
تقي زاده
Erdogan évoque un possible référendum pour l’adhésion à l’UE
Le président turc vient de déclarer aujourd’hui, dimanche 13 novembre 2016, dans un entretien accordé au quotidien turc Cumhuriyet que Bruxelles essayait de dissuader Ankara de suivre le processus d’adhésion à l’UE et il a évoqué la possibilité d'organiser un référendum pour décider de la poursuite des discussions sur l’adhésion à l’Union.
Il a déclaré : « L’Union européenne essaie de nous obliger de nous retirer de ce processus (d’adhésion à l’UE). S’ils ne veulent pas de nous, ils doivent nous le dire clairement. On doit savoir ce qui nous attend. »
Erdogan a ajouté en évoquant le Brexit : « Notre patience n’est pas sans limites. Si cela est nécessaire, nous pourrions aussi demander l’avis de notre peuple. »
La Turquie tente depuis les années 60 d’adhérer à l’Union européenne, mais les négociations officielles n'ont commencé qu'en 2015. Le processus d’adhésion a rencontré beaucoup de problèmes jusque-là, dont le dernier en date résulte des purges massives opérées par Erdogan après le coup d’État manqué de juillet dernier.
Le président Erdogan a même affirmé il y a quelques jours qu’il était prêt à rétablir la peine de mort en Turquie.
Yohannes Hahn, le commissaire européen en charge du dossier d’adhésion de la Turquie, a rendu mercredi un rapport dans lequel il critique vivement Ankara pour ses violations des droits de l’homme depuis le putsch manqué, en affirmant : « Il semble que la Turquie ait décidé d'adopter une voie éloignée de celle de l’Europe. »
Ankara a rejeté ce rapport en le jugeant « éloigné de la réalité ».
Jeremy Corbyn compare Theresa May à Donald Trump
Selon Fars News, le chef du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn, a comparé Theresa May, leader du Parti conservateur et Première ministre du Royaume-Uni, au président nouvellement élu des États-Unis, Donald Trump, en affirmant qu’elle poursuivait la même politique que lui en matière d’immigration.
En effet, selon le journal The Independent, Corbyn vient de déclarer lors d'une allocution que Trump aux États-Unis et May au Royaume-Uni n’essayaient pas de résoudre les problèmes de leur pays en offrant des solutions concrètes et réalistes et qu’ils dénonçaient à la place les pauvres immigrés.
Corbyn a par ailleurs critiqué May pour avoir salué chaleureusement Trump pour sa récente et retentissante victoire. En outre, il a vivement critiqué Trump pour sa proposition de construire un mur à la frontière mexicaine et pour son idée de faire barrage à l’entrée des musulmans sur le sol américain.
Le chef du Parti travailliste du Royaume-Uni a ajouté que le Parti conservateur britannique opérait de la même manière que Donald Trump : alors qu'il avait au départ prévu un budget pour le parti UKIP, il a par la suite allumé le feu de la peur des migrants dans l’opinion publique en y instillant l’idée que c’est l’immigration qui est le problème essentiel du pays.
Jeremy Corbyn a également indiqué : « Ce n'est pas surprenant qu'elle (Theresa May) ait présenté ses félicitations avec un ton mielleux. Elle a la même stratégie que lui ! »
Enfin, le chef du Parti travailliste britannique a affirmé que ce qui était certain, c'est que ni le milliardaire Trump, ni les conservateurs britanniques, soutenus par les milliardaires, n’avaient l’intention de donner le pouvoir au peuple ou de lui permettre d'accéder au monde libre et libéral.
Un journaliste iranien tué dans un bombardement des rebelles à Alep en Syrie
Récemment, Alep connaît des bombardements et affrontements les plus intenses depuis le début du conflit il y a quatre ans entre les forces gouvernementales et les rebelles.
La discorde et la dispersion sont le danger le plus grand qui menace l'umma islamique
Dans le noble coran, il est insisté que Dieu a envoyé les prophètes pour implanter la religion sur la Terre. La mission des prophètes consiste à empêcher la dispersion dans l'application de la religion, a-t-il précisé.
L'identité de la communauté islamique dépend du vilayat du vénéré Mohammad (Sawa). L'identité de l'islam est définie par la personnalité du noble prophète de l'islam, a-t-il suivi.
Le noble prophète de l'islam est comme un père pour l'umma islamique. Donc, tous les gens qui sont liés à l'identité islamique sont comme des frères, a-t-il ajouté.
Combats dans l'est de Mossoul, les civils fuient les insurgés
Mais la reprise totale de cette ville ne devrait pas intervenir avant des semaines.
En Irak, les travailleurs humanitaires craignent d'importants déplacements de population au fur et à mesure que les forces irakiennes progressent dans Mossoul.
"Les combats sont intenses ce matin. Nous essayons de fortifier nos positions à Arbajiyah", a déclaré le lieutenant-colonel Muntadhar Salem, des unités d'élite du contre-terrorisme (CTS), en référence à un quartier dans l'est.
Selon lui, les forces d'élite irakiennes visent aussi un autre quartier de l'est, Al-Bakr, qu'elles veulent encercler.
