تقي زاده

تقي زاده

Évoquant les défaites successives de Washington face à l’axe de la Résistance et ses conflits avec la communauté internationale, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien a déclaré que le déclin des États-Unis s’est accéléré.

Dans un message sur son compte Twitter, Ali Chamkhani a écrit que les vantardises futiles de l’équipe du président américain Donald Trump interviennent dans un contexte où le déclin des États-Unis s’est accéléré.

Pour la diplomatie iranienne, la décision de Washington de mettre fin aux dérogations sur la coopération nucléaire avec l’Iran est en violation flagrante de la résolution 2231 et de la charte de l’ONU.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Moussavi, a déclaré samedi que la décision des États-Unis de mettre fin aux levées des sanctions pour la coopération nucléaire internationale avec la République islamique constituait une violation flagrante de la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui approuve l’accord sur le nucléaire et la Charte de l’ONU.

Abbas Moussavi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. (Archives) 

Il a déclaré que la République islamique d’Iran suivra de près les impacts techniques et politiques de cette décision et « prendra les mesures pratiques et juridiques nécessaires si elle affecte les droits nucléaires de l’Iran reconnus dans les documents internationaux et le PGAC ».

« Cette décision ignore les droits inhérents de la République islamique d’Iran et perturbe l’ordre public international », a souligné le porte-parole iranien de la diplomatie iranienne.

Pour sa part, l’ambassadeur d’Iran auprès des Nations Unies, Majid Takht Ravanchi, a déclaré jeudi que les États-Unis avaient détruit le dernier moyen de maintien du PGAC en mettant fin aux dérogations des sanctions interdisant la coopération nucléaire avec Téhéran.

 

Le racisme du président américain Donald Trump est à l’origine des émeutes aux États-Unis, et il est probable que ces troubles se transforment en une révolution qui renversera son pouvoir, a écrit le rédacteur en chef du journal arabophone Rai al-Youm.

Malgré le couvre-feu et les poursuites engagées contre le policier accusé d’avoir tué George Floyd, les manifestations aux États-Unis continuent de prendre de l’ampleur.

Cela fait cinq jours que la vidéo, brutale, de la mort de George Floyd, a été diffusée sur les réseaux sociaux. Cet Afro-américain de 46 ans est mort après son arrestation, lundi soir. Il avait été plaqué au sol par un policier blanc qui a maintenu son genou sur son cou pendant de longues minutes.

Évoquant le meurtre de George Floyd, Abdel Bari Atwan a noté que ce crime a révélé une fois de plus la discrimination raciale ancrée au sein des services de police et de certaines d’autres institutions américaines.

Entre le front nord sioniste totalement déstabilisé où l’armée sioniste tire sur tout ce qui bouge par crainte de voir les commandos du Hezbollah traverser comme ils l’ont fait il n’y a pas si longtemps, la barri-re de sécurité et débarquer en pleine Galilée et le front Sud où la Résistance fait désormais des émules en Cisjordanie, l’armée sioniste ne sait à quel sait se vouer. Surtout que les forces dites élites de l’armée israélienne engagée à Ramallah, à Qods, et ailleurs dans les colonies sionistes commencent à cumuler les bourdes pour le grand malheur de l’entité israélienne. Ce matin, un Palestinien de 31 ans a été blessé par les militaires israéliens, non loin du poste de contrôle de Jabbarah, à Toulkarem, en Cisjordanie.

Les médias yéménites citant des sources bien informées ont fait état du retrait clandestin des militaires saoudiens et officiers américains de leurs bases à Maarib.

Selon les sources, ces militaires y ont laissé leurs équipements et affaires pour que leur déplacement n’attire pas l’attention.

