Après avoir traité de l’égalité des hommes et de la différence des cultures, puis rappelé que nous nous méfions des gens que nous ne connaissons pas, l’auteur aborde quatre aspects du Moyen-Orient : la création coloniale des États ; le besoin des populations de cacher leurs chefs ; le sens du temps ; et l’usage politique de la religion.

تقي زاده
Le cargo iranien Golsan chargé d’alumine quitte le Venezuela pour l’Iran
Le troc Venezuela-Iran tourne à plein régime. Alors que les Américains continuent, impuissants, à émettre des mandats d’arrêt à l’encontre des gens ou des bateaux en pleine mer dans l'espoir de couper le corridor maritime anti-sanction US, Golsan quitte la côte vénézuélienne vers l'Iran, avec de l'alumine à bord, une matière première utile à la fabrication de missile enfin selon les dires de Reuters
Reuters citant trois sources dignes de foi a ainsi écrit : « un bateau battant pavillon iranien et chargé d'une cargaison d’alumine (après avoir livré sa cargaison à un supermarché iranien au Venezuela) montre de la sorte les prémices d'une coopération étroite entre les deux pays sanctionnés par les États-Unis.
On ignore encore la destination de cette cargaison et pour qui est destinée. Selon Refinitive Icon Institute, Golsan est un cargo d'une capacité de 22 882 tonnes qui se dirige actuellement vers l'Est dans l'océan Atlantique, mais sa destination est actuellement le port de La Guaira.
Ces deux membres de l'OPEP ont renforcé leurs relations commerciales ces derniers mois. En avril, l'Iran a envoyé cinq pétroliers au Venezuela pour résoudre la pénurie d'essence et de matériel pour la reprise des activités dans la plus grande raffinerie de pétrole de ce pays.
Les forces russes seront attaquées sans préavis
Les États-Unis ont décidé d’attaquer l’armée russe en Syrie sans avertissement, a rapporté le site d’information russe Avia-pro.
Après l’incident lors duquel un véhicule blindé de transport de troupes russe a percuté un véhicule blindé américain dans le nord-est de la Syrie où quatre soldats US ont été blessés, l’armée américaine a appelé ses forces à attaquer les convois et les patrouilles militaires russes sans avertissement, et ce en violation des accords sur la création de zones dites de « déconfliction » dans le nord de la Syrie.
La bataille de Maarib entre dans sa phase finale
Selon le journal libanais, al-Akhbar, la chute de l'une des lignes de défense les plus importantes de la coalition saoudo-émiratie du côté sud-ouest du gouvernorat de Maarib, ouvre la porte à un changement historique du cours de la guerre contre le Yémen, et il semble clair que Riyad a peur de s'y engager rapidement.
Alors que la résolution de la bataille de Maarib est toujours en attente d'une décision politique des dirigeants de Sanaa, le désaccord s’accentuant entre les forces fidèles à la «coalition» annonce une défaite retentissante qui leur sera infligée dans leurs derniers bastions du nord.
Israël frappe, Gaza riposte fort
Les avions de combat et l’artillerie de l’armée israélienne ont pris pour cible ce vendredi 28 août les positions de la Résistance dans la bande de Gaza. Les groupes de résistance palestiniens y ont répondu en tirant 6 missiles en direction des colonies sionistes.
« Un drone du régime d'occupation a frappé les positions de la Résistance à l'est de al-Tafah, à l'est de Gaza. Les avions de combat israéliens ont ensuite tiré deux missiles, provoquant un incendie qui a causé des dégâts. Le bilan de cette attaque est encore inconnu », a rapporté le site d’information de la Palestine.
« L’artillerie de ce régime a visé un point de contrôle dans la région de «Hama al-Choghour» à l'est de Rafah. Aucune victime n'a été signalée lors de l'attaque
La Garde nationale US envoie des troupes supplémentaires à Kenosha
La Garde nationale américaine enverra des troupes supplémentaires de trois autres États, l'Arizona, l'Alabama et le Michigan à Kenosha pour aider aux opérations dans cet État, a déclaré jeudi le chef de la Garde nationale du Wisconsin, le général de division Paul Knapp, lors d'une conférence de presse.
