Alors que les populations ont les yeux rivés sur les chiffres de la progression du coronavirus, une profonde réorganisation des exécutifs a lieu accordant le primat aux hauts-fonctionnaires de Santé sur les politiques. Dans l’ombre, des banquiers et des militaires s’agitent espérant confisquer le Pouvoir à leur profit.

تقي زاده
Les GI's à Soccotra? pas sûr qu'ils restent à l'abri des drones et des missiles d'Ansarallah....
La panique est totale à Riyad : mardi, 31 mars, presque simultanément à une campagne aérienne folle menée par les F-15, les Typhoon britanniques et les Rafale français de la coalition USA/OTAN/Riyad contre l'académie militaire de Sanaa, l'ambassadeur saoudien au Yémen, Al Jaber affirmait à Wall Street Journal que son pays "n'avait jamais cherché l'escalade avec Ansarallah" et que "Riyad était même en contact" permanent avec la Résistance yéménite. Cette ridicule annonce a évidemment été aussitôt démentie n'empêche qu'elle cachait mal une terrible crainte :
La spectaculaire opération combinée drone-missile d'Ansarallah contre Riyad, Jizan, Asir et Najran pourrait se reproduire à tout instant, comme l'a dit le général Saree, et ce, sur fond d'un baril de pétrole frôlant les 19 dollars. Si comme en septembre 2019, quand Aramco a été pris pour cible d'une escouade de drones d'Ansarallah, le flux pétrolier saoudien est interrompu, que va-t-il devenir le royaume, empêtré dans une guerre perdue d'avance contre la Russie? Une guerre qui, de surcroît, commence à nuire au pétrole de schiste US?
Le coup d'Etat américain contre l'Arabie s'achève, Washington refuse l'offre de l'alliance pétrolière saoudienne
La "vache à traire" vient d'être décapitée : le 25 mars les Etats-Unis ont nommé la pro-Rumsfeldiste Victoria Coates comme leur envoyé spécial pour l'énergie, l'envoyant à Riyad prendre le contrôle d'Aramco que Ben Salmane, dans son excès de cécité stratégique a privatisé à hauteur de 1.5 pourcent en décembre dernier. L'intéressée a pour mission d'achever le processus de privation du peuple saoudien et partance, du trône, de leur unique source de revenu qu'est le pétrole et de s'emparer totalement d'Aramco.
La guerre pétrolière que Riyad a lancée contre la Russie et qu'il est en train de perdre fera le reste. Les USA viennent en effet de décliner l'offre d'alliance que Riyad a faite à leur adresse, arguant que le sujet ne se pose même pas en ces temps de tension avec la Russie. Il y a deux jours Trump s'est entretenu avec Poutine du pétrole et de la Covid-19 et on parie que la teneur des discussions ne plairait guère à Ben Salmane.
Ciel irakien assailli par des avions US? la surprise de la Résistance ne tarde pas
Depuis mardi, le peu d'Irakiens qui croyaient encore que l'Amérique est là, pour aider leur pays à lutter plus efficacement contre Daech, en ont pour leur grade : au mépris total de l'accord dit de sécurité signé en 2010 avec l'Irak, des F-15 et des F-16 voire des avions de ravitaillement de type KC 135R ne cessent de survoler le ciel irakien à basse altitude menant des simulations d'attaque au dessus des centres urbains! Drones et hélicoptères sont également au rendez-vous pour provoquer un maximum de panique auprès des civils irakiens.
Des commentaires vont évidemment bon train sur cet excès de fièvre de l'US Air force dans le ciel irakien dont l'un qui y voit un rapport de cause à effet avec la date du 1er avril laquelle marque effectivement la fin de l'ultimatum lancé par la Résistance irakienne à l’adresse des forces d'occupation US. En effet, c'est aujourd'hui que les USA sont appelés à débarrasser l'Irak de leur encombrante et nocive présence à défaut de quoi leurs "boys" commenceront à rentrer à la maison dans des cercueils.
la Turquie attaque Saraqib, parallèlement à une frappe israélienne contre Homs. la complicité?
