
تقي زاده
18 Dhul-Hajja, Le jour de Ghadir khom
C'était le 18 Dhul-Hajja, 10AH
Al Hakem a rapporté de Zayd ibn Arqam qui a dit que : Lorsque l'envoyé de Dieu(s) était revenu du pèlerinage d'adieu, il était stationné à Ghadîr Khom(entre la Mecque et Médine).
Le Prophète(s) poursuit :
«Je vous laisse deux choses lourdes. La plus grande d'elles est le Livre de Dieu qu'Il soit Exalté. L'autre chose lourde est ma famille, les Gens de ma Maison(Mon Ahlulbayte). Ces deux choses ne se sépareront jamais jusqu'à ce qu'elles me rejoignent au paradis. Je vous rappelle, au Nom d’Allah , mes Ahlul-Bayt. (Il a répété 3 fois)
Ensuite il dit : Dieu est mon Gardien et je suis le gardien de tous les croyants ».
«N’ai-je pas sur les croyants plus d’autorité qu’ils n’ont sur eux-mêmes » ? « Mais si, répondirent-ils ». « Seigneur ! Sois-en témoin. Répliqua-t-il».
Puis il a prit la main de Ali ibn AbiTalib et la leva haut, il s'écria : « Celui dont je suis le maître, Ali est son maître, ensuite il leva les mains au ciel et invoqua Dieu : « O Allah, sois l’ami de celui qui est son ami et sois l’ennemi de celui qui est son ennemi. Aide celui l’aide et abandonne celui qui l’abandonne, et fais que la vérité soit avec lui là où il se dirige. Ai-je transmis le message ? Seigneur ! Sois-en témoin ».
Les compagnons s'avançaient par groupes vers Ali pour le féliciter !...
Trente compagnons du Prophète (pslf) ont rapporté ce hadith et la plupart des chaînes de transmission sont reconnues soit comme authentiques soit comme bons.
Cette hadith est authentifié par Albani, se trouve dans plusieurs sources sunnites (complet ou partiel) comme:
*Sahih Muslim, vol. 4, p. 1873, hadith no. 2408.
*Al-Tirmidhi, al-Sunan, vol. 6, p. 79, hadith no. 371.
*Al-Albani, Sahih Sunan al-Tirmidhi, vol. 5, p. 633, 366 et Vol.4, p.331.
*Al-Haythami, Majma‘ al-Zawa’id, vol. 9, p. 104.
*Al-Nisa’i, al-Sunan al-Kubra, vol. 5, p. 131, hadith no. 8469.
*Ibn Majah, al-Sunan, vol. 1, p. 43, hadith no. 116.
*Ahmad b. Hanbal, al-Musnad, vol. 5, p. 501, hadith no. 18838.
*Al-Bukhari, Ta'rikh [al-Kabir], volume 1, part 1, page 375
L’Iran affirme que la résolution de l’AIEA est motivée par des considérations politiques et dénuée de tout fondement technique ou juridique
L’Iran a condamné une résolution « politiquement motivée » adoptée par le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), affirmant qu’elle ne repose sur aucune base technique et juridique.
L’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) et le ministère des Affaires étrangères ont publié, jeudi, un communiqué conjoint après l’adoption par le Conseil des gouverneurs, composé de 35 États membres, d’une résolution accusant l’Iran de « non-respect » de ses engagements nucléaires.
La résolution, rédigée par les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne, a été adoptée par 19 voix pour, 3 contre et 11 abstentions. La Russie, la Chine et le Burkina Faso ont voté contre. Parmi les pays qui se sont abstenus figuraient l’Afrique du Sud, l’Inde, le Pakistan, l’Égypte, l’Indonésie et le Brésil.
« Comme nous l’avons déjà annoncé, la République islamique d’Iran n’a d’autre choix que de répondre à cette résolution politique », indique le communiqué conjoint publié en réaction à l’adoption du texte.
Le communiqué précise que le président de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), Mohammad Eslami, a donné les instructions nécessaires pour construire un nouveau centre d’enrichissement dans un endroit sûr.
« Le nouveau site remplacera les centrifugeuses d’enrichissement de première génération de l’installation nucléaire de Fordow par des centrifugeuses avancées de sixième génération », a-t-il été précisé.