"Nous avons vu avec notre drone trois voitures piégées venant d'Al-Bakr en direction de nos positions, et nous les avons frappées avec nos chars", indique M. Salem.
Nous "avançons vers Al-Bakr pour l'encercler", a confirmé un autre commandant des forces d'élite, Ali Hussein Fadhel.
Les insurgés ont également recours à des drones à des fins d'observation, et l'un d'eux a été détruit par les forces irakiennes, selon le commandant Fadhel.
- Piège -
Alors que les combats faisaient rage dans la ville, des civils, la plupart brandissant des drapeaux blancs, marchaient en direction de la périphérie de Mossoul et se réunissaient près d'un camion militaire qui devait ensuite les transporter hors de la ville.
Plus de 49.000 personnes ont été déplacées depuis le début des opérations pour reprendre Mossoul, a indiqué samedi l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
40 tués dans un attentat suicide dans un sanctuaire musulman du sud-ouest du Pakistan
Les blessés ont été évacués vers la commune voisine de Hub, ainsi qu'à Karachi, a déclaré un responsable des secours sur la chaîne de télévision Geo TV. Le gouvernement a dépêché 25 ambulances depuis Hub, ont annoncé les autorités du Baloutchistan. L'armée a aussi été appelée pour aider aux opérations de sauvetage compte tenu de la situation géographique isolée du site.
"Le gouvernement est déterminé à éliminer le terrorisme et les extrémistes du pays", a, quant à lui, réagi le président pakistanais Mamnoon Hussain.
Le but de notre adoration
Les actes d'adoration sont la manifestation d'une soumission sincère à Allah . De plus, ils sont le seul lien fort entre l'adorateur et Allah.
Les actes d'adoration par exemple la prière et le jeûne; renforcent également les liens entre les êtres humains.
La logique de l'Islam fait en sorte que toute notre vie soit une soumission sincère à Allah . L’adoration d’Allah est la raison de notre création et elle est le fondement premier de notre mission sur terre.
Ceci est le sens du verset coranique suivant : "Je n'ai créé les Djinns et les Hommes que pour qu'ils M'adorent. Je ne leur demande aucune subsistance et Je ne leur demande pas de Me nourrir. En vérité, c'est Dieu le Grand Pourvoyeur, le Détenteur de la force, l'inébranlable."[1]
Allah dit également: "Dis: En vérité, ma prière, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Dieu, Seigneur de l'univers." [2]
Certes, l'évocation d'Allah et se rapprocher de lui par ce qu'il aime parmi les actions et paroles vertueuses ne sont pas acceptées auprès d'Allah si ce n'est après que le serviteur se tienne sur trois piliers qui sont : l'amour, la peur et l'espoir.
Mais ce qui est important c'est le but de notre adoration. l'amour d'Allah ou l'espoir au paradis et La peur de l'Enfer ?
Allah est adoré avec amour ou espérance de sa récompense et peur de son châtiment ?
Allah a propos de chaque personne qui lui adore, dit dans le Coran: "Et Allah est meilleur et éternel."[3]
Mais pour quiconque adore avec espérance de sa récompense et peur de son châtiment, dit: "Mais, vous préférez plutôt la vie présente. alors que l'au-delà est meilleur et plus durable."[4]
on doit connaitre que l'adoration n'est pas une transaction.
Donc l'adoration véritable doit soulement †être pour Allah. parce que la vie après la mort est Un miroir de satisfaction divine et colère divine.
Note:
[1] Coran (51:56-58) وَمَا خَلَقْتُ الْجِنَّ وَالْإِنسَ إِلَّا لِيَعْبُدُونِ. مَا أُرِيدُ مِنْهُم مِّن رِّزْقٍ وَمَا أُرِيدُ أَن يُطْعِمُونِ . إِنَّ اللَّـهَ هُوَ الرَّزَّاقُ ذُو الْقُوَّةِ الْمَتِينُ
[2] Coran (6:162) قُلْ إِنَّ صَلَاتِي وَنُسُكِي وَمَحْيَايَ وَمَمَاتِي لِلَّـهِ رَبِّ الْعَالَمِينَ
[3] Coran (20:73) وَاللَّـهُ خَيْرٌ وَأَبْقَىٰ
[4] Coran (87:16.17) بَلْ تُؤْثِرُونَ الْحَيَاةَ الدُّنْيَا وَالْآخِرَةُ خَيْرٌ وَأَبْقَىٰ
Trump est un républicain pas comme les autres
Pour l’expert iranien des questions internationales, Hassan Abedini, on ne peut pas parler de Donald Trump comme d'un vrai républicain.
Il est peu probable que la politique intérieure et étrangère de l’ère Trump ressemble nécessairement aux anciens gouvernements républicains des États-Unis.
Dans une interview exclusive accordée à l’agence Tasnim, Hassan Abedini a fait surtout référence aux slogans électoraux de Donald Trump.
