
تقي زاده
Poutine : la concentration des terroristes à Idlib est préoccupante
La concentration des terroristes à Idlib et leurs agissements dans cette province syrienne, la dernière qui échappe encore au contrôle de Damas, est préoccupante, a estimé le président russe.
Lors d’une réunion avec les membres du Conseil de la Fédération de Russie, le président russe, Vladimir Poutine, s’est dit préoccupé par les agissements déstabilisateurs des groupes terroristes à Idlib, la dernière province syrienne encore occupée par les groupes terroristes, notamment par le Front al-Nosra.
« On a encore procédé à des échanges d’opinions sur la situation à Idlib. On a exprimé notre préoccupation concernant la forte concentration de terroristes dans cette région, ainsi que leur activité déstabilisatrice », a fait savoir le porte-parole du chef de l’État russe, Dmitri Peskov, cité par Sputnik.
Les vaines menaces du ministre israélien du Renseignement à l’encontre de l’Iran
Le ministre israélien du Renseignement a réagi à la déclaration du directeur de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) sur la reprise de l’enrichissement de l’uranium par Téhéran.
En réponse à la déclaration d’Ali-Akbar Salehi, directeur de l’OEAI, selon laquelle le programme nucléaire iranien s’accélérerait en cas d’annulation de PGAC, Yisrael Katz, le ministre israélien du Renseignement a éructé : « Si l’Iran choisit de poursuivre son programme nucléaire, il fera face à une réponse militaire. »

Tout en espérant que l’accord atomique entre Téhéran et les puissances mondiales survivrait, M. Salehi avait annoncé, lors d’une interview accordée le mardi 11 septembre à AP, que la République islamique était prête à produire des centrifugeuses plus avancées qui enrichissent l’uranium en faisant tourner rapidement de l’hexafluorure d’uranium.
Le régime israélien salue la fermeture de la représentation palestinienne par l'administration de Trump
En fermant la mission à Washington, qui fait office d'ambassade de l'Autorité palestinienne dans le pays, "les Etats-Unis ont pris la bonne décision", a affirmé M. Netanyahu dans un communiqué.
La décision américaine, annoncée lundi, est justifiée juridiquement par les démarches palestiniennes visant à traîner les dirigeants israéliens devant la CPI.
Syrie: Washington dit vouloir envoyer un message puissant à la Russie
« Des exercices militaires de huit jours ont été organisés dans la base militaire d’al-Tanf par les États-Unis et les groupes armés syriens », a-t-on appris d’un commandant de groupes armés.
En Syrie, un commandant de groupes armés a déclaré, jeudi 13 septembre à Reuters, que les exercices militaires, co-organisés par les groupes armés et les Américains dans le sud de la Syrie, étaient porteurs d’un message transparent destiné à l’Iran et à la Russie. Il a ajouté que les Américains et les groupes armés syriens entendaient rester dans cette région de la Syrie et qu’ils repousseraient toute menace visant leur présence.
Dans ce droit fil, le porte-parole de la coalition internationale, dirigée par les États-Unis, le colonel Sean Ryan a déclaré que ces exercices militaires étaient en effet une démonstration de force et que Washington en avait auparavant prévenu la Russie afin d’empêcher une escalade de tension.
« Ces exercices visent à renforcer les capacités militaires de nos troupes et font preuve de notre disponibilité pour réagir à toute menace à l’encontre de nos forces dans le champ de bataille », a prétendu le colonel Sean Ryan.
Selon les sources proches des groupes armés syriens, « des centaines de fusiliers marins américains sont arrivés au mois de septembre en Syrie pour rejoindre les forces spéciales américaines déployées dans la base d’al-Tanf ».
L’inauguration d’une ambassade de facto, signe de rapprochement entre les deux Corées
Les deux Corées ont ouvert un bureau de liaison conjoint à la frontière des deux pays, nouveau signe de rapprochement entre Séoul et Pyongyang.
