تقي زاده

تقي زاده

Un rebelle syrienblessé transporté en Israël dans une ambulance militaire israélienne a été tué lundi par des druzes qui ont attaqué à coups de pierres le véhicule sur le plateau du Golan, a indiqué la police.
"Une foule a attaqué à coups de pierres une ambulance militaire près de Majdal Shams dans le Golan et blessé ses occupants (...). L'un des blessés syriens qui s'y trouvait est mort des suites de l'attaque", a expliqué un porte-parole de la police israélienne dans un communiqué.

L'autre blessé syrien transporté par l'armée israélienne est blessé grièvement, selon ce communiqué.

Les deux soldats qui conduisaient l'ambulance ont été blessés légèrement dans cette attaque.

selon les médias israéliens, près de 200 habitants du village druze de Majdal Shams ont participé à cette attaque.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié l'incident de "très grave" et promis de "faire justice avec les responsables de cette attaque", selon un communiqué de son bureau.

"Nous ne laisserons personne prendre la loi entre ses mains et empêcher l'armée de réaliser ses missions", ajoute le communiqué.

M. Netanyahu a par ailleurs appelé les responsables de la communauté druze à "calmer les esprits".

Dans la matinée, un véhicule militaire avait déjà été bloqué dans le nord d’Israël par des druzes. L'ambulance transportait des rebelles syriens blessés.

Plusieurs centaines de rebelles syriens blessés dans les combats en Syrie, où une guerre civile fait rage depuis quatre ans, ont été soignés en Israël.

Les druzes de Syrie, une minorité musulmane hétérodoxe qui représente environ 3% de la population, ont récemment exprimé leurs craintes face aux avancées des rebelles.

Le front de l'arrogance et ses alliés font tout pour créer de grands fossés au sein de l'umma islamique. Les oulémas musulmans ont de grande responsabilité pour contrer cette néfaste coopération, a déclaré l'ayatollah Taskhiri conseiller du Guide suprême de la révolution islamique.
La tumeur cancérogène qui s'appelle le régime sioniste constitue un important problème parmi ceux auxquels le monde musulman est affronté. Le régime hébreu fait tous ses efforts pour créer des discordes au sein du monde musulman, a-t-il dit.

Le monde musulman et les musulmans ont de nombreux points communs et principaux. Ces points communs entraîne la puissance du monde musulmans, mais il y a des gens soutenus par les ennemis atteindre à cette unité, a-t-il marqué.

Indiquant le phénomène du takfirisme, l'ex-secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique a souligné: ce phénomène est le résultat de l'extrémisme et le front arrogant essaie de détruire l'unité de l'umma islamique en créant et soutenant les groupes takfiris dont Daech.

Aujourd'hui, les musulmans se trouvent dans une situation délicate. Le front de l'arrogance mondiale et ses alliés cherchent à créer des discordes au sein de la communauté islamique, a-t-il insisté.

L'unité de l'umma islamique et la lutte de tous les sectes islamique contre les groupes takfiris sont des stratégies qui peuvent garantir la grandeur islamique, a-t-il ajouté.

Sentence sur la prière :
Si un malade perd ses sens sans être capable de distinguer les heures de prières, ses prières manquées n’ont pas besoin d’être remboursé. Mais, si elle savait et s’est montrée négligente, elle doit rembourser les prières manquées et si elle est décédée, il faut accomplir ces prières pour elle.[1] De même si la personne n’a pas ses facultés mentales complètes et qui est victime d’oubli par moment, par précaution obligatoire veut que son fils ainé rembourse ses prières après sa mort.[2]
Sentence au sujet du jeûne :
Celui qui ne peut pas observer le jeûne à cause de la vieillesse, ou celui pour qui le jeûne est difficile, alors l’observation du jeûne ne s’impose pas. Mais, chaque jour il doit verser un "Mod" c’est-à-dire l’équivalent de dix rations de blé ou d’orge à un pauvre.[3]
De toutes les manières il est permis à n’importe qui de rembourser les prières et le jeûne des morts et il peut définir une rémunération pour cela. Et pour connaitre le taux on peut appeler les bureaux des guides religieux.
Et sachez que faire l’aumône et la charité à la mémoire des morts est recommandé, mais les péchés qu’ils ont commis tels que, le vol qui ne concernait pas l’argent ou les droits des gens, l’expiation qui s’impose porte essentiellement sur la demande du pardon.

