiennent avec la participation des représentants de 72 pays à Dubaï.

Compétitions coraniques des EAU: Hananeh Khalafi a présenté sa lecture
Une délégation européenne dépêchée dans la bande de Gaza a tiré la sonnette d'alarme quant à la poursuite du blocus qu'Israël impose à cette enclave palestinienne.Après être arrivée dans la bande de Gaza, une délégation européenne a participé à une conférence de presse avant de qualifier d'insupportable la situation qui y prévaut. Cette délégation a réclamé des changements politiques, sécuritaires et économiques afin de briser le blocus de la bande de Gaza.

Selon cette délégation, l'Union européenne lance des projets en Palestine occupée et à Gaza en vue de soutenir divers domaines, dont l'éducation, la santé et le développement économique.   

"La mise en application des projets de développement ne s'avère pas en elle seule suffisante. La situation reste insupportable dans la bande de Gaza et il faudrait rapidement recourir à des actions concrètes pour que les points de passage frontaliers soient rouverts et que le blocus de cette zone soit levée", a souligné cette délégation européenne, qui a réclamé que soit facilitée l'entrée des responsables et des représentants des ONG régionales et internationales afin de faire l'état sur la situation ô combien déplorable qui y prévaut.

45 personnalités politiques européennes, dont 36 consuls généraux de l'Union européenne, sont arrivés mardi matin dans la bande de Gaza via le point de passage de Beit Hanoun.

"Au cours de leur déplacement de quelques heures dans la bande de Gaza, les ambassadeurs des pays européens, dont la Suède, le Danemark, Malte, la Slovénie, l'Irlande, la Finlande, la Lituanie, l'Hongrie, l'Espagne, les Pays-Bas, la Belgique, l'Allemagne, Chypre, l'Italie, la Grèce et le Portugal, seront mis au courant des conditions de vie et de la situation économique déplorables des habitants de cette enclave palestinienne", a déclaré le chef du conseil des relations internationales en Palestine (ONG), Bassem Naïm.

Selon Bassem Naïm, cette visite permet d'espérer que la communauté internationale finira par accepter sa part de responsabilité vis-à-vis de la situation catastrophique que subissent les Gazaouis.

Il a également mis en garde contre l'aggravation de la situation dans la bande de Gaza et ses impacts négatifs sur la région.

Bassem Naïm a dit qu'il était prévu que cette délégation européenne s'entretienne avec des représentants des instances locales, civiles et internationales.
 
Vingt civils, dont deux enfants, ont été tués dans la nuit par des frappes de la coalition dirigée par les Etats-Unis sur un village près de Raqa en Syrie, a affirmé mercredi une ONG.La coalition américaine a déclaré avoir mené des frappes dans le secteur sans être capable dans l'immédiat d'affirmer s'il s'agissait des mêmes raids.

L'ONG britannique a précisé que 32 personnes avaient également été blessées dans les frappes mardi soir sur le village d'al-Hicha.

Le bilan des morts s'élève à 20 civils, dont neuf femmes et deux enfants, a précisé Rami Abdel Rahmane, le directeur de l'ONG qui avait fait état dans un premier temps de 16 morts.

Le village a aussi été la cible d'un assaut par les Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par la coalition américaine, qui ont lancé samedi une offensive en vue de reprendre Raqa, le fief du groupe Daech en Syrie.
 
Le directeur des hawzas de l’Iran a insisté sur la connaissance de tous les musulmans de la conception du rapprochement islamique comme le besoin le plus nécessaire de notre époque.L’ayatollah Alireza Arafi a visité mercredi le stand de l’Agence de presse du Salon international de la Presse de Téhéran.

Indiquant l’importance de la question du rapprochement dans le monde musulman, il a dit: le rapprochement est le besoin le plus nécessaire de notre époque.

Les résultats des discordes sont catastrophiques. Les ennemis de l’islam aidés par les forces des ignorants ont créé une vague de destruction dans le monde musulman, a-t-il expliqué.

La société islamique a besoin du rapprochement, mais tous les musulmans doivent arriver à comprendre l’importance de ce sujet, a-t-il insisté.

