تقي زاده

تقي زاده

Au moins 12 personnes sont mortes et des dizaines portées disparues après le naufrage d'un bateau de Rohingyas musulmans fuyant la Birmanie, dernier drame d'une crise ayant poussé plus d'un demi-million de réfugiés au Bangladesh en six semaines.
"La mer était très agitée, nous supposons qu'ils ont perdu le contrôle de leur embarcation", explique à l'AFP Rony Mitra, pompier qui patrouille avec ses hommes le long de la plage de Shah Por Dwip, à la recherche de corps.

Ce nouveau naufrage s'est produit dimanche soir dans le golfe du Bengale, non loin de l'embouchure de la rivière Naf, qui sépare la Birmanie et le Bangladesh.

Les Rohingyas y affrontent une mer houleuse depuis des semaines, pour échapper à la répression de l'armée birmane.

Une main en visière, un garde-côte scrute l'estuaire de la Naf. Sur la rive opposée, côté birman, on distingue les taches de couleurs d'un campement de Rohingyas attendant de tenter un passage au Bangladesh.

"La mer est mouvementée aujourd'hui. Vous ne savez jamais où vont arriver les corps", dit-il.

Pour l'heure, les sauveteurs ne savent même pas combien de personnes étaient à bord: les estimations oscillent entre 60 et 100, selon les témoignages des survivants, qui évoquent une majorité d'enfants à bord.

"Nous avons parlé à plusieurs survivants. L'un d'entre eux a dit que le bateau transportait 80 à 100 personnes, dont 30 à 35 hommes", a déclaré Abdul Jalil, un responsable des garde-côtes bangladais. Le pompier Rony Mitra parle lui d'une soixantaine de personnes à bord.
 

قال النبي (ص) : إن لقتل الحسين حرارة في قلوب المؤمنين لا تبرد أبدا

Le Noble Prophète (S) dit : " Assurément, il existe dans les cœurs des Mu'minin (croyants), en respect au martyre d'Al-Hussayn (AS), une ardeur qui ne s'apaise nullement ". Fait significatif - lorsqu'on sait que la Sunna ou la Tradition consiste en les paroles, les gestes et le comportement du Prophète - le Messager de Dieu le couvrait publiquement de son amour et de sa tendresse, et le portait ainsi que son frère aîné, al-Hassan, contre sa poitrine en exprimant à haute voix, devant ses Compagnons, cet amour paternel généreux: «Ô mon Dieu! Je les aime et j'aime ceux qui les aiment». (6)

La métaphore suivante en dit long sur l'amour que le Prophète (psl) éprouvait et exprimait pour ses deux petits-fils: «Mes deux fils(7) que voici sont mes deux basilics de ce bas-monde ». (8)

"Al-Hassan et al-Hussayn sont les deux Maîtres de la jeunesse du Paradis"». (Selon Abi Sa`ïd al-Khidri, cité par Ahmad ibn Hanbal)".

Et les propos suivants ne laissent plus de doute sur la portée et la profondeur de cet amour:

«Al-Hussayn fait partie de moi, et je fais partie d'al-Hussayn. Dieu aimera celui qui aura aimé al-Hussayn». (A1-Tarmadi, citant Ya`li Ibn Marrah rapporte ce témoignage)

«Celui qui aime al-Hassan et al-Hussayn m'aura aimé, et celui qui les déteste, m'aura détesté».(10)

Propos réitérés et confirmés à maintes autres occasions. Par exemple, lorsqu'un jour, le Prophète (psl) qui accomplissait sa prière, que al-Hassan et al-Hussayn se

Bousculaient sur son dos, en ces moments de recueillement, et que des gens vinrent les éloigner, dit: «Laissez-les... Par mon père et ma mère, celui qui m'aime, doit les aimer aussi».(11)

Ou encore cette autre métaphore révélatrice et on ne peut plus claire, utilisée par le Prophète (psl) pour mettre en évidence la position prédestinée d'al-Hussayn auprès de Dieu: «Celui qui se réjouirait de voir un homme destiné au Paradis,(12) qu'il regarde al-Hussayn».(13)

Ainsi, le Prophète (psl) a donc pris soin de faire connaître aux Musulmans le sort de martyr qui attendait al-Hussayn, dès son enfance et de désigner sa position privilégiée dans la Umma, pour que celle-ci ne pardonne jamais à quiconque aurait le malheur de devenir parmi les assassins de son bien-aimé.

Malgré toutes les tentatives perfides des Omayyades de justifier l'assassinat d'al-Hussayn et de déformer la noble cause pour laquelle il se battait, l'attachement des Musulmans au petit-fils du Prophète alla grandissant après son martyre. Car, comment auraient-ils pu se détacher de lui, s'ils voulaient rester attachés au Message de leur religion, alors qu'ils savaient que ce martyr faisait partie des Ahl-ul-Bayt (la famille du Prophète) que le Coran leur ordonne d'aimer:

«Dis: " Je ne vous demande aucun salaire pour cela, si ce n'est votre affection envers les proches". (18) A celui qui accomplit une telle action, nous répondrons par quelque chose de plus beau encore». (Coran, XLII, 23);

Selon al-Samhoudi (et selon Anas cité par Ahmad ibn Hanbal) :

"Le Prophète venait chaque matin à la porte de Ali, Fatima al-Hassan et al-Hussayn, et, tenant les deux poteaux (de la porte), il s'écriait trois fois "A la prière, à la prière, à la prière", et de réciter ce verset coranique : "Ô vous les Gens de la Maison (Ahl al-Bayt) : Dieu veut éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement". (Coran, XXXIII, 33)

Et qu'il associe au Prophète (psl):

«Si quelqu'un te contredit après ce que tu as vécu en fait de science, dit: "Venez! Appelons nos fils(19) et vos fils, nos femmes et vos femmes, nous ferons alors une exécration réciproque en appelant une malédiction de Dieu sur les menteurs"». (Coran, III, 61)

Ibn Sâbit, cité par Ahmad ibn Hanbal, témoigne : "Al-Hussayn Ibn Ali entra un jour dans la mosquée. Jabir Ibn Abdullah dit alors : "Celui qui aimerait voir le maître de la jeunesse du Paradis, qu'il regarde celui-ci (al-Hussayn). C'est ce que j'ai entendu du Prophète".

Le Prophète : le premier à pleurer du martyre d'al-Hussayn

L'Imam Ali, cité par Ahmad ibn Hanbal a raconté :

"Un jour, en entrant chez le Messager de Dieu, j'ai vu que ses yeux débordaient de larmes. Aussi lui demandai-je : - Qu'est-ce qui te fait pleurer Ô Messager de Dieu ? -L’Ange Gabriel, dit-il, vient de me quitter. I1 m'a informé qu'al-Hussayn serait tué près de l'Euphrate. Et me demandant, "veux-tu sentir la terre où il sera tué» ? Il tendit sa main, ramassa une poignée de terre et me la donna. Je n'ai pu alors empêcher mes yeux de déborder de larmes".Cité par Ibn Kathir

Les larmes d'al-Hussayn fendaient le cœur du Prophète

Lorsque le Prophète entendait al-Hassan ou al-Hussayn pleurer, il disait à sa fille Fatima :

- Pourquoi cet enfant pleure-t-il ? Ne sais-tu pas que ses pleurs me font mal ?