La trêve signée le 5 mars à Moscou, la Turquie l'a enterrée ce mardi 31 mars quand l'armée turque a pris pour cible de son artillerie lourde les positions de l'armée syrienne et de ses alliés à l'est d'Idlib, soit à Saraqib, cette localité stratégique se trouvant au confluent de M4 te M5. La chaîne de télévision syrienne Al-Akhbariya affirme cette information en soulignant que les groupes terroristes ont visé à coup de roquettes la banlieue de la ville libérée de Saraqib depuis la ville de Mastouma où se trouvent les postes d’observation turcs. Depuis son entrée en vigueur, le 6 mars 2020, les groupes terroristes ont violé des dizaines de fois l’accord de cessation des hostilités en attaquant avec des mitrailleuses et des grenades et des roquettes, les positions de l’armée syrienne ainsi que des zones de sécurité dans la banlieue d’Alep, d’Idlib et de Lattaquié.
Les combattants d’Ansarallah ont trompé la batterie de missile Patriot saoudienne
Dans une vidéo diffusée suite de la récente attaque yéménite contre la capitale saoudienne, Riyad, on voit clairement que les Patriot saoudiens n’ont pas pu intercepter les missiles yéménites, ce qui a soulevé de nombreuses questions.
Auparavant, les Yéménites avaient attaqué des cibles dans différentes zones de l’Arabie saoudite à une distance allant jusqu’à 1 200 kilomètres des zones qu’ils contrôlent dont les installations pétrolières de Saudi Aramco à Abqaiq le 14 septembre 2019, à al — Shayba à la frontière avec les Émirats arabes unis.
Les attaques de l’armée yéménite et les combattants d’Ansarallah contre Riyad ont connu ces dernières années des vicissitudes. Cette ville est protégée par divers systèmes de défense antiaérienne, dont des batteries de missile Patriot.
Le système Patriot dont différentes générations sont présentes en Arabie saoudite depuis ces trois dernières décennies, a été développé pour remplacer le système Hawk, en vue d’intercepter les missiles balistiques. La portée de sa première génération est de 70 km, celle de la deuxième génération est de 160 et de la troisième de 40 km contre des cibles aérodynamiques. Cependant, la portée des missiles de défense aérienne tels que Patriot par rapport aux missiles balistiques est inférieure aux chiffres ci-dessus.
Lors des attaques contre Riyad au cours des dernières années, les missiles Burkan-2 et Burkan-2H réussissaient à s’abattre sur leur cible, mais avec l’aide d’experts extérieurs, les Patriot ont réussi à intercepter les missiles yéménites dans le ciel de Riyad. Après cela, les attaques de missiles par cette génération de missiles contre cette ville ont été stoppées.
Le 23 février, Ansarallah a dévoilé quatre systèmes de DCA, Saqeb-1, Saqeb-2, Saqeb-3 et Fater-1 qui sont une version améliorée de SAM 6. Mais ce n’est pas uniquement dans le ciel de Sanaa que l’Arabie a subi une nouvelle déculottée.
Coronavirus : «La présidence de Trump est terminée»
« Cela a pris beaucoup plus de temps qu’il n’aurait dû, mais les Américains ont maintenant vu l’homme escroc derrière le rideau », indique Peter Wehner.
Peter Wehner, analyste chez le quotidien américain The Atlantic, a écrit, dans un article, publié le 13 mars sur l’édition électronique de cette publication, que Donald Trump était fondamentalement inapte - intellectuellement, moralement, à tempérament et psychologiquement - à exercer ses fonctions.
« Pour moi, c’est la considération primordiale dans l’élection d’un président, en partie parce qu’à un moment donné, il est raisonnable de s’attendre à ce qu’un président soit confronté à une crise inattendue - et à ce moment-là, le jugement et le discernement du président, son caractère et sa capacité de leadership, comptent beaucoup ».
L’auteur ajoute : « Quant à M. Trump, la combinaison virulente d’ignorance, d’instabilité émotionnelle, de démagogie, de solipsisme et de vengeance ferait plus que conduire à un échec de la présidence ; cela pourrait très bien conduire à une catastrophe nationale. La perspective de Donald Trump comme commandant en chef devrait faire froid dans le dos à tous les Américains ».
Peter Wehner continue : « Cela a pris jusqu’à la seconde moitié du premier mandat de Trump, mais la crise est arrivée sous la forme de la pandémie de coronavirus, et il est difficile d’évoquer un président qui a été aussi submergé par une crise que le coronavirus a submergé Donald Trump. Cela dit, le président et son administration sont responsables d’erreurs graves qui nous ont coûté cher, en particulier les échecs de fabrication épiques quant aux tests de diagnostic, la décision de tester trop peu de personnes, le retard dans l’extension des tests aux laboratoires en dehors des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, et les problèmes dans la chaîne d’approvisionnement.
