تقي زاده

تقي زاده

La rapporteuse spéciale de l’ONU sur les droits de l’homme en Palestine, Francesca Albanese, a récemment réaffirmé que les enquêtes menées sur le terrain corroborent l’idée qu’Israël est responsable d’un génocide dans la bande de Gaza sous blocus.

Lors d’une intervention devant le Parlement espagnol, elle a partagé son engagement de l’année passée, durant laquelle elle a collaboré avec de nombreux experts de l’ONU pour rassembler des preuves et des témoignages sur les atrocités commises en Palestine.

Mme Albanese a souligné l’ampleur des destructions et des souffrances infligées à la population de Gaza, qualifiant ces actes de génocide manifeste.

Dans son discours, Albanese a insisté sur le fait qu’il n’y a pas de doute quant à la nature des actions israéliennes, les qualifiant de « crimes de guerre et de crimes contre l’humanité ».

Les forces armées yéménites affirment avoir lancé une attaque de missiles sur un navire naviguant en mer Rouge en représailles aux guerres brutales du régime israélien dans la bande de Gaza et au Liban.

Le général de brigade Yahya Saree, porte-parole des forces armées du Yémen, a fait ces remarques dans un communiqué, mardi 19 novembre, affirmant que les forces yéménites ont utilisé des missiles balistiques et navals dans l’attaque contre le navire Anadolu-S en mer Rouge, ajoutant que « le coup était précis et direct ».

Le général Saree a ajouté que l’opération avait été menée après que le navire a refusé de répondre aux avertissements émis par les forces navales yéménites.

L’Iran a une forte volonté de renforcer sa coopération avec la Syrie dans divers domaines et continuera à soutenir le peuple et le gouvernement syriens, selon le ministre iranien des Affaires étrangères.

Lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue syrien, Bassam Sabbaq, à l’issue de leur rencontre à Téhéran, Abbas Araqchi a déclaré qu’ils ont eu des discussions « très positives » sur la guerre à Gaza et au Liban et les relations « stratégiques et solides » entre les deux pays.

« Nous saluons la stabilité et l’unité de la Syrie et condamnons toute tentative de déstabilisation du pays », a-t-il déclaré.

Araqchi a condamné les agressions répétées d’Israël contre la Syrie et le Liban, affirmant qu’elles démontrent la nature belliqueuse et expansionniste du régime sioniste.

Il a exhorté la communauté internationale et les Nations unies à condamner ces agressions et à mettre fin à leur inaction.

Concernant les menaces israéliennes et occidentales contre l’Iran, il a affirmé que l’Iran a démontré sa détermination face à toute menace, notamment de la part d’Israël, affirmant que l’Iran se réserve le droit de répondre à de telles agressions dans le cadre de sa politique défensive.

 

Le président russe Vladimir Poutine a signé mardi 19 novembre, au millième jour de son opération spéciale en Ukraine, le décret élargissant les possibilités de recours à l’arme nucléaire, juste après que les États-Unis ont autorisé Kiev à frapper le sol russe avec ses missiles à longue portée.

 « Parmi les conditions justifiant l’utilisation des armes nucléaires figure le lancement de missiles balistiques contre la Russie », selon ce décret.

Dans une déclaration récente, Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, a souligné l’importance d’ajuster les principes fondamentaux du pays en réponse aux défis contemporains.

Cette nécessité d’adaptation est directement liée aux préoccupations exprimées par Vladimir Poutine, qui perçoit des dangers émanant de l’Occident.

La Résistance islamique au Liban, Hezbollah, a annoncé dans un communiqué que dans le cadre de ses opérations baptisées Khaïbar, les combattants de la Résistance islamique du Liban ont frappé avec leurs drones la base de Ramat David, la principale base aérienne du nord des territoires occupés palestiniens, où sont stationnés des escadrons de l’armée de l’air du régime sioniste.

Cette base est située à 50 kilomètres de la frontière entre le Liban et la Palestine occupée, au sud-est de la ville occupée de Haïfa.

Selon le communiqué du Hezbollah, ces drones ont atteint leurs cibles avec précision.

Le Hezbollah a également fait part mardi d’une attaque de missiles contre la base de Glilot, située à 110 kilomètres de la frontière entre le Liban et la Palestine occupée, et qui est le quartier général de l’unité de renseignement militaire 8200 de l’armée israélienne.

Auparavant, le mouvement libanais avait annoncé avoir frappé avec des missiles un lieu de rassemblement des militaires du régime sioniste dans la colonie d’Avivim.

La Résistance islamique au Liban a également annoncé avoir attaqué avec ses missiles la colonie d’al-Manara, affirmant qu’elle avait ciblé le lieu de rassemblement des militaires sionistes dans la colonie de Kfar Blum.

La ville occupée de Safed et la base d’entraînement de la brigade parachutiste de l’armée israélienne dans la colonie de Karmiel ont également été frappées par des tirs de roquettes.

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires politiques affirme que les relations cordiales entre la République islamique d'Iran et l'Arabie saoudite profitent non seulement aux deux pays, mais également à toute la région de l'Asie de l'Ouest.

