
تقي زاده
Ansarallah soutient la Russie, les USA paniquent
Le soutien d’Ansarallah yéménite à l’indépendance de Donetsk et de Louhansk a mis en colère les États-Unis.
Le département du Trésor américain a annoncé, mercredi 23 février, avoir boycotté « un réseau impliqué dans le financement » d’Ansarallah.
Le Trésor américain accuse le réseau de « soutenir le bellicisme des Houthis contre le gouvernement du Yémen ».
Selon le communiqué du Trésor, « trois particuliers et neuf sociétés ont été soumis à des sanctions à ce propos ».
Les bombes intelligentes iraniennes aux portes des USA
Le ministre israélien des Affaires militaires a déclaré que « l’Iran avait livré au Venezuela des drones de type Mohajer-6 ».
À la tribune de la Conférence des organisations des juifs américains, tenue à Qods occupée, le ministre israélien des Affaires militaires, Benny Gantz, a montré l’image d’un drone, disant qu’« il s’agit d’un drone fabriqué par l’Iran qu’utilise le Venezuela ». Benny Gantz a ajouté que « l’Iran fournit les drones Mohajer-6 au Venezuela ».
« Ce n’est pas la première fois que l’Iran exporte ses drones au Venezuela. Il a fait la même chose en 2012 », a-t-il indiqué.
Armée de l'air-marine intégrée de la Résistance est née : US Navy/US Air Force capitulent
Littéralement sous le choc par le méga coup de la nuit de 21 à 22 février du président Poutine où ce dernier a signé d’un coup de plume l’annexion pure et simple de deux provinces ukrainiennes de Lougansk et Donetsk afin d’éviter à la Russie, en pleine composition d’alliance en Asie de l’ouest, à avoir sur les bras une guerre d’attrition sans fin sur son flanc ouest, potentiellement propre à en bouffer la force et à la confondre dans ses ambitions géostratégiques, à la pousser surtout à quitter la Syrie d’abord le Moyen-Orient ensuite, à rompre tout bonnement avec la Résistance, projet à quoi aspire dès le début du scénario ukrainien une Amérique de Biden, le monde occidental n’ fait que très marginalement fait écho à un triple événement, sans doute à tort puisque davantage d’attention aurait pu lui épargner peut-être l’électrochoc ukrainien :
Entre le 21 et 22 février, peu après que le régime israélien dont le MAE vient de trancher en soulignant qu’en cas de guerre US/Russie, « Tel -Aviv restera éternellement ancré dans le camp américain », eut reconnu avoir raté l’interception d’un drone de reconnaissance du Hezbollah en Galilée Nord, et ce, en dépit d’une vaste opération « aérienne hybrides » impliquant tour à tour "Dôme de fer", les F-16 et les Apache de l’armée de l’air sioniste , les États Unis ont fait parler leurs pantins émiratis pour annoncer primo la création d’une coalition anti drone Israël/Emirat/Arabie, secundo la tenue à Abou Dhabi d’une conférence intitulée «Plate-forme sans pilote, leur développement et leur endiguent », tertio, une nouvelle initiative de l’unité Task Force 59 de l’US Navy consistant à lancer une patrouille de cent vedettes rapides –drones sous marins sans pilotes dans le golfe Persique, à l’effet, et là on innove guère, d’assurer la sécurité de navigation.
Qu'est-ce que le drone Hassan a découvert?
L’illusion de la capacité absolue de la défense aérienne israélienne, composée de plusieurs couches, est tombée, ce qui signifie une percée majeure dans la sécurité de l’espace aérien israélien. Après la nette percée du drone Hassan du Hezbollah libanais dans les territoires occupés palestiniens et l’incapacité de l’armée israélienne à l’intercepter, des sources informées de la Résistance libanaise ont expliqué le processus au cours duquel le drone est entré et sorti des territoires occupés.
À 11h40, le drone Hassan du Hezbollah a décollé d’un point du sud du Liban. Malgré tous les moyens d’alerte et de surveillance, le drone n’a pu être détecté par l’ennemi qu’à 12h10 alors qu’il a traversé environ 30 km dans le ciel des territoires occupés pour arriver dans la région de Rosh Pina, près de la ville de Safed », ont rapporté des sources de la Résistance libanaise.
