تقي زاده
Pouvez-vous un hadith dans un livre des sunnites qui montre que le prophète (ç) versait parfois des larmes durant des heures pour l’imam Hossein (as) ?
Voici la réponse convenable à la question qui a été posée :
1 – Pleurer pour les morts : «les pleures et l’affliction en soi sont quelque chose de naturel. Elles sont mêmes inscrites dans les gènes de l’être humain et font partie des dispositions naturelles. On remarque que certains animaux pleurent et on n’a pas besoin d’arguments pour prouver pourquoi. Cependant, si Dieu interdit quelque chose, il faut l’éviter. Non seulement Dieu n’a pas interdit les pleures, le prophète l’a également exprimé à travers ses propos et son comportement. En guise d’exemple, nous énumérons et citons un hadith fiable à partir d’un ouvrage sunnite.
Anas dit : «Ibrahim était en train les mains du prophète (ç) lorsque les larmes coulaient des joues de celui-ci qui dit : « les yeux laissent couler les larmes, le cœur s’afflige. Il ne faut dire de la bouche que ce qui est conforme avec l’agrément de Dieu. Ibrahim, je jure par Dieu que nous sommes affligés pour toi »[1]
Il faut également rappeler que dans le livre « Sounanou ibn Majâ » et d’autres ouvrages sunnites, les paroles du prophète (ç) contestant le premier et le deuxième calife sont mentionnées.
2 – Les lamentations du prophète (ç) pour l’imam Hossein (as) : « si déjà en soi les pleures pour les morts sont quelque chose d’approuvée par le prophète (ç), en plus de la démonstration faite ci-dessus, il n’y a aucune différence que ce soit pour Ibrahim que le prophète (ç) ou pour l’imam Hossein (as) son petit fils et l’un de ses successeurs.[2] En plus de cela, dans les ouvrages chiites, il existe beaucoup de hadiths qui montrent que le prophète a pleuré pour l’imam Hossein (as). [3]
[1] - Sahih Mouslim, le chercheur Abdoul Baki Mohammad Fouad, vol 4, page 1807, Darul Ihya Touras Al Arabi, Beyrouth.
[2] - Ibn Majâ, Sounanou ibn Majâ, vol 5, page 69, hadith 1578.
[3] - Irchad ul Kouloub, Hassan ibn Abil Hassan Deylami, vol 2, page 296, les éditions Sharif Razi, 1412 hégire lunaire.
Islam est une religion d’unité/ l’unité peut garantir le succès
Le responsable de l’édition de l’Encyclopédie du Fiqh islamique s’est alarmé des risques venus du Wahhabisme. Aujourd’hui, des, considérant la situation actuelle qui domine les communautés humaines, sectes islamiques doivent mettre de côté les divergences qui n’ont pas beaucou d’importance, a déclaré Cheikh Ali Khatibi dans un entretien avec le Journaliste de l’APT.
Selon le noble Coran, l’islam est la seule religion acceptable. Dieu a désigné Mostafa(le prophète de l’islam) comme le révélateur de cette religion. Il a présenté un envoyé parmi nous pour que nous apprenions les règles de notre religion. Donc, il faut que tous les musulmans s’abstiennent du sectarisme. Parce que la question de l’Unité est très importante, a-t-il précisé.
Lorsque notre religion préconise l’unité, les croyants doivent se rapprocher de point de vue des visions religieuses. Considérant que nous avons un seul dieu et un seul prophète, il nous faut respecter l’unité qui nous a garantit le succès, a-t-il ajouté.
En indiquant les dangers du Wahhabisme, il a souligné : la voie dont les wahhabites suivent est celle de l’ignorance. Leur mouvement a dégénéré en un moyen dans la main des colonisateurs pour combattre l’islam. Ils dépensent de l’argent des ennemis de l’islam pour mettre la discorde au sein de la communauté musulmane, a-t-il poursuivi.
Les discordes se répandent par ceux qui sont soumis aux ennemis de l’islam. Un groupe wahhabite extrémiste met la discorde au sein de la communauté musulmane à l’aide des ennemis de l’islam, en tête les Etats-Unis et le Royaume Uni.