[1] Mashma’oul-Massaa’il, Said Muhammad Ridha Musavi Gouil-Goeporgorni, Recherche de Ali Karimi Djarrami et Ali Saabitti Hamdaani, Ali Mirri Hamdaani, vol.1, P.223, question 4, Durul-Quran Al-Karim, Qom, 2ième impression 1409 A.H., Jami’ul-Massaael, Muhammad Faazel, vol.1, p.107, question 369, les éditions Amir kalam, Qom, 11ième impression.
[2] Istiftaahat Al-Jadida, Naaser Makarem Chirazi, vol.2, p.121 et 122, question 312, les éditions Madarasa Imam Ali ibn Abi Talib (a.s.), Qom, 2ième impression 1427.
[3] Said Rouhullah Mussavi Khomeini, Toozi’ul Massaael, recherché Muslim Kulipour Qilani, P.351, question 1635, 1ière impression 1426

mardi, 23 juin 2015 10:43

Le vrai sens du jeûne

Imam Al-Sãdiq dit: «Jeûner, ce n’est pas seulement s’abstenir de manger et de boire. Si vous faites le jeûne, que votre ouïe, votre vue, votre langue, votre ventre, votre sexe fassent également l’abstinence. De même, retenez votre main et votre sexe. Essayez de garder le silence le plus possible, sauf s’il s’agit de dire du bien. Traitez avec bonté votre serviteur». (1)

Ce même Imam Al-Sãdiq dit ailleurs à propos du jeûne: «Le Jeûne ne consiste pas seulement à s’abstenir de manger et de boire. Pour qu’il soit correctement accompli, le jeûne exige une condition à remplir, à savoir le mutisme intérieur. N’avez-vous pas entendu parler de ce dire de Marie, fille de `Imrãn: ``J’ai voué un Jeûne au Miséricordieux: Je ne parlerai aujourd’hui à personne``. Ici, jeûne signifie silence. Donc si vous préservez, du même coup, votre langue du mensonge, détournez votre regard (des choses interdites), ne vous querellez-pas, ne vous enviez pas réciproquement, ne médisez pas les uns des autres, ne discutez pas âprement, ne mentez pas, ne vous accouplez pas, ne vous contrariez pas réciproquement, ne vous mettez pas en colère les uns contre les autres; ne vous insultez ni ne vous injuriez réciproquement, ne vous calomniez pas les uns les autres, ne vous disputez pas les uns avec les autres, ne soyez pas injustes, n’échangez pas de sottises entre vous, ne vous réprimandez pas les uns les autres; ne manquez pas d’invoquer Dieu, ni de prier; gardez le silence et le mutisme, soyez cléments, patients et véridiques; évitez les méchants, abstenez-vous de dire des choses fausses, de recourir au mensonge, à la séduction, à la rivalité, à la mauvaise foi, à la médisance, à la provocation de l’inimitié. Soyez prêts à l’avènement du Jour du Jugement, et dans l’attente des jours qui vous restent et de ce que Dieu vous a promis, et préparés à Le rencontrer avec quiétude, avec respect, avec recueillement, avec soumission, avec l’humilité d’un serviteur devant son maître, avec sollicitude, avec crainte, avec désir, avec appréhension, et ce, après que vos cœurs auront été purifiés des défauts, votre intérieur débarrassé de toute malveillance et votre corps des souillures, et que vous aurez renié devant Dieu toute servitude envers tout autre que Lui, obéi à Dieu par votre abstinence - visible et invisible - de tous les côtés et de tout ce qu’IL vous a interdit, et éprouvé envers Dieu secrètement et manifestement la vraie crainte révérencielle, offert votre âme à Dieu pendant les jours de votre jeûne, tout en Lui ouvrant votre coeur et en le consacrant à ce qu’lL vous a commandé et à ce à quoi IL vous a appelés. Si vous avez fait tout ce qui précède vous aurez été considérés comme ayant accompli le vrai jeûne qu’lL a prescrit, et exécuté ce qu’lL vous a ordonné... ».
Et l’Imam Al-Sãdiq de conclure: «Le jeûne, n’est pas seulement s’abstenir du manger et du boire, ce qui n’est prescrit par Dieu que pour constituer un voile empêchant les autres turpitudes commises sous forme d’actes ou de paroles».(2)

Notes:

1. "Kitãb Al-Akhlãq", Abdullãh Chubbar, p 70.

2. "Al-Hor Al-`Amilî, "AI-Wassãil", Tome I, p.119.

Source: «Le Jeûne de Ramadhãn: sa signification et ses statuts», Compilation: Abbas Ahmad al-Bostani, La Cité du Savoir, Montréal, 1998.

Le groupe terroriste de Daesh a interdit le tarawih, récitation du Saint Coran pendant les nuits de Ramadan.