 

D’autre part, les combattants d’Ansarallah ont réussi à marquer des progrès à proximité de la ville de Maarib et à prendre le contrôle des hauteurs stratégiques d’al-Alaq, dans la région de Medghal. Ces hauteurs surplombent la base militaire de Maas qui appartient aux forces pro-Hadi. Et à l’heure actuelle, les combattants d’Ansarallah ont assiégé cette base depuis trois axes et sont en train d’avancer depuis le désert d’al-Jawf vers la ligne internationale à Maarib au sud. En effet, ils ont étendu leur contrôle sur le Jabal al-Alaq dans le district de Medghal, à la périphérie de la ville de Maarib.

Les Houthis encerclent le camp de Maas depuis le sud-ouest, le sud et le nord.

Il est peut-être tôt pour déclarer que les USA éviteraient le clash aux Caraïbes, mais au moins ils n'ont pas osé porter atteinte aux 4 des 5 pétroliers iraniens qui sont parvenus à leur destination en toute sécurité, sous haute escorte militaire d'une armée vénézuélienne, qui à l'occasion, a exposé à la fois ses capacités aériennes que ses potentiels navals. En effet, l'armée vénézuélienne a escorté chaque pétrolier iranien arrivant à la zone économique exclusive du pays, tout en publiant des photos des avions mais aussi des navires escortant l'expédition de navires citernes iranienne

La minorité sunnite en Iran prennent part des décisions prises par les organisations responsables du pays.
L'Iran est un pays musulmans et chiites ayant ses minorités religieuses dont les sunnites qui constituent  10% de la population du pays. Le parlement iranien, comme d'autres parlements des pays dans le monde, est le symbole de la démocratie. Les sunnites iraniennes ont 21 sièges au sein du parlement iranien.

9 groupes ethniques iraniens constituent des populations sunnites deu pays. Les sunnites iraniens de l'Azerbaïdjan vivent dans les provinces Ardabil et l'Azerbaïdjan-e-Gharbi (de l'ouest). Les sunnites du Kurdistan répandus dans les provinces de Kurdistan, de kermanshah et de l'Azerbaïdjan-e-Gharbi (de l'ouest). Les sunnites de la province Khorasan, les sunnites du sud, les sunnites de Sistan-e-Baloutchistan, les sunnites de Torkaman Sahra, les sunnites du nord (Talech), les sunnites d'Ahwaz et les sunnites du centre (les provinces de Téhéran et d'Alborz) constituent le reste des sunnites de l'Iran.

Les représentants sunnites du parlement iraniens sont venus des villes dont la population ou une partie de la population sont des sunnites. Les chaféites, les hanbalites, les hanafis et les malekis constituent les sectes sunnites de l'Iran.

Les sunnites avaient 21 représentants au parlement iraniens au 9ième parlement iranien. Au 10ième parlement iranien, 20 sunnites représentaient la minorité sunnite. Comme le passé, l'actuel parlement iranien accueille les représentants des sunnites iraniens.

Les représentants sunnites constituent une fraction parlementaire qui influence les grandes décisions du pays.

Au 10 ième parlement iranien, la comission d'Omran (construction) du parlement était témoins de la grande présence sunnite de quatre députés sunnites    
Deux véhicules appartenant aux terroristes de Daech ont été détruits mercredi 27 mai par les forces de sécurité irakiennes, alors qu’ils s’approchaient d’un poste des soldats irakiens dans la province de Salaheddin.
Selon un communiqué des forces de sécurité irakiennes, cité par l’agence Bagdad Today, les forces de la 8e division de l’armée ont détruit ces deux véhicules par le tir de deux roquettes Cornet de fabrication russe.

Mardi, les Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi) ont arrêté le responsable des médias de Daech dans la province de Salaheddin. Les Hachd al-Chaabi ont annoncé dans un communiqué qu’une unité de sa 43e brigade avait effectué une embuscade un dénommé Ayyoub Adai al-Ani, considéré comme responsable des médias de Daech dans la province. Le communiqué a ajouté que le terroriste arrêté mardi était impliqué dans la plupart des opérations criminelles contre les forces de sécurité et les civils dans la province de Salaheddin.