Cité par Abbas Mahmoud al-Aqqad

Le Prophète et al-Hussayn : Deux êtres d'une même essence

Soutenir al-Hussayn est un devoir

Le père de Ach`ath Ibn Samih a dit : "J'ai entendu le Messager de Dieu dire : "Mon fils c'est-à-dire al-Hussayn - sera assassiné sur une terre dénommé Karbala'. Quiconque l'y verra, qu'il le soutienne".Cité par Ibn Kathir

« Il y a pour toi une demeure auprès de Dieu que tu ne peux

Atteindre que par le martyre », lui avait dit son grand-père, le

Messager de Dieu(s).

Al-Hussayn : critère de la fidélité au Prophète

Abou Hurayrah, cité par Ahmad ibn Hanbal témoigne : "Le Prophète, (P) regardant al-Hassan, al-Hussayn et Fatima (leur mère), dit : Je serai en guerre contre quiconque aura été en guerre contre vous et en paix avec quiconque aura été en paix avec vous".Cité par Ibn Kathir

Ahmad ibn Hanbal rapporte le témoignage suivant d'Abi Hurayrah : "Le Prophète a dit : "Celui qui aime al-Hassan et al-Hussayn, m'aura aimé, et celui qui les déteste m'aura détesté".Cité par Ib

dimanche, 08 octobre 2017 20:09

40 Hadith du Imam Hussein as

40 Hadith du Imam Hussein as

 

1- Comment une chose dont l'existence dépend de vous peut elle être prise comme une preuve pour votre existence ? Ya t-il quelque chose de plus évident que votre "moi"qui vous révèle? Êtes-vous cachés pour avoir besoin d'un guide pour vous trouver ? Sûrement vous ne l'êtes pas. Est-ce que vous êtes lointains pour qu'on ait besoin de vos empreintes pour vous trouver ? Sûrement vous ne l'êtes pas! Les yeux peuvent être aveugles, qui ne vous voient pas observer et garder votre "moi". (Arafa prayer ; Biharol Anwar , Vol . 98 , P. 226) 2- Celui qui vous a, a tout et celui qui s'est privé de vous est le plus pauvre(faible) dans le monde. Le perdant est celui qui choisit et est content de quelqu'un d'autre ou autre chose que vous. (Biharol Anwar , Vol . 98 , P . 228) 3 - Jamais ne sera sauvé le peuple(les gens) qui gagne le consentement de la créature (les gens) aux dépens de l'insatisfaction du créateur. (Maktal Khawarazmi , Vol . 1 , P . 239) 4 - Personne ne se sentira serein le Jour de Résurrection sauf ceux qui ont craint Dieu dans ce monde. (Biharol Anwar , Vol . 44 , P . 192) 5 - Dieu Tout-puissant a dit : "Les hommes croyants et les femmes croyantes, ils sont les gardiens(tuteurs) l'un de l'autre, conseillant le bon et interdisent le mal …" Dieu attache l'importance primordiale à conseiller le bien et interdire le mal "comme un devoir(droit) pour hommes et femmes. Car il sait que si elle satisfait à toutes les autres fonctions, facile ou difficile, qui sera accompli

.

C'est parce que «ordonner le bien et interdire le mal» est un appel à l'islam, il reprend les droits des opprimés, et s'oppose à des tyrans.

(Tohafol Okool , P . 237)

(Tohafol Okool, P. 237) 6 - O "les gens, le Messager de Dieu a dit: Celui qui voit un tyran agressif légalise les interdictions de Dieu, rejette les lois divines, s'oppose à la tradition du Prophète, opprime les fidèles de Dieu, mais n' admet pas son opposition à Dieu dans la parole ou en actes, Allah, placera ce tyran (en l'Enfer), où il le mérite.

(Maktal Khawarazmi , Vol . 1 , P . 234)

(Maktal Khawarazmi, Vol. 1, P. 234)

7 -

Les gens sont esclaves de la planète, et aussi longtemps qu'ils vivent leur favorable et confortable vie, ils sont fidèles à des principes religieux. Toutefois, à des temps difficiles, aux périodes de tri, la vraie religion est rare.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 117)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 117)

8 -

Celui qui poursuit un objectif par les moyens de péché, va paradoxalement s'éloigner de cet objectif, et l'approche de ce qu'il a peur.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 120)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 120) 9 - Vous ne voyez pas que le vrai n'est pas transmis et le faux n' est pas interdit. Je tiens aux croyants souhaitant mourir en droiture et rencontrer Dieu.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 117)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 117)

10 -

Pour moi, la mort n'est rien, devant le bonheur, et vivre sous les tyrans n'est rien devant la vie dans un enfer.

(Tohafol Okool , P . 245)

(Tohafol Okool, P. 245)

11 -

Vos difficultés sont pires que d'autres, car vous avez été privé de son grade des chercheurs - en tenant compte de votre légitimité et le mérite - (Ces difficultés sont), parce que l'administration des affaires de la société et la transmission des règles réligieuses doivent être faite par des chercheurs qui croient vraiment en Dieu et de savoir ce qui est permis et ce qui est interdit par Dieu. Mais vous avez été privé de cette position et le rang pour vous s'est retiré de (soutenir) la vérité. Vous avez changé la tradition du prophète, en dépit de la clarté et la divulgation de preuves. Si vous aviez résisté et étiez patients contre la torture et des nuisances (des tyrans) pour l'amour de Dieu, les affaires divines seraient restées dans vos mains, et vous avez été ceux à qui seraient attribuées. Mais vous avez fait les tyrans dominants sur vous et avez laissé(quitté) les affaires divines dans

leurs mains, tandis qu'ils font sans honte l'interdit et vivent notoirement une vie licencieuse. Votre (la crainte) de la mort et l'attachement à ce monde ont encouragé les tyrans à établir la dominance sur vous.

(Tohafol Okool , P . 238)

(Tohafol Okool, P. 238)

12 -

Certes, vous savez que tout ce que nous avons fait n'est pas un concours pour gagner des positions du monde et non pas pour la valeur physique des attractions du monde. Mais de montrer les signes de la religion et les moyens d'éliminer la corruption de vos terres, afin que les opprimés se sentent sécurisés et d'agir en fonction de vos traditions et de règles.

(Tohafol Okool , P . 239)

(Tohafol Okool, P. 239)

13 -

Je n'ai jamais révolté en vain, comme un rebelle ou un tyran, mais je suis à la recherche du Réforme de la nation de mon grand-père Mohammad saw. J'ai l'intention d'ordonner le bien et interdire le mal, d'agir conformément à la tradition de mon grand-père, et mon père Ali Ibn Abi-Talib as.

