تقي زاده

تقي زاده

Au cours d’une audience accordée aux commandants de la base Khatam ol-Anbiya, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Khamenei, leur a demandé de conserver « une vigilance accrue », tout en les appelant à promouvoir les systèmes de défense antiaérienne iraniens. 
 
D’après le Leader de la Révolution islamique, cette base d’artillerie antiaérienne a une place extrêmement importante dans la lutte contre les ennemis de l’Iran.

Lors d’une rencontre, ce dimanche 2 septembre, avec les responsables et commandants de la base Khatam ol-Anbiya, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a affirmé que cette base était une composante primordiale et névralgique des forces armées iraniennes dans la lutte contre les ennemis du pays.

L’Ayatollah Ali Khamenei a également insisté sur le renforcement des capacités et de la disponibilité de la DCA de l’armée et de tout son personnel.

Lors de cette rencontre qui a eu lieu à l’occasion de la Journée de l’artillerie aérienne, le Leader de la Révolution islamique a affirmé que les spéculations sur la donne politique du jour semblaient toutefois exclure toute éventualité de confrontation militaire.

« Pourtant, les forces armées doivent, avec vigilance et grâce à une gestion habile et performante, renforcer et améliorer chaque jour la puissance de leurs effectifs et de leurs équipements militaires », a affirmé l’Ayatollah Khamenei. Et d’ajouter que tout effort dans ce sens serait considéré comme étant un acte objectivement bon auprès de Dieu le Très-Haut.

Il y a quelques jours, le Leader de la Révolution islamique avait reçu des milliers d’Iraniens de différentes couches sociales. Au cours de l’audience, l’Ayatollah Khamenei avait affirmé qu’il n’y aurait ni guerre ni dialogue avec les États-Unis.


Lors de la rencontre de ce dimanche avec le Leader de la Révolution islamique, le commandant de la base Khatam ol-Anbiya, le général Ali-Reza Sabahifard, a pour sa part remis un rapport détaillé sur les mesures prises et les plans envisagés par ce QG d’artillerie antiaérienne.
L'autorité palestinienne a "rejeté" et "condamné" la décision des Etats-Unis vendredi de ne plus financer l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), sur fond de crise de plus en plus profonde avec Washington.
  
 
L'administration de Donald Trump "a décidé que les Etats-Unis ne feraient pas de contribution supplémentaire à l'UNRWA", a indiqué la porte-parole du département d'Etat Heather Nauert dans un communiqué.
 

"Nous rejetons et condamnons cette décision américaine dans son intégralité", a réagi, dans un communiqué, le négociateur en chef palestinien et secrétaire général de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP) Saëb Erakat.

Et M. Erakat d'appeler les pays du monde "à rejeter cette décision et à fournir tout l’appui possible" à l’UNRWA.

Dans un communiqué, le porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Stéphane Dujarric, a indiqué "regretter" la nouvelle décision américaine concernant l'UNRWA qui "fournit des services essentiels aux réfugiés palestiniens et contribue à la stabilité de la région".

"L'UNRWA bénéficie de la pleine confiance du secrétaire général", a-t-il ajouté, en saluant les efforts d'adaptation de l'organisation après la réduction au début de l'année des financements américains. Antonio Guterres "appelle les autres pays à aider à combler le déficit financier" de l'UNRWA afin qu'elle "puisse continuer à fournir son assistance vitale" aux Palestiniens, a précisé Stéphane Dujarric.

L'UNRWA, via son porte-parole, Chris Gunness, a également fait part de "profonds regrets" et de "déception". "Nous rejetons dans les termes les plus forts possibles la critique (estimant) que les écoles de l'UNRWA, les centres de santé et les programmes d'assistance d'urgence sont +irrémédiablement imparfaits+", a-t-il tweeté.