Un nouveau complot sioniste contre la mosquée d’Al-Aqsa
La Fondation des œuvres pieuses et du patrimoine culturel d’Al-Aqsa a mis en garde contre les nouveaux complots du régime sioniste
La Fondation des œuvres pieuses et du patrimoine culturel de la mosquée d'al-Aqsa a annoncé, dans un communiqué, que le régime sioniste cherchait à démolir la mosquée d’Al-Aqsa, lieu de culte historique, en faisant de nouvelles excavations et en creusant des tunnels qui traversent la partie inférieure de la mosquée. La Fondation Al-Aqsa tire la sonnette d’alarme quant aux conséquences dangereuses de ces excavations. Certains piliers du mur ouest qui font partie de la fondation de la sainte mosquée sont désormais visibles suite aux opérations d'excavation. Abdel Razaq Matani, expert du patrimoine culturel à la Fondation des œuvres pieuses et des patrimoines culturels, dit que les nouvelles excavations et de nouveaux tunnels faits par le régime sioniste, mettront en danger la mosquée Al-Aqsa. La mosquée historique d’Al-Aqsa se situe à Qods occupé. Cette mosquée faisait toujours l’objet des atteintes de la part des sionistes pendant les quatre décennies de l’occupation de la ville sainte de Qods. Réagissant à ces fouilles, le mouvement de la résistance islamique de la Palestine, Hamas a mis en garde lui aussi contre ces fouilles systématiques visant la mosquée d'al-Aqsa qui sont arrivée à une phase périlleuse. Le Hamas a récemment prévenu dans un rapport sur la poursuite des plans de colonisation du régime sioniste en Cisjordanie et le lancement récemment de deux institues israéliens dont l'objectif est la construction des synagogues dans l'esplanade de la mosquée d'al-Aqsa. « A la lumière de la reprise des négociations de compris et des rencontres secrètes entre l’Autorité autonome palestinienne et le régime sioniste, ce dernier a accéléré ses projets de judaïsation en Cisjordanie et à Qods et il tente de faire avancer ses opérations de démolition dans la mosquée d’Al-Aqsa. Dans le même temps, les sionistes continuent de confisquer les territoires palestiniens et de construire de nouveaux logements dans les colonies de Qods occupé.
Hezbollah: La pensée de l’imam Moussa Sadr et sa ligne se poursuivent
Dans un communiqué publié à l’occasion du 35e anniversaire de la disparition de l’Imam Moussa Sadr et de ses compagnons, le mouvement de la résistance islamique libanais (Hezbollah) a annoncé : « Les ravisseurs ont enlevé Imam Moussa Sadr, mais ils n’ont pas faire disparaître sa pensée et sa ligne et sa voie se poursuit toujours. »
Selon la chaîne de télévision Al Manar, à l’occasion du 35e anniversaire de la disparition de l’Imam Moussa Sadr et de ses compagnons, le Hezbollah a indiqué: « Le 31 août coïncide avec la date de la disparition de l’Imam de la patrie et de la résistance, Imam Moussa Sadr et ses compagnons, Mohammad Yaqoub et Abbas Badreddon et nous rappelle les souffrances que nous avons vécues à cause de cette grande injustice. »
Dans ce communiqué, le Hezbollah souligne : « A côté de nos frères dans le mouvement Amal et de tous les hommes libres de cette communauté, nous mettons l’accent sur la nécessité de garder vivant ce souvenir comme une question nationale, islamique et comme un grand djihad. »
Le communiqué ajoute : « L’anniversaire de la disparition de l’Imam Moussa Sadr et de ses compagnons rappelle la nécessité pour l’opinion publique mondiale de faire attention à ce sujet et souligne à la Ligue Arabe, à l’Organisation de la Coopération Islamique et aux nouveaux responsables de la Libye de déployer des efforts en vue d’obtenir la libération de l’Imam Moussa Sadr et de ses compagnons. »
"Toute erreur de calcul États-Unis sur la Syrie sera désastreux "
Toute erreur de calcul États-Unis sur la Syrie serait une catastrophe, averti lundi le président du Comité de la sécurité nationale et la politique étrangère du parlement iranien Alaedin Boroujerdi.
