تقي زاده

تقي زاده

À l’occasion de la naissance de l’enfant: Walimah, Aqiqah
 
Walimah?

C’est le fait de nourrir les croyants à l’occasion de la naissance de l’enfant. Il est fortement recommandé d’inviter la famille et les amis le septième jour après la naissance de l’enfant (ou le plus proche possible de ce jour) pour partager cette grande occasion qu’est la naissance d’un nouveau-né.

On rapporte du Prophète (SAWW) : « Un Walimah organisé le premier jour est un devoir, le deuxième jour, c’est bien, et le troisième jour, Riya (c’est-à-dire qu’il est organisé pour le plaisir des autres personnes et non pour le plaisir d’Allah et c'est de trop). »

Il est Makrouh que tous les invités soient riches, mais un mélange de gens riches et pauvres ne pose pas de problème. Il est également Moustahab(conseillé) pour les convives d’accepter l’invitation au Walimah.
 
 
L’importance de faire l’Aqiqah

On rapporte que la vie d’un enfant est liée à l’Aqiqah et ne pas l’effectuer expose l’enfant à des tourments et à la mort. S’il est retardé, il est Sounnah pour le père de le faire jusqu’à ce que l’enfant devienne Baligh, et ensuite c’est Sounnah pour l’enfant lui-même de s’en acquitter.

On rapporte d’Imam as-Sadiq (AS) que l’Aqiqah est nécessaire pour toute personne riche ; si la personne est pauvre, elle doit le faire une fois qu’elle aura assez d’argent, mais si elle ne parvient pas à obtenir assez d’argent, alors, ce n’est pas grave (elle peut y renoncer). Si la personne n’a pas fait d’Aqiqah mais qu’il a fait un sacrifice (Qourbani), cela suffira.

On rapporte que quelqu’un demanda à Imam as-Sadiq (AS) : « Nous avons fait une demande pour un mouton pour Aqiqah mais nous n’arrivons pas à en obtenir un, qu’est-ce que vous suggérez ? Devrions-nous donner le montant d’un mouton comme Sadaqah à la place ? » Imam répondit : « Non, demandez jusqu’à ce que vous en obteniez un car Allah (SWT) aime que l’on nourrisse (les autres)… »

Oumar ibn Yazid rapporte qu’il demanda à Imam as-Sadiq (AS) : « Je ne sais pas si mon père a fait mon Aqiqah ou pas ». Imam répondit : « Fais-le » et il fit donc son Aqiqah à un âge avancé.

Dans une autre Tradition, on rapporte que quelqu’un demanda à Imam as-Sadiq (AS) si l’Aqiqah doit être fait même si l’enfant meurt le septième jour. Imam répondit que si l’enfant meurt avant Zohr, l’Aqiqah n’est pas nécessaire, mais si l’enfant meurt après Zohr, faire l’Aqiqah.
 
 
Quel animal doit être sacrifié ?

Les Oulémas s’accordent à dire que l’Aqiqah doit être un mouton, un chameau ou une chèvre et que l’Aqiqah d’un garçon doit être un animal mâle et l’Aqiqah d’une fille doit être un animal femelle.

Si c’est un chameau, il doit avoir 5 ans ou plus. Si c’est une chèvre, elle doit avoir 1 an ou plus. Si c’est un mouton, il doit avoir au moins 6 mois et il est préférable que le septième mois soit écoulé. Ses testicules ne doivent pas être coupés et il est préférable qu’ils ne soient pas écrasés non plus. Sa corne ne doit pas être cassée (de telle manière qu’il saigne) et ses oreilles ne doivent pas être coupées. Il ne doit pas être trop mince ni aveugle et ne doit pas être boiteux au point de se déplacer avec difficulté.

Cependant, il est important de noter qu’Imam as-Sadiq (AS) a dit que l’Aqiqah ne correspond pas au sacrifice (Qourbani) qui répond à des critères beaucoup plus stricts sur le type d’animal qui peut être sacrifié. Donc, s’il n’est pas possible que les critères ci-dessus soient respectés, n’importe quel mouton fera l’affaire et plus gros il est, mieux c’est.
 
 
Affirmant que l'Iran a décidé de devenir l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, le commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique a déclaré que l'Iran est l'un des meilleurs dans la construction de drones.
"Ceux qui parlent de liberté et de droits de l'homme veulent que nos enfants soient laissés sans nourriture et sans médicaments. Leur plan pour notre nation est la faim, la pauvreté et la maladie, et c'est pourquoi ils ne permettent pas à notre nation d'avoir des échanges financiers avec le monde", a déclaré le major général Hossein Salami dimanche lors de la cérémonie de dévoilement du vaccin "Noora".

"Mais nous sommes une grande nation qui a été capable de créer de grandes surprises malgré les nombreuses sanctions", a-t-il ajouté.

"Nous avons décidé d'être l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, nous lançons des satellites, et nous sommes l'un des meilleurs dans la construction de drones. Nous excellons dans divers domaines. Dans le domaine de la fabrication de vaccins, plusieurs vaccins ont été produits dans notre pays, et peut-être avons-nous autant de diversité dans la production de vaccins que le nombre de pays producteurs", a déclaré M. Salami.

