تقي زاده

تقي زاده

Lors d'une rencontre avec le Secrétaire général du mouvement de la Jihad islamique de Palestine, Ramadan Abdollah, à Téhéran, la capitale Perse, le guide suprême a décrit la défaite du régime israélien pour la population assiégée de Gaza comme l'accomplissement de la promesse divine concernant et au prologue de victoires à l'avenir.

Dans ce contexte, attribué le merveilleux soutien fourni par la nation palestinienne dans leurs combattants et la résistance montré par le peuple contre le bombardement continu et l'abattage de plus de deux mille personnes, dont des femmes et des enfants à la grâce divine.

" Par des calculs normales, le régime sioniste, en tenant l'appareil que vous avez, si avez fait avec la bande de Gaza dans les premiers jours du conflit que nous avons vu non seulement échoué dans ses objectifs, mais fait marche arrière sur les conditions de la Résistance " a-t-il ajouté.

Le chef spirituel persan, a exprimé la joie et la fierté de la nation et la République islamique d'Iran par la résistance et le courage démontré par la Palestine et a exprimé l'espoir que la résistance de nouveaux progrès jusqu'à la victoire finale.

Après avoir averti de la possibilité d’attaques répétées par le régime israélien, a souligné la nécessité de la résistance palestinienne forces continuent de s'entraîner et en même temps augmenter les ressources dont ils disposent au sein de la zone côtière en bordure de la bande de Gaza.

Enfin, il décrit la solidarité entre la Cisjordanie et la bande de Gaza comme une question importante pour laquelle vous devez faire des plans et que « cette guerre qui est destinée, il est crucial que l'ennemi se sentir le même souci de la Cisjordanie se sent maintenant Gaza “.

L’ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, a visité le Centre informatique des sciences islamiques à Qom. Accompagné par Cheikh Sadiq Golru, vice-secrétaire général de la culture du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique, l’ayatollah Araki s’est informé des activités, des acquis et des projets d’avenir du Centre.
Lors de cette visite, un accorde d’entente a été signé entre le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamique et le Centre informatique des sciences islamiques.

Cet accord d’entente a été signé entre le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques et le Centre informatique des sciences islamiques dans le but de développer les coopérations entre les deux organisations.

Les axes de la coopération sont :
La coopération dans les domaines de digital ; les revues digitales, la bibliothèque digitale, le standard, les multi médias spéciaux pour les portables.

La coopération dans le domaine des contenus.

La coopération pour la tenue des expositions diverses.

Prendre part dans l’élaboration des logiciels islamique.

L’échange des expériences internationales, culturelles, scientifique et l’utilisation des avis des spécialistes.

La création d’une banque de logicielles des sciences islamiques.

L’échange des contenues, des sources, des textes et des manuscrites anciennes.

L’échange et la coopération dans le domaine des instructions utiles dans le domaine de l’informatique.

La coopération dans le domaine de l’information et de l’espace virtuel.

Il est à noter que le Centre informatique des sciences islamiques est une organisation scientifique qui veut faciliter l’accès aux textes et aux sources islamique dans le domaine de l’informatique.

Le chef du bureau politique du Mouvement de la résistance islamique en Palestine, Khaled Machaal a appelé jeudi tous les musulmans à défendre Al Aqsa.

Selon l’agence de presse palestinienne Maa, Machaal qui réside à Doha, capitale qatarie, a averti jeudi que le régime sioniste cherchait à dominer le centre de l’Intifada palestinien en 2000.
“Je demande à la communauté musulmane de se lever pour défendre Al Aqsa. J’appelle cette communauté à défendre Al Quds et Al Aqsa et je demande à ma propre nation de se précipiter en direction d’Al Aqsa pour la défendre.”
Des affrontements ont eu lieu durant la semaine écoulées entre Palestiniens et colons sionistes qui cherchent à contrôler la mosquée Al Aqsa.
Machaal a souligné : “Je félicite les hommes, les femmes et les combattants qui se trouvent à l’intérieur d’Al Aqsa pour défendre la mosquée contre l’ennemi.”
“Le régime usurpateur de Quds profite des violences dans la région notamment en Syrie et en Irak pour prendre en main le contrôle d’Al Aqsa”, a-t-il ajouté.

Comment réagissent les gens face à une agression verbale vis à vis d’un musulman en pleine rue ? C’est la question que s’est posée l’association d’étudiants musulmans de l’Université australienne de Macquarie (MUMSA) à Sydney.

