تقي زاده

تقي زاده

« Cette lettre a été extraordinaire et important et a été publiée à un moment approprié, compte tenu de la situation actuelle, » a souligné Straw dans une interview accordée à l'Agence de presse officielle iranienne IRNA, a publié samedi.

Il a, également président du groupe parlementaire d'amitié irano-Royaume-Uni a souligné la nécessité que les dirigeants musulmans représentent le vrai visage de l'Islam et il a regretté que l'Occident n'est pas largement couvert la lettre de l'Ayatollah Khamenei.

" Ma maison est en face d'une mosquée et dans la région où je vis une personne sur trois est musulmane. Je suis inquiet pour l'islamophobie depuis de nombreuses années ", a fait valoir.

La paille a défendu le droit de l'Iran à développer l'énergie nucléaire pacifique dans une autre partie de leurs déclarations et a exprimé le soutien de son pays à un accord global entre Téhéran et le G5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie et Chine, Allemagne plus).

L'actuel député travailliste a averti que l'échec possible des pourparlers nucléaires serait une « catastrophe » pour toutes les parties.

En fin de compte, paille a annoncé qu'une délégation parlementaire d'Iran se rendra, au milieu du mois de mars, le Royaume-Uni pour faire face aux relations entre les deux pays.

samedi, 07 février 2015 01:00

En finir avec les ennemis de l'islam

Le meurtre ignoble du pilote jordanien, revendiqué par Daesh et filmé dans une vidéo où on le voit en train de brûler vif, soulève, à juste titre, l'indignation et l'horreur de la communauté internationale et, particulièrement, des peuples arabes et musulmans. Qualifié d' «inhumain» et d' «anti-islamique» par l'Iran, cet acte barbare est un véritable affront à l'islam et à son message dont les nobles valeurs sont cruellement ternies et trahies.
Après les décapitations, non moins odieuses, des journalistes japonais, peu de jours auparavant, Daesh a donc illustré sa volonté de terroriser les peuples arabes, premières cibles et victimes sacrificielles de son prétendu Califat, concocté dans les laboratoires de l'Oncle Sam, par les mains expertes des mêmes parrains qui avaient, une décennie auparavant, accouché d'El Qaîda.
Al Azhar, l'une des plus hautes instances de l'islam, basée au Caire, a, dans son émotion, appelé à «tuer et crucifier» les «terroristes» du groupe Etat islamique (EI), après l'exécution du pilote jordanien. Cheikh Ahmed al Tayeb, grand mufti d'El Azhar, a même recommandé la punition que méritent «ces agresseurs corrompus», telle que «prévue dans le Coran, pour les apostats qui combattent Dieu et son prophète: la mort, la crucifixion ou l'amputation de leurs mains et de leurs pieds».
La mort dramatique du pilote jordanien a suscité, également, une réaction unanime de tous les pays membres du Conseil consultatif du Golfe persique (CCGP), depuis l'Arabie saoudite aux Emirats arabes unis en passant par Bahrein et le Qatar, qui ont condamné avec force cet assassinat et affirmé leur «engagement à lutter contre cette idéologie faussée et les organisations extrémistes qui se tiennent derrière elle», exhortant «la communauté internationale à intensifier ses efforts pour combattre le terrorisme».
Ce bel unanimisme aurait été davantage convaincant s'il s'était manifesté vingt ans plus tôt, lorsque l'Algérie luttait seule, dans des conditions ô combien contraignantes, à la fois sur les plans financier, militaire et diplomatique.
L'Algérie, son peuple et son armée, se souviennent de la chape de plomb qui régnait sur leur combat, durant la décennie sanglante, au cours de laquelle d' infâmes barbares sévissaient dans nos régions, n'épargnant ni femmes ni enfants, pratiquant meurtres, viols et exactions, selon des méthodes que Daesh s'emploie aujourd'hui à perpétrer. Personne dans le Monde arabe, à cette époque, n'avait émis la moindre condamnation, exprimé la moindre compassion envers nos populations meurtries, manifesté un signe quelconque de solidarité, à l'exception, notable et historique, d'un pays frère et voisin, la Tunisie. Il a fallu plusieurs années, lorsque la menace a été graduellement éradiquée, pour que des signes de désaveux fugaces soient consentis et encore, n'étaient-ils le fait que de quelques érudits de l'islam, notamment à Damas. Peu importe, la bête immonde a été vaincue, même si subsistent, de temps à autre, des soubresauts de son cadavre et l'Algérie a tourné la page, sans pour autant verser dans l'oubli. Cette expérience guide et motive l'Algérie quand elle réclame, inlassablement, une riposte collective au terrorisme transfrontalier qui menace la paix et la sécurité de tous les peuples, arabes en particulier. Que ce soit au Sahel, en Afrique centrale ou dans d'autres régions, elle apporte science et conscience dans la lutte contre l'hydre du terrorisme. Tout en condamnant, sans réserve et sans équivoque, l'acte abject qui a endeuillé le peuple jordanien, l'Algérie, forte de son expertise, appelle à une mobilisation régionale et continentale pour en finir avec les ennemis de l'islam, où qu'ils soient.

