تقي زاده

تقي زاده

Le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a mis en garde contre les menaces que représente le groupe terroriste Daech sur tous les pays de la région.
S'exprimant au cours de la commémoration de la journée des leaders martyrs de la résistance islamique libanaise, Sayed Nasrallah a énuméré les atrocités commises par les terroristes contre les multiples peuples de la région, affirmant que ceux-ci constituent désormais une menace pour le monde entier. Sur ce point, Sayed Nasrallah a appelé les pays arabes mais aussi les différentes parties libanaises à mettre en place une stratégie de défense contre Daech et sa soeur al-Nosra, citant les points essentiels visant à contrecarrer leur action.

Il a répondu entre autre à ceux qui appellent le Hezbollah à quitter la Syrie et précisé que ceux qui critiquent la position de son parti sur la situation à Bahreïn n'ont pas le droit de le faire, puisqu'ils sont derrière la guerre et la destruction de la Syrie.

Nous avons dit que ce groupe (Daech) représente une menace pour la région, pour tous les pays arabes, voire pour la religion islamique. Aujourd'hui, le monde entier a réalisé que le courant takfiriste représente une menace existentielle, à l'exception d'Israël qui dit que Daech et al-Nosra ne sont pas une menace, a souligné le ched du Hezbollah.

Il est de droit d'Israël de penser ainsi parce que tout ce qu'a fait Daech sert les intérêts d'Israël. Ce groupe terroriste use des scènes hollywoodiennes pour décapiter les otages coptes égyptiens, bruler le pilote jordanien… Daech n'a pas d'action à mener en Palestine. L'action de Daech vise la Mecque et la Médine. Aujourd'hui, ils ont nommé un dirigeant de ce groupe à la Médine et à la Mecque.

Cherchons le rôle du Mossad, de la CIA et des renseignements britanniques dans le soutien à l'action de Daech. Ce groupe a fait tout ce qui sert les intérêts du Mossad et de la CIA. La ministre italienne de la défense a récemment appelé à lancer une campagne internationale pour exterminer Daech en Libye parce que le terrorisme se trouve à 350 km de l'Italie et menace ainsi son pays. Que les dirigeants du 14 mars m'entendent bien. Cette ministre tire la sonnette d'alarme parce que les terroristes sont à 350 km de son pays alors que Daech se trouve dans les jurd libanais et les dirigeants du 14 mars mettent en doute notre action de lutte contre ce groupe terroriste, a-t-il ajouté.

Aujourd'hui, la lumière de la tendance vers l'islam a éclairci le monde, surtout l'Europe et l'Amérique, a déclaré l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, mercredi dans un séminaire scientifique sur les écoles islamiques à Zahedan.
Nous sommes témoignes que les jeunes musulmans font leurs prières dans les différents pays et universités dans le monde. La cérémonie de rupture de jeûne tenue dans différentes mosquées montre la présence de l'islam dans les quatre points du monde, a-t-il précisé.

La lumière de l'islam a commencé à se répandre dans le monde entier. La plupart des complots des ennemis de l'islam relève de leurs échecs face à l'extension de cette religion dans le mode, a-t-il indiqué.

L'islam a peut entrer dans les sociétés américaine et européenne. Si le Dieu veut, cette religion divine sera connue de tous les gens dans le monde, a-t-il marqué.

Aujourd'hui, la relation entre l'Occident et les groupes terroristes et extrémistes n'est cachée de personne, a-t-il dit.

Franchir les lignes rouges de l'islam par Daech est une vérité sur laquelle les oulémas chiites et sunnites sont d'accord. Aucun musulman n'accepte pas les crimes de Daech comme la décapitation des Coptes égyptiens ou brûler vifs les prisonniers innocents, a-t-il déploré.

Indiquant le Réveil islamique et l'influence de la Révolution islamique sur ce courant, l'ayatollah Araki a ajouté que le développement du Réveil islamique est dû à la Révolution islamique d'Iran.

Réviser les méthodes des écoles islamiques est une nécessité. Ceux qui veulent apprendre les sciences islamiques doivent avoir accès aux résumés des documents islamique à cause du manque du temps, a-t-il suivi.

Le chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini rencontrera les autorités égyptiennes et américaines cette semaine pour évoquer une possible action commune en Libye.
Après la décapitation de 21 chrétiens coptes égyptiens en Libye, Federica Mogherini a annoncé lundi qu'elle s'entretiendra avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Shoukry.