En effet, ils ont mené une expérience sociale en pleine rue. Le principe est simple : simuler une agression verbale d’un homme (fictivement islamophobe) à l’égard de musulmans et observer la réaction des passants. L’objectif est de constater si les australiens défendent l’islamophobie, l’ignorent ou la condamnent.
Kamal Saleh, membre de la MUMSA a déclaré que le but était de « tester la façon dont l’islamophobie était profondément enracinée ou pas dans la société au sens large » [...] Nous avons donc décidé de mettre en scène une expérience sociale au milieu de Hyde Park, Sydney pour voir comment les passants répondaient à une attaque immédiate « islamophobe » se produisant devant eux », des propos relevés par Huffington Post.
Les réactions de ces passants (filmés en caméra cachée) sont des plus admirables. En effet, les australiens ont pris la défense d’une sœur voilée qui se faisait insulter par un acteur (un étudiant de l’association), puis celle d’un jeune australien qui se faisait accuser de « terrorisme ».
Comme le souligne Kamal Saleh, « cette vidéo montre que l’islamophobie n’est pas la bienvenue ici ». Hannah El-Gashingi, président de l’association qui jouait le rôle d’une victime, a déclaré : « les réponses que nous avons obtenues étaient incroyables. J’ai été très surpris par les résultats ». La totalité des passants sont en effet intervenus en faveur des victimes musulmanes et sont même aller jusqu’à suggérer à l’agresseur d’aller vivre ailleurs si les musulmans et leurs tenues vestimentaires le dérangeaient.
Un bel exemple de solidarité, de tolérance et de respect est donc démontré par cette expérience. Les réactions sont tellement belles qu’elles méritent d’être visionnées.

Le nombre de reconvertis à l’Islam croît chaque année à travers le monde. Aujourd’hui c’est à la rencontre d’une maman américaine reconvertie à l’Islam que nous partons. Cette maman nommée Kristin Szremski a témoigné pour le quotidien Huffington Post.  

Âgée de 53 ans et originaire de Palo Hills, dans l’Illinois, cette catholique a embrassé l’Islam à 40 ans. Sa joie fut indescriptible lorsqu’elle a été tirée au sort afin de pouvoir accomplir le Hajj cette année.
Kristin Szremski s’est reconvertie à l’Islam alors qu’elle était journaliste et qu’elle devait effectuer un reportage auprès de musulmans. Elle raconte qu’elle ne connaissait rien à l’Islam avant cette mission. Durant six semaines, elle a interrogé de nombreux musulmans et s’est donc peu à peu intéressée à la religion musulmane. « J’adore l’Islam en raison de sa pureté, sa simplicité et sa vérité. Les musulmans que j’avais rencontrés étaient vraiment agréables, patients et les bien éduqués ».
Cette ancienne catholique avait appris à l’église que Jésus (‘alayhi salam) était le dernier prophète. C’est ainsi qu’elle confie : « La partie la plus difficile a été d’abandonner ma conviction que Jésus était le fils de Dieu. En fin de compte, ce sont les passages du Coran où Dieu nous dit qu’il n’a pas été engendré ni n’a engendré qui m’ont finalement aidée. En outre, Jésus occupe une place importante dans l’Islam donc je ne l’ai pas abandonné mais juste l’idée qu’il est Dieu ».
La sœur a accompli le Hajj cette année pour la première fois de sa vie. Elle évoque ce voyage unique en ces termes : « Les musulmans prient en direction de la Kaaba, où qu’ils soient dans le monde. Être en présence de Dieu à la Mecque, au centre de la Terre, d’où viennent Adam et Eve à la terre du jardin d’Eden, où Abraham et Ismaël ont reconstruit la Kaaba, et où Muhammad (paix soit sur lui) a vécu et a reçu ses premières révélations de Dieu est une expérience extrêmement vivifiante et revigorante. Le fait de voir la Kaaba juste en face de moi, après toutes ces années était un moment fort que je n’oublierai jamais ». C’est ainsi que Kristin Szremski parle du Hajj qu’elle a accompli avec une grande émotion.
Le témoignage de cette sœur est très émouvant et plein de sagesse. Elle se dit apaisée par ce voyage : « Ce que j’attendais le plus de ce voyage était de trouver une relation plus profonde avec mon Créateur, de me rendre à l’endroit où je suis certaine de ma conviction que Dieu est tout ce que je dont j’ai et j’aurai toujours besoin. »

dimanche, 19 octobre 2014 02:00

Deux films iraniens dans les salles de Tunis

Trois films iraniens « Un berceau pour maman », « Un baiser à la lune » d’Homayoun Assadian, et « La route bleue de la soie » de Mohamad Bozorgnia, sont actuellement diffusés dans les salles de cinéma de Tunis à l’occasion de la semaine iranienne de la culture inaugurée le 13 octobre 2014.  

