تقي زاده

تقي زاده

Les discussions entre Paris et Téhéran sur une ligne de crédit toujours en cours. Une ligne de crédit que la France dit vouloir lancer pour que l’Iran puisse exercer son droit inaliénable que les sanctions américaines lui renient, et ce au mépris d’un accord que la France a elle-même signé. Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’inquiétait de la fragilité des négociations en cours avec l’Iran, négociations qui ont duré 10 heures lundi à Paris entre le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araqchi et ses interlocuteurs français et qui ont abouti à ce que le ministre français de l’Économie soit dépêché ce mardi à Washington pour demander le feu vert des États-Unis. Paris veut que l’Iran renonce à ses missiles et qu’il abandonne ses alliés régionaux en échange de 15 milliards de dollars à verser en trois versements, et ce, en échange de son pétrole. Inéquitable équation ! Le Drian a raison : les négociations sont ardues et surtout fragiles...

Les discussions avec l’Iran sur une ligne de crédit contre l’engagement de Téhéran à respecter l’accord de 2015 et à ouvrir des négociations plus larges sont toujours en cours et dépendront d’exemptions américaines permettant l’achat de pétrole iranien, a déclaré mardi Jean-Yves Le Drian, cité par Reuters.

L’idée c’est d’échanger « une ligne de crédit garantie par du pétrole contre 1) des discussions sur une ligne de crédit toujours en cours, le retour au PGAC [nom de l’accord de 2015, NDLR] par l’Iran, 2) la sécurité dans le golfe [Persique, NDLR] et 3) l’ouverture de négociations sur la sécurité régionale et l’après-2025 », a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, lors d’une rencontre avec l’association de la presse diplomatique, à Paris.

« Tout cela suppose que le président [américain Donald, NDLR] Trump pose des waivers », des exemptions permettant l’achat de pétrole iranien en dépit du rétablissement des sanctions américaines contre Téhéran, a-t-il ajouté. Avec les Iraniens, « c’est fragile, tous les sujets ne sont pas réglés [...] mais on se parle avec une relative confiance ».

 

Le Hezbollah a réagi aux navires d’assaut israéliens qui se déplaçaient dans les eaux territoriales du Liban.

Le quotidien koweïtien Al-Rai a rapporté que les radars du Hezbollah avaient détecté, le mardi 3 septembre, un navire d’assaut israélien qui était entré dans les eaux territoriales du Liban. « Le Hezbollah a tiré un missile antinavire en direction du bâtiment israélien », indique Al-Rai.

Israël n’a pas encore réagi à la nouvelle.

Selon le quotidien koweïtien, « le navire israélien avait à son bord des militaires ».

Dimanche, l’armée libanaise a annoncé que les navires de guerre israéliens étaient entrés dans les eaux territoriales du Liban en violation à son espace maritime.

Par ailleurs, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annulé sa visite en Inde.

Selon le quotidien israélien The Jerusalem Post, Benjamin Netanyahu a annulé sa prochaine visite en Inde, à l’issue d’un entretien avec son homologue indien Narendra Modi. Netanyahu et Modi ont convenu que le déplacement sera effectué après les élections israéliennes.

C’est la deuxième fois depuis le début de l’année en cours que Netanyahu annule son déplacement en Inde, qui pourrait s’inscrire dans le cadre de ses efforts visant à mettre en valeur son crédit diplomatique avant les élections du 17 septembre.

Le gouvernement turc a appelé l’armée syrienne à mettre fin à ses attaques contre les positions de terroristes à Idlib.

Alors que Damas et Moscou demandent à Ankara de respecter ses engagements pris dans le cadre des accords de cessez-le-feu sur Idlib, le porte-parole de la présidence turque Ibrahim Kalin a appelé, le lundi 2 septembre, l’Iran et la Russie à garantir le respect entier des accords d’Idlib par la Syrie.

Devant des journalistes réunis à l’issue d’une conférence à Konya, Ibrahim Kalin a déclaré que le gouvernement syrien devrait rapidement cesser les attaques qu’il menait sur Idlib « sous prétexte de la présence de groupes terroristes ».