Lors d'une réunion avec le président du Parlement libanais, Nabih Berri, Boroujerdi a précisé que le président américain Barack Obama, " reporté toute agression contre la Syrie et de laisser le Congrès décide la question, en accord avec les intérêts de leur pays et le régime israélien que Washington sait que toute erreur de calcul de sa part pourrait être désastreux “.
Politicien iranien a souligné que les citoyens américains s'opposent à l'intervention militaire en Syrie par les expériences amères dans les guerres en Irak et en Afghanistan.
À cet égard, il a exprimé l'espoir que le Congrès américain à respecter l'opinion publique et ne pas aller à la guerre avec le pays arabe.
Peu de temps après que le Parlement britannique a dit non à l'ingérence militaire en Syrie, M. Obama a annoncé sa décision d'attaquer la Syrie, mais conditionné l'autorisation du Congrès .En outre, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a admis pendant plusieurs jours les erreurs qu'il avait engagé son pays dans sa guerre contre l'Irak en 2003.
Boroujerdi également tenue, la journée d'aujourd'hui, une rencontre avec le Premier ministre libanais choisi, Tamam Salam, qui a réitéré le soutien complet de Téhéran à l'intégrité territoriale du Liban et l'unité nationale dans ce pays.
"Nous croyons que ce pays (le Liban) peut jouer un rôle important en permanence dans la stabilité de la sécurité régionale à travers l'unité et la solidarité", a-t-il souligné.
Salam, quant à lui, décrit la situation actuelle dans la région comme «sensibles» et a déclaré que les actions de groupes extrémistes dans la région ne servent les intérêts du régime israélien.
Boroujerdi, qui s'est rendu en Syrie samedi, la tête d'une délégation pour rencontrer les autorités du pays arabe, est venu lundi à Beyrouth, la capitale libanaise.
Syrie: Obama envoie Kerry et Hagel pour persuader le Congrès américain
Des poids lourds de l'administration de Barack Obama participeront mardi à une audition au Sénat américain pour défendre une intervention militaire en Syrie, où le président américain, selon des sénateurs, semblait en outre prêt à renforcer l'aide aux rebelles.
Le secrétaire d'Etat John Kerry, le secrétaire à la Défense Chuck Hagel et le général Martin Dempsey, plus haut gradé américain, témoigneront devant la commission des Affaires étrangères mardi à 14H30 (18H30 GMT) lors d'une audition ouverte au public, a-t-on appris lundi. M. Kerry reviendra mercredi au Capitole pour une audition à la Chambre des représentants.
A l'issue d'une rencontre avec Barack Obama à la Maison Blanche lundi, les sénateurs républicains John McCain et Lindsey Graham ont qualifié de "catastrophique" un éventuel rejet par le Congrès de la résolution autorisant le recours à la force.
"Un vote du Congrès contre la résolution serait à mon avis catastrophique", a déclaré M. McCain, qui milite pour une intervention musclée, semblant ainsi apporter son soutien au président.
Syrie: Assad met en garde contre une guerre régionale en cas de frappes
Le président syrien Bachar al-Assad a mis en garde lundi contre le risque d'une guerre régionale en cas de frappe militaire occidentale, alors que Washington et Paris tentent de convaincre leurs opinions de la nécessité de frapper la Syrie.
Le Moyen-Orient est un baril de poudre et le feu s'en approche aujourd'hui (...) Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l'extrémisme se répandront. Le risque d'une guerre régionale existe, a déclaré le président syrien au journal Le Figaro.
Alors que Paris est en première ligne au côté de Washington pour mener une attaque, le président Assad a mis en garde contre une politique hostile au peuple syrien.
Le peuple français n'est pas notre ennemi, mais (...) dans la mesure où la politique de l'Etat français est hostile au peuple syrien, cet Etat sera son ennemi.