Le ministère iranien des Affaires étrangères et l’Organisation de l’énergie atomique d’Iran (OIEA) ont déclaré que la résolution adoptée constituait une nouvelle instrumentalisation du Conseil des gouverneurs, motivée par des considérations politiques et dénuée de fondements techniques et juridiques.
Les autorités iraniennes ont une nouvelle fois réaffirmé l’attachement absolu de la République islamique d’Iran aux garanties de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), soulignant qu’aucun des rapports émanant de cette instance n’a jamais fait état de violations ou d’anomalies dans les activités nucléaires de l’Iran.
Les centres d’aide humanitaire sont devenus des pièges mortels pour les Gazaouis
Lors de son discours hebdomadaire, le leader d’Ansarallah yéménite s’est penché sur les évolutions palestiniennes et a déclaré : « L’ennemi sioniste a transformé les centres de distribution d’aide en lieu d’exécution ».
Le leader du mouvement Ansarallah au Yémen, dans son discours hebdomadaire sur les derniers développements en Palestine, a déclaré que l’ennemi sioniste a transformé les centres de distribution d’aide humanitaire en pièges mortels et en centres d’exécution.
Abdelmalik Al-Houthi, leader du mouvement yéménite Ansarallah, a annoncé dans un discours prononcé ce jeudi 12 juin dans l’après-midi que l’ennemi sioniste a commis des crimes cette semaine qui ont fait plus de 2 400 martyrs et blessés.
Il a souligné que l’ennemi sioniste a commis des crimes cette semaine tuant ou blessant plus de 2 400 personnes.
Al-Houthi a souligné que l’ennemi sioniste a transformé les centres de distribution d’aide humanitaire en pièges mortels et en centres d’exécution.
« L’ennemi sioniste empêche l’aide humanitaire d’entrer à Gaza depuis plus de cent jours », a-t-il précisé.
Il a également évoqué la prise pour cible des centres de distribution d’aide humanitaire à Gaza et a déclaré : « prendre pour cible les personnes qui attendent de l’aide est le crime le plus odieux. »
« L’ennemi américain est en train de planifier un génocide par la famine, les pièges mortels et les centres d’exécution », a-t-il averti.
L'Iran « est prêt à faire face à tous les scénarios », déclare le commandant en chef du CGRI, face à l'escalade des menaces
Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a exprimé la pleine préparation de l’Iran à faire face à tout acte d’agression dans un contexte de menaces croissantes d’action militaire contre le pays.
Le général de division Hossein Salami a fait ces déclarations ce jeudi 12 juin alors que des rapports indiquaient que les États-Unis avaient placé leurs ambassades et leurs bases militaires à travers l’Asie de l’Ouest en état d’alerte maximale en raison des craintes d’une éventuelle frappe israélienne contre l’Iran.
« L’ennemi nous menace parfois d’une action militaire. Nous avons toujours affirmé, et nous répétons aujourd’hui que nous sommes pleinement prêts à faire face à tous les scénarios, situations et circonstances », a-t-il déclaré.
« Nous sommes aguerris et expérimentés, nous avons renforcé nos forces et développé des stratégies dans nos plans. Nous surveillons de près l’armée ennemie et nous avons mis nos plans en pratique. »
Il a également déclaré que l’ennemi pense qu’il peut combattre l’Iran de la même manière qu’il combat les Palestiniens opprimés à Gaza, qui sont sans défense et sous le siège israélien.
Des documents secrets saisis par l'Iran révèlent une étroite coopération du chef de l'AIEA avec Israël
Des milliers de documents sensibles sur le programme nucléaire israélien récemment obtenus par les services de renseignement iraniens révèlent une coopération directe entre Tel-Aviv et le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, contre l’Iran.
La chaîne de télévision iranienne en langue arabe Al-Alam a déclaré ce jeudi 12 juin dans un reportage que des documents divulgués révélaient une avancée majeure des services de renseignement contre le régime israélien.
Les documents récemment publiés montrent que le directeur général de l’AIEA a coopéré étroitement avec les responsables israéliens et a exécuté leurs directives et ordres dans leur intégralité, indique le rapport.
Cela soulève des questions sur la neutralité et l’indépendance de l’AIEA, a-t-il ajouté.