Selon l’agence internationale de presse coranique (IQNA), les représentations ont commencé le 15 octobre 2014 avec le film « Le bassin du dessin » en présence des ministres de la culture des deux pays et de Manutcher Mohamadi, réalisateur du film « Jeudi après midi ».
Avant la représentation, Morad Al Sakeli, ministre tunisien de la culture, a remis un prix à Sadegh Ramazani Golafza’i, attaché culturel iranien, pour le remercier de ses efforts pour le développement des relations entre les deux pays.
L’Hodjat-ol-islam Mostafa Brujerdi, ambassadeur iranien en Tunisie, participait à cette réunion ainsi que Mehrdad Hassani, réalisateur du film « Silence » et Ali Jannati, ministre iranien de la culture, qui ont tous les deux reçu des prix et des récompenses.
Mehrdad Hassani a reçu le prix de la compétition du court métrage « Ghalibie » puis le film « Le bassin du dessin » a été diffusé sous titré en arabe.
Cette manifestation culturelle était organisée par le Conseil culturel des relations islamiques et l’attaché culturel de la république islamique d’Iran en Tunisie, dans le cadre des actions de coopération culturelle entre les deux pays.

Le secrétaire d?État américain John Kerry est arrivé mercredi matin à Vienne pour poursuivre les discussions sur le dossier nucléaire iranien, dans lequel il juge un accord avec Téhéran "pas hors de portée".
"Je ne crois pas qu'il soit hors de portée, mais nous avons des questions difficiles à résoudre", a déclaré avant son départ de Paris M. Kerry, attendu dans la capitale autrichienne par son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif.

Le temps presse, à six semaines de la date butoir fixée pour parvenir à un accord global. Dans ce contexte, M. Zarif s'est voulu également optimiste, affirmant à la télévision d'État iranienne que "les différences notables" entre les grandes puissances du "5+1" (Allemagne, Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) et l'Iran n'étaient "pas insurmontables".

Les "5+1" et l'Iran tentent d'aboutir d'ici à cette date à un accord historique définitif sur l'épineux dossier du nucléaire iranien, pour mettre fin au différend qui empoisonne les relations internationales depuis douze ans.

"Toutes les questions sont liées et il est nécessaire d'aboutir à un résultat pour toutes les questions", a précisé le ministre iranien après avoir rencontré mardi soir la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, qui se trouve aussi à Vienne.

Il a reconnu que les "discussions prennent du temps et il se peut qu'on ait besoin de plus de temps pour discuter de ces solutions", suggérant à nouveau qu'un report de la date-limite du 24 novembre était envisageable.

- Date butoir "pas sacrée" -


Le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov, à l'issue de sa rencontre mardi soir avec M. Kerry à Paris, a également abondé dans ce sens, estimant que le 24 novembre "n'est pas une date sacrée".

La rencontre entre Mme Ashton, M. Zarif et M. Kerry est programmée à la mi-journée dans la capitale autrichienne.

Les discussions doivent être suivies jeudi, toujours dans la capitale autrichienne, d'un "mini-round" des négociations associant tous les acteurs du dossier (Iran et "5+1") au niveau des directeurs politiques.

Les grandes puissances, qui soupçonnent l'Iran de chercher à se doter de capacités nucléaires militaires - ce que Téhéran dément - exigent que la république islamique réduise drastiquement ses capacités.

L'Iran a toujours affirmé mener un programme strictement pacifique et revendique le droit d'exploiter une filière nucléaire civile complète, notamment pour produire de l'électricité et pour des programmes de traitement médicaux de certains cancers.

Un accord partiel a été conclu en novembre 2013, selon lequel Téhéran a réduit certaines de ses activités en échange d'un allègement des sanctions à hauteur de 7 milliards de dollars.

Mais faute de nouveaux progrès significatifs, la date initialement prévue du 20 juillet pour parvenir à un accord global a dû être repoussée au 24 novembre.

- Avancée pour plus de temps -


Malgré une reprise des négociations formelles le mois dernier à New York, les deux camps reconnaissent que "plusieurs" points de divergence importants subsistent.

Le principal désaccord porte sur les capacités de Téhéran à produire de l'uranium enrichi

La durée de validité d'un éventuel accord et le rythme de levée des sanctions restent également très débattus, Washington souhaitant un accord portant sur au moins dix ans et Téhéran sur beaucoup moins.

Un nombre croissant d'analystes estiment désormais improbable qu'un accord global puisse être conclu dans les délais et évoquent la possibilité d'un nouvel accord intérimaire.

