تقي زاده

تقي زاده

L'ancien chef d'état-major de l'armée britannique, Lord Richards, appelle Londres à envoyer des troupes à Idlib au nord-ouest de la Syrie pour soutenir les terroristes.

Critiquant le niveau insuffisant de la frappe aérienne, menée par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, contre la Syrie, le général Lord Richards, chef d'état-major de l'armée britannique de 2010 à 2013, a exhorté la Première ministre Theresa May à dépêcher des forces terrestres à Idlib, rapporte Sputnik.

Ce général britannique a également insisté sur la nécessité de l’instauration par l’Occident d’une zone de sécurité dans la province d’Idlib, frontalière de la Turquie où ont été transférés des milliers de terroristes, partis de leurs fiefs d'Alep, de Homs et de la banlieue de Damas.

Ce général britannique prétend être préoccupé par une éventuelle future attaque de l'armée syrienne contre Idlib, région qui est, toujours, sous le contrôle des terroristes.  

S’agissant des récentes frappes tripartites américaines menées contre la Syrie en collaboration avec les armées française et britannique, sous prétexte de répondre à l'attaque chimique présumée menée le 7 avril à Douma, dans la Ghouta orientale, l’ancien chef de l'armée britannique s'en est réjoui. Cette frappe était, rappelons-le, une violation flagrante de la souveraineté de la Syrie et du droit international.  

« Ce n’est pas suffisant », a-t-il lancé, exhortant la soi-disant coalition antiterroriste américaine en Syrie à « élargir ses mesures punitives et à frapper des cibles particulières telles que  les aéroports. »

Qualifiant de geste « minime » les frappes tripartites, Lord Richards a déploré « le temps perdu » par les Occidentaux pour « changer le cours de la guerre en Syrie. »  

Les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont frappé illégalement samedi dernier la Syrie, en représailles à une attaque présumée chimique imputée, injustement, à l'armée syrienne.

Ces pays ont tiré plus de 100 missiles sur la Syrie, mais un nombre significatif d'entre eux, à savoir deux tiers, selon les sources syriennes et russes, ont été interceptés par la DCA syrienne.

Décidément le président Jupiter a raté son coup: outre une opinion français hostile à une intervention militaire non mandatée, les syriens de France dénoncent sa participation aux frappes du 14 avril. Ils étaient des dizaines de personnes à se rassembler, samedi 21 avril, à Paris pour dénoncer l’intervention militaire française en Syrie et exprimer leur soutien au président syrien Bachar al-Assad.

Des dizaines de personnes se sont rassemblées, samedi 21 avril, place du Trocadéro à Paris. Les manifestants ont exprimé leur soutien au gouvernement de Bachar al-Assad et dénoncé les « prétextes mensongers » avancés par le trio France/USA/Grande-Bretagne pour attaquer la Syrie.

Les manifestants ont scandé des slogans, dont et surtout « Vive l’armée arabe syrienne » et brandit des drapeaux de la Syrie et des portraits du président syrien Bachar al-Assad.

« Nous sommes ici en tant que Français pour dire au peuple syrien que la France n’accepte pas la décision « macroniste »,  a dit Imad Hamrouni, analyste politique du monde arabe et musulman.

En organisant de spectaculaires exercices navals au large de Taïwan, Pékin montre la puissance de sa marine à ses voisins asiatiques et adresse un avertissement à son rival américain.

Les forces navales chinoises ont traversé les eaux au sud de Taïwan et effectué des exercices militaires dans le Pacifique occidental.

La démonstration de force organisée en fin de semaine dernière entre la Chine et l’île de Taïwan dans l’océan Pacifique, une parade de 48 navires de guerre dont le Liaoning, le tout premier porte-avions construit par les arsenaux chinois, a fait grosse impression.

Les chasseurs J-15 ont décollé vendredi du Liaoning, seul porte-avions opérationnel de Chine, pour s'entraîner dans la région située à l'est du canal de Bashi, entre Taïwan et les Philippines, a rapporté samedi le journal officiel de l'Armée populaire de libération.

Les destroyers chinois ont effectué des exercices offensifs et défensifs pour tester leurs capacités, a indiqué le PLA Daily.

La Chine a intensifié ses démonstrations militaires dans la région au cours de la dernière semaine.

Mercredi, la marine a effectué des exercices de tir réel dans le détroit de Taïwan, ce qui, selon les médias, constitue une réponse directe aux « provocations » de Taïwan.

L’agence de presse russe Sputnik a fait allusion dans un article au dévoilement par l’Iran d’un nouveau missile de croisière intelligent et anti-drone, affirmant que ce nouveau missile intelligent iranien a suscité la stupéfaction des experts.

Évoquant le dévoilement du nouveau système de missiles, baptisé Kamin-2, lors de la parade marquant la journée de l’Armée en Iran, le mercredi 18 avril, Sputnik a écrit qu’il s’agit d’un « projectile équipé d’un système de téléguidage électro-optique volant à basse altitude, qui cible les véhicules aériens sans pilote (UAV) à basse altitude, conçu et amélioré en y incorporant les dernières technologies grâce aux experts et spécialistes iraniens ». 