(Biharol Anwar , Vol . 44 , P . 329)

(Biharol Anwar, Vol. 44, P. 329)

14 -

Si le monde est compté précieux, sûrement la récompense divine est plus élevée et plus digne. Si les organismes ont été créés pour la mort; sûrement être tués avec des épées dans la voie de Dieu est plus digne de mort. Si la part de la subsistance quotidienne, de chaque créature est fournie par le créateur, ce n'est sûrement pas descent pour l'homme d'être avide de trop acquérir et manger . Si la richesse est accumulée pendant une journée pour être abandonné, alors pourquoi un homme libre devient si avare sur quelque chosequ'il doit se séparer.

(Biharol Anwar , Vol . 44 , P . 374)

(Biharol Anwar, Vol. 44, P. 374)

15 -

Si vous ne croyez pas à une quelconque religion et n'avez pas peur du Jour de la Résurrection, au moins, soyez libre dans ce monde.

(Biharol Anwar , Vol . 45 , P . 51)

(Biharol Anwar, Vol. 45, P. 51)

16 -

Ceux qui adorent Dieu de l'espérance de gagner, ils ne sont pas vrais adorateurs, ils sont commerçants. Ceux qui adorent Dieu par la peur (de sanction), ils sont esclaves. Et ceux qui adorent Dieu, en étant reconnaissants envers leur créateur, ils sont le peuple libre, et leur culte est bien réel.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 117)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 117) 17 - Méfiez-vous que la demande de besoin des gens envers vous est l'une des bénédictions de Dieu pour vous. Donc, ne pas effrayer les populations dans le besoin quand ils viennent à vous, sinon la bénédiction de Dieu partira et ira ailleurs.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 121)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 121)

18 -

Ô peuple, prenez une leçon des conseils que Dieu a donné à ses vrais croyants , parmi lesquels reprochant aux disciples juifs où il a dit : « Pourquoi ces disciples juifs n' interdisent pas leurs population de ne pas dire des mots pécheurs ? » et également (le tout-puissant) a dit : « Ceux qui se sont transformés en athées, parmi les descendants de l'Israël, ont été maudits »… Le tout-puissant a rajouté : « certainement mauvais était ce qu'ils ont fait. Certes, Dieu les a critiqués pour avoir tourné un oeil aveugle à ce qu'ils ont vu du mal et de la corruption des tyrans de leur temps hors de l'avarice ou de la crainte. Dieu tout-puissant dit : » Ne craignez pas les gens, plutôt, craignez-moi ! » Le tout-puissant a indiqué : » Les hommes croyants et les femmes croyantes, ils sont des gardiens des uns et des autres ; ils encouragent le bon et interdisent le mal. » (Tohafol okool, P. 237) 19 - Celui qui cherche la satisfaction de la population par le biais de la désobéissance de Dieu, Dieu lui sujets aux personnes.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 126)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 126)

20 -

Évitez d'opprimer celui qui n'a pas de défenseur contre vous, car le Dieu tout-puissant est son défenseur.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 118)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 118)

21 -

Celui qui révèle vos péchés comme un miroir est votre véritable ami, et celui qui vous flatte et couvre vos défauts est votre ennemi.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 128)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 128)

22 -

La sagesse ne serait pas complet si ce n'est par la suite de la vérité.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 127)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 127)

23 -

S'associer avec des gens corrompus vous fait l'objet de suspicion.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 122)

(Biharol Anwar, Vol. 78, P. 122)

24 -

Un cri de crainte de Dieu est le salut contre l'enfer.

(Mostadrakol Wasael , Vol . 11 , P . 245)

(Mostadrakol Wasael, Vol. 11, P. 245)

25 -

Un homme est venu à l'imam Hussein (maître des martyrs) et dit: Je suis un homme pécheur et ne peut pas éviter de faire le péché, s'il vous plaît conseillez-moi

.

Imam (Paix et bénédiction sur lui) a dit: Si tu peux faire de ces cinq choses, alors commet le péché autant que vous le souhaitez. Tout d'abord: ne mangez pas la subsistance de Dieu et commettez le péché autant que vous le souhaitez. Deuxièmement: aller au-delà du domaine de Dieu et commettez le péché autant que vous le souhaitez. Troisième: chercher un site où Dieu ne peut pas vous observer et commettez le péché autant que vous le souhaitez. Quatrième: si l'ANGEde la mort vient pour vous enlever l'âme, l'expulser hors de soi et commettez le péché autant que vous le souhaitez. Cinquième: Si l'Ange de l'enfer était sur le point de vous jeter dans le feu d'enfer, l'arrêter et commettez le péché autant que vous le souhaitez.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 126)

26 - Évitez de faire des choses qui vous font obligation de présenter des excuses pour cela. Les vrais croyants ne font jamais quelque chose pour lequel ils ont à présenter des excuses. Les faux croyants, au contraire, continuent à faire du mal et de dire qu'ils sont désolés de leur mauvais

acte. (Tohafol Okool, P. 248)

27 - P

récipitation est la folie.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 122)

28 - Ne pas permettre à quelqu'un (de venir) avant de dire Salam (salutations).

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 117)

 

29 -

Parmi les signes de l'ignorance est de discuter avec des gens irraisonnables.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 119)

 

30 -

Parmi les signes d'un homme instruit: il critique ses propres mots et est au courant de divers points de vue.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 119)

 

31 -

Imam Houssein (as) a été questionné: ô le fils du prophète, comment est la vie se passe t-elle? Imam a répondu: La vie continue, de telle manière que j'aie Dieu au-dessus de moi, le feu d'enfer devant moi, la mort me recherche, il n'y a pas de fuite du jour du jugement, je suis pris en otage par mes propres actes, les choses ne s'avèrent pas être à la manière que j'aime, je ne peut pas repousser ce que je déteste, les affaires sont dans les mains de quelqu'un d'autre. Il me torture s'il veut et il pardonne s'il souhaite. , Y a-t-il par conséquent quelqu'un plus pauvre que moi ? (Biharol Anwar, Vol. 78, P. 116)

32 -

Quiconque devient généreux devient noble, et celui qui est avare devient vicions et mesquins (Biharol Anwar, Vol. 78, P. 121)

33 -

Le plus généreux est celui qui offre son aide à ceux qui ne s'attendent pas à lui pour l'aider.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 121)

34 - Celui qui résoud un problème d'un croyant, Dieu résoud ses difficultés de ce monde et de l'au-delà.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 122)

35 - Si vous avez entendu une personne discréditer la dignité et l'honneur d'une personne, alors essayez de ne pas se présenter à lui.

(Balagatol Hussein ( AS ) , P . 284)

36 - Ne pas augmenter votre besoin, sauf à trois (les types de personnes): à un religieux, à un généreux ou à un noble.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 118)

 

37 -

Soixante-dix récompenses sont pour Salam (salutation islamique) ; soixante-neuf pour le demandeur et un pour la personne qui répond. (Biharol Anwar, Vol. 78, P. 120)

38 -Agissez comme la personne qui croit à la punition des péchés et la récompense des bons actes.