Le sénateur démocrate américain, détracteur de Barack Obama concernant les négociations nucléaires Iran/5+1, qui réclame l’adoption de nouvelles sanctions contre l’Iran, aurait reçu plus de 340 mille de dollars du lobby sioniste.

Selon l’agence de presse Tasnim citant le New York Times, Robert Menendez, sénateur de l’Etat de New Jersey est un démocrate en litige avec Obama sur les questions dont le nucléaire iranien et le réchauffement de relations avec Cuba. Lors d’une audience du comité secondaire des relations extérieures, qui a eu lieu mardi, Robert Menendez faisait partie des politiciens qui ont stigmatisé les relations diplomatiques entre les Etats-Unis et Cuba. En ce qui concerne les sanctions américaines contre l’Iran, Menendez ne partage pas l’idée de Barack Obama et réclame l’adoption de nouvelles sanctions contre Téhéran simultanément au déroulement des négociations. Concernant la crise sévissant dans l’Est de l’Ukraine, Menendez est pour une réaction plus ferme des Etats-Unis, l’adoption des sanctions plus renforcées contre la Russie et l’envoi d’armements à destination de l’Ukraine.

Les opinions de Menendez sont saluées par les républicains de sorte que Bob Corker, sénateur républicain et le président du comité des relations extérieures, le considère comme un « grand partenaire » pour le Parti républicain.

Robert Menendez s’est montré très mécontent quant aux propos de Barack Obama selon lesquels ceux qui soutiennent le durcissement de sanctions anti-iraniennes sont touchés par les motivations politiques. Les personnes qui ont considéré ces propos de Barack Obama comme une insulte, entretiennent des relations très proches avec le lobby sioniste.

L’intéressant est que les informations révélées par le groupe de recherches « MapLight » montrent que Robert Menendez a reçu 341,170 dollars du lobby sioniste pendant ces sept dernières années.

Robert Menendez vient de reporter l’adoption de nouvelles sanctions anti-iraniennes dans une lettre signée par neuf autres députés démocrates pour ainsi donner une autre chance à Barack Obama mais il ne faut pas oublier qu’il menace, dans la même lettre, de faire imposer plus de sanctions contre l’Iran en cas de l’échec des négociations nucléaires.