"Un accord général d'ici au 24 novembre ne semble plus probable. En revanche, il est possible d'arriver à une avancée qui justifierait de se donner plus de temps", et de fixer une nouvelle date, estime Ali Vaez, de l'institut International Crisis Group, interrogé par l'AFP.

Selon l'analyste Kelsey Davenport, de l'organisation américaine Arms Control Association, il est cependant "probable" que les faucons dans les deux camps "s'opposent à un nouveau délai et tentent de faire échouer les négociations".

Branle-bas de combat.
L'ONU s'est emparée du sujet. Les ministres de la Santé de l'Union européenne tiendront, jeudi prochain, une réunion extraordinaire. Les Etats-Unis n'ont pas attendu, pour intervenir, militairement, au Libéria. Il est même question de créer un OTAN «médical». La France a institué des contrôles sanitaires, dans ses aéroports. C'est tout l'Occident, qui s'apprête à partir en guerre contre... le virus Ebola. Ce n'est, malheureusement, pas, dans le sens figuré. Des interventions militaires, à l'instar de celle des Etats-Unis, au Libéria, dans les pays d'Afrique de l'Ouest, touchés par l'épidémie, sont en cours de préparation. L'OMS a annoncé que le virus a fait plus de 4.000 morts. Elle prévient, également, que le taux de létalité du virus peut atteindre 90%. Elle déclare qu'il y a cinq espèces d'Ebola. Celui qui sévit, en Afrique de l'Ouest, est de l'espèce «Zaïre». Les premiers «producteurs» du virus seraient les chauves-souris, qui ont contaminé l'homme. Depuis, c'est la transmission interhumaine. C'est que ce virus ne date pas d'hier. Sa première apparition date de 1976, avec près de 500 morts, en RDC et au Soudan. Puis, il y a comme une accalmie, jusqu'en 1995, où il ressurgit, brusquement, en RDC, entraînant la mort de plus de 250 personnes. Autre accalmie et résurgence, cette fois, en Ouganda, où il contamine plus de 400 personnes et en tue la moitié. C'était en 2000. Il re-flambe, en 2003, au Congo, avec 128 morts. «Rémission» de quatre années, puis, il revient, en 2007, en RDC et en Ouganda. Plus de 200 morts. Il se «repose» 7 ans et revient, cette fois, en Afrique de l'Ouest, où il sévit, actuellement, avec, au «compteu», plus de 4.000 morts. Un parcours difficile à expliquer, scientifiquement. Un parcours, qui ressemble à des «sorties» ratées. La dernière étant la plus mortelle. De plus, et 38 ans après sa première apparition, aucun traitement, ni vaccin, n'ont pu être mis au point. Ce n'est que très récemment, que le monde a appris l'existence, en Occident, de traitements expérimentaux. Ce qui a permis d'utiliser quelques spécimens, dans des cas précis. Autre particularité de la version 2014 du virus Ebola, des pays occidentaux et non des moindres, comme les Etats-Unis, le Canada, l'Espagne, l'Allemagne, ont eu, sur leur sol, des cas. Très peu. Un ou deux cas. Mais cela a suffi pour faire monter la mayonnaise. Et surtout justifier les «aides». Humanitaires. Financières. Et même...militaires. D'où l'évocation d'un Otan «médical». Avec une formule plus nuancée, l'Union européenne parle «d'un mécanisme de transport aérien stratégique», pour évacuer les travailleurs de la santé des organisations humanitaires. Autres signes de mauvais augure. Les couvertures médiatiques appuyées des «grèves» des croque-morts, qui réclament d'être payés, sinon ils n'enterreront plus les malades du virus. Un malade du virus, qui «s'échappe» d'un centre de confinement, pour semer la panique, dans les rues. Sans compter des villes entières, où la population n'a pas le droit de sortir plusieurs jours. Autant d'ingrédients, qui nécessitent, effectivement, des forces d'intervention, pour assurer l'ordre. Et pour clore ce tableau noir, l'OMS annonce, presque à voix basse, qu'une gamme de traitements, ainsi que deux vaccins «potentiels», sont en cours d'évaluation de «l'innocuité», chez l'homme. Par qui et où? L'OMS ne le dit pas. Par contre, la Russie, par la voix du vice-Premier ministre, Olga Golodets, a annoncé, lundi dernier, que «le développement d'un vaccin contre le virus Ebola touche à sa fin». En outre, la Russie va envoyer, en Afrique de l'Ouest, un antiviral, efficacement, utilisé contre «un cousin» d'Ebola. Cette voix d'espoir n'est pas répercutée par les médias occidentaux. Ni par l'OMS. Pourquoi? Cela gênerait-il les préparatifs militaires en cours? Aucun autre argument n'est avancé!