Des putschistes à l’ombre du coronavirus
- Le 1er février, le secrétaire US à la Défense, Mark Esper, a donné instruction au général Terrence J. O’Shaughnessy de se tenir prêt. Le 13 février, celui-ci a déclaré devant la Commission sénatoriale des Forces armées se préparer au pire scénario. En cas de catastrophe sanitaire, le plan de « continuité du gouvernement » ferait de lui le prochain dictateur (au sens antique du terme) des États-Unis.
Le primat de la logique administrative sur celle de la politique
De nombreux gouvernements de pays industrialisés ont décidé de répondre à l’épidémie de Covid-19 en confinant leur population. Cette stratégie ne ressort pas de la médecine qui n’a jamais pratiqué d’isolation des biens portants, mais d’une bonne gestion des moyens médicaux visant à prévenir une arrivée massive de malades pour ne pas engorger les hôpitaux [1]. Rares sont les pays industrialisés, comme la Suède, qui ont rejeté cette approche administrative de l’épidémie. Ils ont opté pour une approche médicale et ne pratiquent donc pas de confinement généralisé.
Le premier enseignement de la période actuelle est donc que dans les pays développés, la logique administrative est désormais supérieure à l’expérience médicale.
Pourtant, même sans compétence médicale, je ne doute pas que des millénaires d’expérience médicale peuvent être plus efficaces contre une maladie que des recettes bureaucratiques. Au demeurant, si nous poursuivons l’observation du phénomène en cours, nous constatons que pour le moment la Suède enregistre 10 morts par million d’habitants, tandis que l’Italie en pleure 166 par million. Bien sûr, ce n’est que le début de l’épidémie et ces deux pays sont très différents. Cependant, l’Italie devra probablement faire face à une deuxième, puis une troisième vague de contamination, tandis que la Suède aura acquis une immunité de groupe et en sera protégée.
Le primat des hauts-fonctionnaires de Santé sur les élus du Peuple
Ceci étant posé, le confinement généralisé des biens portants perturbe non seulement l’économie, mais aussi les modes de gouvernement. Un peu partout, nous voyons la parole des politiques s’effacer devant celle des hauts-fonctionnaires de Santé, censés être plus efficaces qu’eux. C’est logique puisque la décision du confinement est purement administrative. Nous avons collectivement accepté de nous battre pour nos hôpitaux et de nous prévenir de la maladie, pas de la combattre.
Chacun peut malheureusement constater que contrairement aux apparences, nous n’avons pas gagné en efficacité. Par exemple, les États membres de l’Union européenne n’ont pas été capables de fournir les équipements médicaux et médicaments nécessaires en temps voulu. La faute aux règles habituelles. Par exemple : la globalisation économique a abouti à ce qu’il n’y ait plus qu’un seul fabricant de respirateurs artificiels sur le marché international et qu’il soit chinois. Les procédures d’appel d’offre imposent plusieurs mois avant de pouvoir en disposer et les politiques ne sont plus là pour passer outre ces procédures. Seuls les États-Unis ont été capables de résoudre immédiatement ce problème grâce à des réquisitions d’entreprises.
La France qui a connu durant la Seconde Guerre mondiale avec Philippe Pétain une dictature administrative dite « État français », a déjà vécu depuis trois décennies une prise du pouvoir politique par de hauts-fonctionnaires. On a alors parlé d’ENArchie. Identiquement et sans quelle en ait conscience, elle a privé les politiques de la connaissance de l’administration que leur conférait le cumul de mandats locaux et nationaux. Désormais, les élus sont moins bien informés que les hauts-fonctionnaires et ont toutes les peines du monde à les contrôler.
De même que les hauts-fonctionnaires de Santé se trouvent soudain investis d’une autorité qui ne leur revient normalement pas, de même des banquiers et des militaires aspirent à la même promotion au détriment des politiques.
Les banquiers tapis dans l’ombre
L’ancien chancelier de l’échiquier (ministre des Finances), puis Premier ministre britannique, Gordon Brown, a ainsi publié une tribune libre dans le Financial Times [2]. Il y plaide pour utiliser la peur du Covid-19 afin de réaliser ce qui a échoué lors de la crise financière de 2008. À l’époque, il n’était pas parvenu à créer un gouvernement financier mondial et avait dû se contenter d’une simple concertation avec le G20. Il serait possible aujourd’hui, poursuit-il, de créer un gouvernement de Santé mondial. Et d’envisager quelles puissances devraient être associées aux membres permanents du Conseil de sécurité.