Faisant référence à l'utilisation du vaccin iranien par le Leader de la Révolution islamique, il a ajouté : "Comme c'est excitant et plein d'espoir de voir ces scènes. Nous mettons ces vaccins à la disposition de toutes les nations du monde."

Le vaccin "Noora" produit par l'Université des sciences médicales de Baqiyatallah pour lutter contre la pandémie de Covid-19 a été dévoilé lors d'une cérémonie dimanche. Le vaccin Noora a atteint le stade de l'essai clinique après 16 mois de travaux de recherche menés par des scientifiques iraniens.

A peine 10 jours après le sommet de Genève où Biden a promis à Poutine de ne plus toucher à l'Ukraine à condition que la Russie accepte de travailler avec les USA en Syrie, c'est-à-dire à en tolérer la présence dans le nord est, voire à l'est où les Yankee continuent à pomper le pétrole, les céréales, à réprimer dans le sang  les tribus , à alimenter à partir de deux des 33 bases illégales en Syrie, à savoir al Tanf et Hassaké, un trafic aéro-blindé de terroristes en direction de Homs mais aussi de l'Irak, le compromis a du plombe dans l'aile : côté russe des choses, la soi-disant volonté US de ne plus attiser les velléités anti russes de Kiev a été contrebalancé par cet espèce de fol aventurisme de sa Majesté qui a poussé la Royal Navy d'aller violer les eaux de la Crimée qu'elle dit appartenir à l'Ukraine par HMS Defender interposé à bord duquel se trouvaient des commandos marins russes et ukrainiens. D'ailleurs Londres a affiché un mépris total quand Moscou a convoqué son ambassadeur après avoir ouvert le feu sur son navire de guerre et accusé le ministre britannique de la Défense d'avoir ordonné en personne cette suprême provocation en mer Noire.

En Syrie, ce n'est pas seulement les MiG-31K et leurs missiles aéro-balistiques Kinzhal russes déployés sur la base aérienne de Hmeimim qui inquiète Israël, mais 2 à 4 missiles hypersoniques qui débarqueraient droit sur la base russe où le CGRI voire le Hezbollah tiennent des stands et cette proximité Résistance/technologie hypersonique russe, c'est déjà un réel sujet de préoccupation surtout quand on sait comment cette base accueille depuis près d'un an les vols militaires iraniens à destination de la Syrie, ou comment les avions russes qui y sont stationnés tiennent même à escorter de temps à autre le transit d'armes aériennes Iran-Armée syrienne entre Lattaquié et Deir ez-Zor et ce, évidemment afin de contrer les raids aux missiles air-air israéliens.

 

C’est terrifiant comme tournure : depuis que la Résistance irakienne envoie ses drones chasser les MQ-9, les avions de reconnaissance, les sites de la CIA ou du Mossad à l’intérieur des bases les plus protégées des États-Unis en Irak, pour la première fois; à Erbil, en ce samedi 26 juin, minuit passé, les « drones armés de missiles » se sont abattus sur des cibles américaines. Et ce samedi est une journée particulière.

Et comment ? Une méga parade militaire des Hachd al-Chaabi, force dont l’Amérique cherche la dissolution depuis bientôt deux ans, a défilé ses capacités militaires à Diyala, sous le nez et la barbe des USA et alors même que le PM Kazémi, largement mis sous pression US pour ne pas y assister, a fini par le faire. Il y en a eu même des analystes qui ont vu à travers les chars, les blindés, les lance-roquettes largement présents dans la parade, les « outils » utilisés dans des attaques contre les bases militaires US. Évidemment les drones n’étaient pas de la partie, mais il y avait tout ce qu’il faut pour contrer non seulement Daech, mais encore ses tireurs de ficelles. Que s’est-il passé au juste ? 

Une source de sécurité a annoncé ce samedi 26 juin qu’un drone avait effectué une frappe de missiles contre la zone de Masif Salahaddin près d’Erbil au nord de l’Irak.

La source a déclaré à IQ NEWS que « l’attaque à la roquette contre Masif Salahaddin à Erbil a été menée par un drone, dont la mission était de viser le consulat américain ».

 

Alors que les États-Unis poursuivent leur politique hostile à l’encontre d’Ansarallah, ils ont été contraints de le reconnaître et de souligner le rôle du mouvement sur la scène politique yéménite.

Ancienne animosité des USA contre Ansarallah

En premier lieu, il est clair qu’Ansarallah, en tant que membre de l’axe de la Résistance, à l’instar d’autres mouvements comme le Hezbollah, est l’un des principaux ennemis des États-Unis et de leurs projets au Moyen-Orient. Et Washington a poursuivi ses politiques hostiles à l’encontre de ce mouvement yéménite par divers moyens possibles, depuis sa création.

Aux derniers jours de sa présence à la Maison-Blanche, l’administration Trump a annoncé qu’il avait placé Ansarallah sur la liste des organisations terroristes.