Le mois dernier, le groupe terroriste Front al-Nosra a annoncé qu’il ne se retirerait pas de ses positions dans le cadre des accords d’Astana et de Sotchi et qu’il ne ferait aucun cas du cessez-le-feu instauré à Idlib. Damas pointe du doigt la Turquie comme étant responsable de cette prise de position du Front al-Nosra qu’elle soutient.

« Le nord-ouest d’Idlib fait partie des zones de désescalade dont la sécurité doit être garantie par la Turquie et la Russie, mais le gouvernement syrien a attaqué cette région en contradiction aux accords de 2018 d’Astana afin de récupérer une plus grande superficie du pays », a souligné le porte-parole de la présidence turque.

Il a ensuite tiré la sonnette d’alarme quant à une possible crise humanitaire en Syrie, ajoutant qu’il fallait trouver une solution politique dans les plus brefs délais.

« La mise en place d’une commission avec pour mission de réécrire la Constitution syrienne, la création d’un gouvernement de transition, l’organisation d’élections libres et transparentes et l’introduction des résultats des négociations d’Astana et de Genève dans les solutions diplomatiques sont les pas à franchir pour régler la crise en Syrie. »

Ibrahim Kalin a réaffirmé que les présidents iranien, russe et turc se réuniraient le 16 septembre à Ankara afin de discuter des récentes évolutions à Idlib et d’une solution à la crise en Syrie.

Les groupes de résistance irakiens ont annoncé qu’ils seraient prêts à combattre aux côtés du Hezbollah, au cas où une guerre éclatait entre Israël et le Hezbollah libanais.

Selon l’agence de presse Fars News, les groupes de résistance irakiens ont salué la récente opération menée le dimanche 1er septembre par le Hezbollah libanais contre le régime israélien.   

Hamed al-Jazaeri, secrétaire général-adjoint du groupe Saraya al-Khorasani, affilié aux Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi), a annoncé que si une guerre éclatait entre le Hezbollah libanais et le régime occupant israélien, les forces des Brigades al-Khorasani combattraient aux côtés du Hezbollah face aux forces israéliennes.

« Le droit à s’auto-défendre est un droit légitime ; nous sommes partisans du Hezbollah », a affirmé Hamed al-Jazaeri, cité par Baghdad Today.

Ce membre des Hachd al-Chaabi a affirmé que le champ de bataille de la Résistance ne connaissait aucune limite.

De même, le porte-parole du mouvement Ansar al-Awfia, Adel al-Kar’awi, a affirmé que pour les groupes de résistance irakiens, peu importe la scène de confrontation avec le régime israélien soit en Irak ou au Liban.

Des sources proches du Hezbollah ont annoncé que la toute récente opération réussie de la Résistance contre le régime israélien mettait en évidence l’échec du renseignement israélien.

Des sources proches du Hezbollah ont confié au quotidien libanais Al-Joumhouria que la Résistance avait réussi à surprendre les forces israéliennes.

« Il n’était pas facile pour le Hezbollah de prendre pour cible, non loin d’une colonie et en plein jour, un véhicule militaire israélien, avec deux missiles Kornet, car les avions de reconnaissance de l’ennemi survolaient constamment la région, d’autant plus que l’armée israélienne s’était déjà préparée pour un acte de représailles du Hezbollah qu’il avait promis. Bien que le lieu et le moment de l’attaque du Hezbollah fussent prévisibles, la Résistance a pourtant réussi à surprendre l’ennemi. Ça, c’est une grande défaite pour le renseignement israélien. Connue pour son caractère offensif et expansionniste, l’armée israélienne est passée à la défensive pendant la dernière semaine et a arrêté tous ses agissements le long de la frontière libanaise de crainte d’une attaque de représailles du Hezbollah. C’est la raison pour laquelle le Hezbollah a ajourné un peu sa riposte pour trouver une cible et un temps convenable », ont expliqué les mêmes sources.