Rien ne permet de penser que ce gouvernement mondial réussirait mieux que des gouvernements nationaux. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il échapperait à toute forme de contrôle démocratique.
Ce projet n’a pas plus de chance d’aboutir que celui du gouvernement financier mondial. Gordon Brown était aussi un farouche partisan du maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Là encore, il a perdu.
L’État profond US tapi dans l’ombre
Historiquement, dans toutes les crises, on tente d’utiliser l’argument de l’« urgence » pour modifier le Pouvoir sans que le public ait le temps de réfléchir, et souvent on y parvient.
Le 30 janvier 2020, l’OMS déclare l’« état d’urgence de santé publique de portée internationale ». Le lendemain, le secrétaire à la Défense, Mark Esper, signe secrètement un Warning Order (Mise en alerte) stipulant que le NorthCom devait se tenir prêt à une éventuelle application des nouvelles règles de « continuité du gouvernement ».
Celles-ci sont classées Above-Top Secret ; c’est-à-dire que leur communication est réservée aux personnes ayant le niveau d’habilitation le plus élevé et disposant en outre d’un accès nominatif spécial (Special Access Program).
Rappelons que le principe de « continuité du gouvernement » a été forgé au début de la Guerre froide [3]. Il s’agissait de protéger les États-Unis en cas de guerre nucléaire contre l’Union soviétique et de décès ou d’empêchement du président, du vice-président et du président de la Chambre des représentants. Selon une directive écrite du président Dwight Eisenhower, un gouvernement militaire de remplacement devait immédiatement assurer la continuité du commandement durant la guerre jusqu’au rétablissement des procédures démocratiques [4].
Ce gouvernement de remplacement n’a jamais été requis, sauf le 11 Septembre 2001, par le coordinateur national de la lutte antiterroriste, Richard Clarke [5]. Or, si le pays vivait une terrible attaque, ni le président, ni le vice-président, ni le président de la Chambre des représentants n’étaient morts ou empêchés, ce qui m’a fait conclure qu’il s’agissait d’un coup d’État. Quoi qu’il en soit, le président George Bush Jr. a retrouvé ses prérogatives le même jour dans la soirée et aucune explication n’a jamais été donnée de ce qui s’était passé durant la dizaine d’heures de suspension de son autorité [6].
Selon le meilleur spécialiste du Pentagone, William Arkin, dans Newsweek [7], il existerait désormais sept plans distincts : Rescue & Evacuation of the Occupants of the Executive Mansion (RESEM) visant à protéger le président, le vice-président et leurs familles.
Joint Emergency Evacuation Plan (JEEP) visant à protéger le secrétaire à la Défense et les principaux chefs militaires.
Atlas Plan visant à protéger les membres du Congrès et de la Cour suprême.
Octagon, sur lequel on ne sait rien.
Freejack, également inconnu.
Zodiac, toujours inconnu.
Granite Shadow prévoyant le déploiement d’unités spéciales à Washington et stipulant les conditions d’emploi de la force et de passage de lieux sous autorité militaire [8].
Notez bien que le RESEM vise à protéger le président et le vice-président, mais ne peut être appliqué qu’une fois ceux-ci morts ou empêchés.
Quoi qu’il en soit, la mise en œuvre de ces sept plans reviendrait au Commandement militaire des États-Unis pour l’Amérique du Nord (NorthCom) sous la responsabilité d’un illustre inconnu, le général Terrence J. O’Shaughnessy.
Il faut bien se souvenir qu’en droit US, cet homme ne doit devenir le dictateur des États-Unis qu’en cas de décès ou d’empêchement des trois principaux élus de l’État fédéral, mais que dans la pratique, il est arrivé que son prédécesseur, le général Ralph Eberhart, l’exerce sans que cette condition soit remplie. Ce dernier dirige aujourd’hui, à 73 ans, les principales sociétés d’avionique militaire US.
Le général O’Shaughnessy a affirmé le 13 février devant la Commission sénatoriale des Forces armées que le NorthCom se préparait au pire. Pour cela, il se tient quotidiennement en liaison avec les dix autres commandements centraux des États-Unis pour le monde [9].
