تقي زاده

تقي زاده

Pourquoi Dieu n’exauce-t-Il pas parfois nos prières?
Il faut savoir qu'il n'y a aucune prière qui ne soit pa exaucée d’une manière ou d’une autre. Parler avec Dieu et la prière elle-même, sont une opportunité et une grâce de Sa part, car la prière est un culte d’adoration et mène à la perfection spirituelle de l'homme.
L’Imam Sadegh (que la paix soit sur lui) a dit:
“Je vous recommande de prier, parce que vous ne vous rapprochez pas d'Allah autant qu’avec la prière” .
Parfois, Dieu n’exauce pas nos prières, pour que nous Le rappelions et priions davantage, et nous acheminions vers la perfection. En fait, cela est dû à l'amour et à l'affection de Dieu pour Son serviteur. L’Imam Sadegh (AS) a dit: “Quand un serviteur invoque Allah, Dieu dit aux anges: "J'ai répondu à ses invocations, mais ne les exaucez pas encore car J’aime entendre sa voix", et parfois quand un autre serviteur L’invoque, le Seigneur dit: "Donnez-lui ce qu’il veut, parce que Je déteste entendre sa voix»
Une autre raison du retard ou du rejet des prières, est que nous croyons que cela est dans notre intérêt, mais Dieu sait que cela n’est pas bon ou que ce n’est pas le moment, donc, par Sa grâce, Il n’exauce pas cette prière ou l’exauce avec du retard.
Selon les hadiths, dans de telles circonstances, le Seigneur nous accorde quelque chose de meilleur dans le monde ou dans l'au-delà, ou nous éloigne d’un danger.
L'Imam Sadegh (AS) a dit: “Le Jour de Jugement, Dieu le Tout-Puissant dira: "Mon serviteur! Tu M’as prié et J'ai retardé ma réponse. Maintenant, voilà ta récompense". A ce moment, le croyant, voyant toutes ces récompenses, souhaitera qu’aucune de ses prières n’ait été exaucée dans le monde”

Alors que le Ramadan approche et que l'épidémie de coronavirus se poursuit, tous les centres islamiques et centres de fatwa doivent trouver un moyen pour sortir de cette crise avec un minimum de dommages.Dans de nombreux pays, des restrictions ont été imposées aux rassemblements, y compris dans les lieux de culte et les mausolées.
 
Presque toutes les mosquées, églises et synagogues des pays touchés par le Corona, y compris les mosquées de la Mecque et de Médine, ont été fermées au public et les prières en commun et les prières du vendredi ont été interdites.
 
À l'approche du mois sacré du Ramadan, cette situation est devenue particulièrement importante pour les musulmans. 
لزوم اجماع مراکز فتوا برای دستیابی به راه‌های جایگزین
Dans un rapport, l'agence de presse Al-Jazeera a indiqué :
« Pour la première fois dans l'histoire, les centres de culte ont été fermés en raison de la propagation d'un virus. La Kaaba, la mosquée d’Al-Aqsa, l'église Al-Mahd et le grand temple bouddhiste sont maintenant vides. Malgré la fermeture des lieux de culte par crainte de la propagation du coronavirus, le taux de religiosité a augmenté et cela n’est pas étrange en cas de crise. Une nouvelle étude de l'Université de Copenhague a révélé que le nombre de personnes infectées par le virus dans le monde, augmentait tout comme le nombre des recherches de prières sur Internet. Les chefs religieux de toutes les régions des États-Unis ont recouru à des outils virtuels pour réduire les effets de cette douloureuse séparation et fournir leurs services, des conférences, des études et des conseils aux fidèles.
 
« L'annulation des carnavals et des célébrations de la fête juive de Pourim a été une décision difficile mais les gens qui ont suivi cette cérémonie virtuelle étaient plus nombreux », a déclaré un rabbin du Connecticut.
 
« C'était un défi », a déclaré le père Douglas Slater, en Caroline du Sud, assis seul sur une chaise face à son portable mais « La communication directe avec les gens à travers leurs messages sur les réseaux sociaux était un point positif ».
 
Mohammad Majid du centre « Adams » en Virginie, qui utilise le programme Zoom et Facebook Live pour donner des conférences et des cours de religion, estime que les réseaux virtuels ne permettent pas une communication proche qui pour lui, est très importante.
 