L’ayatollah Arafi a honoré les activités du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques. Il a insisté sur la continuité de ces activités, a-t-il ajouté.
 
mercredi, 09 novembre 2016 19:06

Zarif rencontre les responsables libanais

Les médias libanais ont largement couvert la rencontre du ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif avec le nouveau Premier ministre libanais Saad Hariri.M. Zarif a été le premier responsable international de haut rang à se rendre au Liban, et s’est entretenu avec Michel Aoun et Saad Hariri, juste une semaine après les élections présidentielles libanaises.

Le journal libanais Al-Akhbar, se penchant sur la visite du chef de la diplomatie iranienne à Beyrouth, a écrit que Saad Hariri, nouveau chef du gouvernement libanais chargé de former le nouveau cabinet, a reçu M. Zarif à son domicile.

Qualifiant d’« événement positif » la rencontre Zarif-Hariri, Al-Akhbar a écrit :
« Ce n’est pas la première rencontre de Saad Hariri avec les autorités iraniennes. Le chef du Courant du futur s’était déjà déplacé à Téhéran, mais à l’époque la tension entre Téhéran et Riyad n’était pas si grande que ça. »

Selon le journal, vu les circonstances régionales actuelles, la rencontre Zarif-Hariri est porteuse de messages politiques considérables.
 

Le fait de demander de l’aide à quelqu’un d’autre qu’Allah n’est pas un acte polythéiste sauf si on croit que ce quelqu’un a une puissance et indépendante d’Allah et en dehors de l’autorité et volonté
Mais si on croit que ce quelqu’un a une autorité limitée offerte par Allah en raison de son rapprochement de Ce Dernier (Allah), cela ne fait point de polythéisme et au contraire c’est un moyen présenté par le saint coran via lequel les croyants peuvent et doivent perfectionner leur foi et se rapprocher de Dieu.
Comme nous vous l’avons expliqué ci-dessus, le fait de demander de l’aide à quelqu’un n’est pas un acte polythéiste si en le faisant on croit que sa capacité/puissance et son autorité sont limitées et offertes par Allah.
Nous considérons les Prophètes et les Imams pures (Alayhim ûs-Salam) comme les plus purs et proches adorateurs d’Allah en raison de leur haut degré de la foi et de l’adoration. Et nous considérons aussi que toute leur valeur spirituelle et capacité surnaturelle, n’est que grâce à l’autorisation d’Allah.
Donc si on leur demande de nous aider par la capacité que leur a été offerte par Allah, cela n’est point {Shirk} et montre notre gratitude et remerciement envers Allah en reconnaissant les biens faits qu’Il a donnés à ses meilleurs adorateurs.
Alors les expressions comme : « Ya Rassoulal-Allah, Ya Ali Madad, Ya Hussein Adriknâ ou Ya Mahdy etc » ne sont pas de {shirk}.
Et ce verset coranique est assez clair pour faire comprendre aux sages qu’Il est très nécessaire d’avoir un moyen pour se rapprocher de Dieu :
ﻳَﺎ ﺃَﻳُّﻬَﺎ ﺍﻟَّﺬِﻳﻦَ ﺁﻣَﻨُﻮﺍ ﺍﺗَّﻘُﻮﺍ ﺍﻟﻠَّﻪَ ﻭَﺍﺑْﺘَﻐُﻮﺍ ﺇِﻟَﻴْﻪِ ﺍﻟْﻮَﺳِﻴﻠَﺔَ ﻭَﺟَﺎﻫِﺪُﻭﺍ ﻓِﻲ ﺳَﺒِﻴﻠِﻪِ ﻟَﻌَﻠَّﻜُﻢْ ﺗُﻔْﻠِﺤُﻮﻥَ
Ô les croyants! Craignez Allah, cherchez le moyen de vous rapprocher de Lui et luttez pour Sa cause. Peut-être serez-vous de ceux qui réussissent!{ Mâidah 35}
Notre meilleur moyen de nous rapprocher d’Allah, est le Prophète et les membres purifiés de sa demeure. Ceux-ci font des invocations auprès d’Allah afin que Ce Dernier nous pardonne nos péchés et nous accorde le succès et le bonheur dans notre vie.
Donc où est le mal lors qu’on dit : « ô Rassûlûllah, ô Ali aidez-moi (soit par intervention directe avec la capacité qu’Allah vous a accordée, bien sûr s’Il vous l’autorise, soit en demandant à Allah d’assurer notre besoin, car Il accepte votre demande mieux que la nôtre).