Et d’ajouter : « Le Hezbollah a imposé à l’ennemi un changement de fonds en comble de la donne régionale, changement qu’on pourrait comparer à une “manipulation génétique” qui a non seulement stabilisé les règles de conflit mais a renforcé les capacités de dissuasion de la Résistance. Il s’agit de la première fois depuis la guerre de l’été 2006 et la libération du Liban en 2000 que la Résistance a mené une opération militaire contre une cible israélienne depuis le sol libanais. À noter que les précédentes attaques de représailles du Hezbollah ont été lancées depuis les fermes de Chebaa occupées, tout comme les attaques qui ont suivi l’assassinat de Samir Kountar et Jihad Moghniyah en Syrie. »

Le 30 août, le commandant en chef de la défense aérienne de l’armée iranienne déclarait que « par crainte d’être visé par les forces armées iraniennes, l’ennemi a stoppé sa machine de guerre à 200 miles du détroit d’Hormuz ». Le général de brigade Alireza Sabahifard a souligné que le train de défense aérienne est sur un rail qui ne peut plus être arrêté. Quelques jours plus tard, le commandant promettait de belles surprises à "l'ennemi", le moment venu : « Notre système de défense aérienne sait bien rassurer nos amis et effrayer nos ennemis », disait le général. Pour de nombreux observateurs, ces déclarations ne sont pas sans rapport avec les "déboires" que connaissent soudain et de plus en plus fréquemment les bâtiments de guerre US, devant opérer dans les eaux du golfe Persique. 

mercredi, 04 septembre 2019 00:20

Suspension d’une chaîne américaine en Irak

Selon alghadpress, un militaire américain a été tué ce mardi 3 septembre dans le nord de l'Irak où des bases militaires US ont déjà été prises pour cible ces derniers temps.

Selon ce site, le militaire a péri alors qu'il tentait de neutraliser un colis piégé. Ce colis se trouvait dans le village Tal al-Chaer au sud de Mossoul, plus précisément à Qayyarah où les Américains cherchent éperdument à faire expulser les forces armées irakiennes, les Hachd al-Chaabi. 

HAMAS réitère son ferme engagement de continuer à se battre aux côtés du front de la Résistance, dirigé par l'Iran, pour parvenir à une "victoire finale" contre Israël.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : "Nous exprimons notre volonté irréversible de continuer à nous battre aux côtés du front de la Résistance et auprès de tous ceux qui recherchent une véritable justice et la liberté, conduits par l'Iran, pour remporter la victoire finale", a déclaré le chef de la direction politique du Mouvement de résistance. Palestine islamique (HAMAS), Ismail Haniya.

Le chef de HAMAS a également remercié le "soutien total" du leader de la révolution islamique iranienne, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, du mouvement palestinien et de sa cause, a informé dimanche le site Khamenei.ir en citant une lettre du dirigeant Palestinien au leader persan.

Haniya a loué la volonté de la République islamique de "doter le Hamas de tout ce dont il a besoin" pour lutter contre le régime d'occupation israélien. "Cela aura sans aucun doute une influence positive sur les progrès de la résistance contre les positions de l'ennemi sioniste", a-t-il déclaré.

Le dirigeant de HAMAS a souhaité une victoire rapide et définitive pour le peuple palestinien, ainsi que la défaite totale des ennemis de cette nation et la libération des territoires palestiniens, y compris la ville d'Al-Quds (Jérusalem).

Dans la nomination susmentionnée, l'ayatollah Khamenei a déclaré que la cause palestinienne avait considérablement progressé, comme en témoigne l'évolution des "armes" palestiniennes: "Il n'y a pas si longtemps, les Palestiniens se sont battus avec des pierres. Mais aujourd'hui, au lieu de pierres, ils sont équipés de missiles de précision. ”

Le dirigeant persan a également évoqué le prétendu "accord du siècle", proposé par le gouvernement américain de Donald Trump, indiquant que "ce dangereux complot cherche à détruire l'identité palestinienne", tout en soulignant que "nous ne devons pas leur permettre de détruire l'identité palestinienne." par l'argent. "

La prétendue initiative de paix américaine, rejetée par le gouvernement et les groupes palestiniens, nie le droit de retour des réfugiés palestiniens expulsés après la formation illégale du régime israélien, entre autres mesures pro sionistes, et ne prévoit même pas l'existence d'un État palestinien souverain.

mercredi, 04 septembre 2019 00:14

Kaboul: 16 morts dans une attaque talibane

Au moins 16 civils ont péri dans un attentat revendiqué par les talibans qui a secoué Kaboul tard lundi, au moment où Washington s'efforce de mettre un point final à un accord de paix avec le groupe terroriste.
La déflagration, qui a été suivie de tirs d'armes à feu et de l'explosion d'une station service, s'est produite près du vaste complexe de Green Village, qui abrite des agences d'aide et des organisations internationales.

