
تقي زاده
La réponse du Coran aux caricatures
Pour Marwan Sinaceur Professeur de psychologie sociale à l’ESSEC, de religion musulmane, spécialiste de la résolution des conflits et de la culture arabe:
Les attentats terroristes qui frappent et endeuillent la France et l’Autriche font ressurgir le débat sur les caricatures de Mahomet, Prophète de l’islam. Dans ce débat, de multiples voix s’expriment, de tout angle de vue. Mais un point de vue manque singulièrement: celui du Coran. Ce point de vue est crucial pour défaire l’idéologie extrémiste qui se réclame de la religion. Il faut rappeler ce que dit le Coran pour désarmer le terrorisme, comme l’apologie du terrorisme. Que des adolescents se soient réjouis du meurtre abject de Samuel Paty témoigne de l’urgence de cette mise au point. Que cela se passe cinq ans après les meurtres abjects des journalistes de Charlie Hebdo, après les effroyables attentats du 13 Novembre, après tant d’attentats terroristes à Paris, Nice, et ailleurs, rend cette mise au point sur ce que dit le Coran encore plus primordiale.
Des caricatures blessantes pour les musulmans
Pour beaucoup de musulmans, les caricatures du Prophète sont insultantes, blessantes, vulgaires, ou mettent mal à l’aise. Elles représentent une attaque contre la personne sainte du Prophète, une accusation mensongère (puisqu’elles véhiculent des images de barbarie, pornographie, ou violence), et peuvent être prises comme une attaque contre l’islam même.
Comment donc doit-on répondre aux caricatures quand on est musulman? Ce que dit le Coran, livre saint de l’islam, apporte des réponses claires. Il suffit de prendre la peine de le lire.
Le Coran met d’abord une limite à la tentation de se venger d’une offense. La loi du talion y est permise, mais à condition qu’elle soit strictement proportionnelle au dommage causé: “Quand quelqu’un vous agresse, usez de réciprocité en proportion du dommage causé.” (Coran, 2.194). Toute réaction disproportionnée est condamnable (Coran, 2.178; 2.194). Aucune offense verbale ou écrite, insulte ou caricature, ne saurait donc justifier un appel à la violence et au meurtre, ni même au boycott des produits d’un pays. La logique est implacable: œil pour œil, dent pour dent pourrait se décliner à propos des caricatures du prophète par une réponse… sous forme de caricatures.
Celui qui sur-réagit devient l’agresseur
Mais le Coran s’empresse d’ajouter que pardonner est mieux qu’exercer la loi du talion: la loi du talion est un droit, mais, quelle que soit l’offense, l’offensé s’élève moralement à ne pas demander réparation (Coran, 5.45; 16.126; 42.40). Le Coran dit: “Si vous devez exercer des représailles, que cela soit à la mesure de l’offense subie, mais si vous pardonnez, cela vaudra mieux pour ceux qui sont capables de se dominer.” (16.126). Et encore: “Quiconque renonce par charité à la loi du talion obtiendra la rémission de ses péchés.” (Coran, 5.45.). Ce message fait écho à celui de Jésus dans l’Évangile (Mathieu, 6.12; 18.32-33): le pardon vaut mieux que la réciprocité, car quiconque voudra demander le pardon de Dieu doit d’abord pardonner à autrui (Coran, 3.134; 42.37; 45.14). Le Coran résume ainsi ce que doit être la réponse à une offense: “La riposte doit être égale à l’offense subie, et que celui qui pardonne et se montre conciliant trouvera sa récompense auprès du Seigneur, car Dieu n’aime pas les agresseurs.” (42.39-40). La conclusion du Coran est sans appel: celui qui sur-réagit devient l’agresseur.
"Dis-leur: 'Libre à vous de vous moquer!'", précise le Coran (9.64).
