تقي زاده

تقي زاده

mardi, 01 février 2022 21:24

Ukraine: la pire vengeance russe

Le ministre russe des Affaires étrangères appelle l’Occident à des garanties contraignantes: à défaut d’une réponse adéquate à ses demandes, la Russie peut organiser des exercices d’envergure juste aux frontières des États-Unis.

Soulignant la nécessité de garanties de sécurité juridiquement contraignantes de la part de l'OTAN et des États-Unis, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov a déclaré que l’Occident devait clarifier la manière dont il remplirait ses obligations, a rapporté Reuters, hier 30 janvier.

« Aujourd'hui, par l'intermédiaire du département d'État, nous adressons une demande officielle à nos partenaires de l'Alliance [OTAN] et de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, leur demandant d'expliquer comment ils souhaitent ne pas remplir leurs engagements sécuritaires au détriment de la sécurité d'autrui », a déclaré Segueï Lavrov, lors d’une interview télévisée.

« S'ils n'ont pas l'intention de le faire, ils doivent expliquer pourquoi. Ce sera une question clé pour déterminer nos futures propositions, dont nous remettons le rapport au président russe Poutine », a-t-il affirmé.

Lavrov a affirmé que la Russie ne voulait pas de promesses de l'Occident, mais plutôt des garanties de sécurité juridiquement contraignantes qui assuraient la sécurité totale de l'ensemble du continent européen, avec la pleine considération des intérêts légitimes de la Russie.

Les propos du plus haut diplomate russe interviennent alors que le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré vendredi que les États-Unis et l'OTAN n'avaient pas répondu aux principales demandes de sécurité de Moscou vis-à-vis de l'Ukraine, mais qu'il était prêt à poursuivre les pourparlers.

Le 17 décembre 2021, le ministère russe des Affaires étrangères a rendu public un projet d'accords de sécurité avec les États-Unis et l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN). Moscou rejette spécifiquement la poursuite de l'expansion de la présence de l'alliance de l'OTAN vers l'est et son entrée dans les pays de l'ex-Union soviétique ainsi que dans le Caucase et en Asie centrale.

Finalement ce n’est que le mercredi 26 janvier que le secrétaire d'État américain Anthony Blinken a déclaré que Washington avait répondu par écrit à la demande russe de sécurité en Europe de l'Est.

A défaut d’une réponse rassurante, la Russie pourra désormais établir des bases militaires au Venezuela et à Cuba et y déployer des missiles de croisière intelligents d'une portée allant jusqu'à 2 500 kilomètres largement suffisants pour atteindre des cibles à travers les États-Unis, dont les principales installations militaires, indique l'expert militaire russe Viktor Barants, cité par le site Web militaire russe Avia.pro.

« La Russie pourra en outre déployer son aviation tactique à longue portée à Cuba ou au Venezuela, y compris des bombardiers à longue portée Tu-22M3, des avions anti-sous-marins, des complexes hypersoniques Kinzhal », a noté l’expert.

 « Ces pays d'Amérique latine pourraient également recevoir des systèmes de défense aérienne russes S-400 et des radars transhorizon pour répondre à toute frappe américaine en un temps plusieurs fois plus court », a-t-il poursuivi.

Pour aller plus loin, explique Viktor Barants, l'aviation et la marine russes ont la possibilité de mener des exercices de grande envergure à Cuba et au large des côtes américaines contrairement à la flotte américaine opérant en mer Noire dont les actions restent très limitées en raison d’être soumises à la convention de Montreux qui ne s’applique pas en Atlantique, où la Russie pourra déployer dans un avenir proche des dizaines de navires de guerre, de sous-marins nucléaires et d'aviation tactique et stratégique.

Lui de poursuivre sur un ton ironique que la réaction à toute contestation de Washington serait de rétorquer que « nous allons juste apporter nos armes là-bas, c'est tout, juste pour apprendre aux Cubains comment utiliser nos armes et protéger la démocratie au Venezuela et à Cuba contre une éventuelle agression américaine.