« Si ce missile est doté d’un système de téléguidage électro-optique, il ressemble donc au missile de croisière israélien Delilah, conçu pour viser des cibles mobiles et relocalisables avec une erreur circulaire probable (CEP) de 1 mètre », a écrit Sputnik.

Tout comme l’armée de l’air iranienne l’a annoncé, ce missile téléguidé par infrarouge est tiré par le copilote du chasseur.  

L’agence de presse russe a ensuite fait allusion au discours du président iranien Hassan Rohani selon lequel « les armements iraniens ne seront pas utilisés contre ses voisins arabes » avant de conclure ainsi : 

« Lors de la parade de la Journée de l’armée en Iran, outre les chasseurs et les bombardiers de l’armée de l’air, le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a dévoilé son nouveau système de missiles baptisé Kamin-2, conçu pour faire face aux drones armés de l’ennemi ainsi qu’aux chasseurs volant à basse altitude. »

Le président de la République islamique d’Iran Hassan Rohani a adressé un message à son homologue syrien Bachar al-Assad à l’occasion du jour anniversaire de l’indépendance de la Syrie.

Dans cette lettre, le président Rohani a souligné que le gouvernement iranien veulent rester aux côtés du peuple et du gouvernement syriens pour les aider à reconstruire leur pays, tout comme il est resté à leur côté dans les combats contre le terrorisme.

Présentant ses sincères félicitations à l’occasion du 17 avril, journée nationale et jour anniversaire de l’indépendance de la Syrie, le président iranien a affirmé que la vaillante nation syrienne avait fait beaucoup de sacrifice pour accéder à l’indépendance et chasser les puissances colonialistes.

« Aujourd’hui, elle mène d’inlassables combats pour neutraliser les complots des ennemis et émanciper le pays du joug des terroristes et elle obtient chaque jour de nouvelles victoires », a-t-il dit.

M. Rohani a précisé que la RII resterait comme avant aux côtés du peuple et du gouvernement syriens pour les aider à rétablir la sécurité et la stabilité à travers la Syrie.

Il a souhaité une victoire finale imminente sur le terrorisme en Syrie.

Le groupe terroriste Daech chercherait à établir de nouveaux passages entre l’Irak et la Syrie, rapportent des sources de sécurité irakiennes.

Zahir Bahadeli, un commandant de la brigade des gardes-frontières d’Irak, a annoncé que les chasseurs irakiens avaient mené sept attaques aériennes contre les bastions de Daech dans la localité d’al-Wada près de la Syrie. 27 terroristes ont été éliminés et quatre tunnels détruits.

« Le renseignement de la coalition américaine a joué un rôle crucial dans la réussite de ces opérations destinées à endiguer l’infiltration des terroristes via les frontières de la Syrie », a-t-il expliqué.

Habib al-Shamari, officier de police dans la province de Diyala, a également fait état de frappes contre les positions de Daech à Hawd al-Zor au nord-est de la ville de Bakouba, chef-lieu de la province de Diyala. Deux terroristes, dont un leader de Daech, ont été tués.

Une source militaire irakienne a par ailleurs confirmé l’intention de Daech de créer de nouveaux passages entre l’Irak et la Syrie. « Ce groupe terroriste a tenté à plusieurs reprises de s’infiltrer dans les zones frontalières, mais elles sont parsemées de postes de contrôle et de gardes-frontières. La frontière entre les deux pays fait des kilomètres et sa protection n’est pas chose facile, ce qui donne à Daech l’opportunité de s’y aventurer », a-t-elle précisé.

En Syrie, Daech a accès à des armes et à une aide financière. En Irak, ses éléments sont entraînés et formés dans le désert. Le danger de Daech persiste encore dans la zone frontalière entre les deux pays.

Rencontrez le missile défensif Shahab Saqeb de fabrication iranienne conçu pour détruire des cibles de faible niveau avec une grande efficacité capable d'atteindre des cibles jusqu'à onze kilomètres de distance. Cette réalisation d'ingénierie de pointe a été conçue par des experts de l'industrie de la défense iranienne.

Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : La longueur du missile est d'environ 2,9 mètres, son poids est de 84 kilogrammes et sa vitesse de 740 mètres par seconde, a rapporté mercredi l'agence de presse iranienne Tasnim.
 
Shahab Saqeb a une portée de 500 à 8500 mètres contre des cibles aériennes qui volent à 400 mètres par seconde, 10 km contre des cibles à des vitesses de 300 mètres par seconde et 11 km contre des hélicoptères.

Le missile iranien est équipé de nouvelles hélices à réaction, ce qui lui permet d'améliorer sa capacité à mieux influer sur les cibles aériennes ennemies.

Ce missile fait partie des nombreuses autres réalisations que les ingénieurs iraniens ont récoltées, après la révolution islamique, en concevant des systèmes de radar, des systèmes de missiles et des systèmes de détection, de guidage et de contrôle de la défense antiaérienne.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti vendredi que son armée était prête à toute évolution face à l'Iran. 
 