Le journal al Rai al Youm cite les milieux sécuritaires d'Israël pour souligner à quel point le récent discours de Nasrallah est pris au sérieux. " les israéliens attachent une importance de choix à ces propos et y voient la stratégie à venir du Hezb" " C'est ainsi que l'analyste militaire de Haaretz y revient en affirmant que Nasrallah a tenté en quelques sorte de rééulibrer les rapports de force en opposant au raid de Quneitara , celui mené contre Chebaa.

c'est un fait domais claire : la moindre attaque israélienne contre le Liban et la Syrie sera ripostée par le Hezbollah . Israël ne peut défendre tout et en dépit des mesures qu'il a prises , le Hezbollah saura toujours trouver une brêche à s'y infiltrer. d'où cette partie du discours de Nasrallah où il affirme pouvoir frapper l'armée israélienne n'importe où, n'importe comment. l'opération de Chebaa l'a montré : le Hezbollah est une organisation créative et experte en la matière
A Chébaa tout comme dans son attaque de 2014 contre une patrouille israélienne dans cette même région, le Hebollah n'a pas été loin de faire infliger de très grosses pertes à Tsahal. après la récente opération contre Chebaa, le calme est certes de retour mais n'empêche que les commandants de l'armée israélienne se sentent préoccupés . une question ne cesse de se poser à eux : comment pourrait-on faire face au Hebollah sans lui laisser l'occasion de faire recours à ses missiles et d'étendre la guerre à d'autres fronts en Israël ?

Des pays européens voire du monde entier voudraient rouvrir leur ambassade à Damas et ce à un niveau inférieur à l'ambassadeur, mais ils craignent les Etats-Unis et Israël, a déclaré le vice-ministre syrien des Affaires étrangères.

Actuellement, des chambres d'opérations à Bruxelles, à Paris et à Londres sont en train d'aider les terroristes en matière de renseignement et d'armes de médias, a ajouté le vice-ministre syrien des Affaires étrangères en allusion aux aides des pays occidentaux aux terroristes.

La Révolution islamique a bouleversé les équations dans la région apportant de grands changements dans le monde. J'espère qu'avec l'aide des frères iraniens les territoires arabes seront libérés des mains des terroristes du régime sioniste, a affirmé jeudi dans la soirée Fayçal Meqdad lors d'un entretien avec la télévision iranienne en félicitant au peuple et au gouvernement iraniens la Décade de l'Aube, les dix jours marquant l'anniversaire de l'avènement de la Révolution islamique.
J'ai l'impression que cette crise prendra fin en 2015, a-t-il précisé en indiquant que le régime sioniste est derrière de tous les terroristes.
La crise syrienne s'explique par la résistance de Bahar al-Assad face aux arrogants et sa prise de position de préserver l'intégrité territoriale de la Syrie. Nous avons essayé de mettre de côté les divergences avec la Turquie et de préserver les intérêts des musulmans de la région mais les Turcs cherchent à nuire à ces intérêts. Erdogan était injuste envers la Syrie et ce alors que nous étions aux côtés du peuple turc. Les dirigeants des pays occidentaux comme la Françe et la Grande-Bretagne sont les serviteurs de Netanyahu, ils ne représentant pas leur peuple. Pour ce qui est des Nations Unies, elles aident le peuple syrien à sortir du pays pour que les terroristes aient de plus en plus de tranchées dans les villes et parfois se battre aux côtés des terroristes contre le gouvernement central. Certains pays européens ainsi que d'autre pays souhaitent rouvrir leur ambassade à Damas et ce à un niveau inférieur à l'ambassadeur. Des entretiens à huis clos ont eu lieu à ce propos cependant ils ont peur des Etats-Unis et du régime sioniste.

samedi, 07 février 2015 01:00

Rif de Damas: les avancées d'Assad...