« Le numérique a développé la participation des jeunes qui sont familiers avec l'utilisation des nouvelles technologies, aux activités religieuses, mais cela ne convient pas toujours à certaines personnes. Nous avons des personnes âgées qui ne connaissent pas bien l'anglais et il n’y a pas de jeunes autour qui peuvent les aider. Ce sont des personnes âgées qui sont heureuses lors des rassemblements et se sentent aimées. Cela n'existe pas aujourd'hui et je ne pense pas que la technologie puisse le remplacer », a-t-il dit.
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Le rabbin Jirson est d'accord avec Majid sur ce point : « Je suis en ligne avec des gens qui sont en train de mourir et je ne peux pas leur tenir la main. Je crains que les gens meurent seuls. Aucun réseau virtuel ne peut remplacer une société où il y a beaucoup d’églises, de temples et de mosquées. 
 
Les musulmans ne pensaient pas il y a deux mois, qu'ils ne seraient pas en mesure d'exécuter les prières de l’umra et du Taraweeh, et de participer aux cérémonies des nuits du Ramadan. Le mois de Ramadan est sur le point d’arriver et nous devons trouver des solutions acceptées par tous les centres de fatwa du monde islamique, pour sortir de cette crise et réduire les dégâts. Les technologies qui ont été en mesure de minimiser les conséquences de divers problèmes, aujourd'hui, peuvent aussi être efficaces dans le domaine religieux.
 L'épidémie de coronavirus dans le monde, a conduit à certaines réactions illogiques et racistes, contre les minorités raciales et religieuses en particulier les musulmans », a écrit Mehdi Hasan, chroniqueur pour le site américain « The Intercept ».« L’une des minorités persécutées dans divers pays y compris l'Inde, après l'épidémie de Corona, est la minorité musulmane, le Corona était devenu une nouvelle excuse pour le rejet et les discriminations à leur encontre dans la société multiculturelle de différents pays. 
 
Comment expliquer que la propagation du nouveau virus (corona) qui a infecté des personnes dans presque tous les pays, est devenue une arme pour l'extrême droite pour attaquer l'islam et les musulmans ? En Inde, l'épidémie du virus a été surnommée « le djihad du corona » par le parti de droite Baharatiya Janata (BJP) qui affirme que cette maladie est une conspiration globale des musulmans pour empoisonner les hindous ! Le gouvernement indien a accusé le rassemblement d'un groupe musulman conservateur, d’être à l’origine de l’épidémie qu’un ministre indien du BJP a qualifiée de « crime des talibans ». 
 
Le Guardian rapporte que les entreprises musulmanes en Inde, sont boycottées et que des prospectus interdisant les mouvements des musulmans dans certaines zones de Delhi, Karnataka, Telangana et Madhya Pradesh, auraient été distribués. 
ویروس کرونا و نمایش بلاحت اسلام‌هراسی
Il y a même des rapports d'attaques, de passages à tabac et de lynchage de musulmans indiens. Le média le plus réputé du pays a rejoint la vague et s'est excusé plus tard, parlant de "complètement involontaire" la publication d’une image qui reliait la crise de Corona aux musulmans. 
 
Bien sûr, ce n'est pas seulement en Inde que des personnalités d'extrême droite et les principaux médias abusent de la maladie pour propager l’islamophobie. « L'arrivée du Covid 19 était attendue mais la propagation de l'islam radical est plus surprenante », a tweeté le journal américain « Economiste » le 23 mars 2020, se référant à un rapport sur les Maldives. Le magazine a ensuite supprimé le tweet mais le rapport existe toujours. 
 
Pendant ce temps, des journalistes bien connus en Grande-Bretagne et en France, tentent d'utiliser le Ramadan pour propager l'islamophobie en Occident, affirmant que les musulmans violeraient les directives de distanciation sociale et propageraient le virus dans leurs réunions. Cependant, rien n'indique que les musulmans de Grande-Bretagne ou de France s'opposent aux directives ou envisageraient de rouvrir les mosquées.
 