« Les États-Unis ressentiront un malaise évident lorsqu'ils apprendront qu'un sous-marin nucléaire russe armé de missiles nucléaires se trouve à 150 kilomètres de leurs frontières, ou lorsque des navires de guerre russes lanceront de manière démonstrative une volée de missiles de croisière Kalibr. La simple apparition de bombardiers stratégiques russes en mer des Caraïbes va semer l’horreur au Pentagone », a-t-il affirmé.

Il convient de rappeler que le président russe, Vladimir Poutine, a eu des entretiens avec les dirigeants de Cuba et du Venezuela, à la suite desquels des accords ont été conclus sur le renforcement de la coopération militaro-technique. Étant donné que la Russie entend bien donner une réponse adéquate aux États-Unis pour les tensions et provocations créées à ses frontières, le déroulement prochain des exercices militaires en Amérique latine n’est pas exclu.

mardi, 01 février 2022 21:22

Mossad: coup d'État du Hezbollah!

Sale temps pour Israël : entre les cyberattaques qui ciblent les unes après les autres les secteurs les plus stratégiques de l'armée israélienne et on pense au "Bâton de Moïse" qui, pas plus tard que ce vendredi, a hacké non seulement les caméras de surveillance de Rafael,

en sige d'une totale disposition à faciliter les infiltrations commandos dans des bases militaires israéliennes mais encore les systèmes liés à la DCA made in Rafael, là encore en signe d'une infiltration commandos qui pourrait être suivie des frappes de roquettes et de missiles et tout ceci, nous rappelle les scénarios mainte fois commentés que les chroniqueurs israéliens attribuent au Hezbollah, il y a cette nouvelle particulièrement cuisante pour quiconque mystifiant le Mossad! le navire du renseignement israélien prend l'eau de toute part : Le département de renseignement des forces de sécurité intérieure du Liban (évidemment appuyé par le Hezbollah) a démantelé plus de 15 réseaux d’espionnage israéliens qui avaient des activités, séparément et dans des zones différentes au Liban et en Syrie.  Et dire que les Américains viennent d'accorder une enveloppe de 67 millions de dollars aux forces de sécurité et à l'armée libanaise pour qu'ils laissent tomber le Hezbollah.  L’opération a été lancée il y a quatre semaines, après des consultations avec le procureur général et le commandement des forces de sécurité intérieure du Liban et malgré le nombre élevé des personnes soupçonnées de coopérer avec le régime sioniste, les officiers du département de renseignement ont déployé tous leurs efforts pour achever aussi tôt que possible et de la meilleure des manières leur mission.

Il s’agit du plus grand coup asséné par le Liban au Mossad, soit également la plus grande opération sécuritaire depuis 2009 au cours de laquelle les réseaux d’espionnage de ce service de renseignement israélien ont été démantelés l’un après l’autre.

La guerre illimitée du régime sioniste contre le Liban s’est intensifiée ces dernières années. Les grandes crises auxquelles le Liban est confronté, notamment dans les domaines politique et économique, les vastes campagnes médiatiques contre la Résistance, les interventions étrangères et la multiplication des activités des ONG, financées par des parties étrangères, ont tous intensifié les pressions sécuritaires sur le Liban et fait apparaître de nouvelles coopérations entre les services d’espionnage israéliens et les instances de sécurité arabes et internationaux. C'est tout ceci qui vient de tomber à l'eau par un spectaculaire coup du Hezbollah. 

C'est dans ce contexte particulièrement fragile qu'une quatrième tête vient de tomber au sein du Mossad : Le commandant anonyme de la division des opérations spéciales du Mossad a démissionné, selon les médias israéliens. Il es devenu le quatrième haut responsable à quitter le Mossad en sept mois depuis que David Barnea est devenu directeur de l’agence de renseignement israélienne en juin 2021. Selon un reportage de Channel 13 News dimanche, le commandant a démissionné après que Barnea lui a dit que lui et d’autres responsables étaient devenus un « fardeau pour l’organisation ». L’année dernière, le responsable de la technologie, le responsable des opérations et le responsable de l’anti-terrorisme du Mossad ont tous démissionné de leurs fonctions.

