تقي زاده

تقي زاده

Quatre jours de négociations ont commencé ce dimanche au Qatar entre les différentes factions de l’opposition syrienne. L’objectif est d’ouvrir le Conseil National Syrien à d’autres composantes de la société en doublant son effectif.

Si c’est un succès, l‘étape suivante serait de former une instance civile de 50 membres, prémice d’un gouvernement provisoire. L’initiative revient à l’opposant Riad Seif: “Nous espérons que si les Syriens trouvent un moyen de choisir leur leader le 8 novembre, le monde entier sera derrière eux pour les aider.” a-t-il déclaré.

selon euronews, les négociations s’annoncent très délicates. Le Conseil National Syrien, la plus importante branche de l’opposition dominée par les Frères musulmans réclame au moins 40% des sièges au sein de la future instance.

Le roi Abdallah ben Abdul-Aziz al-Saud d'Arabie saoudite et le président français François Hollande se sont entretenus dimanche à Jeddah des questions régionales et internationales, en particulier la situation en Syrie, a annoncé l'agence de presse saoudienne.

Les deux dirigeants ont discuté également de la coopération entre les deux pays et des moyens de renforcer les relations entre l'Arabie saoudite et la France dans tous les domaines, en particulier dans la crise syrienne.

Il s'agit de la première visite du président Hollande en Arabie saoudite depuis son arrivée au pouvoir en mai 2012.

Plusieurs obus de mortier sont tombés dimanche soir dans un camp de réfugiés palestiniens à Damas, faisant plusieurs blessés, a rapporté la presse syrienne.

Les tirs de mortier étaient à l'origine des affrontements entre les rebelles armés syriens et les combattants du Comité populaire du Front populaire de libération de la Palestine (CP- FPLP) dans les environs du camp de réfugiés.

Les rebelles syriens font pression sur les réfugiés palestiniens pour qu'ils les rejoignent pour combattre l'Etat syrien.

Plus de 500 Palestiniens ont été tuées et des centaines d'autres blessés depuis le début de la crise syrienne il y a plus de 19 mois.

Le CP-FPLO avait déclaré la semaine dernière que les Palestiniens en Syrie rejettent toute tentative des terroristes de les utiliser pour déstabiliser la Syrie, réaffirmant son soutien aux Syriens.

Quelque 550 000 Palestiniens se trouvent dans neuf camps de réfugiés en Syrie.

Après beaucoup d'efforts de la part du centre culturel de la République Islamique d'Iran à Beyrouth, la langue persane a été inaugurée à la faculté des lettres et des sciences humaines de l'université libanaise.

Wafa Berry, doyenne de la faculté des lettres et des sciences humaines, déclarant le fait d'ajouter la langue persane aux autres langues enseignées dans cette faculté (tel que l'italien, l'espagnole etc.) a dit: dans l'avenir très proche, on va inaugurer le chinois dans cette faculté.

Elle a ajouté: Recevoir les langues étrangères à cœur ouvert fait partie du Liban et de l'identité libanaise et cela est la mission de notre faculté.

M. Raïs zadé, responsable du centre culturel de la République Islamique d'Iran, parlant de l'histoire des relations entre les iraniens et les arabes, a souligné: on peut voir l'effet de ces relations dans la vie, l'art et la littérature des deux nations et cultures.

Il a ajouté: La République Islamique depuis la victoire de la Révolution en Iran a essayé toujours de développer ses relations avec le Liban et l'ouverture de cette branche- la langue persane- à l'université libanaise peut avoir des effets positifs sur les relations bilatérales.

M. Roknabadi, ambassadeur de la République Islamique au Liban, a dit: les iraniens adorent la langue arabe, parce qu'elle est la langue du Coran.

Il a souligné: l'arabe et le persan forment un pont entre deux cultures et civilisations (iraniens et arabes) avec le coran et les entre deux nations persane et arabe surtout libanais.

Des affrontements entre milices rivales ont éclaté la nuit dernière à Tripoli. Cinq personnes ont été blessées et une roquette a atteint l’ancien siège des renseignements libyens.

Le bâtiment a été partiellement incendié et pillé. Une balle perdue aurait pénétré dans l’hôpital central de Tripoli, semant la panique.

Selon euronews, les deux milices, autorisées par le régime sont entrées en conflit à propos d’un de leurs membres détenu par l’un des groupes.