Le NorthCom a autorité non seulement sur les États-Unis, mais aussi sur le Canada, le Mexique et les Bahamas. En vertu d’accords internationaux, il peut, de sa propre initiative, déployer des troupes US dans ces trois pays.
En 2016, le président Barack Obama a signé la très secrète Directive politique présidentielle numéro 40 (Presidential Policy Directive 40) sur la « Politique de continuité nationale » (National Continuity Policy). L’administrateur de l’Agence chargée des situations d’urgence (FEMA), Craig Fugate, a signé deux jours avant l’entrée en fonction du président Donald Trump, la Directive de continuité fédérale numéro 1 (Federal Continuity Directive 1) qui en précise certaines modalités à des échelons inférieurs.
Ils ont pensé à tout, et se tiennent prêts pour le pire. L’épidémie leur fournit le motif pour passer à l’acte. Du coup, les questions posées par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, Zhao Lijian, sur une possible dissémination du virus depuis les États-Unis prennent tout leur sens [10].
[1] « Covid-19 : propagande et manipulation », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 mars 2020.
[2] “End the dog-eat-dog mentality to tackle the crisis”, Gordon Brown, Financial Times (UK), Voltaire Network, March 26, 2020.
[3] L’État profond américain, Peter Dale Scott, Demi-lune (2015).
[4] Continuity of Government : Current Federal Arrangements and the Future, Harold C. Relyea, Congresionnal Research Service, August 5, 2005.
[5] Against All Enemies : Inside America’s War on Terror, Richard Clarke, Free Press (2004).
[6] A Pretext for War : 9/11, Iraq, and the Abuse of America’s Intelligence Agencies, James Bamfort, Anchor Books (2005).
[7] “Exclusive : Inside The Military’s Top Secret Plans If Coronavirus Cripples the Government”, William M. Arkin, Newsweek, March 18, 2020.
[8] “Top Secret Pentagon Operation “Granite Shadow” revealed. Today in DC : Commandos in the Streets ?”, William Arkin, Washington Post, September 25, 2005.
[9] Hearing to receive testimony on United States Northern Command and United States Strategic Command in review of the Defense Authorization Request for fiscal year 2021 and the future years Defense Program, Senate Committe on Armed Service, February 13, 2020.
[10] « Propagande autour de l’origine du Covid-19 », Réseau Voltaire, 25 mars 2020.
Le ministre saoudien du hadj: les pays islamiques doivent suspendre les préparatifs au pèlerinage
Des centaines d’officiers US débarquent à Aïn al-Asad
Des avions ayant à bord des soldats et des conseillers militaires américains se sont atterris sur la base aérienne d’Aïn al-Asad, en Irak.
Selon une source sécuritaire irakienne, des avions ayant à bord des soldats et des conseillers militaires américains se sont atterris, dimanche 29 mars, sur la base aérienne d’Aïn al-Asad, située à Hit, appartenant à la province d’al-Anbar, sous les stricts dispositifs de sécurité.
La même source ajoute que lesdits avions étaient également chargés des équipements militaires qui pourraient être transférés à Aïn al-Asad depuis les bases récemment évacuées par les militaires américains.
La source irakienne a confirmé le vol de plusieurs avions de combat américains au-dessus de la base aérienne d’Aïn al-Asad.
Le cadeau empoisonné US à son pire ennemi ?
Un chercheur américain décrit le coronavirus comme une « arme biologique » et appelle l’Iran à être « très prudent » quant à toute offre d’aide des États-Unis pour contrôler l’épidémie de Covid-19 dont l’origine reste un mystère pour les scientifiques.
Dans une interview exclusive à l’agence de presse iranienne Tasnim, l’écrivain et chercheur américain, Michael Jones, a déclaré que la pandémie de coronavirus était provoquée par un « réseau mondial de contrebande d’armes biologiques », impliquant selon lui, Winnipeg au Canada, l’Université Harvard aux États-Unis et Wuhan en Chine.
« Les États-Unis avaient délocalisé en partie leur programme de développement des armes biologiques en Chine, mais les Chinois payaient des professeurs d’université américains comme Charles Lieber à l’Université Harvard pour faciliter la contrebande de ces matières dangereuses, qui se sont retrouvées finalement à Wuhan », a déclaré Michael Jones à l’agence Tasnim.