(Biharol Anwar , Vol . 78 , P . 127)

 

39 - Au cas où la pauvreté, la maladie, et la mort n'existeraient pas, l'homme ne cintrerait pas à n'importe quoi

(Nozhatol Nadher wa Al Tanbeehel - Khatir, P. 80)

40 -

Vous méritez le paradis, ne vous vendez pas pour n'importe quoi de moins. Celui qui est content aux plaisirs, a suffi à quelque chose basique et bas.

(Balagatol Hussein ( AS ) , P . 308)

Apres le massacre avec une extrême cruauté, Les chevaux de l’ennemi piétinèrent le cadavre décapité de Al Hussein (P) et des autres martyres, tandis que les femmes, les orphelins étaient violemment traînées et humiliées à travers plusieurs villes.(de Koufa a Damas ).Un seul fils adulte d’Al Hussein (P) échappa à l’horrible tuerie : Ali Ibn Al Hussein (P) plus connu sous le nom de Zein El-Abedîne, qui était malade. Quant aux cadavres, ils restèrent sur place à la merci du soleil brûlant de l'été(148), durant trois jours. Zeynab (P), la sœur de Al Hussein (P), fut horrifiée et pleine de compassion et de tristesse en voyant la tête décapitée de son frère suspendue à la pointe d’une lance. Elle fit un poème fort poignant :  

« Que direz-vous lorsque le Prophète (P) vous demandera,  

Vous le peuple qu’il a laissé derrière lui,  

Qu’avez-vous fait de ma descendance et de ma famille après ma mort ?  

Parmi eux des prisonniers de guerre et des corps baignant dans leur sang »  

À l’arrivée du convoi à Koufa, au palais de gouverneur, Ibn Ziyâd, ce malheureux criminel dit avec réjouissance et fierté : « Louange à Allah qui vous a scandalisé, vous a tué et a démenti vos histoires. » Dame Zaynab prit alors la parole et répondit : « Louange à Allâh qui nous a honoré par Son Messager — paix et bénédictions sur lui et sa descendance — et qui nous a parfaitement purifié des vices. Allâh ne scandalise que le pervers et ne dément que le vicieux qui est autre que nous. » Ibn Ziyâd lui demanda alors : « N’as-tu pas vu ce qu’Allâh fit de ta famille et de ton frère ? ». Dame Zaynab dit:« Je n`ai vu que le bien.Ce sont des gens que’Allâh enregistra comme martyrs et les voici martyrisés. Allâh vous rassemblera un jour et l`on verra à qui sera la victoire ». Remarquant un jeune homme parmi les prisonniers, ` Ibn Ziyâd se renseigna sur son identité. Apprenant qu`il s’agissait de Zayn Al-`Âbidîn, le fils d’Al-Husayn, Ibn Ziyâd voulut le tuer, sauf que Dame Zaynab le défendit farouchement disant : « Tu as suffisamment effusé notre sang et tu t’en es abreuvé ! Nous as-tu laissé que lui ? Par Allâh, je ne me séparerai guère de lui. Si tu veux le tuer, tue moi donc avec lui ! » C’est ainsi que, grâce à la bravoure de Dame Zaynab, Zayn Al-`Âbidîn fut le seul survivant de Karbalâ’ parmi la progéniture de l’Imâm Al-Husayn (as). Le convoi fut ensuite envoyé vers la Syrie où siégeait Yazîd Ibn Mu`âwyah.sur ce long trajet la famille de Prophete (psl) ont beaucoup souffert. Une fois les gens voulait offrir des dates secs aux enfants affamés, mais Dame Zainab a refusé en disant : Je vous remercie de votre sollicitude  

Envers nos enfants affamés. Mais nous sommes la Famille du Prophète, et l'Envoyé de Dieu nous a interdit de manger les aum6nes. En aucun cas il ne nous est possible de transgresser ses ordres.La caravane finit par arriver en Syrie à Damas, où les agents du Pouvoir omeyyade avaient déjà fait leurs propagandes: «Le Calife a remporté une victoire sur un groupe de dissidents dont les captifs sont sur le point de traverser la capitale». Tout le monde sortit pour assister à la procession. Celle-ci parvint au Château de Yazid. Lorsque Yazid reçut la tête tranchée d’Al Hussein (P), il fit un poème dans lequel il dit :  

« La tribu des Hâchimites (celle du Prophète) s’est amusée avec le pouvoir. Il n’y a eu ni nouvelles, ni révélations venues de Dieu. Je regrette que mes ancêtres morts à Badr ne soient pas présents en ce jour de gloire. »  

Yazid dit à al-Sajjâd, sur un ton vengeur et avec un air victorieux:«Ô fils de Hussayn! Ton père a tué mes liens de parenté, ignoré mon droit, contesté mon pouvoir. Dieu lui a donc fait ce que tu as vu».  

Al-Sajjâd répliqua sur le champ par un verset coranique: «Nulle calamité n'atteint la terre ni vous-mêmes, sans que cela ne soit écrit dans un livre, avant même d'être créé. Voilà qui est facile pour Dieu!» (Coran, LVII, 22) Voilà qui est facile à Dieu. Il en est ainsi pour que vous ne soyez pas désespérés par ce qui vous a échappé ni que vous n'exultiez de ce qui vous a été donné. Dieu n'aime pas l'insolent plein de gloriole."  

Il a dit aussi : "0 fils de Mouawiya, de Hind et de Sukhr, la Prophétie et l'autorité ne sont descendues que pour mes parents, mes aïeux avant que tu ne sois né. Mon grand-père Ali fils d'Abî Tâleb, était à Badr, à Uhud et [à la bataille) des Partis, portant l'étendard du Messager de Dieu alors que ton père et ton grand-père portaient l'étendard de l'incroyance. Malheur à toi Yazîd! Si tu réalisais ce que tu as fait, quel crime tu as commis à l'encontre de mon père et de sa famille, tu t'enfuirais dans les montagnes, tu étendrais de la cendre, tu appellerais au malheur sur toi. Annonce l'humiliation et le regret quand les gens seront réunis le jour du Jugement. Yazid a menacé al- Sajad, L'Imam Ali Zayn Abidine répondit, d'une voix faible mais claire et ferme :  

- Yazid ! Les tortures que tu nous as déjà infligées ne peuvent pas être surpassées en honneur par tout ce que ton esprit malade pourrait imaginer. Pour moi, la pire des tortures, c'est être en ta présence, avec les femmes de la Famille du Prophète sans voile pour préserver leur visage de ton regard vicieux. Ne crois surtout pas que ni moi ni mes proches soyons effrayés ou intimidés par tes menaces. Nous, Gens de la Famille du Prophète, sommes éduqués depuis l'enfance pour être à même de supporter  

Toutes les épreuves, toutes les souffrances. Ceux que Dieu aime, IL les soutient dans toutes les épreuves et, dans l'Au-delà, ils jouiront de Ses Faveurs ! Des murmures d'admiration s'élevèrent dans l'assistance…  