"L'explosion a été causée par un tracteur chargé d'explosifs", a précisé tôt mardi un porte-parole du ministère de l'Intérieur, Nasrat Rahimi, ajoutant que 119 personnes avaient également été blessées.

Les talibans ont revendiqué l'attaque, menée selon leur porte-parole Zabihullah Mujahid par un kamikaze et un commando.

Il s'agit de leur troisième action d'ampleur en autant de jours.

Ils avaient déclenché samedi une offensive pour tenter de s'emparer de la ville stratégique de Kunduz, dans le nord du pays, suivie d'une opération à Pul-e Khumri, la capitale de la province voisine de Baghlan, avant d'en être repoussés.

L'attentat à Kaboul s'est produit au moment même où la télévision afghane diffusait une interview de l'envoyé américain Zalmay Khalilzad, dans laquelle il évoquait l'accord de paix en cours de négociation avec les terroristes de taliban.
mercredi, 04 septembre 2019 00:11

Donald Trump apportera-t-il la paix ?

Après deux ans et demi au pouvoir, le président Donald Trump est sur le point d’imposer ses vues au Pentagone. Celui qui a mis fin au projet de « Sunnistan » de Daesh entend en finir avec la doctrine Rumsfeld/Cebrowski de destruction des structures étatiques du Moyen-Orient élargi. S’il y parvient, la paix reviendra dans la région ainsi que dans le Bassin des Caraïbes. Cependant, les peuples qui auront survécu à l’impérialisme militaire devront encore combattre pour leur souveraineté économique.

Depuis deux ans et demi, les États-Unis mènent parallèlement deux stratégies contradictoires et incompatibles [1]. 
- D’un côté, la destruction des structures étatiques de grandes régions —le Moyen-Orient élargi depuis 2001, puis le Bassin des Caraïbes depuis 2018—, soutenue par le département de la Défense (doctrine Rumsfeld/Cebrowski) [2] ; 
- De l’autre, le contrôle du marché mondial de l’énergie (doctrine Trump/Pompeo), soutenu par la Maison-Blanche, la CIA et le département d’État [3].

Il semble que le président Donald Trump soit sur le point d’imposer sa pensée à son administration, toujours dominée par les fonctionnaires et militaires des ères Bush Jr et Obama, et d’en annoncer les conséquences le 19 septembre, lors de la 73ème Assemblée générale des Nations-Unies : la paix en Afghanistan, en Iraq, en Libye, en Syrie, au Yémen, au Venezuela et au Nicaragua.

Annoncé durant sa campagne électorale en 2016, le passage d’une logique belliqueuse de conquête à une autre, pacifique, d’hégémonie économique n’est toujours pas formellement décidé.

Même une fois acté, un tel revirement ne se fera pas en un jour. Et il s’accompagnera d’un prix à payer.

Concernant le principal conflit actuel, la Syrie, les principes d’un accord ont été négociés entre les États-Unis, l’Iran, la Russie et la Turquie. 
- On ne touchera pas aux frontières du pays et l’on ne créera pas de nouvel État (ni le « Sunnistan » de Daesh [4], ni le « Kurdistan » du PKK). Mais le pays sera neutralisé : les bases militaires légales de la Russie sur la côte méditerranéenne seront équilibrées par des postes états-uniens permanents —pour le moment illégaux— au Nord-Est du pays. 
- Aucun pipe-line ne traversera le pays, qu’il soit qatari ou iranien. La Russie exploitera les hydrocarbures, mais les États-Unis devront lui être associés [5]. 
- La réconciliation syrienne sera autorisée à Genève, lors de l’élaboration d’une nouvelle Constitution par un Comité représentatif des diverses forces au conflit. 
- Les entreprises US devront participer, directement ou indirectement, à la reconstruction de la Syrie.