 Aux États-Unis, l'extrême droite se mobilise aussi et tente d'exploiter le virus pour encourager la haine et la violence contre les musulmans. En mars, le FBI a gravement blessé Timothy Wilson, un extrémiste antigouvernemental qui prévoyait de bombarder un hôpital du Kansas qui reçoit actuellement les personnes atteintes du coronavirus. Wilson avait aussi prévu d'attaquer des centres islamiques. Nous pourrons peut-être vaincre le virus dans les mois à venir, mais il faudra beaucoup de temps pour vaincre l’islamophobie », précise le journaliste.

Alors que le vendredi 17 avril, le haut diplomate algérien, Ramtane Lamamra, dénonçait le coup fourré US contre l'Algérie lequel coup a bloqué de facto toute solution politique à la guerre libyenne, quitte à donner du temps à l'axe USA/Israël/OTAN pour tenter d'exporter le conflit en territoire algérien, une dangereuse évolution vient de se produire.

Fayad al-Sarraj homme avec qui aussi bien Alger que Tunis sont en régulier contact, a totalement perdu le contrôle des terroristes qu'Ankara continue à ramener par milliers en Libye! A ceci s'ajoute un autre facteur là aussi particulièrement inquiétant, les conquêtes territoriales de ces derniers jours des mercenaires d'Erdogan lesquelles ont permis de relier l'ouest de la Libye à la Tunisie et de recréer un pont maritime pour le trafic d'armes et de terroristes depuis la Turquie vers la Libye. 

En Syrie, des individus armés ont fui la base américaine d’al-Tanf avant de se rendre à l’armée syrienne, a-t-on appris de la chaîne de télévision Al-Mayadeen.

Mercredi 15 avril, des sources proches des groupes armés en Syrie ont fait part de la décision d’un groupe d’individus armés de quitter la base américaine d’al-Tanf où ils recevaient des formations militaires pour aller rejoindre l’armée régulière syrienne.

La nouvelle a été confirmée jeudi 16 avril par la chaîne d’information Al-Mayadeen qui ajoute que les individus armés faisaient partie du groupe Maghaweir al-Thawrah et qu’ils ont quitté la base américaine d’al-Tanf mardi 14 avril. « Les services de sécurité syriens ont bien accueilli ces personnes », indique Al-Mayadeen.

« Cette fuite en bloc, qui avait été planifiée pendant cinq mois,  met en évidence une profonde fissure sécuritaire au sein des forces américaines », ajoute-t-elle. 

Al-Mayadeen ajoute que ces personnes ont rendu leurs armes aux forces syriennes.

Selon le Centre russe pour la réconciliation nationale en Syrie, affilié au ministère de la Défense de la Russie, les 27 individus armés qui viennent de se rendre à l’armée syrienne, ont reconnu avoir reçu des formations militaires auprès des soldats américains, pour pouvoir attaquer les infrastructures pétrolières et de transport de la Syrie.  

« Une trentaine de rebelles ayant suivi un entraînement dans la base militaire américaine, située non loin du camp de réfugiés d’al-Rukban, se sont rendus aux troupes gouvernementales syriennes », a déclaré mercredi 15 avril Oleg Jouravlev, chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie.

M. Jouravlev a ajouté que les rebelles avaient l’intention de déposer les armes pour revenir à la vie civile.

« 27 personnes ont réussi à avancer jusqu’à Palmyre où elles se trouvent sous la protection des forces gouvernementales. Elles ont rendu plusieurs dizaines d’armes d’infanterie, des mortiers et des mitrailleuses de gros calibre, y compris de fabrication occidentale », a précisé Oleg Jouravlev, ajoutant que les rebelles ayant déposé les armes avaient déclaré que des instructeurs américains les préparaient à des actes de sabotage dans des installations pétrolières, gazières et de transport et à des attaques terroristes à mener dans la zone contrôlée par l’armée syrienne.

La base militaire d’al-Tanf compte parmi les bases les plus importantes où les soldats américains entraînent les terroristes syriens.

Légion sont les analystes qui ont réaffirmé que l’offensive de Daech contre la province de Soueïda, en 2019, avait été préparée et menée par les Américains opérant à al-Tanf.

Le commandant en chef de l’armée de la République islamique d’Iran a assuré à la nation iranienne que l’armée resterait comme un barrage de fer devant les ennemis.