Dans la conjoncture où les négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord restent bloquées depuis le sommet entre Donald Trump et Kim Jong-un, tenu le 12 juin à Singapour, les deux Corées ont ouvert, vendredi 14 septembre, un bureau de liaison conjoint, situé sur le côté nord-coréen de la zone démilitarisée qui sépare les deux pays.
Lors de la cérémonie de l’inauguration de ce bureau, à laquelle avaient pris part une soixantaine de responsables, le ministre sud-coréen de l'Unification Cho Myoung-gyon a déclaré que l’inauguration d’un bureau de liaison conjoint signifiait l’ouverture d’un nouveau chapitre dans l’histoire des relations Séoul-Pyongyang. Cho Myoung-gyon a ajouté qu’il s’agissait d’un nouveau symbole de paix.
Le bureau de liaison conjoint, considéré comme une ambassade de facto, permettra à deux pays de communiquer 24 heures sur 24.
Selon le porte-parole du ministère sud-coréen de l'Unification, « des réunions hebdomadaires seront organisées entre représentants du Nord et du Sud ».
Comment Israël compte-t-il se débarrasser de l'Iran?
Tous les milieux d’études stratégiques de l’Occident sont d’avis que « les intérêts stratégiques de l'Iran et d'Israël sont foncièrement et profondément contradictoires ». Mais les intérêts israéliens s'opposent aussi à ceux de la Russie de Poutine.
Pourtant les commentateurs croient que le régime israélien n’est pas en mesure de réaliser, seul, ses menaces contre l’Iran. À cet effet, il cherche à profiter du potentiel de Washington et de ses alliés arabes en allumant le feu des différends qui opposent ces derniers à Téhéran.
Le régime de Tel-Aviv a su bien saisir l’occasion avec l’arrivée au pouvoir de Mohammed ben Salmane (MBS) en Arabie saoudite pour faire aligner Riyad sur ses intérêts. Ce n’est pas sans raison si MBS ne cesse d’afficher publiquement, son souhait de normaliser avec Israël lors de ses interviews et ses rencontres officielles avec les autorités occidentales. Mais cela ne suffit vraisemblablement pas.
Certes, l’Arabie saoudite partage des intérêts avec Israël. Mais les ambitions d'Israël sont bien plus importantes qu'une simple coopération tactique avec les Saoudiens. Le régime occupant cherche à faire entrer l’Iran dans une guerre l'opposant aux alliés arabes de Tel-Aviv.
À cette fin, le régime de Tel-Avive exploite tout son potentiel propagandiste et diplomatique et ne lésine sur rien pour préparer et alimenter des complots visant à déclencher une guerre entre l’Iran et les pays arabes riverains du golfe Persique : semer la discorde entre l’Iran et ces derniers et plus passablement figure en bonne place au menu des méthodes largement utilisées par Israël.
La Syrie transformée en ligne de front Israël/Iran?
Il est vrai que le régime de Tel-Aviv a peur de la présence de l’Iran en Syrie.
La présence iranienne en Syrie fort exagérée par le régime israélien répond à une demande de Damas et elle se maintiendra tant que l'État syrien le souhaitera. Cette présence se limite d'ailleurs à la mission de conseillers militaires dans les rangs de l’armée syrienne.
Il s’agit d’une présence légale destinée à contribuer à la lutte anti-terrorisme, contrairement à la présence américaine qui se fait sans l'autorisation du gouvernement syrien.
Moscou : les USA conduisent le monde au bord du gouffre
Les actions américaines en Syrie conduisent le monde au bord du gouffre, a déclaré ce jeudi 13 septembre Maria Zakharova, lors d’une conférence de presse.
Les propos de la porte-parole de la diplomatie russe interviennent alors que les médias font état du renforcement des positions des terroristes à Idlib, Alep et Hama en Syrie.