Mercredi, les terroristes ont tué un soldat et blessé un autre lors d’une attaque contre un poste de contrôle au sud de Bagdad. L’agence Sumeria News a cité un communiqué de l’armée selon lequel « un groupe de terroristes affilié à Daech a ouvert le feu sur un poste de contrôle appartenant à la 17e division de l’armée dans le village de Habash (district de Sadr al-Yusufiyah) au sud-ouest de Bagdad ».

L’incident a eu lieu après l’annonce faite par l’armée de l’élimination de quatre membres importants de l’organisation terroriste près de Bagdad lors d’une opération des forces irakiennes.
Le Conseil international de supervision de la gestion par l'Arabie saoudite, des deux saintes mosquées, a annoncé le lancement d'une campagne pour la création d’un bureau de gestion et de supervision constitué par plusieurs pays islamiques, pour empêcher la politisation du pèlerinage et les abus dans la gestion des lieux saints.
 
Selon Al Jazeera, ce projet est soutenu par des dizaines de savants musulmans d'Asie, d'Afrique et d'Europe.
 
Dans un communiqué, les organisateurs de ce projet ont rejeté le monopole de la gestion des sites islamiques par l'Arabie saoudite, et demandé à l'Arabie saoudite de prendre des mesures pratiques pour impliquer les associations et les gouvernements islamiques dans la gestion des lieux saints.
 
Parmi les signataires les plus éminents de cette déclaration figurent le cheikh Ezzami Abdul Hamid, président du Conseil des institutions islamiques de Malaisie, le cheikh Osman Nourani du Pakistan, le cheikh Sharif Mabalu, membre du Conseil des chercheurs islamiques du Sénégal, et le cheikh Ahmad al-Qaderi de l’Inde.
Comité international de supervision de la gestion des lieux saints a déclaré dans un communiqué que le roi saoudien Abdoul Aziz avait accepté lors de la création de la dynastie saoudienne, la participation des gouvernements islamiques dans la gestion des lieux saints, mais que le prince Ben Salman était récalcitrant dans l’application de cet accord. 
 
Les signataires ont souligné que les sites sacrés d’Hedjaz, appelé plus tard « Arabie saoudite », et les lieux saints d'Arabie saoudite étaient la propriété de toute l’Ummah islamique et qu’aucun pays arabe ou islamique, tribu ou famille n’en avait le monopole. 
 
Les signataires ont déclaré que les responsables saoudiens abusaient du Hadj et des cérémonies islamiques pour faire pression sur certains pays, qu'ils poursuivaient des intérêts politiques et que de nombreux pays et personnalités islamiques ne pouvaient pas accomplir les rituels du Hadj et de l’Umrah pour des raisons politiques. 
 
« Des gens ont été arrêtés dans le cadre d'affaires politiques liées à leur pays et des monuments islamiques historiques ont été détruits sous prétexte de constructions nécessaires pour le pèlerinage », a déclaré le cheikh Azmi Abdul Hamid, religieux de Malaisie, qui a déclaré posséder le document historique signé par le roi Abdul Aziz Al Saud.
 
« Ce document que le prince héritier Mohammed bin Salman avait refusé de fournir, indique que les musulmans ont le droit de gérer les affaires des deux sanctuaires sans entraves », a-t-il précisé.
 
Le Conseil international de surveillance de la gestion saoudienne des deux sanctuaires sacrés avait été formé afin d'empêcher la destruction de l'identité islamique de La Mecque et de Médine, lors des opérations saoudiennes de développement de génie civil. Il veille également à ce que l'Arabie saoudite distribue équitablement les quotas obligatoires du Hadj et de l’Umrah aux pays islamiques, ne politise pas les rites religieux et protège la santé des pèlerins.
 
La délégation a annoncé qu'elle mènera des enquêtes périodiques sur les abus de pouvoirs des autorités saoudiennes au cours des 100 dernières années, la politisation des cérémonies du Hadj et la violation par l'Arabie saoudite, des conventions historiques signées par les pays islamiques. 
Selon Al Jazeera, des organisations islamiques et des personnalités internationales ont lancé une campagne pour une gestion internationale des lieux saints en Arabie saoudite. 