Selon les historiens, en retour du dernier pèlerinage (pèlerinage d’Adieu), dans un endroit appelé « Ghadir Khumm », accompagné par des milliers de pèlerins de la Maison de Dieu, le Noble Prophète de l’Islam (PSL) a rassemblé les gens pour leur annoncer qu’il était porteur d’un message qu’il avait pour devoir de le communiquer dans les plus brefs délais et que dans le cas échéant, sa mission resterait incomplète.1

Au cours de cette audience, le Prophète (PSL) a demandé aux gens : الست اولی بکم؟ « Est-ce que je n’avais pas été votre dirigeant et dans la gestion de vos affaires, je n’avais pas la supériorité sur vous ? »
Après avoir entendu l’affirmation des participants sur son vilayat, le Prophète a continué : من کنت مولاه فهذا علی مولاه« Quiconque dont je suis le seigneur, Ali est alors son seigneur ». Puis descendit un verset qui confirmait la plénitude de l’Islam et la satisfaction de Dieu de cette noble religion. 2
Cet événement a été inscrit dans les livres de tradition et d’histoire musulmans comme un événement historique certain et plus de 360 religieux musulmans l’ont rapporté. 3 Des livres indépendants traitent également cet événement. C’est pourquoi, il n’existe aucun doute sur les circonstances de cet événement et la transmission d’un tel message de la part du Noble Prophète (PSL) et s’il existe des divergences au sein des chiites et des sunnites, elles viennent du niveau de la conception du contenu de ce message.
Les chiites estiment que le contenu du message concerne la nomination d’Ali (AS) au poste de vilayat des musulmans et certains sunnites, justifient le message, en disant que le vilayat ne signifie pas le califat, mais que le Prophète de l’Islam (PSL) a voulu par là, présenter Ali (AS) comme une personne qui doit faire l’objet de l’affection et du respect de tout le monde. 4
Pour les chiites, le hadith comporte des témoignages qui ne laissent aucun doute que l’événement de Ghadir annonçait officiellement le califat de l’honorable Ali (AS).
Références :
1. O messager, communique ce qui a été descendu vers toi de la part de ton Seigneur, si tu ne le faisais pas, alors tu n’aurais pas communiqué Son message. ( Plateau servi, verset 67).
2. Aujourd’hui, J’ai parachevé pour vous votre religion et accompli sur vous Mon bienfait. Et il M’agrée que la Soumission soit votre religion. (Plateau servi, verset 3)
3. Allameh Amini, Al Ghadir, vol. 1, pp 14-15.
4. Allameh Sayed Charafeddin, Al Morajeat, lettre 57.

le journal libanais et proche du courant du 14 mars, citant des sources irakiennes anonymes affirme que " l'Etat irakien a appelé le chef de la force Qods, force élite du Corps des Gardiens de la Révolution islamique" à lui apporter aide et assisstance! " Bagdad est en danger. En ce sens, les commandants militaires et sécuritaires irakiens ont tenu des réunions d'urgence au siège de l'ambassade américaine à Bagdad ( ndlr : une véritable complexe militaire-administratif avec ses 2000 employés !!) ainsi qu'au ministère irakien de la Défense pour évoquer en détail une feuille de route destinée à neutraliser la très probable offensive d'envergure de Daech contre la capitale" et le journal de prétendre : " le gouvernement irakien a lancé un appel d'aide au commandant en chef de la force de Qods et aux conseillers militaires iraniens pour faire face à toute éventuelle détérioration de la situation sécuritaire". Le journal ajoute un dernier détail : " le général Soleymani suirt de très près le cours des combats contre Daech et les démarches entreprises par les forces irakiennes dans des zones sécuritaires de Bagdad. il supervise aussi l'envoie des forces volontaires supplémentaires sur le front de combat et ce dans l'objectif strict d'éviter toute " fissure" dans le camp des forces irakiennes face à Daech". les sources iraniennes n'ont pas encore réagi à cette information mais une chose est sûre: le front de combat à Al Anbar a connu une très forte déterioration ces derniers jours et une base militaire des forces irakiennes est tombées lundi entre les mains des terroristes qui contrôlent quelques 70% de la province d'Al Anbar désormais. Si les terroristes parviennent à s'emparer de cette province stratégique, ils seront en mesure d'encercler Bagdad et de là à lancer des attaques contre la capitale. dès hier, les foprces de l'armée Badr ont été chargées de partir à Al Anbar. selon des sources informées, près de 13000 terroristes se sont massés aux portes de la capitale et comptent la prendre d'assaut depuis le sud-ouest.