C’est l’annonce faite par un communiqué officiel du groupe terroriste dans la ville de Mossoul qu’il occupe encore.
Cela a été justifié selon ces pseudo-savants salafistes et wahhabites comme « une innovation (bid’a) et un égarement « , suivant selon leur dire les religieux saoudiens, puisqu’en effet le berceau de cette hérésie salafiste se trouve dans ce pays.
Rappelons que le salafisme wahhabisme est une secte maudite d’origine sioniste et dont les savants sont de source sûre juive.
Toute personne surprise à effectuer cette récitation sera fouettée.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a affirmé lundi qu'il fallait éviter les demandes excessives pour permettre un accord sur le nucléaire iranien, depuis Luxembourg où il doit rencontrer des chefs de la diplomatie européenne.
Toutes les parties doivent éviter d'avoir des demandes excessives hors des cadres internationaux pour permettre d'aboutir à un accord, a déclaré M. Zarif, selon le site de la télévision d'Etat iranienne.

Des différences existent toujours, certaines sont techniques et d'autres politiques, néanmoins nous essayons de finir le travail à la première occasion, a-t-il ajouté.

M. Zarif doit rencontrer ses homologues britannique Philip Hammond, allemand Frank-Walter Steinmeier et français Laurent Fabius, ainsi que la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini.

Engagés depuis plus de 20 mois dans d'intenses tractations, l'Iran et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) espèrent aboutir d'ici au 30 juin à un accord global garantissant le caractère pacifique du programme nucléaire de Téhéran, en échange d'une levée des sanctions internationales.

Un peu plus tôt, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi avait évoqué des divergences sur des questions clés entre l'Iran et les pays du groupe 5+1, notant un manque de progrès dans les discussions.

J'espère que lors de la rencontre entre les ministres, il y aura plus de discussions à propos de plusieurs questions clés sur lesquelles il y a des divergences, a déclaré Abbas Araghchi, haut responsable de la délégation iranienne qui doit participer à la rencontre de lundi.

MM. Zarif et Araghchi n'ont pas précisé quelles étaient ces questions clés, alors que le rythme de la levée des sanctions internationales, l'accès aux sites militaires et le processus de vérification du respect de l'accord par les deux parties sont des points délicats des négociations.

Les divergences à propos du texte de l'accord final ont été un peu réduites mais il y a eu moins de progrès que ce qu'on espérait, a ajouté à la télévision d'Etat M. Araghchi.

Il a précisé que si nécessaire, les négociations dureront quelques jours supplémentaires au-delà de la date butoir du 30 juin pour aplanir les différences.

Ce qui est important, c'est d'avoir un bon accord (...) qui reconnaît les droits de la nation iranienne, que le programme nucléaire continue à progresser et que les sanctions soient levées, a ajouté M. Araghchi.

Il est possible que le secrétaire d'Etat américain John Kerry se rende en fin de semaine à Vienne pour des discussions bilatérales avec son homologue iranien, a ajouté M. Araghchi.

A son arrivée lundi à Luxembourg, Philip Hammond a appelé l'Iran à faire preuve de flexibilité pour parvenir à un accord.

La veille, M. Fabius avait affirmé qu'il fallait être extrêmement ferme avec Téhéran.

Les combattants du groupe Daech ont miné la ville antique de Palmyre, dans le désert du centre de la Syrie, faisant craindre un désastre pour ce site inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité.
Déjà tristement célèbres pour leurs destructions irrémédiables de trésors archéologiques en Irak, les rebelles risquent d'effacer de la carte le joyau du désert syrien, et avec lui un pan de l'histoire du pays. Palmyre fut la capitale de la célèbre reine Zenobie qui affronta les légions romaines au IIIe siècle de notre ère.

Le site est désormais truffé de mines et d'explosifs, a indiqué une ONG basée à Londres, un mois jour pour jour la conquête de Palmyre par les rebelles extrémistes.

Mais il n'était pas clair dans l'immédiat si l'intention des rebelles était de menacer de s'en prendre à la ville antique pour empêcher les forces syriennes d'avancer, ou bien de faire sauter quoiqu'il arrive le site réputé pour ses colonnades torsadées romaines, ses temples et ses tours funéraires, a précisé l'ONG.

lundi, 22 juin 2015 21:26

Le sens apparent du jeûne

Le jeûne de Ramadhãn consiste manifestement à s’abstenir de manger, de boire, de fumer, de faire l’acte sexuel etc... depuis l’aube jusqu’au crépuscule chaque jour du mois de Ramadhãn.
Il suffirait donc d’observer ces abstinences après avoir formé intimement l’intention de jeûner par obéissance à Dieu, pour que le jeûne soit présumé correctement accompli.