Il y a aura des répercussions, négatives bien entendu, sur les intérêts de la France, a-t-il menacé.
La Russie promet de protéger le droit international contre "le chaos contrôlé
Dans le contexte de potentielles frappes américaines sur la Syrie, la Russie a promis lundi de protéger le droit international et la Charte de l'ONU contre les tentatives visant à créer « le chaos contrôlé ».
« Si quelqu'un pense que le chaos contrôlé sera plus utile que le respect du droit international et le renforcement du Conseil de sécurité de l'ONU (CSONU) et de l'ONU dans son ensemble, nous ne pouvons être catégoriquement d'accord avec cela et ferons tout pour protéger le droit international, la Charte de l'ONU, les prérogatives de l'ONUCS », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov après sa rencontre avec son homologue sud-africain, Maite Nkoana-Mashabane.
Il a affirmé que l'offensive militaire qui pourrait être lancée contre la Syrie, annoncée par Washington, pourrait retarder voire annuler la conférence Genève-II prévue pour résoudre la crise syrienne.
la DCA syrienne aurait abattu un avion F-22 Raptor et 4 Tomahawk!!!
La guerre en Syrie aurait commencé, sans bien sûr, l’aval du Congrès américain,
si l’on en croit les dernières "informations" que nous venons de recevoir. En guise de test, les Etats-Unis auraient commencé leur (nouvelle) guerre sale et injustifiée pour maintenir le monde en coupes réglées. Hélas, ces gens-là n’ont pas encore compris que le monde change, leur logiciel de pensée étant resté dans les années 1950. On peut avoir toutes les armes du monde, mais soumettre un peuple n’est plus évident de nos jours, voire impossible…
Selon les médias américains donc, notamment le journal Oklahoman, citant des sources militaires américaines, un Lockheed F-22 Raptor, chasseur américain, se serait écrasé hier en fin d’après-midi ou dans la nuit de dimanche à lundi au nord de la Jordanie. Or, ces sources militaires semblent aussi affirmer que cet avion, le Lockheed F-22 Raptor, a été simplement abattu par des missiles syriens lorsqu’il tenta d’entrer au-delà de la frontière syrienne. Si cette information se confirme, le spectre d’une attaque sur la Syrie s’éloigne, d’autant plus que, cette fois-ci, la Syrie est plus vigilante et a la main sur la gachette, s’attendant à toutes les éventualités.
Le Los Angeles Times affirme quant à lui que, les forces de défense syriennes ont abattu quatre missiles Tomahawk lancé par les Américains sur la Syrie. Si c’est le cas, alors que ces engins de la mort font partie du nec plus ultra des missiles de croisière, il faut avouer que ça va être simplement la fin des vélléités guerrières des personnes comme Obama ou encore son rantanplan, François Hollande. Enfin, espérons…
Selon ces mêmes sources, ces missiles auraient été lancés pour tester le degré de protection des forces syriennes.
La Syrie, attaquée? Que fera l'Iran?
Jusqu’à l’après-midi du 28 août, il n’y avait pas eu de position iranienne
claire sur la possibilité d’une frappe militaire contre la Syrie. Selon une source d’Al-Monitor à Téhéran, les Iraniens étaient, bien sûr, en train d’évaluer la situation, pesant les options possibles et préparant leurs plans en conformité avec les derniers développements.
L’ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême de l’Iran, a dit avoir eu toutes les options sur la table quand il a rencontré à un moment resté secret les officiers supérieurs des Gardiens de la Révolution et ses plus proches conseillers militaires. Notre informateur a reconnu : « Il y a un contact permanent avec le Hezbollah au Liban et avec la Syrie », soulignant que le « bloc de la résistance » [l’Iran, le Hezbollah au Liban et le régime syrien] attendait ce moment depuis le début de la crise en 2011.
Le premier mouvement des Iraniens était de se tourner vers leurs alliés les plus puissants, les Chinois et les Russes, en envoyant un message clair à ces deux pays le 26 août : « L’Iran défendra la Syrie jusqu’à la fin. Nous maintiendrons notre alliance, même si vous décidez de l’abandonner. Nous serons avec la Syrie jusqu’à notre dernier souffle. » Ce message a été suivi de plusieurs autres initiatives, y compris en s’adressant directement aux pays capables de transmettre des messages aux États-Unis et au Royaume-Uni.