…La grand Dame Zaynab ,Elle s’est adressée aussi à Yazîd en disant : « « Ô Yazid, penses-tu que tu as triomphé sur nous ?...N’as-tu pas lu dans le Qur’an où Allah dit "Si nous accordons un répit aux incroyants ou si on accroit leurs richesses, ils ne doivent pas se considérer avantagés par rapport aux autres…On leur accorde répit pour qu’ils dévoilent leur vraie face" Ô Yazid, je jure sur Allah que tu n’as décapité personne, mais toi-même, Houssein vit éternellement et tu ne pourras jamais effacer notre souvenir ; nous resterons jusqu’à la fin de ce monde ». Ceux qui t’ont déblayé le chemin et qui t’ont permis d’asservir les Musulmans seront qui sont ceux qui occupent la place inférieure et qui ont les soldats plus faibles. C’est l’alternative méritée des injustes. Malgré les calamités qui m’ont touchée, je trouve que tu es sans valeur. Je trouve plus valorisant pour toi le fait de te tancer et de te réprimander. Mais je le fais car mes yeux sans larmoyants. Quelle chose étrange de voire les nobles du parti de Dieu tués par les affranchis, par le parti du Diable. Si tu penses que nous sommes un gain que tu viens de réaliser, tu ne tarderas pas à constater que nous sommes une perte que tu as subie. C’est à Dieu que nous adressons nos plaintes. Dieu ne traite jamais ses serviteurs injustement. Déploie donc tes fourberies et tous tes efforts. Par Dieu, tu n’arriveras pas à effacer notre renommée. Tu n’anéantiras pas notre Révélation. Tu n’atteindras jamais notre rang et tu n’arriveras jamais à laver ta honte. Tes avis sont erronés, Tes jours, lorsque le crieur criera, sont comptés et les armées qui tu rassembles seront dispersées. Que la malédiction de Dieu soit sur les injustes. Gloire à Dieu qui a donné au premier d’entre nous le bonheur et au dernier parmi nous le martyre et la miséricorde« …  

L’Imam Ali ibn Al-Hussayn paix sur lui a prononcé une homélie historique à Damas, dans la grande mosquée de la ville semble-t-il, Le jour du discours, un orateur officiel se présenta à la tribune pour offrir une louange en l’honneur de Moawiya et d’Abu Sofyan, et dénigrer Ali ibn Abi Talib paix sur lui. Cet orateur osa prétendre que les musulmans devaient tout à Moawiya et Yazid, que leur bonheur ici-bas et dans l’au-delà était lié au sort des ommayyades. C’est à ce moment que Ali ibn al-Hossayn paix sur lui, se leva et clama à haute voix, sans la moindre peur: "Malheur à toi, orateur, tu as acheté la satisfaction de la créature contre la colère du Créateur, et tu es devenu de ce fait un candidat à l’enfer”. Puis il se tourna vers le calife pour lui demander: "m’autorises-tu à monter à mon tour sur ces planches, afin que je dise ce qui plaît à Dieu, tout en étant utile à l’audience et comptée comme une bonne œuvre?". L’assemblée insista pour que le calife l’autorise à parler si bien que l’Imam monta sur la tribune pour discourir.Ali ibn Al-Hussayn paix sur lui commença par se présenter:  

"C’est moi le fils de la Mecque et de Mina, c’est moi le fils de Zamzam et de Safa, c’est moi le fils de messager de Dieu,c`est moi le fils de maitre des croyants ,c`est moi le fils de maitre des martyres Al-Hussein …" puis il dit: "ô les gens, Dieu nous a donné six choses et a apposé notre supériorité (nous la famille prophètique) par sept choses: il nous a donné: la science, la mansuétude, magnanimité, l’éloquence, le courage et l’amour dans le cœur des croyants" "et Dieu nous a donné la supériorité pour sept raisons: le prophète choisi Mohammad est de nous, le véridique (Ali ibn Abi Talib) est de nous, l’oiseau céleste (Ja’far ibn Abi Talib) est de nous, le lion de Dieu et de son prophète (Hamza ibn Abd al-Muttalib) est de nous, les deux descendants (Hassan et Hussayn) sont de nous, enfin le Messie (le douzième Imam,Al- Mahdi) est de nous ".  

L’influence du discours de l’Imam sur l’assemblée fut si forte que les ommayades durent l’interrompre en faisant donner l’appel à la prière (adhan). L’Imam par respect pour le Nom du Très Haut, se tut. Quand le muezzin en arriva à dire "je témoigne que Mohammad est le prophète de Dieu", l’Imam s’adressa au muezzin, en retirant son turban: "par le droit du prophète que tu as invoqué, tais-toi!". Puis s’adressant à Yazid ibn Moawiya, l’Imam dit: "est-ce que ce prophète noble et glorieux est ton grand père ou le mien? Si tu dis que c’est le tien, tout le monde saura que tu aurais menti, et si tu dis que c’est le mien, alors pourquoi as-tu assassiné mon père et volé ses biens? Et emprisonné ses femmes?" puis continua son discours jusqu’à ce que l’assemblée se sépare dans le désarroi le plus complet.  

La famille de Prophete (psl) en captivitè sont retournè au prison, la fille de Imam Hussein, Soukeine surnomme Roukhaya,qui n`avait que 3 ans mourut de ses blessures et de chagrin et a été enterrée dans le même endroit…  

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…Trop de rumeurs circulaient à propos du sort cruel qu'il avait infligé à la Famille du Prophète p. Des femmes allaient même jusqu'à traiter de lâches leurs maris parce qu'ils ne s'opposaient pas au tyran. Yazid avait perdu le sommeil. Il craignait maintenant sérieusement d'être renversé.  

Alors il décida de faire sortir de prison les survivants du massacre. Il affirma publiquement qu'on l'avait trompé, que Hussein n'était pas aussi rebelle qu'on le lui avait dit. Il jura que jamais il n'avait ordonné qu'on tue le petit-fils du Prophète... Il offrit à Ali Zayn Abidine, à Zaynab, à Kolsoum, à toutes et à tous de leur donner tout ce qu'ils pourraient souhaiter. La seule chose qu'ils demandèrent fut qu'on leur restitue les pauvres biens qu'on leur avait volés. Ils emportèrent avec eux ces reliques, et aussi les tètes des Martyrs.  

Voyageant de nuit, et accompagnés d'une escorte qui éloignait d'eux tous les importuns, ils revinrent sur le lieu du Sacrifice, dans la plaine de Karbala. Ils enterrèrent les têtes auprès des corps des Martyrs.  

Voyageant de nuit, et accompagnés d'une escorte qui éloignait d'eux tous les importuns, ils revinrent sur le lieu du Sacrifice, dans la plaine de Karbala. Ils enterrèrent les têtes auprès des corps des Martyrs.  

C`était 40 jour après Achoura, connue sous le nom Arbaeen.  

Le grand compagnon de Prophete (psl) Jabir Ibn Abdallãh arrive ce jourà Karbalã pour visiter les tombeaux de l`Imam Hussein p.  