Mais en fait, le jeûne tel que Dieu le veut effectivement exige beaucoup plus d’efforts de la part du Jeûneur et vise à transformer complètement l’homme, à le rendre intègre, et à le libérer de l’emprise de ses habitudes les plus tenaces et les plus asservissantes.
«Cinq choses invalident le jeune: le mensonge, la médisance, la délation calomnieuse, le faux serment, le regard lascif" 1

On rapporte qu’un jour le Prophète, ayant entendu une femme qui faisait le jeûne injurier sa servante, a fait apporter de la nourriture à l’intention de cette femme et lui dit: "Mange!". "Mais je fais le jeûne!", protesta celle-ci. "Comment pourrais-tu prétendre encore accomplir le jeûne alors que tu viens d’injurier ta servante?!», lui fit observer le Saint Prophète.

Note:

1. "Kitãb Al-Akhlãq", Abdullãh Chubbar, p 65.

Source: «Le Jeûne de Ramadhãn: sa signification et ses statuts», Compilation: Abbas Ahmad al-Bostani, La Cité du Savoir, Montréal, 1998.

Lorsque les partisans d’Abou Bakr invitaient les gens à lui prêter allégeance, ils vinrent chez Bilãl pour obtenir son allégeance. Avec sang froid, et sans se laisser emporter par les émotions passagères, et en toute connaissance de cause, Bilãl refusa de prêter allégeance à Abou Bakr. Omar, qui était témoin de cet événement, haussa le ton contre Bilãl et lui dit: «Est-ce que c’est la récompense d’Abou Bakr qui t’a affranchi».
Bilãl lui répondit: « Si Abou Bakr m’a libéré pour Dieu, qu’il me laisse tranquille, pour Dieu. Et si m’a libéré pour autre cause, je lui suis soumis et il pourra faire ce qu’il veut. Mais, je ne prête pas allégeance avec celui que le prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), n’a pas désigné son successeur.

Il nous incombe de suivre celui que le noble Prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) a désigné comme son successeur. Omar, lorsqu’il entendit cette réponse ferme et explicite de la part de Bilãl, l’injuria: «Inhumain, tu ne dois rester plus à Médine». C’était le début de l’exil de Bilãl de Médine vers Damas. La défense de l’Imamat et du Willayat lui valurent cet exil.
Aux derniers moments de la présence, à Médine, Bilãl, qui était à côté de Sa Sainteté fille du prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) et de Sa Sainteté ’Ali (le salut soit sur lui), murmura ce poème: «Si Dieu n’existait, les hyènes m’en déchiraient les veines. Dieu m’a placé dans un bon endroit. Il m’a honoré. Le bien ne se trouve que chez Lui. Vous ne me verrez pas suivre la mauvaise innovation (Bida’at). Je ne suis pas mauvais innovateurs».
Bilãl se rendit à Damas. Il y vécut pendent un certain temps. Atteint de la peste, Il s’éteignit dans les années 18 - 21 de l’hégire lunaire sous le califat d’Omar. Sa tome se trouve dans le cimetière de Bãbol Saqir à Damas, elle abrite, chaque jour, des musulmans qui y viennent pour la visiter.

Bilãl ne ménagea aucun effort pour soutenir Ali (le salut soit sur lui) et Fatima Al-Zahrã (Bénie soit-elle) et leurs idéaux. Il affichait un grand respect à Sa Sainteté Imam’Ali (le salut soit sur lui) lorsque ce dernier se présentait parmi les Musulmans.
D’aucuns lui reprochèrent d’afficher un respect beaucoup plus important à ’Ali (le salut soit sur lui) qu’à Abou Bakr qui l’avait affranchi. Bilãl leur répondit: « Le droit d’Ali (le salut soit sur lui) sur moi est supérieur à celui d’Abou Bakr.

Car, Abou Bakr m’a libéré de la contrainte de l’esclavagisme, de la torture et d’harcèlement dans le monde d’ici bas, quoiqu’avec la patience, l’endurance et le martyr, j’irai dans le paradis, mais, ’Ali (le salut soit sur lui), m’a sauvé du châtiment et du feu éternel de l’enfer. Car en raison de mon amitié envers lui et le Wilãyat et du fait que je le considère supérieur par rapport aux autres, je mérite le paradis, les bienfaits durables et permanents! C’est Dieu qui m’a sauvé et non pas Abou Bakr. Si Dieu n’existait, les hyènes m’en déchiraient les veines.
Dieu m’a placé dans un bon endroit. Il m’a honoré. Le bien ne se trouve que chez Lui. Vous ne me verrez pas suivre la mauvaise innovation (Bida’at). Je ne suis pas mauvais innovateurs comme ceux-ci. Bilãl se rendit à Damas. Il y vécut pendent un certain temps. Atteint de la peste, Il s’éteignit dans les années 18 - 21 de l’hégire lunaire sous le califat d’Omar.