« Les événements actuels montrent que la Syrie est impliquée dans les tentatives des Américains de tester un nouveau mécanisme de maintien de leur suprématie mondiale », a déclaré Maria Zakharova, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, citée par RT. « Leur but est de créer une sorte de coalition réunissant les principales puissances occidentales, coalition qui ferait une démonstration de force et ferait pression sur les autres États afin qu’ils acceptent les solutions militaires qu’ils proposent pour régler les conflits internationaux », a-t-elle poursuivi.
« Une telle politique porte atteinte à l’ordre mondial existant, qui jusqu’à présent reposait sur la Charte des Nations unies », a-t-elle noté.
Téhéran invite les autorités françaises à être réalistes
En réaction aux inquiétudes du ministère français des Affaires étrangères concernant les actions de Téhéran contre les terroristes dans le nord de l’Irak, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré : « En ce qui concerne la sécurité nationale et la violation de l’intégrité territoriale, aucun pays ne garde le silence. »
L’Iran a déjà averti le gouvernement irakien et les autorités du Kurdistan irakien contre les agissements des terroristes et leurs actes de sabotage. « Ils ont causé la mort de 11 Iraniens. Le peuple iranien s’attend à ce qu’ils soient jugés et que ce genre d’action prenne fin », a déclaré Bahram Qassemi.
« Nous avons à plusieurs reprises lancé des mises en garde et exposé nos positions envers la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme sous toutes ses formes qui menacent nos frontières. C’est une politique de principe », a-t-il ajouté.
Il a reproché au gouvernement français son silence sur les actes terroristes antérieurs qui ont frappé le territoire irakien contre la sécurité et l’intégrité territoriale de l’Iran, en l’appelant à être réaliste.
Le ministère iranien des Affaires étrangères rappelle que le terrorisme, où qu’il frappe, devrait être condamné sans aucune considération politique.
La position de l’Imam Al-Hussayn auprès du Prophète et sa place dans la Sunna
Fait significatif- lorsqu’on sait que la Sunna ou la Tradition consiste en les paroles, les gestes et le comportement du Prophète- le Messager de Dieu le couvrait publiquement de son amour et de sa tendresse, et le portait ainsi que son frère aîné, Al-Hassan, contre sa poitrine en exprimant à haute voix, devant ses Compagnons, cet amour paternel généreux:
«Ô mon Dieu! Je les aime et j’aime ceux qui les aiment».1
La métaphore suivante en dit long sur l’amour que le Prophèteéprouvait et exprimait pour ses deux petits-fils:
Et les propos suivants ne laissent plus de doute sur la portée et la profondeur de cet amour:
«Al-Hussayn fait partie de moi, et je fais partie d’Al-Hussayn. Dieu aimera celui qui aura aimé Al-Hussayn».3
Propos réitérés et confirmés à maintes autres occasions. Par exemple, lorsqu’un jour, le Prophète qui accomplissait sa prière, que l’Imam Al-Hassan et l’Imam Al-Hussayn se bousculaient sur son dos, en ces moments de recueillement, et que des gens vinrent les éloigner, dit:
Ou encore cette autre métaphore révélatrice et on ne peut plus claire, utilisée par le Prophète pour mettre en évidence la position prédestinée de l’Imam Al-Hassan auprès de Dieu:

Ainsi, le Prophète a donc pris soin de faire connaître aux Musulmans le sort de martyr qui attendait Al-Hussayn, dés son enfance et de désigner sa position privilégiée dans son Umma, pour que celle-ci ne pardonne jamais à quiconque aurait le malheur de devenir parmi les assassins de son bien-aimé.