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Le peuple après, il faut le dire avoir été passif ou ignorant commençât à organiser des manifestations contre Yazid et tout le pouvoir Omeyyades pendant une douzaine d'année. Un an après le Sacrifice de l'Imam Hussein, les habitants de Médine se soulevèrent contre le dictateur impie. Ils démirent son gouverneur, qu'ils remplacèrent par Abdallah fils de Hanzalah. L'armée de Yazid attaqua la ville du Prophète p. Yazid livra la cité à ses soldats durant trois jours. Plus de dix-sept mille Médinois furent massacrés, les maisons et les magasins pillés, et les femmes musulmanes violées.  

L'année suivante, un autre soulèvement eut lieu. Le chef des insurgés était Abdallah fils de Zubair. La même armée qui avait sévi dans la ville sainte du Messager de Dieu marcha sur la Sainte Mecque, où le fils de Zubair s'était retranché. Les catapultes, les balistes et autres machines de guerre de l'armée omeyyade lancèrent tant de projectiles contre la Sainte Kaaba qu'un mur s'effondra et qu'un incendie ravagea la Maison de Dieu.  

Dans les jours qui suivirent cette profanation inexpiable, Yazid mourut.  

C'est en conséquence de ces actes sordides de Yazid que le Soulèvement et le Sacrifice de l'Imam al-Houssein touchèrent tes cœurs des gens, et que leur impact alla grandissant chaque jour un peu plus.  

Au début, le Soulèvement de l'Imam al-Houssein fut considéré comme un mouvement révolutionnaire finissant par un bain de sang ; mais avec le temps, il finit par rassembler un grand nombre de gens qui étaient prêts à se sacrifier pour la cause de la Vérité, et par amour et respect pour les Ahlul-Bayt. C'est pour cette raison que Mo`âwiyah avait mis son fils Yazid en garde contre toute tentative de confrontation. Mais finalement, le tempérament haïssable et vaniteux de Yazid l'aveugla et l'empêcha de distinguer la maladresse de la préservation de ses intérêts.  

***  

Selon Ibn Kathir, lorsqu'on lui demanda s'il était licite de maudire Yazid, Ahmad ibn Hanbal, l'un des quatre moujtahed sunnites, répondit :  

- Comment ne maudirais je pas celui que Dieu Lui-même maudit ?  

L'événement de Karbala, la capture des femmes et des enfants de la Maison du Prophète (psl), leur déplacement de ville en ville comme prisonniers et prisonnières et les discours prononcés par Zaynab, la fille d'Ali, ainsi que par le quatrième Imam, tous deux au nombre des prisonniers, provoquèrent la disgrâce des Omeyyades. De tels abus envers la famille du Prophète (psl) neutralisèrent la propagande soutenue par Mou'awiyah depuis des années. L'affaire prit de telles proportions que Yazid désavoua et condamna publiquement les actions de ses agents.  

L'événement de Karbala joua un rôle majeur dans le renversement du gouvernement omeyyade, bien que son effet fût retardé. Il renforça également les racines du vraie Islam. Comme conséquence immédiate, il y eut les révoltes, Le peuple après, il faut le dire avoir été passif ou ignorant commençât à organiser des manifestations contre Yazid et tout le pouvoir Omeyyades pendant une douzaine d'année. Durant cette période, beaucoup de sang coula mais le retour aux vraies valeurs de l'Islam, celui de Mohammed (sas) et sa Sainte famille (as) n'en fut que renforcé. La vie de l'Imam al Hussein (as) fut sacrifiée, mais ce ne fut pas en vain. Contre l'oppression des tyrans, l’Imam al Hussein (as) lutta d'abord verbalement et puis, le choix ne lui ayant pas été donné, il tomba comme martyr. Aujourd'hui des millions de musulmans à travers le monde se remémorent chaque année ce récit tragique, pour que personne ne l'oublie.  

 

dimanche, 08 octobre 2017 19:57

La « grande stratégie » US

Mikhaïl Leontiev a consacré sa chronique sur la première chaîne de télévision russe à la théorie de Thomas Barnett. Ce qui paraissait n’être qu’une élucubration d’intellectuel en 2001, est en cours de réalisation. Chacun doit repenser sa vision des guerres des seize dernières années.

Sapristi [1] , Bonjour !

Trump a délivré un discours à l’Assemblée générale de l’Onu. Comme Saltykov-Shchedrin [2] l’affirmait : « Des gens sympathiques attendaient de lui des rivières de sang et des massacres, au lieu de quoi il mangea un beignet ».

Video : 
« Les nations fortes et souveraines permettent à tout un chacun de s’épanouir et de connaître toute la richesse de la vie envisagée par Dieu. En Amérique, nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie sur qui que ce soit, mais voulons le laisser briller pour que tous y voient un exemple » a déclaré le président Donald Trump [3].

Hourra ! Il nous lâche un peu. Par le passé, il aurait aspiré à nous imposer une image resplendissante ! Mais aujourd’hui, il a abandonné ce genre d’ambition. En même temps, notez bien, « effacer de la surface de la Terre » et « renverser des régimes » est toujours à la mode. Trump menace de détruire la Corée du Nord, l’Iran et de renverser le régime vénézuélien… Mais essayer d’imposer un mode de vie, sûrement pas.

Video : 
« La guerre ne doit plus être conduite contre des États précis en fonction de leur situation politique, mais contre des régions du monde, parce que ces États ont été programmés pour être détruits. Bien sûr, ils vont commencer par un État particulier, puis un autre, mais ils continueront jusqu’à ce que l’infection se répande et que tout s’effondre, ainsi que nous pouvons le voir aujourd’hui au Moyen-Orient élargi. C’est une politique dont la mise en œuvre a débuté le 11 septembre 2001 et nous n’avons pas su comprendre les conséquences de ce qui s’est passé ce jour-là. Aucune des guerres des États-Unis depuis ce jour-là ne s’est terminée », dit le politologue français Thierry Meyssan [4].

Et c’est vrai. Depuis 16 ans, aucune des guerres US ne s’est terminée ! On présente l’érudit et spécialiste de l’Orient Thierry Meyssan comme un « conspirationniste ». Il nous fait simplement remarquer que nous n’avons pas observé le changement radical de la stratégie états-unienne depuis le 11-Septembre.

Vidéo : 
« Le néo-impérialisme des États-Unis n’apporte rien, ni aux "États stables", ni à ceux du "réservoir de ressources naturelles". Les pays stables auront accès aux ressources en passant par l’armée US, tandis que ceux du réservoir de ressources seront complétement détruits, plongés dans le chaos », poursuit Thierry Meyssan.

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Voici la carte de l’enfer à laquelle Meyssan se réfère [5]. Elle figure dans le livre du professeur Barnett, un stratège et vulgarisateur qui fut l’assistant de l’amiral Cebrowski, le directeur du département de la Transformation des Forces armées au Pentagone. Pratiquement toute l’Afrique, l’Amérique centrale et latine à l’exception du Brésil et de l’Argentine, tombent dans la zone des pays « non-intégrables » condamnés au chaos. Puis, naturellement, tout le Proche-Orient avec la Turquie, le Golfe persique, l’Iran et le Pakistan ; tout l’Asie du Sud-Est et les Balkans, sauf la Grèce. Dans le même temps, la Russie, l’Inde et la Chine sont retirés avec prudence de la « zone du cauchemar ».