Avant qu’il ne devienne clair pour les Israéliens que l’oiseau attaquant avait les caractéristiques d’un drone, des sonnettes d’alarme ont retenti et des efforts ont été déployés pour l’identifier. Le système de défense israélien Dôme de fer a tiré un missile Tamir sur le drone, mais a raté sa cible. Puis on a fait voler un chasseur F-16 pour terminer la mission, mais à cause de sa vitesse élevée il n’a pas non plus réussi à capturer le drone.
Après l’échec du Dôme de fer et de l’avion de combat dans leur mission, les Israéliens ont envoyé des hélicoptères pour tendre une embuscade au nord du lac de Tibériade, où ils croyaient que ce serait le début du chemin de retour du drone.
L'Iran a fait tourner au fiasco le régime des sanctions US
Le président iranien appelle à la coopération entre les exportateurs de gaz pour lutter contre l’hégémonie américaine et les sanctions imposées par les États-Unis.
Le président iranien Ebrahim Raïssi a appelé à une coopération accrue entre les pays exportateurs de gaz pour écarter les sanctions américaines imposées à certains membres.
Il a fait ces remarques mardi 22 février dans une allocution au sixième sommet du Forum des pays exportateurs de gaz FPEG (GECF selon le sigle anglais) à Doha.
« La communauté internationale doit empêcher et ne pas reconnaître toute mesure unilatérale et coercitive, comme les cruelles sanctions américaines qui visent les industries pétrolières et gazières des États membres du forum », a indiqué Raïssi.
« Dans le monde d’aujourd’hui où les nations se sont éveillées et aspirent à la liberté, le recours aux sanctions pour imposer la volonté et les exigences hégémoniques d’un pays particulier à des États indépendants n’a aucune efficacité ni aucune fonction. Néanmoins, cela met en danger les intérêts économiques des États membres du GECF ».
Est yéménite, prochaine cible d'Ansarallah
Alors que l’avancement de la Résistance yéménite se poursuit sans relâche, y compris la récente contre-attaque des combattants yéménites dans la province de Harad, qui a infligé de lourdes pertes à la coalition saoudienne, cette dernière semble tenter désespérément de lancer un nouveau complot en rassemblant ses partisans dans la province stratégique d’al-Mahra comme en témoigne l’arrivée d’un certain nombre d’officiers et d’experts israéliens de Mossad à l’aéroport d’al-Ghaydah.
La coalition saoudienne a reconnu qu’au moins 16 personnes avaient été blessées à la suite d’une frappe au drone des forces armées yéménites et les Comités contre l’aéroport de King Abdullah à Jizan.
Bien que la coalition saoudienne affirme avoir pris pour cible le drone, l’attaque a causé des dommages humaines ce qui fait état des propos contradictoires de la collation saoudienne.
Malgré le fait que la coalition saoudienne dispose de toutes sortes d’équipements militaires, il s’est avéré qu’elle n’est pas en mesure de résister aux frappes aériennes et terrestres de la Résistance yéménite. Il reste à voir si l’appel de la coalition saoudienne à l’aide d’Israël pour sauver leur tête conduira à un changement dans la situation déclinante des mercenaires saoudiens ou les poussera à la défaite à un rythme plus rapide comme ce que les Israéliens ont vécu a la guerre de Gaza.
Comment Jupiter a tenté de pêcher en eau trouble?
Après que les diplomates iraniens eurent insisté sur les revendications légitimes du pays en rejetant le paquet d’offres déraisonnable des Occidentaux, le président français Emmanuel Macron, dont le pays assume actuellement la présidence par rotation du Conseil de l’Union européenne, a eu en entretien téléphonique avec son homologue iranien Ibrahim Raïssi, manière de demander à la partie iranienne de mettre un bémol dans ses revendications d’ailleurs raisonnables lors des négociations. Le site Web de l’Élysée a écrit que M. Macron a demandé à son homologue iranien d’agir dans le sens d’accélérer le processus des pourparlers à Vienne.