En cas de différends ou polémiques avec autrui concernant la religion, l’homme ne doit pas chercher à se faire justice lui-même ni à imposer sa vision à autrui (Coran, 6.164; 22.67-69; 39.46; 45.17). Le Coran le dit explicitement, c’est à Dieu qu’il reviendra de trancher, et Il le fera dans l’autre monde, pas dans ce monde: “Il tranchera, au Jour du Jugement dernier, vos différends.” (22.69; voir aussi 3.55; 59.23). On s’est moqué souvent des Prophètes, et la réponse des Prophètes est de ne pas réagir et de s’en remettre au jugement de Dieu dans la vie future; c’est le cas de Noé, par exemple (Coran, 11.38). Face à la moquerie ou au blasphème, le Coran recommande donc la patience, de ne pas réagir, et de s’en remettre simplement au jugement de Dieu dans la vie future (2.212; 9.64). “Dis-leur: ‘Libre à vous de vous moquer!’”, précise le Coran (9.64).
Le Coran recommande explicitement de ne pas se disputer avec autrui quand celui-ci se moque de la religion musulmane: “Il est inutile de nous disputer” puisque c’est Dieu qui tranchera au final (42.15). Quand un(e) musulman(e) entend un discours contraire à sa religion, il doit “se détourner, en disant: ‘À nous notre manière d’agir, et à vous la vôtre! Que la paix soit avec vous!” (Coran, 28.55). Et encore: “Lorsque tu vois ceux qui dénigrent Nos versets, évite de te mêler à eux, jusqu’à ce qu’ils changent de sujet.” (Coran, 6.68). Le message est clair: éviter la confrontation, éviter la polémique lorsque certains dénigrent ou se moquent du Coran. Et, ce faisant, conserver une attitude conciliante, sans réponse violente ni même verbale (7.199). C’est Dieu qui se chargera de juger chaque individu pour sa croyance –ainsi que pour le bien ou le mal qu’il aura fait. Si cela s’applique au Coran, livre saint de l’islam, cela s’applique, a fortiori, à une caricature du Prophète, même insultante ou vulgaire. De manière générale, le Coran recommande l’humilité et la bienveillance, y compris par rapport aux non-croyants (7.199; 25.63). Par exemple: “Les serviteurs du Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur la terre, ceux qui répondent avec douceur aux non-croyants qui les interpellent” (Coran, 25.63). Comme la psychologie le suggère, il vaut mieux ne pas accorder trop d’importance à l’insulte ni lui offrir une caisse de résonance (Watzlawick et al., Une logique de la communication).
Chacun a la liberté de croire en ce qu’il ou elle veut, en son âme et conscience. Il ne s’agit pas pour les croyants ou croyantes de contrôler les pensées d’autrui, mais de faire l’effort soi-même, individuellement, d’atteindre la foi. La logique est simple: chacun est responsable de sa croyance, pas de celle d’autrui. Autrement dit, le refus d’engager des polémiques concernant la religion procède de la responsabilité individuelle de chacun (Coran, 6.164). Ainsi, dans toute discussion concernant la religion on doit faire preuve de modération (Coran, 16.125.). On ne peut forcer quelqu’un à croire. Même le Prophète de l’islam ne pouvait convaincre ceux ou celles qui ne souhaitaient pas entendre son message, le for intérieur reste du domaine de l’intime (Coran, 28.56; 46.23). Et, personne ne peut tout savoir, seul Dieu sait tout (Coran, 18.22). Il faut donc accepter de ne pas vouloir avoir raison contre autrui et chercher soi-même, de manière continuelle, son chemin spirituel.
Le Coran recommande l’humilité et la bienveillance, y compris par rapport aux non-croyants.
De fait, le Coran insiste explicitement sur la responsabilité morale individuelle de chaque homme ou femme: chacun doit assumer la moralité de ses actes individuellement, et nul ne pourra se prévaloir des injonctions d’autrui pour échapper à la moralité de ses propres actes (Coran, 2.48; 17.13, 15; 19.95; 75.13-15; 82.19). Par exemple: “Nous avons rendu tout être humain responsable de sa destinée” (Coran, 17.13). Suivre l’avis ou le précepte d’autrui ne dédouane pas de sa propre responsabilité morale (Coran, 6.164). Cela implique de ne pas céder aux émotions collectives et de faire preuve de retenue individuelle.