"Nous nous réunirons à Washington plus tard cette semaine afin de déterminer quelles sont les actions envisageables face à la crise libyenne", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à Madrid.

Le groupe takfiriste Daech a diffusé dimanche une vidéo montrant la décapitation de 21 chrétiens coptes égyptiens et revendiqué cette action.

"Il existe aujourd'hui en Libye une double menace: la menace d'un pays qui éclate et celle d'un pays où Daech est en train de prendre du pouvoir et de s'infiltrer", à estimé Federica Mogherini, apparaissant aux côtés du ministre espagnol des Affaires étrangères José Manuel Garcia-Margallo.

L'Italie avait indiqué ce week-end qu'elle était prête à prendre rapidement en Libye la tête d'une coalition de pays européens et de la région.

Le centre iranien d’entraide et des dons islamiques envisage de publier des Corans en différentes langues en réaction aux caricatures offensant le Prophète (PSL).

L’Hodjat-ol-islam Ali Mohamadi, directeur du Centre d’entraide et des dons islamiques, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré qu’un des programmes de ce centre en réponse aux outrages au Prophète de l’islam (PSL), était la publication du Coran en plusieurs langues.
Il a indiqué : « Ces outrages sont le signe d’un manque de logique, d’arguments et d’information, et sont inacceptables. »
« La meilleure réponse est de présenter les enseignements du Coran et des Ahl-ul-Bayt (as). Nous devons aussi nous préparer à des activités dans le domaine de la traduction des commentaires », a-t-il dit.

«Les méthodes des professeurs sont plus importantes que les récompenses», a déclaré le directeur d’un centre coranique koweïtien. Hassan Ghambar, directeur du centre coranique « Habib ben Mazaher Al Assadi » au Koweït, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que les méthodes des professeurs étaient plus importantes que les récompenses.
« Si les centres coraniques sont soutenus par le gouvernement, nous aurons des résultats plus importants car les centres gouvernementaux ont les moyens d’organiser des compétitions au niveau international qui respectent mieux les standards internationaux», a-t-il dit.
« Au Koweït, a-t-il ajouté, les centres coraniques font partie des centres d’entraide et il est plus difficile qu’en Irak, d’attirer les gens vers les activités coraniques. Les médias peuvent jouer un rôle important. Les compétitions se concentrent malheureusement sur la mémorisation et la récitation, et pas assez sur le comportement coranique.»
Hassan Ghambar a souligné : « Les possibilités qui sont offertes en Iran, en Malaisie et en Indonésie aux lauréats des compétitions sont très importantes et encourageantes. Il serait intéressant d’organiser des réunions pour les spécialistes des activités coraniques dans différents pays, où ils pourraient échanger et présenter leurs expériences».
« Nous devons encourager ceux qui organisent ces activités chez eux et les femmes qui ont plus d’activités coraniques que les hommes au Koweït. Notre centre qui est un centre d’entraide où les activités coraniques sont bénévoles, organise chaque année une compétition nationale et des voyages en Irak, au Bahreïn et dans la ville d’Al Qatif en Arabie Saoudite», a-t-il conclu.

Darryl Ferguson, un Américain, 55 ans, en garde à vue a admis qu'il avait brûlé le centre islamique sur l'aube vendredi. Les autorités américaines, en effectuant des enquêtes préliminaires ont été assurés que le feu a été allumé par une personne et aussi n'a pas exclu la possibilité que l'acte était intentionnel.

À l'heure actuelle la principale raison n’est pas connue, mais la police américains ont lancé une enquête pour obtenir une réponse ferme quant à la cause de l’accident.

Les fonctionnaires de l'institut avec le Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR, pour son sigle en anglais) continuent d'insister sur l'importance de clarifier la raison de la tragédie qui a quitté le bâtiment détruit.

Vendredi dernier, Zahid Ahsan, l'une des principales causes de l'institut dit que le feu pourrait être un crime haineux a ensuite annoncé que cela a été fait intentionnellement.

L'incendie se est produit quelques jours après trois résidents musulmans en Caroline du Nord, dans l'Ouest américain ont été abattus, un crime qui a choqué les musulmans à travers le monde.

La triple assassiner eu lieu mardi soir , heure locale , dans l'un des parcs de stationnement sur le campus de l'Université de Caroline du Nord, où ils étudiaient deux des victimes, Deah Barakat , étudiant en chirurgie dentaire, 23, et son femme Yusor Mohammad Abu-Salha, 21, sa sœur, Razan, 19 ans, qui était un étudiant dans une autre université à proximité. Bien que la police des États-Unis affirme que l'auteur présumé du massacre, Craig Stephen Hicks, 46 exécuté crime horrible après une dispute sur un parking, mais ses messages dans votre Facebook démontrant leur caractère antireligieux, comme il lui-même défini comme un athée.