Les assassins de l’Imam Al-Hussayn ne pourraient jamais prétexter l’oubli ou l’ignorance de ces paroles du Prophète pour qu’on puisse leur pardonner un jour, car le Prophète s’était attaché à les mettre suffisamment en évidence pour que de grandes figures de l’Islam, tels que Abou Bakr Al-Çiddiq et Ibn ’Omar, trouvent toujours l’occasion de les répéter à l’intention des Musulmans. En effet c’est Abou Bakr qui a dit un jour:
Quant à Ibn ’Omar, c’est bien après l’assassina de l’Imam Al-Hussayn qu’il rappela à des Irakiens venus lui poser un question canonique sur les moustiques, ce que le Prophète avait dit à propos de la position privilégiée qu’occupaient auprès de lui ses deux petits-fils:
Conscients de cette place de choix que l’Imam Al-Hussayn occupai dans le coeur et la pensée du Prophète et dans sa famille, les Musulmans ne pourront pas ne pas sentir qu’à travers son assassinat, c’était le sang du Prophète qui fut répandu si injustement et si tragiquement dans la terre de Karbalã. Ils ne cesseront jamais de penser à ce crime impardonnable perpétré contre la famille du Prophète. De là les révolutions successives, dont ce d’Al-Tawwãbine, contre le régime ommayyade, auteur ce crime. Le sang de l’Imam Al-Hussayn sera ainsi le volcan qui ébranlera les piliers de l’Etat Omayyade et détruira son entité.
Notes:
1. M. D. Al-Tabari, p. 124, et Ibn Kathîr: "Istich-hãd Al-Hussayn" (le Martyre d’al-Hssayn), p. 138.
2. Id. Ibid.
3. Al-Tarmathî, cité par Ibn Kathîr dans "Istich-hãd Al-Hussayn", op. cit. p. 139.
4. M. D. Al-Tabari, op. cit. p. 124.
5. Id. Ibid, op. cit. p. 229. Ce Hadith est cité par Abou Hãtam.
6. Id. Ibid, p. 229.
7. Id. Ibid, p. 129.
8. Id. Ibid, p. 124.
Source: Bostani.com
CIA contre Ashourã: plan secret d’éradication du Chiisme
La récente publication d’un ouvrage intitulé A Plan to divide and desolate theology par Michael Brant, un ex-officier de la CIA dirigeant le bureau «Chiite» de l’organisation, dévoile la mise en place d’un programme de déstabilisation et d’éradication du courant chiite.
En collaboration étroite avec les services de renseignement anglais, MI6, qui jouissent d’un connaissance approfondie du terrain et d’une expérience plusieurs fois centenaires au Moyen Orient, il s’agit de pourrir de l’intérieur la confession musulmane chiite. A cette fin, 900 milliards de dollars auraient été budgétisés depuis le début des années 1980.

Selon notre ex-agent secret, la révolution iranienne de 1979 aurait porté un coup sérieux à la gouvernance exercé par les Etats-Unis dans cette région depuis plusieurs décennies. La vague révolutionnaire gagnait de l’ampleur parmi les populations chiites en Irak, au Koweit, au Pakistan, en Arabie saoudite, au Liban et au Bahrayn et cela inquiétait les patrons du renseignement occidental qui y voyaient une menace directe pour les intérêts occidentaux dans la région. Plusieurs réunions au plus haut niveau du renseignement eurent lieu et aboutirent à la conclusion suivante : la révolution iranienne ne résulte pas uniquement des politiques autocratiques du Shah d’Iran ; deux facteurs endogènes contribuèrent au succès du mouvement khomeyniste :
1- L"existence d’une direction politique de la part des chefs religieux chiites, qualifiée de référentiel (marja’iyya)
2- La mémoire vive du martyre de l’Imam Hussayn ibn Ali paix sur lui parmi les croyants chiites depuis 1400 ans
Ces deux facteurs catalysaient l’activisme chiite qui distinguait les chiites de leurs coreligionnaires sunnites. La création d’un service « chiite » spécial dans les bureaux de la CIA fut décidée et un budget de 40 millions de dollars entériné. Le plan comportait quatre étapes principales :
1. Réunir des informations
2. Objectif de court terme : propagande anti-chiite dans le but d’accroître les tensions entre la communauté chiite et la majorité sunnite. La dissension constituait une déviation utile pour détourner l’attention des musulmans des politiques américaines
3. Objectif de long terme : éradication de la doctrine chiite
4. Envoi de « chercheurs » dans les pays concernés pour effectuer des études de terrain. Cela comportait l’attribution de bourses et d’allocations d’études à des étudiants d’origine différente (Dr. Samuel à Karachi, Dr.Nakomé au Baloutchistan et Héra rat …)

Selon Brant, les résultats de ces recherches furent les suivants :
- Le référentiel religieux (marja’iyya) : les autorités religieuses sont la principale source de la puissance du chiisme car ils sont les premiers à en défendre les fondements. Les référents n’ont jamais fait allégeance au pouvoir politique non musulman, ni n’ont tissé d’alliances avec lui. Le séminaire de Nadjaf a par exemple été le porte-drapeau de la lutte contre le régime baathiste en Irak, malgré tous les efforts fournis par Saddam Hussein pour l’éliminer. A Qom, c’est l’impulsion donnée par le séminaire de Qom qui résulta finalement dans le renversement de l’autocratie des Pahlavi. La renaissance chiite lancée par Imam Musa Sadr au Liban contribua activement au retrait des armées occidentales (Etats-Unis, France, entité sioniste) dans les années 1980.