La décision de Donald Trump de reconnaître unilatéralement Al-Qods (Jérusalem) comme capitale d'Israël, fin 2017, a marqué une rupture dans les relations avec les Palestiniens. Ses dirigeants ont immédiatement coupé tout contact avec Washington, lui déniant désormais tout rôle de médiateur dans le processus de paix avec Israël, malgré les ambitions affichées par le président des Etats-Unis.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exhorté samedi "toutes les parties à immédiatement cesser les hostilités" en Libye et à se conformer aux accords de cessez-le-feu conclus dans le passé sous l'égide des Nations unies.
 
 
Antonio Guterres "condamne la poursuite des violences dans et autour de la capitale de la Libye, et notamment les bombardements à l'aveugle auxquels ont recours des groupes armés, qui tuent et blessent des civils, dont des enfants", précise un communiqué de ses services.

Une quarantaine de personnes ont été tuées et une centaine blessées, pour la plupart des civils, en cinq jours d'affrontements entre milices rivales dans les quartiers sud de Tripoli, selon un bilan officiel vendredi soir.

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011 par les milices soutenues par l'Otan et certains pays arabes, Tripoli est au coeur d'une lutte d'influence entre milices en quête d'argent et de pouvoir.

La Russie et le Pakistan semblent déterminés à promouvoir la coopération bilatérale sur le plan militaire depuis la nomination du nouveau Premier ministre pakistanais. Dans ce cadre, le président russe vient de proposer le projet d’une manœuvre conjointe des deux armées d’ici la fin 2018.

Le président russe, Vladimir Poutine a proposé que la Russie et le Pakistan mettent en place d’ici la fin d’année une manœuvre militaire commune. Entre temps, certains médias ont fait part de la visite imminente de Poutine au Pakistan.

Les milieux médiatiques indiens font régulièrement l’écho du mécontentement de leur gouvernement vis-à-vis des contrats de vente d’armements russes au Pakistan. Selon eux, Poutine semble préférer le Pakistan à l’Inde.

La proximité du Pakistan avec la Russie est d’autant plus logique que la Chine, son « ami de tous les temps », renforce ses liens avec Moscou. Comme l’Inde et les États-Unis le savent, l’alliance Moscou-Pékin-Islamabad peut jouer un rôle essentiel dans l’orientation de la sécurité en Asie du Sud en faveur du Pakistan.

L’Inde a déjà exprimé son malaise face au développement des liens militaires entre la Russie et le Pakistan et a demandé à plusieurs reprises à Moscou de ne pas vendre des armes au Pakistan.

Cependant, la Russie décide de donner de l’ampleur à ses relations avec le Pakistan après les récentes tentatives indo-américaines d’ouvrir un nouveau chapitre dans les relations bilatérales.

La création de l’alliance Russie/Chine/Pakistan pourrait en revanche établir une nouvelle ambiance dans la région au point de vue sécuritaire.

Des militaires US et canadiens ainsi que des mercenaires venus de l’étranger vont aider l’armée ukrainienne à gérer la situation tendue à Donetsk après l’assassinat du président de la RPD.  

Nombre de mercenaires étrangers et de militaires de haut rang américains et canadiens sont arrivés à Donbass avec comme mission d’aider l’armée ukrainienne.

Le porte-parole du commandement de la République populaire autoproclamée de Dontesk (RPD) a annoncé qu’un grand nombre de militaires de haut rang américains et canadiens ainsi que des mercenaires étrangers s’étaient rendus en Ukraine pour y rejoindre le groupe tactique Est de l’armée ukrainienne.

Un membre du Conseil central du Hezbollah du Liban a critiqué le soutien explicite de Washington aux terroristes de Daech dans l'est de l’Euphrate et aux éléments d’al-Nosra à Idlib.

« Les États-Unis apportent leur soutien catégorique aux terroristes de Daech, déployés à l’est de l’Euphrate et aux éléments d’al-Nosra stationnés maintenant dans la province d’Idlib au nord de la Syrie. Ils les instrumentalisent pour justifier leur présence dans un pays indépendant qu’est la Syrie », a indiqué le membre du Conseil central du Hezbollah libanais, Cheïkh Nabil Farouk.