Croire en Dieu est considéré comme crucial dans l’islam, mais, ce n’est pas à l’homme de se faire justicier en place et lieu de Dieu. Vouloir convaincre autrui à propos de la religion y est vu comme “futile” (Coran, 43.83). Certes, on peut apporter le message divin, mais le receveur du message exerce sa pleine responsabilité individuelle à juger de ce message et à décider de le suivre ou non; chacun est responsable pour soi-même (par exemple, Coran, 6.69).
Proximité entre l’islam et les deux autres monothéismes
Comme l’a montré Hannah Arendt (La crise de la culture, chap. 2), le monothéisme présuppose un sujet responsable individuellement puisque chacun sera jugé pour ses propres actes dans l’autre monde. L’islam ne fait pas exception, et la proximité culturelle entre l’islam et les deux autres monothéismes est plus forte qu’on ne le croit.
C’est donc à chacun d’exercer son jugement sur le chemin vers une plus grande maîtrise, vers une plus grande moralité. La lutte pour être une meilleure personne est un combat de tous les instants. On ne peut être responsable pour autrui –des agissements ou des croyances d’autrui, certainement pas de ses insultes–, mais on peut être responsable de soi –de ses agissements et de ses croyances, de sa réaction face aux insultes. C’est là l’un des sens profonds du Coran. Un message qui n’est pas sans rappeler les philosophies humanistes du Judaïsme, du Christianisme, ou des stoïciens.
Les caricatures du Prophète sont insultantes. Face à une insulte ou une offense, le Coran recommande la maîtrise de soi. Ni surenchère. Ni polémique. Ni violence.
La générosité d’Imam Hassan al-Askari (a)*
*La générosité d’Imam Hassan al-Askari (a)*
Le poète de la cour abbasside, Abou Youssef, raconte : « J’étais très pauvre et quand j’ai eu un nouveau bébé??, ma situation s’est empirée. Aussi, j’ai écrit au gouvernement abbasside pour demander de l’aide financière mais ma demande a été refusée. »
Alors que j’étais déçu, je me suis rappelé le petit-fils du Prophète Mouhammad (s), Imam Hassan al-Askari (a). Je suis allé chez lui mais j’hésitais de lui parler de mes problèmes. J’avais peur qu’il refuse de m’aider car j’étais connu comme le poète dans la cour abbasside.
J’ai tourné en rond pendant quelques instants autour de la maison? d’Imam Hassan al-Askari (a). Finalement, je me suis décidé à frapper à la porte. La porte s’est ouverte et, à ma grande surprise, un compagnon d’Imam Hassan al-Askari (a) est sorti et m’a remis une bourse d’argent?, en me disant : « Prenez ces 400 dirhams. Mon maître vous a dit de couvrir les dépenses du nouveau-né avec cet argent. Qu’Allah (swt) vous bénisse ainsi que votre fils ! »
Abou Youssef raconte : « J’étais sidéré.? Je ne l’avais jamais rencontré et je ne lui avais jamais fait part de mon problème et voilà que mon vœu était exaucé ! J’ai remercié Allah (swt) de bénir la Terre? avec la présence d’une personne si grandiose et généreuse. »
Les ennemis en colère contre l'amélioration de l'économie iranienne
Il a souligné que les ennemis n'ont pas réussi à atteindre leur principale cible, qui a fait s'effondrer l'économie iranienne par la campagne de pression maximale.
Il a ajouté qu'en planifiant le budget de l'année prochaine, l'administration s'est concentrée sur le maintien et le renforcement du processus de développement du pays tout en soutenant les personnes à faibles revenus.
M. Rohani a également déclaré que le budget de l'année prochaine n'est pas un budget dépendant du pétrole.
ONU: Plus de 220 000 personnes ont été tuées au Yémen
Ce nombre très élevé est "inacceptable", peut-on lire dans le rapport.
L'organisme international a également déclaré que le Yémen avait atteint un point irréversible et avait maintenant besoin d'un cessez-le-feu pour mettre fin à la guerre.