Lors d’une parade qui s’est déroulée à l’occasion de la Journée nationale de l’armée, ce vendredi 17 avril, le commandant en chef de l’armée iranienne, le général de division Abdel Rahim Moussavi, a déclaré que l’armée était fière de protéger la nation iranienne sous le commandement de l’Ayatollah Khamenei.

Il a ajouté que l’armée iranienne bénéficiait d’un grand soutien de la nation et qu’elle voulait remercier la nation en la soutenant dans de tels événements [la pandémie de coronavirus, NDLR].

« Les diverses capacités de l’armée lui permettent de passer à l’acte dans plusieurs domaines », a déclaré le général de division Moussavi, soulignant que les combattants de l’armée étaient en ce moment en train de protéger les frontières de l’Iran sur le sol, dans l’air et en mer, aux côtés des forces du Corps des gardiens de la Révolution islamique et celles de la Force de l’Ordre. « Les forces de l’armée iranienne fournissent également des services médicaux dans une cinquantaine de villes iraniennes », a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : « Je remercie tous les combattants de la Force terrestre opérant sur les frontières de l’Est aussi bien que de l’Ouest, tous les pilotes et le personnel de la Force aérienne, toutes les forces déployées dans la base de la défense aérienne et toutes les forces de la Marine, notamment celles qui travaillent sur la corvette Naghdi et la frégate Alvand, et arborent le drapeau de notre pays des milliers de milles plus loin. »

Il a également rendu hommage à plus de 11 000 membres du personnel médical de l’armée iranienne qui œuvrent aux côtés du personnel du secteur sanitaire pour lutter contre le coronavirus.

 

Des éléments armés pro-américains ont remis des équipements et des armes d’une base militaire américaine à l'armée syrienne.

Selon le site web militaire russe Avia-pro, les terroristes s armés pro-américains affiliés au groupe Jaych Maghawir al-Thawrao ont décidé de ne plus coopérer avec l'armée américaine et ont quitté la région d’al-Tanf située à l'est du pays. Ils ont emporté avec eux des armes et munitions de la base militaire américaine avant de les remettre volontairement à l'armée syrienne.

L’un des commandants des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi) a dénoncé la libre circulation des terroristes de Daech dans les provinces de Diyala et Salaheddine.

Selon ce commandant de la Résistance irakienne, il faudrait adopter une approche militaire coordonnée pour tuer dans l’œuf ces agissements terroristes.

L’avion de reconnaissance militaire américain, Boeing P-8A Poseidon, a tenté de pirater à distance les systèmes de défense anti-aériens russes S-400 déployés sur la base aérienne de Hmeimim, en Syrie, mais il a échoué. Un avion de chasse russe l’a intercepté au-dessus de la mer Méditerranée, le 15 avril.

Selon le site d'information russe Avia.pro, l’armée américaine a regretté d’avoir mal choisi les fréquences, car les systèmes de défense anti-aérien russes ont été mis en état de préparation au combat, avec l'intention d'ouvrir le feu, lorsqu'un chasseur russe a décollé pour intercepter le Boeing P-8A.  

Des informations à ce sujet ont été annoncées après qu'un avion de combat russe a décollé en urgence de la base aérienne de Hmeimim, et ce alors que l'avion de reconnaissance américain se trouvait à plusieurs dizaines de kilomètres. De plus, des informations circulaient sur le fait que les États-Unis étaient en mesure de « collecter les fréquences de fonctionnement des systèmes russes de défense anti-aériens S-400, dont le décryptage est actuellement en cours ».

Les autorités de Tel-Aviv savaient pour le Coronavirus depuis des mois ; mais elles n’ont rien fait, d’après la chaîne 12 de la télévision israélienne.

Selon l’agence de presse russe Sputnik, la chaîne 12 a dévoilé un rapport secret datant de novembre 2019, dans lequel le gouvernement américain mettait en garde Israël contre l’arrivée d’un virus mortel.

La chaîne 12 de la télévision israélienne a rapporté jeudi soir que l'administration américaine avait averti Israël et ses autres alliés du monde entier dont l’OTAN, à la mi-novembre, d'une « maladie inconnue » se propageant dans la ville chinoise de Wuhan.