« Elles vont arriver sous peu et nous espérons leurs aides dès demain soir dans certains cas », a-t-il déclaré.
Comprendre les relations internationales (2/2)
Contrairement à une idée reçue, personne ne sait très bien ce que sont le Levant, le Proche-Orient ou le Moyen-Orient. Ces termes ont variés de signification selon les époques et les situations politiques.
Cependant, les actuels Égypte, Israël, État de Palestine, Jordanie, Liban, Syrie, Iraq, Turquie, Iran, Arabie saoudite, Yémen et principautés du Golfe ont plusieurs millénaires d’histoire commune. Pourtant leur division politique date de la Première Guerre mondiale. Elle est due aux accords secrets négociés, en 1916, entre Sir Mark Sykes (Empire britannique), François Georges-Picot (Empire français) et Sergueï Sazonov (Empire russe). Ce projet de traité avait fixé le partage du monde entre les trois grandes puissances de l’époque pour l’après-guerre. Toutefois, le Tsar ayant été renversé et la guerre ne s’étant pas déroulée comme espérée, le projet de traité ne fut appliqué qu’au Moyen-Orient par les seuls Britanniques et Français sous le nom d’« accords Sykes-Picot ». Ils ont été révélés par les Bolcheviks qui s’opposèrent aux tsaristes, notamment en contestant le Traité de Sèvres (1920) et en aidant leur allié turc (Mustafa Kemal Atatürk).
De tout cela, il ressort que les habitants de cette région forment une seule population, composée d’une multitude peuples différents, présents un peu partout et étroitement mêlés. Chaque conflit actuel poursuit des batailles passées. Il est impossible de comprendre les événements actuels sans connaître les épisodes précédents.
Par exemple, les Libanais et les Syriens de la côte sont des Phéniciens. Ils ont dominé commercialement la Méditerranée antique et ont été dépassés par les gens de Tyr (Liban) qui ont créé la plus grande puissance de l’époque, Carthage (Tunisie). Celle-ci a été entièrement rasée par Rome (Italie), puis le général Hannibal Barca se réfugia à Tyr (Liban), et en Bithynie (Turquie). Même si l’on n’en a pas conscience, le conflit entre la gigantesque coalition autoproclamée des « Amis de la Syrie » et la Syrie poursuit la destruction de Carthage par Rome et le conflit des mêmes prétendus « Amis de la Syrie » contre sayyed Hassan Nasrallah, le chef de la Résistance libanaise, poursuit la traque d’Hannibal lors de la chute de Carthage. De fait, il est absurde de se borner à une lecture étatique des événements et d’ignorer les clivages trans-étatiques du passé.
Ou encore, en créant l’armée jihadiste Daesh, les États-Unis ont magnifié la révolte contre l’ordre colonial franco-britannique (Les accords Sykes-Picot). L’« État islamique en Iraq et au Levant » prétend ni plus, ni moins, que décoloniser la région. Avant de chercher à démêler la vérité de la propagande, il faut accepter de comprendre comment les événements sont ressentis émotionnellement par ceux qui les vivent.
Guerre perpétuelle
Depuis le début de l’Histoire, cette région est le théâtre de guerres et d’invasions, de civilisations sublimes, de massacres et encore de massacres dont presque tous les peuples de la région ont été victimes chacun à leur tour. Dans ce contexte, la première préoccupation de chaque groupe humain est de survivre. C’est pourquoi les seuls accords de paix qui peuvent durer doivent prendre en compte leurs conséquences pour les autres groupes humains.
Par exemple, il est impossible depuis soixante douze ans de trouver un accord entre les colons européens d’Israël et les Palestiniens parce qu’on néglige le prix qu’auraient à payer les autres acteurs de la région. La seule tentative de paix qui réunissait tous les protagonistes fut la conférence de Madrid convoquée par les USA (Bush père) et l’URSS (Gorbatchev), en 1991. Celle-ci aurait pu aboutir, mais la délégation israélienne s’accrochait encore au projet colonial britannique.