Les États-Unis envisagent de renforcer leurs bases dans les zones sous contrôle des Kurdes syriens. Des convois d’équipements militaires et de matières de constructions sont déjà arrivés dans la province de Hassaké.

150 camions transportant des équipements militaires et de matières de construction, liés à la coalition soi-disant anti-Daech dirigé par les États-Unis, ont traversé les frontières irakiennes pour rentrer dans les régions sous contrôle des Kurdes syriens, a annoncé l’observatoire syrien des droits de l’homme, vitrine de l’opposition.

Sous pression de Washington pour rompre ses relations avec Pyongyang, le gouvernement soudanais a annoncé, dans une lettre envoyée à l’ONU, la rupture de toutes ses relations avec Pyongyang et l’expulsion de tous les ressortissants nord-coréens du territoire soudanais.

Le gouvernement soudanais a annoncé, dans une missive adressée à l’ONU, avoir expulsé tous les employés d’une société électronique nord-coréenne, tout en soulignant qu’il n’autoriserait plus la présence de ressortissants nord-coréens sur le sol soudanais.

La Russie évoque avec l’Érythrée la création d’un centre logistique commun dans un port de ce pays situé dans la corne de l’Afrique.

La Russie est en train de discuter avec l’Érythrée de la création d’un centre logistique commun dans un port de ce petit pays de la corne de l’Afrique, a déclaré ce vendredi 31 août le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, cité par Reuters.

Un port accessible aux navires de guerre russes offrirait à Moscou une position stratégique à l’entrée de la mer Rouge et le moyen de rivaliser dans la région avec les États-Unis, la France ou la Chine, qui disposent de bases à Djibouti, a précisé Reuters.

Sergueï Lavrov a indiqué que ce centre logistique permettrait à la Russie et à l’Érythrée de développer leur commerce bilatéral.

Moscou entretient déjà dans la région des relations étroites avec l’Éthiopie, voisine et ancienne ennemie de l’Érythrée avec laquelle elle vient d’opérer un rapprochement spectaculaire.

Cela fait des années que l'Iran et l'Algérie entretiennent de bonnes relations dans de nombreux domaines, relations qui renvoient avant à une vision du monde, foncièrement anti-impérialiste. La très populaire secrétaire générale du parti des travailleurs de l’Algérie (PT) a fait écho à cette communauté de vue en déclarant que son pays soutenait l’Iran face aux États-Unis en Asie de l’Ouest. Le soutien d'Alger à l'axe de la Résistance est exprimé par le chef d'un influent parti politique alors que les États-Unis ont commencé de vastes agissements pour mettre sous pression le Hezbollah libanais. Incitée par les États-Unis, l'Arabie de Ben Salmane menace même désormais de déplacer la guerre du Yémen au Liban.

La secrétaire générale du parti des travailleurs de l'Algérie, Louisa Hanoune @L'Écho d'Algérie

La secrétaire générale des travailleurs de l’Algérie, Louisa Hanoune, a souligné le fait qu’Alger exprimait son soutien à Téhéran face à Washington.

« L’Algérie réitère sa position et son soutien à l’Iran et au Hezbollah et s’oppose à toute tentative d’inclure le nom du Hezbollah dans la liste des groupes terroristes », a déclaré Mme Hanoune.

Pour ce qui est de la position de l’Algérie envers les dossiers palestinien, syrien et irakien, Louisa Hanoune a affirmé le soutien tous azimuts de son pays aux nations palestinienne, syrienne et irakienne.

Elle a aussi affirmé que l’Algérie a condamné les exactions commises sans arrêt par les agresseurs saoudiens et leurs acolytes au Yémen, avant de souligner que le peuple algérien ainsi que le gouvernement s’étaient opposés dès le début à la guerre dévastatrice lancée au Yémen, depuis 2015, par la coalition saoudienne sous l’égide des États-Unis.