À cet égard, le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) au Yémen a réagi la nuit dernière au meurtre de 14 femmes et enfants dans la province yéménite occidentale d'Al-Hudaydah.
Le bureau a déclaré dans un communiqué que l'attaque contre les femmes et les enfants était "inacceptable et injustifiable".
Selon la déclaration, l'attaque était "horrible et constitue une violation flagrante du droit humanitaire international, de sorte que les parties concernées sont tenues de prendre des mesures pour protéger les civils".
Le Bureau a souligné que les parties impliquées doivent trouver une solution pour une paix durable et pour prévenir la pauvreté et sauver la vie des gens.
Selon la déclaration, le Yémen est actuellement confronté à la pire crise humanitaire au monde et plus de 80 % de ses habitants ont besoin d'une aide et d'un soutien humanitaires.
Le Yémen est la cible de l'agression émiratie-saoudienne depuis six ans, soutenue par les États-Unis et les pays occidentaux. Le but de cette agression était de ramener le président démissionnaire et fugitif de ce pays.
Pékin se tient aux côtés de l'Iran et du Venezuela...Même "militairement"?
Ce n'est pas uniquement les drones armés de missiles de l'Iran qui ont trouvé une pignon sur rue au e Venezuela , pays dont le président a très clairement manifesté l'intérêt de restructurer son armée à l'aide de l'Iran. En effet depuis mai 2020 date à laquelle l'Iran a décidé d'établir un corridor anti-sanction reliant le golfe Persique aux Caraïbes et d'y aller jusqu'à engager ses propres pétroliers, une mission au demeurant superbement réussie sous les yeux impuissants de la IVe flotte US, les Vénézuéliens ont appris beaucoup de choses de ces conseillers iraniens sur place.
Les premiers déboires de l'axe Tel-Aviv/Abou Dhabi au Sahara occidental ...
Au Sahara occidental, il y a quelque chose qui ne va pas visiblement: près d'un mois après que Rabat s'est emparé de Guerguarat, et ce, sous pression conjuguée de l'axe US/Israël/OTAN/Emirats, et ce, pour déstabiliser la profondeur stratégique algérienne, Paris refait le "coup africain" cette fois avec le Maghreb: ainis samedi les pro et les anti Sahara autonome se sont affrontés sur la place de la République, ce qui a fait d'ailleurs largement le jeu de la dictature militaire née sous Jupiter puisque Marocains et Algériens français se sont affrontés donnant à la police le prétexte de réprimer encore une fois les Maghrébins. Que l'affaire du Sahara occidental s'invite dans les rues de la France, c'est qu'au Maghreb, le plan de l'Empire n'a pas bien fonctionné: le Front Polisario qu’Israël et partant Rabat accuse d'avoir des liens avec le Hezbollah, aurait fait preuve d'une résistance inattendue. Mais il y a plus :
L'anti -sraélienne Mauritannie, elle aussi, n'est pas tombée dans le piège tendu par l'Empire : le Parti au pouvoir en Mauritanie vient de condamner les provocations de l'armée marocaine et confirmer que « nous reconnaissons le Sahara occidental et ne nous rallierons pas au Maroc ». Hamdou Abdel-Malek, le représentant du Parti au pouvoir en Mauritanie a souligné que la Mauritanie reconnaîssait la République arabe sahraouie démocratique (RASD) sans manquer de condamner l'ingérence marocaine dans la zone tampon à la frontière mauritanienne. Il n'a pas manqué non plus de dénoncer l'intervention militaire de Rabat dans la zone tampon avec la Mauritanie, et a accusé l'armée marocaine de voler les biens de citoyens mauritaniens dans une zone appelée « Kandahar ».
Émirats, Jordanie .. et Bahreïn lâchent Israël... la mèche balistique sera allumée, quand?