Trois hauts responsables du service de renseignement israélien, Mossad, avaient annoncé leur démission, à la suite de changements organisationnels, opérés par le nouveau directeur du service de renseignement, David Barnea. Le site d'information israélien, "Israël 24", avait alors  indiqué que les trois hauts responsables ont le grade de général. Et d’ajouter que “les 3 hauts fonctionnaires ont annoncé leur démission, des mois après la prise de fonction de Barnea à la tête du Mossad, il s'agit du chef du département technologique, du chef du département antiterroriste et du chef du département «Mafraq», qui est le département central de l'agence, chargé des activités des agents“. Parmi les démissionnaires figuraient « le chef du département (Tzomt), qui est chargé du recrutement des agents, le chef du département technologique, un responsable de la lutte contre le ‘terrorisme’ et un autre responsable d’un département technologique sensible.  Dans ce contexte, les spécialistes des affaires sionistes ont estimé que les changements en cours dans le Mossad israélien pourraient représenter une nouvelle page pour la Résistance palestinienne, cette dernière ayant confirmé à plusieurs reprises l’échec du Mossad à mener des opérations de renseignement à l’intérieur de la bande de Gaza. Or l'actualité libanaise marque de son côté la défaite libanaise du Mossad. 

 

Vu ce trafic de terroristes que l'axe Israël/Golfiens aidé par les Américains tente d'établir entre le Liban et l'Irak surfant sur la crise économique libanaise et se faisant aider par des recrutements massifs au sein des couches défavorisées, cette chasse aux "taupes"d’Israël revêt une importance de premier plan. Pourquoi? A vrai dire, c'est en affamant le peuple libanais et en poussant sa jeunesse vers les réseaux terroristes que les Américains et leurs sous-fifres cherchent à faire ce que la Turquie a fait pendant dix ans envers la Syrie maintenant que la Résistance irakienne à plombé les frontières syro irakiennes de façon à ce que même une grande évasion de chefs terroristes organisée par la CIA comme celle a la prison de Ghouiran ne sert à rien et que les infiltrations terroristes de Syrie vers l'Irak sont réduites à zéro . Le méga coup du Hezbollah est bien plus qu'un valeureux service rendu au Liban seul.

Ces réseaux avaient un rôle "local" et "régional", a assuré aux journalistes le ministre de l'Information par intérim, Abbas Halabi, à l'issue d'une réunion du gouvernement. Ces "17 réseaux d'espionnage pour l'ennemi israélien ont été démantelés suite à des filatures", a-t-il précisé.

Dans cette droite ligne, le quotidien libanais al-Akhbar a publié des détails sur ces arrestations : "L'un des éléments arrêtés vivait à Tyr et avait posé une candidature pour un travail dans un pays étranger. Un jour, un agent à la solde d'Israël, qui connaissait bien les conditions de vie de l'homme en question, l'a contacté et lui a offert la possibilité de travailler et de vivre en Europe à condition qu'il prenne des photos de l'intérieur et de l'extérieur de certains immeubles résidentiels et de boutiques de pâtisserie célèbres."

Une réponse sévère des États-Unis et de l'Europe à une attaque russe contre l'Ukraine pourrait finalement conduire à une relation russo-iranienne plus renforcée.

« L'Iran pourrait potentiellement émerger comme un gagnant involontaire dans l'escalade de la crise ukrainienne, si les forces russes franchissent la frontière avec l'Ukraine et que les négociations à Vienne pour relancer l'accord sur le nucléaire iranien de 2015 échouent », a écrit James Dorsey du Quincy Institute.