Un rapport récent de l’agence de presse Fars a également déclaré que l’agence atomique de l’ONU était devenue un outil au service des intérêts du régime sioniste.
« Ces documents montrent clairement qu’au lieu de jouer un rôle neutre, l’AIEA est devenue un instrument au service des objectifs du régime sioniste », a déclaré l’agence Fars citant une source bien informée.
Le rapport a noté que plusieurs scientifiques nucléaires iraniens de haut niveau ont fini par être assassinés parce que leurs noms ont été divulgués par l’AIEA.
Crash en Inde : l’Iran présente ses condoléances
À la suite du crash tragique d’un avion de ligne en Inde, le président de la République islamique d’Iran, Massoud Pezeshkian, a adressé un message de condoléances à son homologue indienne, Mme Droupadi Murmu.
Dans ce message, le président iranien a déploré la perte douloureuse d’un grand nombre de citoyens indiens dans cet accident dramatique, priant Dieu Tout-Puissant d’accorder Sa miséricorde et Son pardon aux victimes, ainsi que patience et réconfort à leurs proches.
Par ailleurs, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ismaïl Baghaï, a également exprimé sa profonde compassion à l’égard des familles sinistrées par cette tragédie. Il a souligné la solidarité de la République islamique d’Iran avec le gouvernement et le peuple indiens, tout en implorant Dieu de répandre Sa paix et Sa miséricorde sur les âmes des victimes.
Ce jeudi 12 juin, un Boeing 787‑8 Dreamliner en provenance d’Ahmedabad à destination de Londres s’est écrasé dans la ville indienne et la majorité de ses 242 passagers à bord ont été tués.
L’appareil, opéré par Air India, venait de décoller jeudi peu après 13h39 (heure locale, 8h09 GMT) en direction de Gatwick, lorsqu’un appel d’urgence « Mayday » a été transmis avant que le contact ne soit perdu.
L’avion s’est écrasé sur un édifice accueillant des médecins et leurs familles, ainsi que sur la cantine du BJ Medical College, alors que des étudiants de médecine y prenaient leur déjeuner.
Le commissaire de police d’Ahmedabad, GS Malik, a indiqué que les secours, appuyés par l’armée, avaient retrouvé 204 corps, incluant des passagers et des victimes au sol. Ahmedabad, ville de huit millions d’habitants située dans l’État du Gujarat, possède un aéroport très fréquenté bordé de zones résidentielles denses.
Un médecin contacté par l’AFP, Krishna, a raconté que « la moitié de l’avion s’est écrasée dans l’immeuble résidentiel où vivaient des médecins avec leurs familles, tandis que le nez et la roue ont percuté la cantine où les étudiants déjeunaient ».
L’autorité de l’aviation civile indienne a confirmé la présence à bord de 242 personnes, dont deux pilotes et dix membres d’équipage de cabine. Air India a précisé que le vol comptait 169 passagers indiens, 53 Britanniques, sept Portugais et un Canadien.
Crash du Boeing d’Air India : le bilan grimpe à plus de 260 morts
Un Boeing 787‑8 Dreamliner en provenance d’Ahmedabad à destination de Londres s’est écrasé dans la ville indienne et la majorité de ses 242 passagers à bord ont été tués.
L’appareil, opéré par Air India, venait de décoller jeudi peu après 13h39 (heure locale, 8h09 GMT) en direction de Gatwick, lorsqu’un appel d’urgence « Mayday » a été transmis avant que le contact ne soit perdu.
L’avion s’est écrasé sur un édifice accueillant des médecins et leurs familles, ainsi que sur la cantine du BJ Medical College, alors que des étudiants de médecine y prenaient leur déjeuner.
Le commissaire de police d’Ahmedabad, GS Malik, a indiqué que les secours, appuyés par l’armée, avaient retrouvé 204 corps, incluant des passagers et des victimes au sol. Ahmedabad, ville de huit millions d’habitants située dans l’État du Gujarat, possède un aéroport très fréquenté bordé de zones résidentielles denses.
Un médecin contacté par l’AFP, Krishna, a raconté que « la moitié de l’avion s’est écrasée dans l’immeuble résidentiel où vivaient des médecins avec leurs familles, tandis que le nez et la roue ont percuté la cantine où les étudiants déjeunaient ».