C’est pourquoi la direction du renseignement décida de soutenir, d’organiser et d’armer des personnes haineuses à l’égard des chiites. La mobilisation d’une troupe suffisante d’analphabètes dévoués à la lutte anti-chiite devait aboutir à une confrontation armée avec les chiites (il s’agit des talibans et des wahhabites). Ce plan s’accompagnait d’un programme médiatique destiné à répandre la haine des chiites parmi la population, musulmane et non musulmane.
- Ashoura et deuil: les célébrations d’Ashoura sont une tradition chiite pendant laquelle les fidèles se rassemblent pour se remémorer l’assassinat de Hussayn ibn Ali paix sur lui. Après un discours, un laudateur se livre à la célébration des grandes figures de Karbala que le jeune auditoire présent accompagne en se frappant la poitrine. Ces cérémonies de deuil revêtent une importance significative pour la CIA car c’est d’elles que naît cette ferveur chiite pour l’indépendance, la justice, la lutte contre l’oppresseur et la défense de la vérité. C’est pourquoi la CIA consacre plusieurs dizaines de millions de dollars pris sur le budget spécial pour attirer des personnalités chiites, dont la foi serait faible et l’amour de l’argent fort, et in fine infiltrer les milieux chiites.

Il est demandé aux « agents » d’œuvrer à la réalisation des buts suivants :
o Eduquer des laudateurs (maddah) n’ayant pas une culture religieuse approfondie
o Soutenir financièrement des éléments susceptibles d’attaquer les centres religieux, les savants chiites et les fondements de la doctrine chiite
o Conserver et approfondir les rites de deuil traditionnellement en cours qui sont contraires à la foi chiite
o Propager l’idée parmi la population que ces cérémonies sont l’œuvre de gens incultes et superstitieux qui créent des troubles à l’ordre public
A cette fin, des sommes considérables ont été investies et certains « laudateurs » de talent ont été recrutés. L’objectif de la CIA est de transformer la doctrine chiite dotée de rationalité en une superstition « derviche » vide de l’intérieur, qui susciterait le rejet du commun des gens et se heurterait aux divisions internes parmi les croyants. Une fois la division semée et la haine collective à l’encontre des croyants ayant atteint la maturité auprès du plus grand nombre, les groupes «jihadistes» (wahhabites, talibans…) devaient intervenir pour éliminer physiquement ce courant.

Selon l’espion américain, la CIA soudoie des « écrivains » pour s’attaquer aux référents religieux, distribue clandestinement des matériaux subversifs afin de désorienter la foule des croyants. Le plan initial prévoit que les masses chiites se rebellent d’elles-mêmes contre le référentiel chiite en 2010. Ainsi, le principal obstacle posé à l’exécution des politiques décidées par les dirigeants occidentaux serait anéanti par les chiites eux-mêmes.