Les peuples de la région ont appris à se protéger de cette histoire conflictuelle en masquant leurs vrais chefs.
Par exemple, lorsque les Français ont exfiltré le « Premier ministre » syrien, Riad Hijab, en 2012, ils ont cru pouvoir s’appuyer sur un gros poisson pour renverser la République. Or, celui-ci n’était pas constitutionnellement le « Premier ministre », mais uniquement le « président du Conseil des ministres » syriens. Comme aux États-Unis le chef de cabinet de la Maison-Blanche, c’était juste un haut fonctionnaire secrétaire général du gouvernement, pas un politique. Sa défection fut sans conséquence. Aujourd’hui encore, les Occidentaux se demandent qui sont les hommes autour du président Bachar el-Assad.
Ce système, indispensable à la survie du pays, est incompatible avec un régime démocratique. Les grandes options politiques ne doivent pas être discutées en public. Aussi les États de la région s’affirment-t-ils soit comme des Républiques, soit comme des monarchies absolues. Le président ou l’émir incarne la Nation. En République, il est personnellement responsable devant le suffrage universel. Les grandes affiches du président Assad n’ont rien à voir avec le culte de la personnalité que l’on observe dans certains régimes autoritaires, elles illustrent sa charge.
Tout ce qui dure est lent
Les Occidentaux sont habitués à annoncer ce qu’ils vont faire. Au contraire, les Orientaux déclarent leurs objectifs, mais masquent la manière dont ils pensent y parvenir.
Modelés par les chaînes de télévision d’information en continu, les Occidentaux imaginent que toute action a un effet immédiat. Ils pensent que des guerres peuvent être déclarées du jour au lendemain et régler des situations. Au contraire, les Orientaux savent que les guerres se planifient au moins une décennie à l’avance et que les seuls changements durables sont des changements de mentalité qui demandent une ou plusieurs générations.
Ainsi, les « printemps arabes » de 2011 ne sont pas des éruptions de colère spontanée pour renverser des dictatures. C’est la mise en œuvre d’un plan soigneusement élaboré par le Foreign Office britannique en 2004, révélé à l’époque par un lanceur d’alerte, mais passé inaperçu. Ce plan qui fut imaginé sur le modèle de la « Grande révolte arabe » de 1916-18. Les arabes étaient persuadés qu’il s’agissait d’une initiative du chérif de La Mecque, Hussein ben Ali, contre l’occupation ottomane. C’était en réalité une machination britannique, mise en œuvre par Lawrence d’Arabie, pour s’emparer des puits de pétrole de la péninsule arabique et placer la secte des Wahhabites au pouvoir. Jamais les arabes n’y trouvèrent la liberté, mais le joug britannique après celui des ottomans. Identiquement, les « printemps arabes » ne visaient pas à libérer quiconque, mais à renverser des gouvernements pour placer les Frères musulmans (confrérie politique secrète organisée sur le modèle de la Grande Loge Unie d’Angleterre) au pouvoir dans toute la région.
La religion est à la fois le pire et le meilleur
La religion n’est pas uniquement une tentative de relier l’homme au transcendant, c’est aussi un marqueur identitaire. Les religions produisent donc à la fois des hommes exemplaires et structurent des sociétés.
Au Moyen-Orient, chaque groupe humain s’identifie avec une religion. Il existe une quantité invraisemblable de sectes dans cette région et créer une religion est souvent une décision politique.
