Alors que la campagne génocidaire perpétrée par Israël à Gaza se poursuit malgré le cessez-le-feu, transformant l'enclave en un champ de ruines sous un déluge de bombes et un blocus total, le régime israélien intensifie une stratégie tout aussi systématique : réduire au silence, par la terreur et la violence, toute voix cherchant à documenter ses crimes de guerre contre le peuple palestinien.
Les forces israéliennes et des colons illégaux ont commis 57 violations et agressions contre des journalistes en Cisjordanie occupée et dans la bande de Gaza au mois de novembre, a indiqué samedi 6 décembre le Syndicat des journalistes palestiniens (PJS).
Le syndicat a affirmé que ces violations reflètent « une escalade systématique continue visant à empêcher les équipes médiatiques d’accomplir leurs missions professionnelles ».
Dans son rapport mensuel, le Comité pour les libertés de la presse de l’organisation a précisé que ces violations incluent « des schémas dangereux visant directement le travail journalistique et mettant en péril la vie des journalistes ».



