L’armée syrienne a réussi à avancer sur deux axes dans la province de Damas, et à sécuriser la route qui relie Homs à Salmiyeh. Selon le correspondant de l’agence iranienne Fars à Damas, les unités de l’armée syrienne ont mené de vastes opérations à Ghoutta oriental (près de Damas), à Doma et à Jobar. En même temps, l’armée de l’air syrienne a bombardé les lieux de rassemblement et les positions des groupes armés à Tal al-Sawan et à Tal Kurdi, ainsi qu’à l’intérieur de la ville de Doma dans la province de Damas. A l’ouest de Tal Kurdi, les soldats de l’armée ont attaqué les positions des groupes terroristes. Après d’âpres affrontements, les unités de l’armée ont réussi à encercler la région et resserrer l’étau autour des positions des groupes terroristes, en empêchant leur fuite vers la ville de Doma. En outre, les soldats syriens ont réussi à localiser et saisir les dépôts d’armes et de munitions des terroristes à Doma.

A Jobar, les forces de l’armée syrienne ont progressé vers la Mosquée Tayebeh et dans le quartier d’al-Barid. En même temps, les bombardiers de l’armée de l’air syrienne et l’artillerie de l’armée ont attaqué les positions des terroristes près du pont Zamalka et aux alentours d’al-Mutahaleq. Les combats se poursuivent maintenant près de la Mosquée de Qazwa al-Badr.

Dans la province de Homs, au centre du pays, des sources locales font état des raids de l’armée de l’air syrienne sur les lieux de rassemblement des terroristes de Daesh près de la Mosquée d’al-Mustapha dans la ville de Rastan, ainsi que dans les cités de Talbisseh, Saan et Ghantou. De nombreux terroristes takfiris de Daesh ont été tué dans ces attaques.

Les unités de l’armée syrienne ont neutralisé aussi les tentatives des groupes armés qui voulait s’infiltrer dans plusieurs villages et cités de la région d’al-Sultaniyeh. L’armée a sécurisé l’autoroute qui relie Homs et Salmiyeh, et a déjoué les plans des groupes rebelles qui voulaient prendre en main le contrôle de cette autoroute.

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a insisté vendredi, lors d'une rencontre avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif, sur la nécessité d'aboutir à un accord politique sur le programme nucléaire de Téhéran d'ici fin mars.
M. Kerry a réitéré son souhait d'avancer vers un accord politique d'ici la fin mars, a déclaré un responsable du Département d'Etat à l'issue de l'entretien, qui a duré près de deux heures, en marge de la Conférence sur la sécurité de Munich (sud de l'Allemagne).

Ils ont convenu de rester en contact étroit et d'essayer de se revoir prochainement, a ajouté ce responsable, alors que les négociations sur le programme nucléaire de Téhéran piétinent.

L'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) négocient depuis plus d'un an un accord global, qui mettrait fin à plus de dix ans de crise diplomatique.

Mais les prises de position des durs à Téhéran comme à Washington, où le Congrès dominé par les républicains veut imposer de nouvelles sanctions contre l'Iran, compliquent la donne.

M. Kerry a rencontré M. Zarif à plusieurs reprises ces derniers mois. Les équipes ont également négocié au niveau politique, mais rien n'a filtré sur ces discussions.

S'exprimant à la Conférence sur la sécurité de Munich, le plus haut responsable de la diplomatie chinoise, Yang Jiechi, a estimé qu'il existe une occasion majeure pour résoudre la question nucléaire iranienne.

La Chine est prête à renforcer sa communication et coopération avec les parties afin d'oeuvrer à la conclusion rapide d'un accord juste, équilibré et global, a-t-il affirmé.

Les grandes puissances exigent que l'Iran réduise ses capacités nucléaires afin d'empêcher qu'il puisse disposer ''un jour'' de la bombe atomique. Téhéran qui dément tout caractère militaire de son programme revendique son droit à une filière nucléaire civile complète et demande la levée totale des sanctions économiques occidentales.

Ces négociations, qui ont redémarré en novembre 2013 sur la base d'un accord intérimaire gelant certaines activités sensibles de l'Iran en échange d'une levée partielle des sanctions contre l'économie iranienne, ont déjà été prolongées à deux reprises.