mardi, 08 novembre 2016 17:33

Deux mondes distincts

Moscou a convoqué une réunion spéciale du Conseil de sécurité, le 28 octobre 2016, pour débattre de la coopération entre l’Onu et les organisations régionales. L’ambassadeur Vladimir Churkin, qui présidait alors le Conseil, avait invité les représentants de la Communauté des États indépendants (le Russe Sergey Ivanov, CÉI), de l’Organisation du traité de sécurité collective (le général russe Nikolai Bordyuzha, OTSC) et de l’Organisation de coopération de Shanghai (le Tadjik Rashid Alimov, OCS).

Les trois secrétaires généraux ont exposé le travail de leurs organisations : la coopération entre les États de l’ancienne Union soviétique pour la CÉI, une alliance militaire pour l’OTSC, et une coopération régionale pour stabiliser l’Asie centrale en ce qui concerne l’OCS. Ils ont souligné leur apport auprès de l’Onu en matière de lutte contre les trafics de drogues et contre le terrorisme ; deux sujets qui font l’unanimité de la rhétorique internationale alors que chacun sait que ces fléaux sont créés et contrôlés par les États-Unis.

Si tout avait bien débuté et que les différents ambassadeurs membres du Conseil de sécurité se félicitaient de cet air frais, la réunion a tourné court après les interventions des ambassadeurs d’Ukraine et des États-Unis. Soucieux d’éviter que ces trois organisations ne viennent troubler le monopole de l’Otan et de l’Union européenne, ils ont accusé la Russie de toutes sortes de crimes et dénoncé ces organisations comme autant de couvertures visant à masquer l’expansionnisme russe. L’ambassadrice des États-Unis conclut que, dans ces conditions, il n’était pas possible d’envisager la moindre coopération de l’Onu avec ces organisations, y compris l’OCS, c’est-à-dire également avec la Chine.

On retrouve ici la position tenue par les uns et les autres lors de la Conférence de Genève 2 : si tous sont en théorie unis contre le terrorisme, Washington ne conçoit pas ce problème comme prioritaire, mais fait passer en premier les exigences de son impérialisme. Sauf que cette fois-ci, il n’a pas attaqué la Syrie, mais giflé la Russie et la Chine.

Le monde paye ainsi le flou qui entoure la lutte contre le terrorisme depuis 2001. Rappelons que le terrorisme n’est pas un ennemi, mais une méthode de combat utilisée par des ennemis.

Washington a donc fermé la seule porte de sortie qui lui était ouverte. L’administration Obama refuse de reconnaître le développement de la Russie, première puissance militaire conventionnelle, et de la Chine, première puissance économique. Elle refuse de lâcher l’organisation unipolaire du monde qui s’est instituée à partir de « Tempête de désert », en 1991, et poursuit ses guerres au Levant et en Ukraine dans l’unique but de couper les deux voies d’approvisionnement terrestre de la Chine vers l’Europe occidentale.

Sachant que sa position est intenable à court terme et qu’il ne souhaite pas la Guerre mondiale, Washington se prépare à séparer le monde en deux. Il ne devrait pas s’agir d’un retour à la Guerre froide, où le monde était un, bien qu’administré à deux. Mais d’une structuration nouvelle : d’un côté un monde unipolaire gouverné par les seuls États-Unis, de l’autre des États indépendants et insoumis coopérant entre eux autour de la Russie et de la Chine, et le moins de passerelles possibles entre ces deux mondes. Ce qui implique la fin du libre-échange mondial, de l’organisation mondiale du commerce, de la globalisation économique, et donc un gigantesque retour en arrière.