Ces affrontements ont semé la panique dans le quartier de Sidi Khalifa, d’autant que la police est impuissante pour empêcher les pillages. Ces combats témoignent de la paix précaire qui règne dans la capitale libyenne, plus d’un an après la chute du régime de Mouammar Kadhafi

Le centre de Tripoli a une nouvelle fois été le théâtre d'affrontements entre l'armée, la police et une brigade locale. Depuis samedi 3 novembre, les forces de l'ordre entourent un bâtiment occupé par cette brigade. Les raisons de cet assaut demeurent floues.

Alors que le Parlement siège de nouveau paisiblement, le centre-ville de Tripoli résonne encore des tirs de canon anti-aérien et de missiles RPG. Depuis samedi ۳ novembre, l'armée et les forces du Haut comité de sécurité dépendant du ministre de l'Intérieur encerclent l'ancien bâtiment des services de sécurité.

Selon RFI, l'objectif est de déloger une milice et son chef, Mohamed el-Warfalli. Ce dernier est suspecté d'avoir armé la ville de Bani Walid dans le récent conflit qui l'opposait à l'armée.

Son sort demeure inconnu. Des sources dans la police disent qu'il s'est enfui et que sa brigade continuerait donc d'affronter la police et l'armée. La rue où a lieu les affrontements est toujours bouclée ce dimanche ۴ novembre. L'armée dit tirer en l'air pour éviter l'effusion de sang, bien que la même source évoque des blessés dans ses rangs.

Le ministère russe des Affaires étrangères a accusé les États-Unis et le Bureau des institutions démocratiques et des Droits de l'Homme (BIDDH) de l'application du « double standard » et de la mollesse sur l'exemple du monitoring d'élection présidentielle aux États-Unis, a rapporté Voix de la Russie.

Les États-Unis demandent les autres pays d'assurer l'accès des observateurs à toutes les étapes du processus électoral, mais ils ne font pas le même, a souligné le ministère des Affaires étrangères.

Plus tôt, en particulier, il a été rapporté que le procureur du Texas Greg Abbott a promis de poursuivre les observateurs internationaux en justice, s'ils se rapprochent aux bureaux de vote.

Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a appelé samedi à Rangoun à l'arrêt des violences des bouddhistes contre musulmans dans l'Etat Rakhine (ouest de la Birmanie) et s'est engagé à fournir une aide humanitaire, à l'issue d'un entretien avec le président birman Thein Shein, rapporte l'AFP.

Plus de 110.000 personnes ont été déplacées depuis les premières violences intercommunautaires en juin entre dans l'Etat Rakhine, qui ont repris depuis octobre et provoqué la fuite de près de 30.000 autres. De nombreuses personnes de part et d'autre ont été tuées et leur maison brûlée.

La plupart des déplacés sont des Rohingyas, une minorité musulmane apatride décrite par l'ONU comme l'une des communautés les plus persécutées de la planète, et considérée par beaucoup de Birmans comme illégale.

« On est profondémment inquiet par ces événements (...)On espère que tous les responsables appelleront à la retenue », a déclaré M. Barroso dans un discours, dont le texte a été communiqué à Bruxelles.

Téhéran- Les ennemis de l'islam utilisent l'art, le cinéma, la littérature et la musique pour défigurer le visage de l'islam, du prophète (AS) et des Saints Imams (AS).

Selon IQNA, Seyed Mohamad Hosseini, ministre iranien de la culture et de l'orientation islamique, lors de la cérémonie d'inauguration du site internet d'art islamique dépendant de l'Assemblée mondiale des Ahl-ul-bayt (AS), le 2 novembre 2012, dans le cadre de l'exposition des médias et des agences de presse, a déclaré que la fête de Qadir était une bonne occasion pour l'inauguration de ce site et a souhaité qu'il sera capable de refléter l'esprit de Qadir et les véritables enseignements islamiques.

"Les ennemis de l'islam utilisent l'art, le cinéma, la littérature et la musique pour défigurer le visage de l'islam, du prophète (AS) et des Saints Imams (AS). Nous ne pouvons pas nous contenter de quelques méthodes traditionnelles mais utiliser les différentes formes artistiques pour présenter les vrais enseignements de l'islam et des Imams (AS). Les calomnies des ennemis sur les Imams et le prophète (AS) sont dangereuses et nuisent à l'image de l'islam, si leurs enseignements sont correctement expliqués, les gens seront éclairés et attirés par ce message.