Voilà trois quarts de siècle qu’une colonie anglo-saxonne, devenue un arsenal US, tente de conquérir toutes les terres du Nil à l’Euphrate (l’Égypte, la Palestine, la Jordanie, le Liban, la Syrie et une partie de l’Iraq). Et voici quelques années que des citoyens de cette même colonie aspirent à la transformer en un État normal. Ce conflit d’un autre âge a franchi une étape avec la nomination d’un gouvernement bicéphale : deux Premiers ministres représentant les deux visions politiques vont se paralyser mutuellement. Les seules avancées ne pourront être qu’en matière sociale et de santé, accélérant encore la modernisation de la société et donc, la fin du fantasme colonial.

La nomination du gouvernement de coalition israélien ne clôt pas la bataille acharnée ouverte depuis six ans entre deux visions opposées et inconciliables d’Israël [1], ni la paralysie gouvernementale qui dure depuis un an et demi. Au contraire, elle marque le début de l’agonie d’un des deux protagonistes et la lente transformation du pays en un État normal.

Il n’est pas fortuit que ce débat ait éclaté sous les coups de l’ex-Soviétique Avigdor Liberman autour des privilèges des étudiants de yeshivas. L’ancien ministre de la Défense en affirmant que l’alibi religieux ne dispense personne du service national a contesté le nœud du mensonge sur lequel est fondé l’Israël d’il y a soixante-douze ans.

L’appel du général Ehud Barack d’en finir avec Benjamin Netanyahu par la voie judiciaire a échoué. Les partisans du rêve colonial sont toujours là. Ils ont plongé leurs concitoyens dans une sorte d’effroi en les persuadant qu’ils sont menacés par les étrangers. Comme au temps des ghettos, pour les « protéger », ils les ont enfermés derrière un Mur qui les sépare même de leurs concitoyens arabes.

Rappelons qu’Israël n’est pas le produit de la culture juive, mais de la volonté des puritains anglais [2].

Dès le XVIIème siècle, le Lord protecteur Cromwell s’engagea à créer un État juif en Palestine, thème qui ne fut pas repris lors de la restauration dynastique. Au XVIIIème siècle, les leaders de la guerre d’Indépendance US, héritiers de Cromwell, se prononcèrent également pour cette création de sorte que le Royaume-Uni et les États-Unis sont les parrains naturels de cette entité. Au XIXème siècle, le Premier ministre de la reine Victoria, Benjamin Disraeli, théorisa le sionisme comme instrument de l’impérialisme britannique et inscrivit la « Restauration d’Israël » au programme du Congrès international de Berlin de 1878. À cette époque aucun juif ne soutenait ce projet farfelu.

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Théoricien de l’Empire britannique, Cecil Rhodes fut Premier ministre de la colonie anglaise du Cap (Afrique du Sud). Il créa la compagnie diamantaire De Beers et donna son nom à la Rhodésie. Les statuts de l’Agence juive sont juste un copier-coller de ceux qu’il rédigea pour la colonisation de l’Afrique australe.

Il fallut attendre l’affaire Dreyfus en France pour que Theodor Herzl s’engage à convertir la diaspora juive au sionisme anglo-US. Il conçut un système colonial sur le modèle de celui mis en pratique par Cecil Rhodes en Afrique et parvint à rallier progressivement de nombreux intellectuels juifs athées.

Lorsque les gouvernements britannique et états-unien furent occupés par des puritains (David Llyod George et Woodrow Wilson) durant la Première Guerre mondiale, un accord fut conclu entre les deux pays pour créer Israël. Le principe d’un « foyer national juif » fut rendu public par une lettre du ministre des Affaires étrangères Lord Balfour à Lord Rotschild, puis le président Wilson fixa officiellement la création d’Israël comme l’un des 14 buts de guerre des États-Unis. À la conférence de la paix, l’émir Fayçal souscrivit au projet sioniste et s’engagea à le soutenir.

