
تقي زاده
Le dernier acte du fiasco yéménite
De Riyad les signaux qui arrivent vont dans le même sens : le royaume s’apprête douloureusement à se rendre à l’évidence, le Yémen l’a mis au pas. Le ministre adjoint saoudien de la Défense, Khaled ben Salmane, s’est rendu en quasi catimini à Mascate, capitale omanaise où il aurait rencontré une délégation d’Ansarallah.
C’est le fils du roi saoudien, Khaled ben Salmane ben Abdelaziz, et il est arrivé inopinément lundi 11 novembre à Mascate pour s’entretenir avec le sultan Qabous ben Saïd al-Saïd. On ne dispose que de peu d’informations sur le voyage du prince saoudien à Oman. Le ministère saoudien de la Défense s’est contenté d’annoncer dans un rapport que Khaled ben Salmane devait rencontrer plusieurs responsables omanais pour discuter des relations bilatérales, de la stabilité et de la sécurité de la région.
Des sources non officielles ont entre temps établi un lien entre la visite du ministre saoudien de la Défense à Mascate et la tentative de Riyad de conclure un accord avec Ansarallah..
Pression maximale: "l’Iran se porte bien" (Foreign Affairs)
« L’Iran se porte bien », lit-on à la tête d’un article signé Henry Rome dans l’édition du 5 novembre de la revue américaine Foreign Affairs qui dresse un tableau des effets de la campagne de pression maximale lancée par l’administration Trump contre l’Iran.
Il y a un an cette semaine, l’administration du président américain Donald Trump a lancé ce qu’elle a appelé une campagne de pression maximale contre l’Iran. Les États-Unis s’étaient retirés de l’accord sur le nucléaire iranien en mai 2018. En novembre, ils ont de nouveau imposé une série de sanctions économiques réduisant les exportations de pétrole iranien et restreignant l’accès du pays au système financier international. Certains analystes ont prédit que les amis de l’Iran en Europe et en Asie défieraient les États-Unis en lui apportant une aide économique. D’autres ont estimé que les sanctions affaibliraient son économie et plongeraient l’Iran dans une « spirale de la mort », laissant à Téhéran le choix de se rendre ou de s’effondrer. Aucune de ces prédictions ne s’est réalisée.
Contre toute attente, l’Iran entre maintenant dans sa deuxième année sous « une pression maximale », confiant dans sa stabilité économique et sa position régionale. Le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei, et d’autres responsables du pays vont donc probablement continuer dans la même lignée : celle qui consiste à « torturer » le marché pétrolier tout en renforçant son économie non pétrolière. Par ailleurs, Téhéran continuera d’étendre son programme nucléaire sans refuser toutefois de s’entretenir avec Washington.
Même après le retrait des États-Unis de l’accord sur le nucléaire (PGAC), l’Iran s’attendait à ce que les autres parties signataires de cet accord l’aident à renforcer son économie. Après tout, elles s’étaient engagées à soutenir les exportations de pétrole iranien. Mais en raison de la pression et des menaces de Washington, ce soutien ne s’est jamais matérialisé. L’Europe a effectivement aidé à concevoir un mécanisme financier (INSTEX) qui contournerait les sanctions américaines, mais ce mécanisme ne traite que du commerce humanitaire.
L’une des raisons pour lesquelles l’économie iranienne a survécu sous la pression des sanctions est sa diversification. En 2017, le pétrole brut ne représentait que 43 % des exportations iraniennes. Par conséquent, les secteurs des services industriels, agricoles et non pétroliers ont été en mesure de réduire l’impact de la baisse des revenus pétroliers. En outre, la plupart des possibilités d’emploi en Iran se situent dans les secteurs non pétroliers qui ont montré une résistance accrue aux sanctions américaines.
L’un des objectifs de la campagne de pression maximale des États-Unis était d’augmenter le coût des activités régionales de l’Iran. Pourtant, le pays semble entrer dans une deuxième année sous la pression avec une position régionale plus forte.
Le mois dernier, l’administration Trump a abandonné ses alliés en Syrie et a créé un vide que l’Iran a été en mesure de combler.
Insistant sur le fait qu’il ne délaisserait jamais ses alliés dans la région, Trump n’a montré aucune volonté de mener une action militaire contre les provocations de l’Iran. Pour l’Iran, l’Arabie saoudite, Israël et les Émirats arabes unis, le message est clair : les États-Unis pourraient renforcer leur défense dans la région, mais n’entreprendront jamais une guerre.
Israël menace d'assassiner le chef du Jihad islamique
« Le chef du Jihad islamique de la Palestine sera assassiné si ce mouvement continue de tirer des missiles depuis Gaza », a menacé Tel-Aviv.