Le processus préparatoire à cet accord n’en est qu’à ses débuts. Depuis deux mois, l’armée arabe syrienne a été autorisée à reconquérir le gouvernorat d’Idleb occupé par Al-Qaïda [6] et les États-Unis l’ont aidée en y bombardant eux-mêmes le QG de l’organisation terroriste [7]. Puis, les États-Unis ont commencé à démanteler les fortification du pseudo-Kurdistan (le « Rojava ») [8] tout en développant celles de leurs bases militaires illégales, notamment à Hassaké. Pour le moment, le volet économique du plan n’a pas commencé. Les États-Unis assiègent la Syrie depuis l’automne 2017 et ont sanctionné les entreprises étrangères —à l’exception des émiraties— qui ont osé participer à la 61éme Foire internationale de Damas (28 août-6 septembre 2019) [9]. La reconstruction du pays reste impossible.

Simultanément, dans le Bassin des Caraïbes, des négociations ont discrètement débuté en juin 2019 entre les États-Unis et le Venezuela [10]. Alors que Washington répète encore que la réélection de Nicolás Maduro en mai 2018 est nulle et non avenue, il n’est plus question entre les diplomates de dénigrer le chavisme ni de « juger le dictateur », mais d’offrir une porte de sortie au « président constitutionnel » [11]. Les États-Unis sont prêts à abandonner leur projet de destruction des structures étatiques s’ils sont associés à l’exploitation et au commerce du pétrole.

Il sera facile pour de pseudos intellectuels d’expliquer que les États-Unis ont mené toutes ces déstabilisations et guerres uniquement pour le pétrole. Mais cette théorie ne rend pas compte de ce qui s’est passé durant dix-huit ans. Le Pentagone s’était donné pour mission de détruire les structures étatiques de ces régions. Il y est parvenu en Afghanistan, en Libye et au Yémen, partiellement en Iraq, et pas du tout en Syrie. Ce n’est qu’aujourd’hui que la question du pétrole revient en tête des priorités.

La stratégie Trump/Pompeo est une nouvelle calamité pour les régions pétrolières, mais elle est infiniment moins dommageable que celle de Rumsfeld/Cebrowski qui a dévasté le Moyen-Orient élargi depuis deux décennies avec ses dizaines de milliers de tortures et ses centaines de milliers de meurtres.

[1] « La nouvelle Grande stratégie des États-Unis », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 26 mars 2019.

[2The Pentagon’s New Map, Thomas P. M. Barnett, Putnam Publishing Group, 2004. « Le projet militaire des États-Unis pour le monde », par Thierry Meyssan, Haïti Liberté (Haïti) , Réseau Voltaire, 22 août 2017.

[3] “Mike Pompeo Address at CERAWeek”, by Mike Pompeo, Voltaire Network, 12 March 2019. « Géopolitique du pétrole à l’ère Trump », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 9 avril 2019.

[4] “Imagining a Remapped Middle East”, Robin Wright, The New York Times Sunday Review, September 28, 2013. « La Coalition divisée sur ses objectifs », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 10 novembre 2014.

[5] « Les États-Unis et Israël vont piller le pétrole de la Syrie occupée », Réseau Voltaire, 16 juillet 2019.

[6] « Libération partielle du gouvernorat d’Idleb », Réseau Voltaire, 21 août 2019.

[7] « Les États-Unis bombardent Al-Qaïda à Idleb », Réseau Voltaire, 1er septembre 2019.

[8] « Des Kurdes détruisent leurs fortications au "Rojava" », Réseau Voltaire, 25 août 2019.

[9] « Paramètres et principes de l’assistance des Nations Unies en Syrie », par Jeffrey D. Feltman, octobre 2017. « La Russie dénonce la dyarchie à l’Onu et aux États-Unis », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), 28 août 2018. « Commentaire russe concernant les tentatives US de faire échouer le déroulement de la Foire internationale de Damas », Réseau Voltaire, 27 août 2019.

[10] « Contacts secrets USA-Venezuela », Réseau Voltaire, 21 août 2019.

[11] “U.S. Offers Amnesty to Venezuelan Leader, if He Leaves Power”, Lara Jakes & Anatoly Kurmanaev, The New York Times, August 28, 2019.