Les restes du scenario interventionniste du Conseil de sécurité des Nations Unies, en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie, sont considérés, par l’opinion publique mondiale, comme une stratégie de calculs erronés et illégitimes.Selon la chaîne internationale Sahar, citant Farsnews, le Conseil de sécurité des Nations Unies a mis au point un projet de résolution interventionniste contre le mouvement d'Ansarallah.

Ce projet de résolution prévoit la mise à l’écart du Mouvement Ansarallah du pouvoir, au Yémen. Cette résolution interventionniste, demande aux forces d’Ansarallah de se mettre, "avec bonne foi", à la table des négociations, sous l'autorité de Jamal Ben Omar, l'envoyé spécial de l'ONU, au Yémen, et de libérer Abda Rabbo Mansour Hadi, le Président yéménite, et son Premier ministre, Khaled Behah, assignés à résidence, par le Mouvement Ansarallah. Samedi soir, le Conseil de coopération du golfe Persique, (CCGP), a tenu une réunion d’urgence, à Riyad, sur les évolutions yéménites, poussant le Conseil à adopter une résolution, sous le chapitre 7 de la Charte des Nations unies, qui permet des sanctions et le recours à la force, en cas de non-respect. Cette résolution n’a pas été placée sous le chapitre 7 de la Charte des Nations Unies, toutefois, elle peut être considérée comme un prélude à l’ingérence de ce Conseil, dans les affaires intérieures du Yémen. Le Conseil de sécurité commencerait, d’ailleurs, à s’immiscer, au Yémen, par une considération particulière, et tout de suite après, il interviendrait, directement. L’Afghanistan, l’Irak, la Libye et la Syrie sont des exemples manifestes du scénario onusien. En particulier, les cas libyen et syrien ressemblent beaucoup à celui du Yémen. Les restes du scénario interventionniste du Conseil de sécurité des Nations Unies, en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie, sont considérés, par l’opinion publique mondiale, comme une stratégie de calculs erronés et illégitimes. La destruction des infrastructures, des ressources énergétiques et humaines, les dommages sociaux consécutifs aux meurtres, aux violences et à la sauvagerie, en un mot, la création d’un climat propice au «développement du terrorisme», sont les principaux résultats de cette politique, qui s’étend de points tribaux, très loin, au Pakistan, jusqu’à la Tunisie, au Nigeria et à l’Europe.

L’appel du Conseil de coopération du golfe Persique, (CCGP), à l’adoption, par le Conseil de sécurité des Nations Unies, d’une résolution contre le Mouvement Ansarallah, témoigne de l’ingérence flagrante des membres du CCGP, dans les affaires intérieures du Yémen, pour décider du sort des Yéménites. Et ce, alors que la révolution des Yéménites a commencé, grâce au soutien populaire, et aux efforts déployés, pour la construction d’un nouveau Yémen, démarches qui sont, donc, soutenues par la nation, notamment, la lutte contre le terrorisme, qui est considérée comme le souhait de longue date du peuple yéménite. Le terrorisme, qui, tout au long de ces dernières décennies, a empêché le progrès et le développement, au Yémen. L’adoption de telles résolutions ne contribuera-t-elle pas à l’extension géographique du terrorisme, au Yémen, et dans d’autres points du monde ? Le Conseil de sécurité des Nations Unies n’a, rien, fait d’autre pour éradiquer ce fléau que l’autorisation de la formation d’une Coalition anti-Daesh, en Irak et en Syrie, une Coalition, dont la diffusion de vidéos sur l’acheminement d’aide aérienne aux éléments de Daesh, a levé un coin du voile sur ses intentions réelles. Pourquoi, le Conseil de sécurité de l’ONU, ne permet-il pas aux fils de l’Irak, de la Syrie et du Yémen, de lutter contre ce fléau mortel ? Des hommes, qui connaissent bien la géographie de leur propre région, et qui souhaitent reconstruire et contribuer au développement et au bien-être de leur pays.

L'Iran a condamné par la voie de sa porte-parole du ministère des Affaires étrangères l'exécution des Coptes par les terroristes du groupe Daech en Libye.
Les responsables de cet acte terrible, provocant les sensibilités religieuses, suivent des objectifs néfastes qui sont en coordination avec ceux du régime sionistes. Ils veulent détériorer les relations entre les pays islamiques, a-t-elle dit.