Des juifs commencèrent à coloniser la Palestine mandataire avec l’aide de la bourgeoisie locale, mais au détriment du petit peuple, puis à s’émanciper de Londres. En 1948, un juif athée, Ben Gourion, précédant cette fois de cinq ans le modèle rhodésien, proclama l’indépendance d’Israël avant que les Nations unies n’en aient défini les frontières. Ce n’est qu’alors que les rabbins apportèrent massivement leur soutien au projet colonial.

Depuis soixante-douze ans, la Palestine endure une guerre perpétuelle. À l’issue de plusieurs vagues d’immigration successives, l’État d’Israël s’est inventé de toutes pièces une « culture » autour d’un peuple imaginaire (incluant des ethnies allant du Caucase à l’Éthiopie), d’une langue artificielle (l’hébreu actuel n’a pas grand rapport avec le patois antique et s’écrit en caractères araméens) et d’une histoire fictive (malgré les objurgations de l’Unesco, on a confondu l’antique cité-État de Jérusalem avec l’État d’Israël). L’assimilation de cette création intellectuelle au projet colonial puritain s’est solidifiée autour d’une interprétation sacralisée de certains crimes nazis, qualifiés d’« holocauste » par les puritains et de « shoah » par les juifs.

Rien dans cette construction factice ne résiste à l’analyse. Tout y est fait pour faire accroire en la continuité d’un Peuple et d’un État, alors qu’il ne s’agit que d’une colonie anglo-saxonne.

Cependant tous les États coloniaux ont disparu aujourd’hui à l’exception d’Israël et, avec le temps, la majorité des Israéliens d’aujourd’hui sont nés en Israël. Désormais deux conceptions de cet État cohabitent :
- d’un côté les partisans du colonialisme anglo-saxons qui revendiquent la souveraineté des terres du Nil à l’Euphrate. Ils se pensent en île des pirates, abritant des criminels du monde entier et refusant tout accord d’extradition. Ils s’affirment comme un « peuple élu », supérieur aux autres hommes, et considèrent Israël comme « L’État juif ».
- de l’autre des gens qui veulent vivre en paix avec leurs voisins, quelle que soit leur religion ou leur absence de religion et quelle que soit leur ethnie. Ils ne veulent rien avoir à faire avec les fantasmes coloniaux des siècles passés, mais n’entendent rien abandonner de ce qu’ils ont hérité de leurs pères, même si ceux-ci l’ont volé. Ils aimeraient que l’on résolve les ahurissants problèmes sociaux de leur patrie.

Ce sont deux visions inconciliables qui sont incarnées par deux Premiers ministres, Benjamin Netanyahu et son « suppléant » le général Benny Gantz.

Jamais ce tandem ne pourra résoudre quoi que ce soit des conflits avec les peuples arabes. Tout au plus pourra-t-il enfin considérer les terribles injustices du pays. Par exemple près de 50 000 citoyens étant passés par les camps de la mort nazis survivent aujourd’hui dans le pays comme ils peuvent, sans aide de l’État qui les ignore, mais a encaissé les indemnités qui leur étaient destinées en prétendant les sauver.

Par la simple pression du Temps et de la Démographie, après trois élections législatives successives et inutiles, la décolonisation d’Israël a commencé.

 

[1] “The Geopolitical Approach : Two States for Two Peoples”, by Commanders for Israel’s Security, Voltaire Network, 30 October 2014. La solution à deux États pose l’inégalité essentielle des Juifs et des Arabes. Elle est profondément raciste, mais elle représente une rupture avec le projet de conquête coloniale en lui opposant une forme de paix. L’assassinat de son concepteur, le Premier ministre Yitzhak Rabin, en 1995, atteste qu’Israël n’était pas encore prêt à y renoncer.

[2] « Qui est l’ennemi ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 août 2014.