Par exemple, les premiers disciples du Christ étaient des juifs à Jérusalem, mais les premiers chrétiens —c’est-à-dire les premiers disciple du Christ qui ne se considéraient pas comme juifs— étaient à Damas autour de saint Paul-de-Tarse. Identiquement, les premiers disciples de Mahomet étaient dans la péninsule arabique, ils étaient considérés comme des chrétiens ayant adopté un rite bédouin particulier. Mais les premiers disciples de Mahomet à se différencier des chrétiens et à se dire musulmans étaient à Damas autour des Omeyyades. Ou encore, les musulmans se divisèrent en chiites et sunnites selon qu’ils suivirent l’exemple de Mahomet ou son enseignement. Mais l’Iran ne devint chiite que lorsqu’un empereur safavide choisit de distinguer les Perses des Turcs en les convertissant à cette secte. Bien entendu, aujourd’hui chaque religion ignore cet aspect de son histoire.
Certains États actuels, comme le Liban et l’Iraq, sont fondés sur une répartition des postes selon des quotas attribués à chaque religion. Dans le pire des systèmes, le Liban, ces quotas ne s’appliquent pas seulement aux principales fonctions de l’État, mais à tous les niveaux de la fonction publique jusqu’au fonctionnaire au plus bas de l’échelle. Les chefs religieux sont plus importants que les chefs politiques. Par voie de conséquence, chaque communauté se place sous la protection d’une puissance étrangère, les chiites avec l’Iran, les sunnites avec l’Arabie saoudite (et peut-être prochainement avec la Turquie), les chrétiens avec des puissances occidentales. De fait, chacun tente de se protéger des autres comme il le peut.
D’autres États comme la Syrie sont fondés sur l’idée que seule l’union de toutes les communautés permet de défendre la Nation quel que soit l’agresseur et ses liens avec l’une ou l’autre des communautés. La religion est une affaire privée. Chacun est responsable de la sécurité de tous.
La population du Moyen-Orient est divisée entre laïques et religieux. Mais les mots ont ici un sens particulier. Il ne s’agit pas de croire ou non en Dieu, mais de placer le domaine religieux dans la vie publique ou dans la vie privée. De manière générale, il est plus facile aux chrétiens qu’aux juifs et aux musulmans d’envisager que la religion soit privée, car Jésus n’était pas un chef politique tandis que Moïse et Mahomet l’étaient.
Mêlant perception de Dieu et identité de groupe, les religions peuvent provoquer des réactions irrationnelles et extrêmement violentes comme l’islam politique l’a abondamment montré.
L’« État islamique » (Daesh) n’est pas un fantasme de cinglés, mais s’inscrit dans une conception politique de la religion. Ses membres sont majoritairement des gens normaux, habités de la volonté de bien faire. C’est une erreur que de les diaboliser ou de les considérer comme embrigadés dans une secte. Il convient plutôt de se demander ce qui les aveugle face à la réalité et les rend insensibles à leurs crimes.
Conclusion
Avant de poser un jugement sur tel ou tel acteur régional, il faut connaître son histoire et ses traumatismes pour pouvoir comprendre ses réactions à un événement. Avant de juger la qualité d’un plan de paix, il convient de se demander non pas s’il bénéficie à tous ceux qui l’ont signé, mais s’il ne portera pas tort aux autres acteurs régionaux.
Cérémonie de deuil de l’imam Hussein (as) en présence du guide suprême
France : mise en œuvre du plan « Chaque maison une Husseinia »
Poème à l'occasion d'Achoura
ABOUL FADEL ABBASS demanda
À la personne auprès de lui
Une chance pour dire ADIEU !
Donne moi une chance pour lui dire ADIEU !
À mon IMAM et mon frère HUSSEIN !
Et c'était qui, c'était qui qui se trouvait auprès de lui ?
Ahhhhhh !
C'est moi ABBASS ton frère HUSSEIN !
Ne me laisse pas, j'aurais de la peine.
Approche toi !
Prends moi dans tes bras !
Parce que les miens, j'e ne les ressens pas !
Pourquoi tu pleures ! Tu as brisé mon cœur !
J'avais promis au enfants et notre sœur.
J'emmènerai de l'eau pour calmer leur douleur !
Je voudrais te voir une dernière fois !
Mais cette flèche qui m'aveugle m'empêche.