Les Saints Imams (AS) ont travaillé pour la justice dans la société et étaient même reconnus pour leur justice par leurs ennemis. Des gens qui suivent leurs passions ne peuvent pas diriger le gouvernement islamique. Le fait que la majorité des Saints Imams aient été empoisonnés par les usurpateurs du pouvoir montre qu'ils jouissaient d'une grande réputation dans le peuple.

Le lancement de ce site consacré à l'art islamique, peut avoir une grande influence et l'Assemblée mondiale des Ahl-ul-Bayt (AS) ne doit pas se contenter de discuter avec les religieux mais doit aussi être présente dans le monde de l'islam et le combat contre les wahhabites. Nous devons renouveler nos méthodes et utiliser l'art qui est un excellent moyen de propagande comme l'a souligné et conseillé le Guide suprême.

Les possibilités littéraires de notre pays sont très grandes, un site de ce genre pourra être l'occasion de les présenter et de présenter nos différentes activités artistiques. Un autre objectif est la connaissance des artistes étrangers et la présentation de l'idéologie de l'islam et des enseignements des Ahl-ul-bayt (AS)", a-t-il dit.

Téhéran- Le secrétaire général du Hezbollah libanais est un croyant sincère dont la foi solide l’a gardé de tomber dans les pièges politiques dans lesquels tombent en général les politiciens. Voilà le plus important facteur du succès de Nasrallah et du privilège de sa ligne politique.

Lors d’une interview accordée à l’Agence Internationale de Presse Coranique, l’ayatollah Seyed Ali Akbar Haeri, disciple du martyr Sadr et penseur et professeur de l’école théologique de Nadjaf en Irak a indiqué : « Nasrallah dispose d’une personnalité politique et militaire privilégiée, mais ses origines religieuses et sa foi sont plus importantes par rapport à ses autres dimensions personnelles. »

« Seyed Hassan Nasrallah, a-t-il ajouté, est un croyant sincère dont la foi solide l’a gardé de tomber dans les pièges politiques dans lesquels tombent en général les politiciens. Voilà le plus important facteur du succès de Nasrallah et du privilège de sa ligne politique.»

Haeri a précisé : « Au cours de sa présence en la république islamique d'Iran et à l’école théologique de Qom, Seyed Hassan Nasrallah était mon ami et mon collègue et on était de bons amis. Alors à mon avis, son succès vient d’une série de traits personnels qui ont fait de Seyed Hassan Nasrallah une personnalité exceptionnelle. »

Présentant Seyed Hassan comme un homme croyant et sincère, l’ayatollah Haeri a ajouté : « Ces traits caractéristiques l’ont toujours préservé de tomber dans le piège des erreurs politiques. »

Le professeur de l’école théologique de Nadjaf a précisé : « En général, en raison d’une foi faible, les politiciens commettent de grandes erreurs, mais en raison de sa présence solide dans le domaine de la religion, il n’est jamais tombé dans le piège des erreurs politiques. »

En ce qui concerne les plus importantes origines de la victoire de la résistance islamique libanaise, sous la direction de Seyed Hassan Nasrallah, malgré la supériorité militaire de l’ennemi, il a expliqué : « Le résultat de l’opposition entre le vrai et le faux a toujours été le même au cours de l’histoire, parce que la ligne de la foi est lié au ciel et malgré le manque d’équilibre, en se basant sur des traits de conviction, l’homme peut devancer son ennemi et obtenir la victoire. »

L’ayatollah Seyed Ali Akbar Haeri a ajouté : « Le Saint Coran souligne que la puissance vient de la foi et non de l’arme et le croyant entre sur la scène du combat par le pouvoir de sa foi et non pas par celui de son arme. »

En ce qui concerne le combat que mène la résistance islamique du Liban contre la guerre psychologique et médiatique de l’ennemi, l’ayatollah Haeri a expliqué : « La guerre psychologique menée par l’ennemi ne peut réussir devant la foi de Seyed Hassan Nasrallah et les autres croyants et résistants et sans nul doute, ces derniers ne seront pas influencés par cette guerre psychologique et médiatique de l’ennemi. »

« Les éléments de l’unité islamique, la foi, la religion, les objectifs et les idéaux et les autres enjeux contemporains se voient aux différents niveaux chez les musulmans ; c’est pourquoi je suis persuadé que la flexibilité devant la volonté de l’autrui joue son rôle dans la réalisation de l’unité islamique », a-t-il conclu.