« Trump a d’abord prétendu que c’était Clinton qui avait créé Daech. Trump s'est montré opposé à la guerre en Irak et en Afghanistan, guerres qui ont coûté 6 trillions de dollars aux contribuables américains. Selon lui, ces deux guerres datent du mandat des républicains, alors que les Bush, père et fils, logeaient tour à tour à la Maison Blanche (...) Avant même que les compétitivités électorales ne deviennent sérieuses, une grande partie des républicains ont pris leur distance avec Donald Trump, affirmant qu’ils n’iraient pas voter Trump. Même George W. Bush a déclaré avoir déposé un bulletin blanc dans l'urne. »

Hassan Abedini s’est ensuite attardé sur les critiques portées par Donald Trump contre l’ordre politique des États-Unis :
« Sur le plan intérieur, l’ordre politique étasunien est corrompu selon Trump. Autrement dit, il pointait du doigt les politiciens de son propre pays sous la présidence des démocrates aussi bien que sous les mandats républicains. »
Hassan Abedini a dénoncé l’image trompeuse que les autorités américaines avaient véhiculée de leur pays, une « fausse image » que la RII a toujours cherché à montrer la vraie face et détromper l'opinion publique.
Abedini a terminé par une analyse socio-politique :
« Bien que Donald Trump soit une personnalité impopulaire, déraisonnable et imprévisible, la couche défavorisée de la société américaine a voté pour lui. Cela montre que quiconque s’oppose à l’ordre politique actuel des États-Unis peut très bien obtenir le vote des plus démunis. Malgré le fait qu'il s'agisse d'un milliardaire… »
L’artillerie israélienne a attaqué les positions de l’armée syrienne
L’artillerie de l’armée israélienne a lancé une attaque contre une base militaire syrienne dans le sud de la Syrie.
L’armée du régime israélien prétend avoir mené cette opération de représailles contre des positions de l’armée syrienne.
Le porte-parole des forces armées israéliennes a déclaré dans un communiqué :
Les forces de l’armée israélienne ont attaqué une unité d’artillerie de l’armée syrienne pour riposter aux tirs de roquette qui ont atteint Israël dans le nord des hauteurs du Golan.
Dans la suite de ce communiqué on peut lire :
L’armée israélienne ne supportera nulle tentative pouvant porter atteinte à la souveraineté territoriale d’Israël.
À préciser qu'une roquette qui était sortie de sa trajectoire a touché le sol des hauteurs de Golan ce mercredi sans causer pourtant de dommages matériels ou humains.
Les néo-conservateurs seraient les bienvenus au nouveau cabinet US
La victoire pas très attendue de Donald Trump ayant à peine été annoncée, les spéculations sont lancées sur la composition de son cabinet.
Et l’un des portefeuilles les plus importants c’est, certes, le ministère des Affaires étrangères. Au sein du milieu diplomatique des États-Unis, les partisans de Doland Trump n’ont pas été très nombreux ; il semblait perdre au sein même de son parti républicain au cours des campagnes. Mais une chose en commun chez toutes les personnalités politiques ayant apporté leur soutien : tous sont diplômés d'une école qui prône le néo-conservatisme.
Les médias américains parlent déjà de certaines figures marquantes en tant que les candidats potentiels au département d’État.Selon le site Web Politico, l’ancien président de la Chambre des représentants et l’un des partisans de Trump, Newt Gingrich est l’un des candidats qui pourrait prendre le cap de la diplomatie du nouveau gouvernement américain. Le sénateur républicain de l'État du Tennessee et président de la commission des relations étrangères du Sénat américain, Bob Crocker est l’autre candidat à ce poste ; il avait lui-même affirmé plus tôt qu’il étudierait sérieusement une telle proposition. Donald Trump a aussi un regard sur John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis à l’ONU. Toutes ces trois personnes sont connues pour leurs positions fortement anti-iraniennes.
La chaîne NBC News aussi s’intéresse à la composition du futur gouvernement américain. Elle se réfère aux dires des trois des conseillers électoraux qui ont souhaité l’anonymat pour faire sa liste des membres du cabinet de Trump. Selon NBC News, Rudy Giuliani est le candidat au poste de procureur général, Newt Gingrich est le candidat au poste de secrétaire d’État, le général en retraite Michael Flynn est le candidat pour occuper le poste de secrétaire à la Défense ou de conseiller à la sécurité nationale, Steve Mnuchin deviendra le secrétaire du Trésor et Lew Eisenberg est le candidat pour prendre en main le département du Commerce sous la présidence de Donald Trump.
Par ailleurs, « The Hill », habitué de l’analyse des évolutions internes aux États-Unis écrit que pour beaucoup de républicains, le candidat le plus plausible pour occuper le département d’État n’est autre que Bob Crocker, le chef de la commission des relations étrangères du Sénat dont le nom circulait un certain moment comme étant le probable futur colistier ; or, Newt Gingrich a affirmé que Donald Trump lui avait promis un important poste lors d’une rencontre en début juillet à Indianapolis. Gingrich aurait, quant à lui, exprimé sa préférence pour devenir un haut conseiller ayant des prérogatives pour inspecter la bureaucratie fédérale et contrer, à titre d’exemple, les cas de corruption et les dépenses publiques.