« L'Iran et l'Arabie saoudite sont deux pays frères et voisins avec de nombreux points communs, et leurs liens étroits servent les intérêts de toute la région », a noté le haut diplomate iranien, Majid Takht-Ravanchi, dans un poste sur X après une rencontre lundi à Riyad avec son homologue saoudien, Waleed al-Khereiji.

 

Le mouvement de résistance libanais Hezbollah continue d’employer sa stratégie défensive « feu pour feu, Beyrouth pour Tel-Aviv » face à l’agression meurtrière du régime israélien contre le Liban.

Lundi, le Hezbollah a ciblé Tel-Aviv avec plusieurs frappes, indiquant qu’il ne céderait pas à la politique d’escalade des attaques meurtrières du régime contre les civils au Liban pour faire pression sur la Résistance afin qu’elle accepte ses conditions, ont rapporté divers médias de la Résistance.

Le mouvement de résistance libanais a soumis la ville à des salves de missiles balistiques, d'au moins huit roquettes et de drones, blessant au moins cinq colons, dont un grièvement.

Des images de l’opération ont montré que les systèmes de missiles israéliens n’ont pas réussi à intercepter l’un des missiles qui a eu un impact direct, semble-t-il, près d’un centre commercial de la ville, selon la chaîne 12 du régime.

Des sources policières israéliennes ont confirmé que l’opération avait abouti à « un coup direct », ajoutant : « On craint l’effondrement de bâtiments. »

L’ambassadeur d’Iran auprès des Nations Unies a déclaré que les actes d’agression du régime israélien dans la bande de Gaza assiégée et ailleurs soulignent la nécessité de l’établissement d’une région exempte de toutes armes de destruction massive (ADM).

S’exprimant lors de la cinquième session de la Conférence sur la création d’une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive au Moyen-Orient, Amir Saïd Iravani a déclaré : « Le paysage mondial actuel, en particulier la guerre génocidaire du régime israélien à Gaza au cours de l’année écoulée et son agression flagrante contre d’autres pays de la région, soulignent le besoin urgent d’établir un Moyen-Orient exempt de toutes armes de destruction massive. La justification de la création d’une zone exempte d’armes de destruction massive dans la région n’a jamais été aussi pertinente et indispensable. »

Le représentant permanent de l’Iran auprès de l’ONU a regretté que, pendant des décennies, le régime israélien se soit opposé illégalement aux appels internationaux répétés en faveur de la création d’une telle région – une proposition formulée pour la première fois par l’Iran en 1974.

 

De hauts responsables militaires iraniens et azerbaïdjanais soulignent la poursuite de la coopération militaire et de défense entre les deux pays voisins.

Le chef d'état-major adjoint des forces armées iraniennes, le général de brigade Mohammad-Reza Ashtiani et le général de division Farid Aliyef ont fait ces remarques lors de la quatrième réunion de la Commission conjointe de coopération militaire et de défense des deux pays, tenue à Téhéran, la capitale iranienne, lundi 18 novembre.

Le général Ashtiani a souligné que l'existence de liens profonds entre les deux nations a contribué à renforcer le niveau de coopération bilatérale entre Téhéran et Bakou.

« La tendance actuelle des relations et interactions [entre l’Azerbaïdjan et l’Iran] sert de base pour leur succès en [permettant] un renforcement favorable de leur coopération dans le cadre des objectifs et des intérêts nationaux des deux pays », a-t-il ajouté.

Le responsable iranien a indiqué que la République d’Azerbaïdjan occupe une « position importante » dans la politique défensive et étrangère de la République islamique d’Iran.

Il a décrit le Caucase du Sud comme une région importante aux yeux de la République islamique en ce qui concerne les questions de sécurité.

« Les développements et les processus qui se déroulent dans cette région ont sans aucun doute une importance primordiale pour la sécurité de la République islamique d’Iran », a déclaré Ashtiani, rappelant que l’Azerbaïdjan jouait un rôle important dans la région.

L'Iran a condamné dans les termes les plus fermes l'assassinat par Israël du responsable des relations avec les médias du Hezbollah, Mohammad Afif, lors d'une frappe menée dimanche contre un bâtiment dans le centre de Beyrouth.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, a rendu hommage au martyr Afif qu'il a qualifié de « voix éloquente » de la nation libanaise; une personnalité notable dans la mission de sensibiliser et d'éclairer l'opinion publique mondiale sur l'injustice et les crimes perpétrés par le régime sioniste usurpateur et d'apartheid.

Le martyr Afif a cherché jusqu'au dernier moment de sa vie à faire entendre la voix des peuples libanais et palestinien opprimés dans le monde entier, a souligné Baghaï.

Le diplomate iranien a également regretté que plus de 200 journalistes et travailleurs des médias aient été tués par les forces israéliennes au cours de l'année écoulée, dans le cadre de l’avancement du projet de génocide et de nettoyage ethnique du régime contre les Palestiniens.

« Ces massacres visent à intimider les médias et à les forcer à cesser de révéler les atrocités commises par le régime israélien », a indiqué M. Baghaï.