 

Daech a affirmé vendredi qu'une otage américaine avait été tuée lors d'un raid de la coalition internationale dans le nord de la Syrie, où des frappes aériennes ont tué au moins 30 combattants selon une ONG.
L'aviation de la coalition croisée a bombardé une position en dehors de la ville de Raqa. Aucun combattant n'a été touché mais nous pouvons confirmer qu'une otage américaine a été tuée par les frappes, a indiqué Daech dans un communiqué diffusé sur des sites extrémistes qui identifie la victime comme Kayla Jean Mueller.

Les Etats-Unis ont rapidement réagi en assurant qu'ils ne disposaient d'aucune preuve de la mort d'une de leur ressortissante retenue en otage.

Selon une ONG pro-rebelles, des frappes menées vendredi par la coalition internationale dans le nord de la Syrie ont coûté la vie à au moins 30 combattants, mais certainement plus. Ces raids ont visé des positions et des dépôts abritant des véhicules militaires et des chars, à l'est et à l'ouest de la ville de Raqa, capitale autoproclamée de Daech en Syrie.

Dans le titre de son communiqué sur la mort de l'otage, le groupe combattant mentionne que l'Américaine a été tuée par l'aviation jordanienne mais le texte du communiqué parle uniquement d'une frappe de la coalition comme cause du décès.

Douze personnes ont été tuées et 30 blessées samedi dans une attaque suicide menée dans un restaurant de l'est de Bagdad, ont indiqué des sources de sécurité et médicales.
Cette explosion s'est produite dans la matinée alors que le couvre-feu nocturne en vigueur depuis des années à Bagdad ne doit plus être appliqué à partir de samedi minuit (21H00 GMT).

Cette mesure est destinée à rétablir une situation de normalité dans la capitale irakienne.

L'attaque menée dans le quartier Bagdad al-Jadida n'a pas été revendiquée dans l'immédiat mais ce type d'attentat suicide est généralement le fait d'extrémistes.

Pour autant, le Premier ministre Haider al-Abadi a ordonné la levée du couvre-feu nocturne à partir de samedi minuit, afin que la vie soit aussi normale que possible.

Selon un communiqué de son bureau, M. Abadi a en outre ordonné que les rues importantes de la capitale soient rouvertes afin de faciliter le mouvement des citoyens et que les quartiers d'Azamiyah et Kazimiyah, dans le nord de Bagdad, soient des zones démilitarisées.

L'instauration du couvre-feu visait à mettre un frein aux attaques qui ont été particulièrement meurtrières au milieu des années 2000. Les heures du couvre-feu ont varié au fil des années, mais il était récemment en vigueur de minuit à 05H00 locales (21H00 à 02H00 GMT).

Ansarullah au Yémen ont mis en place samedi une Haute commission de sécurité, incluant d'anciens ministres, pour assurer la sécurité du pays, où la présence d'Al-quaïda pose toujours des menaces dans le sud.
Cette annonce a été suivie par une explosion à l'entrée sud du palais présidentiel, ont indiqué des témoins, ajoutant qu'un policier et un civil avaient été blessés dans l'explosion.

Les ministres de la Défense et de l'Intérieur de ce gouvernement démissionnaire figurent parmi les 18 membres de la commission de sécurité, décidée par les miliciens d'Ansarullah, ont indiqué ces derniers dans leur premier communiqué publié depuis leur annonce vendredi soir de la dissolution du Parlement et de la création de nouvelles instances dirigeantes.

La commission de sécurité dirigera les affaires du pays jusqu'à la mise en place d'un Conseil présidentiel, précise le texte publié par l'agence officielle Saba.

Elle est présidée par le général Mahmoud al-Sobeihi, ministre de la Défense dans le gouvernement démissionnaire .

La nomination du général Sobeihi et sa présence aux côtés des dirigeants houthis au moment de l'annonce de leur déclaration constitutionnelle ont été accueillies avec méfiance dans l'entourage de cet officier, considéré comme un fidèle du président Hadi.