La réponse du président Raïssi à l’étrange demande du « Mauvais flic » des négociations a été négative. C’est avec une fermeté impressionnante qu’Ebrahim Raïssi, au cours de ce long entretien téléphonique, a reproché à l’Occident son approche politique maximaliste au cours des vingt dernières années, mettant en garde contre les complots du régime sioniste, mais aussi contre les conséquences d’un suivisme aveugle aux politiques israéliennes.
Cette réponse a évidemment déplu au M. Macron, à tel point que le ministère français des Affaires étrangères a préféré ne pas publier des informations complémentaires sur les détails de la conversation téléphonique des deux chefs d’État.
Après les agissement US, les Hachd créent des Unités de réserve
Un porte-parole des de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi) dans la province irakienne de Diyala a fait état de la formation de l’unité des forces réserves au sein de ce groupe de la Résistance irakienne pour aider les forces de sécurité irakiennes en cas d’urgence et lors d’attaques terroristes de Daech.
« En raison de l’activité des cellules dormantes de Daech dans la province de Diyala, on fait face à des menaces sécuritaires dans cette province, d’où la nécessité de changer de notre stratégie de confrontation », a-t-il déclaré.
Des milliers de raids pour arriver à ceci : le sud syrien est une base balistique contre Israël (Ynet)
C'est dans l'air du temps : Un convoi logistique militaire américain est entré lundi à Hassaké, dans le nord-est de la Syrie, via le point de passage d'al-Waleed, à la frontière avec l'Irak composé de 23 camions transportant des armes, des équipements et des fournitures diverses à l'effet de renforcer officiellement les FDS mais à vrai dire pour armer les terroristes daechistes que les Yankee ont fait libérer de Gouiran il y a trois semaines et à l'aide de qui ils veulent mettre à l'échec comme en 2011 la Syrie et ec dans le stricte objectif de protéger Israël mais le cœur n'y est pas :
Des sources militaires ont déclaré à SANA que ce nouvel acheminement vise à renforcer les bases américaines dans le nord-est de la Syrie qui servent de couverture au pillage du pétrole syrien : des vols dans lesquels les milices kurdes FDS sont également impliquées. Les États-Unis veulent maintenir leur présence militaire dans le nord-est et est de la Syrie alors que les Syriens la considèrent comme une occupation. Il y a quelques jours, des villageois de la banlieue de Qamishli ont bloqué la route à trois véhicules de l'armée américaine et les ont obligés à battre en retraite à coups de pierres.
Mais les Américains croient-ils réellement possible un retour à la case départ 2011? Il est indéniable que tant que les États-Unis maintiendront leur statut de puissance hégémonique et dominatrice, ils défieront les différents acteurs régionaux en fonction de leurs intérêts et du contexte mondial.
La présence américaine en Syrie est conforme à la stratégie globale de Washington. La confrontation américano-russe en Syrie est purement stratégique et s'inscrit dans la continuité de la crise de Crimée ; une tactique qui n'est pas sans rappeler l'histoire de la guerre froide. Le défi lancé par la Russie à l'ordre international fondé sur un système de règles et son soutien à des pays tels que la Syrie, l'Iran et le Venezuela ont conduit à la multiplication de ce qui est en fait un conflit par procuration entre la Russie et les États-Unis .
Pourquoi Le Caire se rapproche de Téhéran?
Pourquoi le régime égyptien « manœuvre » sur les relations avec l’Iran ? Des sources égyptiennes ont révélé à Al-Araby Al-Jadeed « des évolutions survenues dans la politique iranienne du Caire en cette nouvelle ère qui commence à la lumière de récents contacts inopinés entre les deux parties ».
Ces sources ont indiqué que « les récents changements rapides dans la boussole des relations sur le plan régional ont incité Le Caire à adopter une nouvelle approche concernant ses liens avec Téhéran. « L’Égypte cherche ainsi à garder l’équilibre et préserver son rôle dans la région malgré toutes les pressions auxquelles elle est aux prises », affirment ces sources.
« Dans des conjonctures où les Émirats arabes unis se rapprochent d’une part d’Israël, et de la Turquie, de l’autre, l’Égypte est à la recherche d’un mécanisme qui garantisse son rôle dans la région. Dans le même temps, Le Caire craint qu’un rapprochement Ankara-Tel-Aviv n’aboutisse au renforcement du poids de la Turquie dans les débats politiques autour de la question palestinienne ».