En effet, l'imposition de sanctions américaines et européennes sévères contre la Russie en réponse à son agression contre l'Ukraine pousse de plus en plus ce pays à ignorer les conséquences de la violation des sanctions américaines dans ses relations avec l'Iran.

De même, l'échec des pourparlers de l'Iran pour relancer l'accord nucléaire rapprochera l'Iran de la Russie et de la Chine. Car l'Iran doit agir pour neutraliser les sanctions américaines paralysantes.

Certes, les sanctions américaines nouvellement imposées contre la Russie ouvriront la voie à l’augmentation du commerce et des coopérations énergétiques et militaires entre Moscou et Téhéran, même si les restrictions contre l'Iran restent en place.

La confusion des États-Unis sur ses engagements sécuritaires dans le golfe Persique a persuadé l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis de s'abstenir de faire leurs paris et de diversifier la nature de leurs relations avec les grandes puissances étrangères.

 

Des informations en provenance de l’hôtel Coburg de Vienne disent que la majeure partie d’un avant-projet d’accord a déjà obtenu l’approbation des deux groupes de travail en charge de la levée des sanctions et des arrangements liés à l’accomplissement des engagements. Cela veut dire que techniquement parlant, les États-Unis doivent lever les sanctions nucléaires illégitimes et se soumettre à des vérifications ; cependant cela n’est pas encore le cas à cause exactement des atermoiements américains. Un article publié par le site d’information et d’analyse politique Mashregh News, que résument les lignes suivantes, nous dit en détail pourquoi dans de telles circonstances un dialogue direct avec les États-Unis n’aura rien de positif pour les Iraniens.

Dirigée par Robert Malley, l’équipe de négociateurs américains à Vienne, au lieu de mettre en œuvre leurs engagements, cherchent une alternative. Les Américains prétendent qu’« accorder un tel niveau de concessions au cours des pourparlers de Vienne coûterait cher au président Biden et risque même d’aboutir à la défaite politique des démocrates aux deux élections futures ». C’est comme si les Américains voient dans les pourparlers de Vienne  une « carte gagnante » dans le bilan politique de la politique étrangère de Joe Biden ; c’est pourquoi ils se sont focalisés sur le « dialogue direct », pour esquiver les options qui pourraient leur coûter beaucoup plus cher, telles que la confrontation militaire ou l’intensification des sanctions.

Les messages consécutifs des Américains à l’adresse de Téhéran pour organiser des pourparlers directs devraient donc être évalués sous cet angle ; à travers le dialogue direct, les Américains veulent suivre la même approche : pressions et revendications maximales et ouverture, autrement dit, concession minimale. Et en parlant des concessions minimales, les Américains y voient un moyen afin de semer la discorde et désolidariser le peuple et le gouvernement en Iran. Il suffit que les deux parties se réunissent à la table des négociations pour discuter de l’accord de 2015 (connu sous le nom du Plan global d’action conjoint, PGAC ou JCPOA selon le sigle anglais) ; et les Américains veulent en profiter pour réduire leurs propres engagements.

Tout laisse conclure que l’insistance américaine à établir le dialogue direct avec l’Iran n’est qu’une tactique censée faire adhérer la communauté internationale à la politique de pression maximale et légitimer de nouveau les sanctions imposées à l’Iran. Sinon, pourquoi ce geste devenu ces jours-ci habituel des responsables américains, que ce soit le président Joe Biden et son secrétaire d’État Antony Blinken, ou le négociateur en chef Robert Malley et la porte-parole Jen Psaki qui, à l’importe quelle tribune ou réunion, reprochent à l’ex-président Trump d’avoir retiré les États-Unis du PGAC ?

mardi, 01 février 2022 21:17

Les S-300 et S-400 russes tonnent!

Sur fond d’escalade de tensions avec l’OTAN, les unités de DCA de l’armée russe ont commencé des exercices militaires dans trois régions russes, afin de s’entraîner à protéger des zones sensibles et écarter les attaques de l’ennemi fictif.