Vidéo : 
« Le pouvoir du Léviathan [6] ne doit être relâché que de temps en temps. Mais voici ce que vous pouvez promettre aux Américains, à nos concitoyens et au monde entier. Si nous libérons ce Léviathan, nous promettons que nous vous garantissons immédiatement, immédiatement après, l’installation de la gouvernance fonctionnelle. Vous ne devriez pas planifier une guerre si vous n’espérez pas trouver la paix », affirme l’analyste politique US Thomas Barnett [7].

Et ils hériteront du Royaume !… Pour ceux qui sont un peu lents à comprendre : la « gouvernance fonctionnelle », c’est juste l’administration par des forces d’occupation. Exclusivement US. Pour ceux qui savent : quelle sorte d’administration US peut-être offerte aux « territoires non-intégrables » ? La solution est dans l’expression « non-intégrable ». On vous l’a dit ! Et pourquoi la Terre souhaiterait-elle un « exemple » venant d’eux ? D’eux qui pensent se vautrer dans la misère des autres.

Laissez moi citer Meyssan une fois encore : « Aucune des guerres commencées après le 11-Septembre ne s’est terminée ».

Sapristi, au revoir !

Source 
1tv (Russie)

[1] « Sapristi » (Odnako) est le titre de la chronique politique de Mikhaïl Leontiev sur 1TV.

[2] Mikhail Saltykov-Shchedrin (1826-1889) est un célèbre satiriste russe.

[3] « Discours de Donald Trump à la 72e session de l’Assemblée générale des Nations unies », par Donald Trump, Réseau Voltaire, 19 septembre 2017.

[4] « Le projet militaire des États-Unis pour le monde », par Thierry Meyssan, Haïti Liberté (Haïti), Réseau Voltaire, 22 août 2017.

[5The Pentagon’s New Map, Thomas P. M. Barnett, Putnam Publishing Group, 2004.

[6] Le Léviathan est un monstre mythique, issu des profondeurs marines, qui, dans la Bible et le Talmud, détruit les animaux révoltés contre leur Créateur.

[7] “New Map”, Thomas P.M. Barnett’s, Naval War College Lecture, 2002.

Mikhaïl Leontiev

Mikhaïl LeontievDirecteur du magazine Odnako. Chroniqueur de la première chaîne de télévision russe. Directeur du département de l’information et de la publicité de Rosneft.

 
Réseau Voltaire

Voltaire, édition internationale

 
dimanche, 08 octobre 2017 19:55

Rohingyas: la trêve s'achève lundi soir

Les activistes rohingyas, dont les attaques fin août en Birmanie avaient donné prétexte au gouvernement pour mener une campagne de répression de l'armée, ont souligné samedi que le cessez-le-feu unilatéral d'un mois, déclaré le 10 septembre, s'achevait dans deux jours, tout en disant rester ouverts à la paix.
Dans un communiqué publié sur Twitter, l'Armée du salut des Rohingyas de l'Arakan (ARSA) explique que la trêve s'achèvera le 9 octobre à minuit.

"La pause humanitaire a été décidée afin de permettre aux acteurs humanitaires d'évaluer et de répondre à la crise humanitaire en Arakan", l'actuel Etat Rakhine dans l'ouest de la Birmanie, selon ce communiqué. "Si, à n'importe quelle étape, le gouvernement birman se montre ouvert à la paix, alors l'ARSA lui réservera un bon accueil et agira en réciprocité".

Dans les camps de réfugiés du Bangladesh, la prochaine fin du cessez-le-feu était accueillie avec circonspection. Des Rohingyas interrogés par l'AFP redoutaient une nouvelle flambée de violences qui relancerait l'exode vers ce pays pauvre et y aggraverait la crise humanitaire.

"L'armée (birmane) et l'ARSA devraient s'asseoir à une même table. La solution est dans la négociation, pas en se massacrant et en se mutilant les uns les autres", a déclaré Mohammed Idriss, réfugié du camp de Kutupalong.

Un responsable de l'ONU basé à Dacca, Robert Watkins, a lui fait part de son inquiétude concernant le projet d'extension du camp de Kutupalong, où vivent déjà plus de 300.000 réfugiés Rohingyas et dont la capacité pourrait être portée 800.000 places.

"Quand vous concentrez trop de gens dans un petit espace, en particulier des personnes vulnérables aux maladies, c'est dangereux", a-t-il déclaré à l'AFP.

"En cas de maladies infectieuses, il y a beaucoup plus de chances qu'elles se transmettent rapidement", a-t-il ajouté, en mentionnant également les risques en cas d'incendie dans le camp.

Les nouveaux abris doivent être construits sur une surface de quelque 1.200 hectares, accolée au camp actuel, qui pourrait devenir le plus grand camp de réfugiés au monde.


Selon les chiffres publiés vendredi par l'ONU, quelque 515.000 réfugiés ont fui la Birmanie vers le Bangladesh depuis le 25 août. Environ 2.000 réfugiés continuent à arriver chaque jour, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
 
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif, a annoncé samedi que Téhéran était prêt à entamer un dialogue et se rapprocher de Riyad, dénonçant toutefois l'attitude saoudienne dans la région.
"Il y a une volonté de rapprochement des deux côtés, et nous sommes prêts à parler de nos différences avec l'Arabie saoudite", a indiqué le ministre selon l'agence de presse Tasnim.

"Nous ne pensons pas que l'Iran et l'Arabie saoudite devraient avoir le genre de relation qu'ils ont aujourd'hui", a expliqué M. Zarif.

Toutefois, le ministre a dénoncé le soutien de l'Arabie saoudite à des groupes terroristes en Syrie, son action au Yémen, ainsi que son attitude face au Qatar.

"Nous pensons que la position saoudienne dans le golfe Persique n'est pas positive, comme les politiques menées contre le Qatar", a déclaré M. Zarif, ajoutant que l'Arabie saoudite parlait d'un expansionnisme iranien pour justifier ses efforts visant à exercer une plus grande influence dans la région.

L'Iran et l'Arabie saoudite, rivaux dans la région, se livrent à un bras de fer pour exercer la plus grande influence au Moyen-Orient.

L'Arabie saoudite a rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran en janvier 2016, suite à des manifestations face à l'ambassade saoudienne à Téhéran et à son consulat dans la ville de Machhad pour protester contre l'exécution par l'Arabie saoudite de l'ayatollah chiite Nimr al-Nimr.
 

Générale Nourali Yari a déclaré fourniture sécurité pour pèlerins Arbaeen sera la principale mission de la force de police de la province dans l’année en cours.

Il a ajouté que tous les préparatifs nécessaires aient été faites au accomplir la mission.

Arbaeen marque le 40e jour après l’Achoura, l’anniversaire du martyre de l’Imam Hussein (AS) et ses fidèles compagnons dans la bataille de Karbala.