Absolue confusion dans le camp des terroristes ! Alors que lundi, la Ve flotte US et mini satellite de Riyad le dénommé Bahreïn condamnait dans "les termes les plus vifs" l'attentat contre la vie de l'Iranien Fakhrizadeh, en contraste totale avec sa position et sa rhétorique habituelles, et ce, dans le sillage des Émirats et de la Jordanie, alliés militaires d'Israël, qui appellent, eux, au secours pour que "le Moyen-Orient déjà en proie aux tensions n'en franchisse pas un autre palier de violence", la presse sioniste a annoncé haut en couleur que l'Arabie des Salmane venait à ouvrir son ciel sur les vols militaire israéliens, laissant entendre que le face-à-face à venir avec l'Iran verrait de larges contributions de Riyad aux côtés de l'armée de l'air quasi exsangue d’Israël qui s'apprêterait, à l'heure qu'il est, à lancer des raids contre les sites nucléaires iraniens, si l'Iran appuyait sur la gâchette.
Arme téléguidée, recours au satellite, le front spatial?
Devant la presse, le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la RII est revenu sur certains détails en rapport avec l’assassinat du physicien atomiste Mohsen Fakhrizadeh, tandis que les derniers rapports renforcent la piste d’une implication de Tel-Aviv.
Tout comme l'a affirmé le secrétaire du Conseil de sécurité nationale de la RII, le parcours du physicien martyr Mohsen Fakhrizadeh et les services qu’il a rendus au pays sont « indescriptibles ».
En marge de la cérémonie des funérailles du scientifique atomiste iranien, Mohsen Fakhrizadeh, ce lundi 30 novembre, le secrétaire du Conseil de sécurité nationale, Ali Chamkhani, a affirmé :
« C'est toujours en vain que l’ennemi a essayé pendant 20 ans de l’assassiner. Il faut dire que cette fois-ci aussi, comme par le passé, les systèmes de renseignement du pays avaient prévu avec exactitude la probabilité d’un attentat contre la personne [du Dr Fakhrizadeh] ainsi que l’endroit où cela pourrait se produire. »
Assassinat de Fakhrizadeh : première marche arrière d’Israël
Le ministre israélien des Renseignements, Eli Cohen, a prétendu que le Premier ministre du régime israélien, Benjamin Netanyahu, n’avait fait, dans son récent discours, aucune allusion à une implication de Tel-Aviv dans l’assassinat du savant iranien, Mohsen Fakhrizadeh, alors que certaines sources relèvent des preuves selon lesquelles le régime sioniste est bel et bien impliqué dans cet assassinat.
D’après Eli Cohen, Netanyahu faisait allusion à ses pourparlers avec des pays avec lesquels Israël n’avait pas de relation auparavant, écrit The Times of Israel.
Ces allégations tombent alors qu’un responsable du régime israélien, interviewé dimanche par le journal New York Times, a reconnu que Tel-Aviv était derrière cet acte criminel. Ce responsable israélien qui, d’après le New York Times, était, pendant des années, responsable du dossier Fakhrizadeh au sein du régime de Tel-Aviv, a également ajouté qu’Israël continuerait de faire tout ce qu’il trouvait nécessaire pour contrer le programme nucléaire iranien.
De même, la chaîne arabophone iranienne Al-Alam a annoncé ce lundi que le pays avait accédé à des documents aptes à prouver l’implication du régime israélien dans l’attentat de Mohsen Fakhrizadeh.
Maarib : après la libération de Mas, les Saoudiens concèdent la défaite
Les affrontements entre les combattants yéménites et les éléments de la coalition saoudienne se poursuivent dans la banlieue nord-est de la base stratégique de Mas dans l'axe Ouest du district de Raghwan, au nord-ouest de la province de Maarib.
Au cours des derniers jours et après la libération de la base de Mas, les chasseurs saoudiens ont visé à plusieurs reprises les positions des combattants yéménites et les zones résidentielles dans la partie ouest de la province de Maarib, mais en vain.
Une source sur le terrain a confié à Mashregh News que les forces de la coalition saoudienne menaient des contre-attaques avec le soutien des chasseurs saoudiens et tentaient de réoccuper la zone de Wadi al-Mas.