Selon l’agence de presse russe TASS, les équipes de combat des systèmes de défense aérienne S-300 et S-400 lancent des exercices dans trois régions russes.

Les manœuvres impliquent environ 1 000 soldats membres des équipes de combat, les postes de commandement et les officiers du quartier général, ainsi que plus de 200 pièces d’armement et de matériel militaire.

Pour les artilleurs anti-aériens, les exercices ont débuté en République de Khakassie en Sibérie orientale, la région de Novossibirsk en Sibérie occidentale et la région de Saratov dans le sud de la Russie, a précisé TASS.

« Des effectifs des unités de défense aérienne stationnées dans les régions de Saratov et Novossibirsk et dans la République de Khakassie ont écarté par leurs tirs de missiles les attaques de l’ennemi fictif, ajoute la même source.

« Israël est sur le point d’imploser », avertit le général israélien en écho avec l'ex-Premier ministre israélien, pour qui, la durée de vie d'une entité sioniste, comme c'est marquée dans l'Histoire, n'ira jamais au-delà de 80 ans". Un constat sans appel et basé sur les réalités d'un Israël qui fait face à 7 front de combat : le Front Nord et Sud mais aussi le front irakien à l'ouest, celui de la Cisjordanie, de la Palestine historique et ce front naval qui tend à tout moment à s'ouvrir en mer Rouge face à Ansarallah.  

Évoquant l’ambition perdue de l’ex-Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, de célébrer le 100e anniversaire de l’"État juif" à Tel-Aviv, le général de réserve, Shaul Arieli, confirme les propos de Netanyahu selon lesquels, tout au long de l'Histoire, un "États juif" n'a jamais duré plus de 80 ans, malgré tous les efforts fournis. Dans un article publié dans le journal Haaretz, l’ancien militaire a expliqué que le mouvement sioniste travaillait à établir un "État juif" sur la terre occupée de Palestine « en fusionnant trois stratégies d'action fondamentales. Les stratégies n'ont pas réussi à résoudre le conflit ni à atteindre les trois principaux objectifs sionistes à savoir, « la Terre d'Israël, la démocratie et un judaïsme majoritaire », et ont fini par laisser place à la division de deux États.

mardi, 01 février 2022 21:14

Une vraie fausse alliance qui tue

Des sirènes d'alarme rapides genre celle qui ne s'activent a Ashdod une fois les roquettes palestiniennes abattus sur leurs cibles à Ashdod ou Ashkelon, voici ce que les Israéliens ont promis aux Zayed après la triple "Hurricane" balistique yéménite qui a secoué du 17 au 31 janvier les Émirats. Et ce non pas pour la " sécurité" des Émirats mais pour celle d'Israël. Est-ce une alliance celle-ci ? 

Les médias israéliens ont rapporté, lundi 31 janvier, la décision de Tel-Aviv de déployer des systèmes de défense aérienne aux Émirats arabes unis, afin de contrer toute attaque lancée par Ansarallah contre Abou Dhabi.

Le milliardaire américain et père des "révolutions de couleur", dont le rôle a été prouvé lors de la sédition de 2009 en Iran, a appelé à un « changement de régime » en Chine!  George Soros, milliardaire sioniste et président du conseil d'administration de l’Open Society Foundations, qui est largement impliqué dans les scénarios en cours en Asie centrale, au Caucase, homme qui a durement travaillé pour un """changement de régime""" en Iran en vient à appeler désormais à un « changement de régime » en Chine. Lors d'un discours à Hoover Institution de l'Université de Stanford, le milliardaire libéral George Soros a appelé lundi au remplacement du président chinois Xi Jinping, comparant les prochains Jeux olympiques d'hiver de Pékin en 2022 aux Jeux olympiques de 1936 dans l'Allemagne nazie. Mais pourquoi cette effusion de haine soudaine? Le pantin de l'Etat profond est en colère contre l'alliance sino-russe qui a fait échec à son coup d'Etat au Kirghizistan!