Laisse toi aller tout contre moi
Je resterais tout près de toi.
Je vois la lumière qui m'appelle
Mais j'aimerai me battre à tes côtés.
Ton destin t'appelle rejoins les lumières.
Je serais tout seul sans l'eau.
C'est ici que les chevaux briseront mes os.
Mon corps allongé à terre.
Et ma tête accroché en plein air..
Pourquoi les chiites portent-ils les habits noirs lors de la commémoration du deuil de membres de la famille prophétique?
Porter des vêtements noirs
Pourquoi les chiites portent-ils les habits noirs lors de la commémoration du deuil de membres de la famille prophétique? Est-ce une bonne chose de porter des vêtements noirs pendant les jours de deuil des Ahlul-Bayt (as)?
Réponse:
Il est clair que chaque communauté a sa manière propre à elle de faire le deuil, on trouvera par exemple en Inde, les gens portaient les habits blancs pour participer à la cérémonie de deuil; par contre en occident, ils portent les habits noirs.
La question qui nous a été posée est celle de savoir pourquoi les chiites portent les habits noirs lors de la commémoration d’Achoura et sur quel texte islamique ils se basent?
À cet égard, il existe plusieurs textes authentiques sur lesquels les chiites se fondent pour porter les habits noirs lors de la commémoration du martyre de l’Imam Hussein.
Nous apporterons seulement deux hadiths dont un chiite et l’autre sunnite.
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Hadith chiite :
Le Fils de l’Imam Ali Ibn Hussein (as) rapporte: "Après l’assassinat de mon grand-père Hussein ben Ali (as), les femmes Hachémites s’habillèrent en noir dans son deuil. Elles ne changèrent pas ses habits ni pendant la chaleur, ni la fraicheur, alors que mon père apprêtait pour elles le repas durant cette période de deuil."
? Bihâr ol-Anwar, Allama MADJLICI, T.45, P.188: عَنْ عُمَرَ بْنِ عَلِيِّ بْنِ الْحُسَيْنِ قَالَ: لَمَّا قُتِلَ الْحُسَيْنُ بْنُ عَلِيٍّ صَلَوَاتُ اللَّهِ عَلَيْهِ لَبِسَ نِسَاءُ بَنِي هَاشِمٍ السَّوَادَ وَ الْمُسُوحَ وَ كُنَّ لَا يَشْتَكِينَ مِنْ حَرٍّ وَ لَا بَرْدٍ وَ كَانَ عَلِيُّ بْنُ الْحُسَيْنِ يَعْمَلُ لَهُنَّ الطَّعَامَ لِلْمَأْتَمِ
Ce hadith nous montre que premièrement les femmes Hachémites ont porté les habits en noirs pour manifester le chagrin et faire le deuil de l’Imam Hussein;
Deuxièmement l’Imam a validé leurs actes par son approbation tacite. Car si s’habiller en était contraire aux prescriptions islamiques, l’Imam devrait interdire cela, par conséquent il est préférable de s’habiller en noir pour commémorer le martyre de l’Imam Hussein.
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Hadith sunnite :
Ibn Ab-el Hadid rapporte de Madaïni: "Lorsqu’Ali (as) est décédé, Abdallah ibn Abbas ibn Abd-ul Mutallèb est venu vers les gens et a dit: certes le commandant des croyants vient de rendre l’âme, mais, il a choisi son héritier, si vous êtes enthousiasmé de le voir, il viendra vers vous, mais si vous ne le voulez pas le voir, il ne viendra pas. Ils pleurèrent et dirent: nous voulons le voir! Alors Hassan ibn Ali (as) habillé en noir et vient vers eux et prononce un discours…" ? Charh ibn Ab-el Hadid, T.16, P.22
Dans ce hadith, Imam Hassan est habillé en noir pour manifester le chagrin et le deuil qu’il portait suite au décès de son papa. Nous savons tous que les actes de cet Imam et les apotres (Sahaba) bien guidé du prophète font d’office une jurisprudence et une tradition islamique.