La porte-parole du ministre iranien a présenté ses condoléances au peuple et au gouvernement de la république arabique d'Egypte.

lundi, 16 février 2015 01:00

Syrie: Tel-Aviv vise le marché de changes

Le régime sioniste essaie de perturber le marché de change des devises en Syrie pour mettre l’économie syrienne face à de nouvelles épreuves.

Selon Wael al-Imam, professeur à l’Université internationale de Damas, simultanément à la grande opération militaire du gouvernement syrien dans le sud du pays pour nettoyer cette région de la présence des groupes terroristes qui entretiennent des relations très proches avec le régime sioniste, Tel-Aviv essaie de perturber le marche de change des devises en Syrie pour créer de nouvelles difficultés pour l’économie syrienne.

Le professeur Wael al-Imam estime que la baisse de la valeur de la livre syrienne ces derniers jours, face au dollar américain, est dû au trafic des devises étrangères à l’extérieur du pays. « Les gouvernements des pays voisins ne respectent pas du tout leur engagements envers le trafic des devises étrangères qui arrivent sur leur territoire depuis la Syrie », a-t-il ajouté. Il a estimé aussi que certains hommes d’affaires interviennent aussi de manière contreproductive pour tirer profit des oscillations de la valeur de la livre syrienne face aux devises étrangères. Les rumeurs qui se propagent sur Internet est un autre facteur déstabilisateur du marché, a-t-il estimé.

Le professeur Wael al-Imam ajoute : « A mon avis, les services d’espionnage du régime israélien ont lancé un nouveau complot pour réduire le taux de change de la livre syrienne, peu de temps après le raid israélien sur Quneitra. Ils estiment que la Résistance ripostera ce raid israélien, et que leur efforts pour faire baisser la valeur de la monnaie syrienne pourrait perturber, dans cette situation sensible, la vie économique du pays et la vie quotidienne des citoyens. »

Il a rappelé que depuis le début de la crise, les sanctions imposées par les pays occidentaux et arabes ont créé de grands problèmes économiques pour la Syrie, mais que le soutien des pays amis comme la Russie, l’Iran et la Chine ont permis au gouvernement de Damas de stabiliser l’économie nationale et protéger la valeur de la livre syrienne.

La résolution du Conseil de sécurité pour lutter contre le terrorisme :

Le professeur Wael al-Imam affirme que la résolution du conseil de sécurité de l’ONU a insisté sur la nécessité de priver les groupes terroristes de leurs sources financières. « Les terroristes profitent des aides médiatiques, financières et logistiques de leurs amis à l’extérieur de la Syrie. La résolution du Conseil de sécurité ne pourra être correctement appliquée que si elle vise directement les Etats qui soutiennent financièrement les terroristes. » Il a rappelé que les terroristes de l’Etat islamique (Daesh) profitent de trois sources de revenus : la vente du pétrole, la vente de produits agricole et alimentaires, et le contrôle du marché locale des régions qu’ils ont occupées en Syrie et en Irak. « L’application correcte de la résolution du Conseil de sécurité pourra empêcher aussi le trafic des richesses de la Syrie et de l’Irak à l’étranger », a-t-il estimé.

Wael al-Imam a déclaré : « L’Union européenne a identifié des bandes qui sont liées aux grandes entreprises financières soutenant les terroristes de Daesh. Par exemple, une bande pareille a été identifiée récemment en Espagne. Les entreprises et les hommes d’affaires des pays arabes du sud du golfe Persique ont également un rôle important dans le soutien financier aux terroristes de Daesh. »

Vendredi, le Conseil de sécurité de l’ONU a approuvé une résolution qui menace d’intervention militaire les Etats, les organisations, les organes ou les personnes physiques qui soutiennent financièrement les groupes terroristes de Daesh et le Front al-Nosra.

Des avions de combat égyptiens ont bombardé lundi des positions de Daech en Libye, quelques heures après que l'organisation terroriste y eut revendiqué la décapitation de 21 chrétiens égyptiens dans une vidéo, a annoncé l'armée au Caire.
Le président Abdel Fattah al-Sissi avait convoqué d'urgence dimanche soir le Conseil national de défense et juré de punir les assassins de la manière adéquate.

Nos forces armées ont mené lundi des frappes aériennes ciblées contre des camps et des lieux de rassemblement ou des dépôts d'armes de Daech en Libye, lit-on dans un communiqué de l'armée.