L’autorité de l’aviation civile indienne a confirmé la présence à bord de 242 personnes, dont deux pilotes et dix membres d’équipage de cabine. Air India a précisé que le vol comptait 169 passagers indiens, 53 Britanniques, sept Portugais et un Canadien.
Il s’agit du premier accident mortel impliquant un Boeing 787‑8 Dreamliner, l’un des modèles de transport de passagers les plus modernes, en service depuis 2011, selon l’Aviation Safety Network. La gravité de l’incident a eu un impact significatif sur les marchés : le cours de l’action Boeing a chuté de 6,8 % à 199,13 de dollars en séance d’ouverture.
Air India avait passé l’an dernier une commande record de 100 Airbus supplémentaires, dans le cadre d’un contrat géant portant sur 470 avions (250 Airbus et 220 Boeing).
Cet incident rappelle d’autres drames liés à la compagnie : en 2010, un avion d’Air India Express s’était écrasé à Mangalore, causant la mort de 158 personnes des 166 passagers et membres d’équipage à bord, et en 2020, un autre appareil de la même filiale s’était écrasé dans le sud de l’Inde, tuant 21 personnes.
La résolution de l'AIEA vise à faire pression sur l'Iran pour qu'il fasse des concession (Eslami)
Le président de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (AEOI) a affirmé que la résolution anti-iranienne adoptée par le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) visait à faire pression sur Téhéran pour qu’il fasse des concessions.
Mohammad Eslami s’est exprimé jeudi 12 juin lors d’une interview télévisée, peu après l’adoption par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA, composé de 35 États membres, d’une résolution accusant l’Iran de manquements à ses engagements nucléaires.
Selon lui, cette résolution s’inscrit dans une série de manœuvres politiques orchestrées par les trois pays européens — le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne — sous la houlette des États-Unis et avec le soutien du directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, sous l’influence du régime sioniste. L’objectif de cette pression coordonnée serait, selon M. Eslami, de forcer Téhéran à faire des concessions unilatérales.
Le responsable iranien a, par ailleurs, mis en garde contre l’instrumentalisation des capacités de l’AIEA, en évoquant notamment un article publié par l’agence de presse Reuters à la suite du vote du Conseil des gouverneurs, qui prétendait que l’Iran n’avait pas respecté ses engagements nucléaires envers l’organisme onusien. Une prétention qu’il a contestée avec fermeté, soulignant que ni le contenu du rapport du directeur général ni la résolution elle-même ne justifient une telle interprétation.
Eslami a précisé que la résolution accuse l’Iran de ne pas s’être conformé à ses engagements au titre du Plan global d’action conjoint (PGAC). Or, a-t-il rappelé, selon la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU, ces engagements constituent des obligations réciproques entre les parties signataires, et ne sauraient être présentés comme des devoirs unilatéraux pesant exclusivement sur Téhéran.
Madleen intercepté : Rima Hassan et Thiago Ávila entament une grève de la faim après leur détention par Israël
L’eurodéputée française Rima Hassan et le militant brésilien Thiago Ávila, tous deux détenus à bord du navire Madleen en route vers Gaza, ont entamé une grève de la faim après leur détention à l’isolement par Israël.
Dans un communiqué publié ce mercredi 11 juin sur le réseau social X, Clémence Guette, vice-présidente du Parlement français a dénoncé des « conditions insalubres », auxquelles la militante franco-palestinienne a été confrontée avant d'entamer sa grève de la faim en signe de protestation.
L’Iran a prévenu qu’il pourrait quitter le TNP si les Européens réinstauraient les sanctions de l’ONU
L’Iran a averti qu’il pourrait exercer son droit légal de se retirer du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) si les États européens poursuivaient leur tentative, juridiquement infondée, de rétablir les sanctions des Nations unies à son encontre.
Amir Saeed Iravani, représentant permanent de l’Iran auprès des Nations unies, a fait cette déclaration dans une lettre adressée ce mercredi 11 juin au Conseil de sécurité de l’ONU.
Cette lettre fait suite à une campagne menée par le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne, (E3), visant à rétablir les sanctions. Cette campagne a conduit les trois pays, avec le soutien des États-Unis, à soumettre une résolution anti-iranienne à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), afin de déclencher le mécanisme Snapback.