Chaque année, une foule de chiites mars vers la ville irakienne de Karbala, où le mausolée de l’Imam Hussein (AS) se trouve, à accomplir les rites de deuil.

L’an dernier, plus de 2,5 millions d’iraniens étaient présents à la marche d’Arbaeen.
La majorité d'entre eux sont allés en Irak à travers le passage des frontières dans la Province d’Ilam.

Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, cela fait 6 années que les Occidentaux se bercent d’illusions en pensant pouvoir démembrer l’axe de la Résistance au Moyen-Orient.

Et aujourd’hui, avec la victoire toute proche de Damas sur Daech, les Occidentaux voient leur rêve se briser. La France, qui fait partie de ceux qui ont armé les opposants syriens, semble avoir compris depuis l’arrivée de Macron au pouvoir qu’elle ne peut plus influer la situation en Syrie : « Notre stratégie concernant la Syrie a changé et le départ d’Assad n’est plus une condition. Dans notre nouvelle politique concernant la Syrie, il y a un seul objectif et c’est la défaite des terroristes. Cela fait 7 années que notre ambassade à Damas est fermée et nous ne sommes toujours pas arrivés à une solution. »

En Allemagne aussi, les médias ont écrit que Merkel reconnaissait officiellement le renforcement du pouvoir d’Assad en Syrie, Merkel qui a déclaré il n’y pas si longtemps : « Assad est plus fort que ce que nous voudrions. »

L’ambassadeur d’Allemagne aux États-Unis a déclaré aussi dans une interview avec des journalistes que lui et son homologue britannique étaient présents à une réunion au Conseil de Sécurité de l’ONU lorsqu’a éclaté les premiers affrontements en Syrie et qu’ils avaient espéré tous deux qu’Assad vivait alors ses dernières heures au pouvoir, mais que « malheureusement tel n’a pas été le cas et aujourd’hui la Syrie siège même à l’ONU où elle a un représentant permanent ».

L’ambassadeur allemand ajoute : « En dépit de tous nos efforts diplomatiques et politiques, nous n’avons pas réussi à changer la donne... et c’est probablement la plus désolante des défaites de la coalition des pays jouant un rôle important dans l’histoire contemporaine. Je dis cela avec regret, mais la réalité est ainsi et nous devons l’accepter. »

Les propositions de l’axe arabe-hébreu-occidental à Assad pour éloigner ce dernier de l’Iran

Le Premier ministre libanais a déclaré lors d’une réunion de son parti qu’il est parti en Syrie au moment de l’intensification des conflits à la demande de Barack Obama, alors président US, et du roi saoudien pour tenter de persuader Bachar al-Assad de s’éloigner de Téhéran s’il voulait rester au pouvoir, mais qu’il n’a pas réussi à convaincre Assad.

Et Saad al-Hariri ajoute que les autorités américaines, saoudiennes et françaises n’ont jamais réussi à convaincre Assad de mettre de côté son amitié avec l’Iran.

Assad a été invité à la dernière réunion de la Ligue arabe

Le site d’information israélien DEBKAfile a écrit que Bachar al-Assad avait été prié d’assister à la dernière réunion de la Ligue arabe qui devait se tenir le 17 septembre 2017.

Sputnik a rapporté que le chef d’état-major des forces armées israéliennes, Gadi Eizenkot, a déclaré devant la commission des affaires étrangères et de la sécurité nationale de la Knesset que ce qui est désormais important pour Israël c’est d’éloigner Téhéran de Damas, et ce, bien plus que de voir le groupe terroriste Daech se désagréger. 

Recommandation particulière de Hafez al-Assad à son fils

La revue Foreign Policy a rapporté que Hafez al-Assad a écrit dans son testament, à l’adresse de son fils : « Tu peux toujours compter sur les Iraniens, mais ne fais jamais confiance aux dirigeants arabes. »

Pourquoi les États-Unis n’ont pas lancé une attaque directe sur la Syrie

Saudullah Zarei, un des principaux experts sur les enjeux dans la région, répond à cette question : il y a trois ans, l’heure était venue pour une attaque américaine contre la Syrie, mais cette attaque n’a pas été lancée parce que les lance-roquettes iraniens étaient prêts à leur tirer dessus depuis le golfe Persique et les Américains l’ont découvert lorsqu’ils se sont rendus en espions dans la région.

Et il faut dire que Bachar al-Assad a compris depuis longtemps qu’il ne peut compter sur les pays arabes, qui ne sont que des joujoux avec date d’expiration au service de Washington.

Enfin, le ministre israélien des Affaires militaires, Avigdor Liebermann a déclaré hier : « Je vois de nombreux pays prêts à faire leurs salutations à Assad et il y a parmi eux des pays arabes modérés sunnites et des pays occidentaux. »

Un historien américain renommé a écrit, dans un article, que Donald Trump et le sénateur républicain Tom Cotton entendaient négliger les engagements pris par les États-Unis dans le cadre de l’accord nucléaire avec l’Iran.  

Juan Cole, universitaire américain, historien du Moyen-Orient et commentateur politique, a écrit dans un article, publié le 6 octobre, que le président des États-Unis Donald Trump tentait d’annuler l’accord nucléaire.

« L’Ayatollah Khamenei avait raison quand il a qualifié l’administration américaine de “peu fiable”. Il disait la vérité. En effet, Washington reste le principal facteur du déplacement et de la pauvreté dont souffrent quatre millions de Palestiniens vivant dans les territoires occupés, sous les bottes des militaires israéliens d’extrême droite. C’est bien en raison de l’agression US contre l’Irak et de l’occupation de ce pays que le Moyen-Orient a été déstabilisé, d’autant plus que les opérations secrètes des États-Unis, comme les coups d’État et les attaques de drones, ont contribué à la propagation du chaos dans cette région. L’Iran s’est assis à la table des négociations, espérant que les sanctions seront levées, les sanctions qui avaient nui à l’économie iranienne. Maintenant, les sanctions internationales ont été annulées alors que le Congrès des États-Unis a renforcé les siennes, voilà ce que l’Ayatollah Khamenei avait prévu.

Juan Cole, universitaire américain. (Photo d’archives)

À présent, plusieurs sociétés européennes n’osent pas investir en Iran par crainte des menaces de Washington alors que l’Iran a renoncé, lors des négociations, à l’important moyen dissuasif qu’était son programme nucléaire.

Dans cette conjoncture, Donald Trump et les hommes d’État belliqueux comme le sénateur républicain Tom Cotton comptent se retirer de l’accord nucléaire et passer en revue leurs engagements et cela pour rendre le terrain propice au déclenchement d’une guerre contre l’Iran.

L’Ayatollah Khamenei avait déjà averti, après la conclusion de l’accord nucléaire, que les États-Unis n’allaient pas honorer leurs engagements. Il n’est point surprenant que l’Ayatollah Khamenei fasse une telle évaluation. Le monde constate aujourd’hui qu’une personne dangereuse comme Donald Trump dirige les affaires, une gestion qui mettra en péril la sécurité nationale des États-Unis. »