Les combattants de Tsahal (Forces de défense israéliennes) et les services de sécurité sont prêts à toute évolution de la situation. Nous allons nous battre contre celui qui tente de nous faire du mal", a déclaré M. Netanyahu au début de la réunion extraordinaire du cabinet à Tel Aviv, pour marquer le 70ème anniversaire de la création d'Israël.

Vendredi, le ministre israélien de la Guerre, Avigdor Liberman, a mis en garde l'Iran contre une attaque visant le régime hébreu.

"Nous sommes prêts pour tous les scénarios. Nous sommes prêts pour un scénario multi-front et je ne me souviens pas d'une époque où nous étions si bien préparés et si prêts, à la fois pour l'armée et pour le peuple d'Israël", a déclaré M. Liberman.

Jeudi soir, M. Netanyahu a également appelé à une action contre l'Iran, lors d'une réception en l'honneur du corps diplomatique en Israël, à l'occasion du 70ème anniversaire de la création d'Israël. "L'Iran est l'ennemi de nous tous -- d'Israël, du monde arabe, de la civilisation", a-t-il suggéré.

Israël n'a toujours pas de commentaire sur une frappe de missiles contre la base aérienne syrienne T-4 de Tiyas, située dans l'est de la province de Homs, le 9 avril. La frappe a fait 14 morts. L'Iran, la Syrie, la Russie et certains responsables américains ont indiqué explicitement qu'Israël était responsable de cette frappe.

Le président russe Vladimir Poutine a appelé à M. Netanyahou d'éviter des actions qui pourraient déstabiliser la situation en Syrie et a souligné l'importance de ne pas violer la souveraineté de la Syrie.
La cérémonie d'ouverture de la section féminine du 35ème Concours International du Coran en Iran s'est tenue samedi à Téhéran.

Un certain nombre de responsables coraniques, religieux et culturels, y compris le chef de l'organisation des affaires d’Awkaf, l’Hojat-ol-Islam Ali Mohammadi et le secrétaire du Conseil pour le développement de la culture coranique, l’Hojat-ol-Islam Hamid Mohammadi étaient présents à la cérémonie, avec la récitation de versets coraniques par l'éminent récitant Iranien, Mehdi Adeli.

Ensuite, Masoumeh Farzaneh, responsable du comité des femmes de la compétition, a prononcé un discours dans lequel elle a noté que 28 mémorisatrices du Coran de 28 pays participent à l'édition de cette année.

آیین افتتاحیه دومین دوره مسابقات بانوان برگزار شد/ اعزام نیروهای جهادی قرآنی به مناطق محروم

Elle a ajouté que 14 experts du Coran, 9 d'Iran et 5 d'autres pays, forment le panel des juges.

Les trois premières lauréates de ces compétitions seront récompensées à la cérémonie de clôture mercredi, a-t-elle noté.

Selon elle, trois événements, dont une exposition, sont prévus en marge du concours.

L'Eram Hotel de Téhéran accueille la compétition dans la section féminine.

Le 35ème Concours International du Coran de la République Islamique d'Iran a été officiellement lancé lors d'une cérémonie jeudi.

Il comprend cinq sections, dont celles pour les hommes, les élèves et les étudiants du séminaire.

Près de 370 invités étrangers, y compris les prétendants, les experts du Coran et les membres des groupes, sont arrivés en Iran pour l'événement coranique.

Le nombre de pays participant à la compétition cette année est de 84.

Selon des preuves avancées par l'armée russe, le groupe terroriste Jaysh al-Islam produirait des armes chimiques en Syrie.

Le ministre russe de la Défense a déclaré vendredi que les frappes occidentales sur la Syrie n’avaient pas ramené la stabilité dans le pays, selon l’agence de presse Fars News .

« Je tiens à souligner que ces frappes aériennes se sont déroulées à un moment inopportun ; c'est-à-dire deux jours avant que nous ne terminions les opérations dans la Ghouta orientale », a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec l'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura.

Il a souligné que les frappes américaines, britanniques et françaises n'ont pas réussi à stabiliser la Syrie.

Par ailleurs, l'armée russe affirme, preuves à l’appui, que les groupes rebelles armés détenaient une quantité considérable de produits chimiques comme l’hexamine qui entre dans la composition des armes chimiques. « Des analyses d'échantillons prélevés sur les sites de la Ghouta orientale en Syrie montrent qu'ils contiennent des marqueurs chimiques comme l’hexamine », a annoncé un responsable militaire russe.

Cela prouve bien que les terroristes de Jaysh al-Islam produisent des gaz toxiques dans la ville de Douma, rapporte Sputnik.

Pour rappel, le 7 avril dernier, suite à l'avancée de l'armée syrienne dans la ville de Douma dans la Ghouta orientale, l’opposition syrienne a accusé le gouvernement de Damas d’avoir mené une attaque chimique contre la région. Une semaine plus tard, cette allégation sans fondement a ouvert la voie à une attaque en Syrie des États-Unis menées en coordination avec la Grande-Bretagne et la France.

La Syrie et la Russie rejettent catégoriquement les accusations d’attaque chimique à Douma.