La source d’Al -Monitor révèle encore : « L’Iran est célèbre pour sa diplomatie au sang-froid, et c’est pourquoi ils ont toujours été lents, mais sûrs, dans leurs initiatives. » Elle ajoute : « Ceux qui menacent la Syrie ont entendu un message très clair : l’ampleur d’une telle guerre ne peut pas être contrôlée, et l’Iran et ses alliés dans la région ne laisseront pas la Syrie s’écrouler. »
Le 26 août , nous avons appris que le secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l’ONU , M. Jeffrey Feltman - un ancien diplomate américain - avait demandé aux Iraniens de rester calme en cas de frappes aériennes contre la Syrie. L’Iran a pris l’avertissement au sérieux et a commencé à chercher les façons de prémunir Damas contre une telle attaque.
« Les Américains disent que les frappes seront limitées et qu c’est essentiel pour le rétablissement de l’équilibre des forces avant d’aller à [la conférence de] Genève II, » a déclaré notre informateur à Al -Monitor. « L’Iran ne donnera en aucun cas sa bénédiction à une telle attaque et elle exercera toutes les pressions possibles pour l’empêcher, mais si cela arrive, alors nous allons faire ce qui devra être fait. »
Dans le dictionnaire iranien, « ce qui devra être fait » peut signifier tout ce que l’on veut - de ne rien faire jusqu’à lancer une guerre, comme à quelque chose entre les deux. Tenant compte de tout le soutien que Téhéran et le Hezbollah ont fourni au président syrien Bachar al-Assad au cours des deux dernières années, il est difficile d’imaginer qu’ils vont laisser passer une attaque sans une réplique, tôt ou tard.
Le 28 août , un déluge de déclarations de hauts responsables politiques et militaires iraniens a soudainement frappé les médias. Ce jour-là , lors d’une rencontre avec le président Hassan Rouhani, Khamenei a averti : « l’intervention de l’Amérique sera une catastrophe pour la région. La région est comme une poudrière, et l’avenir ne peut être prédit ». Quelques instants plus tard, Rouhani a ajouté son point de vue sur la situation en déclarant : « Les peuples du Moyen -Orient n’accepteront pas une nouvelle guerre, et tout aventure [militaire] dans la région mettra en très grand danger sa stabilité et celle du monde, et ne fera que conduire à la propagation de l’extrémisme et du terrorisme ».
Le Ministre des Affaires étrangères Mohammad Jawad Zarif, et le porte-parole du Parlement, Ali Larijani, ont tous les deux mis en garde contre les conséquences désastreuses d’une guerre. La source d’Al -Monitor a expliqué : « Qui peut garantir une frappe limitée ou illimitée ? Personne. » Elle a ajouté : « Cela me rappelle la guerre contre la Libye il y a quelques années. Ils ont trompé le Conseil de sécurité des Nations unies et les Russes en affirmant qu’ils allaient mettre en place une zone d’exclusion aérienne, puis ils ont commencé à tout faire jusqu’à ce qu’ils aient renversé et tué [le dirigeant libyen Mouammar ] Kadhafi. S’ils veulent faire la même chose [ en Syrie ], ils devront d’abord marcher sur nos cadavres. »
Les Iraniens pensent que leur message a été « étudié attentivement par les Américains » et qu’une « frappe sur la Syrie pourrait conduire à une guerre généralisée qui pourrait être pire que tout. »
Plus tard, d’autres officiels iraniens ont publié des déclarations, dont le général Qassem Soleimani , commandant des Forces al-Qods des Gardiens de la Révolution, qui a dit explicitement que al-Sham - c’est-à-dire la Syrie et le Liban - représentent une ligne rouge pour l’Iran et qu’il sera le cimetière des Américains . et il le sera....



