Si Washington persiste dans cette direction, il devrait se retirer militairement de Syrie et laisser la paix y revenir —sauf à la frontière irakienne où il maintiendra la coupure de la route de la soie—. Du fait des États-Unis cette fois, une barrière infranchissable devrait s’abattre sur le monde et diviser l’Humanité à la manière dont le Mur de Berlin avait coupé la population de l’ancienne capitale allemande et divisé ses familles durant près d’un demi-siècle. Il deviendra ainsi très difficile pour les Syriens ayant fui les jihadistes à l’étranger de revenir chez eux et de retrouver leur famille. Il sera impossible pour un occidental de passer ses vacances à Moscou ou d’acheter des ordinateurs chinois.

mardi, 08 novembre 2016 17:31

Algérie: découverte d’armes dans le sud

Le ministère algérien de la Défense a fait part, mardi 8 novembre, de la découverte d’une grande quantité d’armes et de munitions près de la frontière du sud.

« En pleine mission de patrouille sur la bande frontalière du sud d’Algérie, les militaires de l’armée ont découvert et saisi un lot de mitrailleuses, de balles et d’équipements. Les militaires poursuivent leurs opérations d’identification sur place », a annoncé, dans un communiqué, le ministère algérien de la Défense.

Il s’agit du deuxième cas de découverte d’armements depuis quelques jours par les militaires algériens. Dimanche aussi, une grande quantité d’armes et de munitions avait été découverte dans la province d’Adrar.

Les forces antiterroristes algériennes ont découvert beaucoup d’armes et d’équipements militaires à travers le pays, tout au long du mois de septembre et tué 18 terroristes. D'autre part, les terroristes ont récemment tué par balle un policier dans la ville de Constantine, située à 400 kilomètres d'Alger.

La présence du groupe terroriste Daech dans le pays pétrolifère de Libye a créé de l'insécurité pour ses voisins dont l’Algérie.

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a affirmé que les conseils locaux de l’Est d’Alep travaillent en faveur des intérêts des terroristes.

Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a précisé mardi 8 novembre que les conseils locaux à l’Est d’Alep soutenaient et opéraient en faveur des terroristes et qu’ils étaient impliqués dans l’effusion de sang dans cette ville.

Cette prise de position de ces conseils est à l’origine de la suspensionfin août 2016 de l’acheminement des aides humanitaires de l’ONU vers l’Est d’Alep via la route du Castello, a indiqué Mme Zakharova avant de poursuivre: « Ces conseils sont responsables de la perturbation survenue dans les opérations d’évacuation des civils qui doivent être soignées à l’Est de Mossoul. »

Mme Zakharova a affirmé qu’il était bien clair que toutes ces "autorités autoproclamées" ne représentaient pas les habitants de l’Est d’Alep pris en otage par les terroristes.

"Le pire est que pour exécuter les ordres de leurs soutiens financiers qui parlent sournoisement au nom des civils, ces autorités courtisent les terroristes. Ils constituent en effet la partie extrémiste des unités armées qui engendre l'effusion de sang et attise la souffrance de l’humanité", a-t-elle conclu.

Ossama al-Qawasmi, porte-parole de l'Autorité autonome palestinienne, a déclaré que les responsables israéliens tenaient des propos menaçants en ce qui concerne Mahmoud Abbas qu'il était probable que dans l'état actuel des choses, ils tentent de l'assassiner.

D'après le site web Al-Wafd, citant Ossama al-Qawasmi, l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) suit de près les démarches d'Israël pour éviter la répétition du scénario de Yasser Arafat dont la mort, en 2004, serait due à un empoisonnement au polonium 210.

Un autre membre de l'Organisation, Ahmed Majdalani, a également déclaré qu'Israël tenterait d'assassiner le président de l'Autorité palestinienne de la façon dont il s'est débarrassé de Yasser Arafat. Il a ensuite qualifié Avigdor Lieberman de "ministre de la mort".

Yasser Arafat est décédé le 11 novembre 2004 dans un hôpital à Paris. Selon l’institut de radiophysique de Lausanne, des traces élevées de polonium (20 fois plus que la normale) ont été découvertes sur les effets personnels d’Arafat. Cependant, des expertises complémentaires mandatées par la justice française chargée de l'enquête sur la mort du leader palestinien ont à nouveau écarté la thèse de l'empoisonnement.