Nicolaï Miladinov, émissaire des Nations unies pour le Moyen-Orient, a transmis le message d’Israël à l’Égypte qui assume la médiation entre Tel-Aviv et les groupes palestiniens : « Israël assassinera Ziyad al-Nakhalah, secrétaire général du Jihad islamique, si ce dernier continue de tirer des missiles depuis la Bande de Gaza ».
Nicolaï Miladinov a ajouté que tous les efforts destinés à mettre fin au conflit et à rétablir le cessez-le-feu avaient jusqu’ici échoué.
Selon le quotidien saoudien Dar Haya, « Tel-Aviv a proposé un cessez-le-feu ».
Le journal a ajouté : « On dit que Ziyad al-Nakhalah est en Syrie. Israël menace qu’en cas de la poursuite du tir de missiles depuis la Bande de Gaza, Ziyad al-Nakhalah fera partie des cibles d’assassinat. Tel-Aviv ajoute toutefois que si le tir de missiles vers les colonies voisines de la Bande de Gaza s’arrête, Israël respectera toutes les conditions du cessez-le-feu. »
Dans ce droit fil, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé le Jihad islamique de poursuite d’attaques contre ses positions.
Mercredi 13 novembre, Netanyahu a déclaré, au début de la session hebdomadaire du cabinet israélien, qu’Israël continuerait ses attaques, après l’assassinat du haut commandant du Jihad islamique à Gaza.
« Il [Baha Abu al-Ata, NDLR] était derrière la plupart des attaques terroristes en 2018 et il en préparait une autre série pour les jours à venir », a prétendu Netanyahu.
Le Premier ministre israélien a ensuite remercié les services impliqués dans l’assassinat du commandant palestinien, ajoutant que « d’importantes positions du Jihad islamique et de groupes palestiniens qui procédaient aux tirs de missiles vers Israël ont été frappées ».
Impuissant face à l’essaim de missiles palestiniens visant les territoires occupés, Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il ne cherchait pas à avoir plus de tension avec Gaza. « Nous réagirons toutefois sévèrement à toute attaque », a-t-il dit.
L’unité des pays islamiques se fera en suivant des leaders sages et courageux
Les jours bénis de la naissance du Prophète (que la paix soit sur lui) dans les récits sunnites et chiites, sont le 12 et le 17 Rabi-al-Awal, et entre ces deux dates a été fixée la semaine de l'unité. La clé de l'unité est que les érudits et les élites chiites et sunnites avancent dans la voie de l'unité et ne permettent pas que certains nuisent à l'islam.
Mamousta Molla Qader Qaderi, membre du conseil de planification de l'École sunnite des sciences religieuses et imam de la prière du vendredi de Paveh, est un fervent partisan du rapprochement des écoles islamiques.
A l'occasion de la semaine de l'unité, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, il a déclaré : « Je viens de la ville de Paveh dans la province de Kermânchâh, et je suis l'imam de la prière du vendredi de cette ville depuis près de 40 ans. Je suis aussi juge à Paveh depuis 24 ans, et j'ai un cours d'interprétation coranique dans la mosquée Qoba de Pave. Bien sûr, il existe différentes ethnies en Iran, mais nous n’avons pas eu de fracture entre chiites et sunnites, si cela a été le cas, elles ont été vite résolues.
Pendant des années, des pays comme l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie ou la Libye dont la plupart sont musulmans, se sont opposés, mais nous avons pu nous appuyer sur des points communs et sur une telle vie fraternelle à l'ombre d'une Qibla. Le jour où le message du fondateur de la République islamique a été transmis à à la population, tout le monde a reconnu que ce message était favorable pour la religion.
Les gens ont donc prêté attention à ce message et ont continué à l’aider. Dans les prières du vendredi sur les révolutions appelées « révolution ou printemps arabe », j'ai souligné à plusieurs reprises que les révolutions n’exigent pas seulement la présence et la force des individus mais également un dirigeant courageux et sage. Le peuple opprimé d'Égypte a beaucoup souffert, mais à la fin, il n'a pas réussi et quelqu'un comme al-Sissi a pris la direction de la société égyptienne.
En fait, les dirigeants musulmans d’Égypte n’ont pas pu unir le peuple et exercer une direction éclairée, alors que dans un pays comme l’Égypte, il n’y a pas de problèmes entre chiites et sunnites. Par conséquent, l'échec des musulmans est dû à l'absence de dirigeant courageux et sage. Bien sûr, la République islamique dans la réalisation de cette unité, a un leadership avec ces caractéristiques. Un autre point est qu’il semble impossible pour tous les musulmans de se rassembler et de lutter contre l’arrogance à ce stade, car chacune de ces puissances régionales dépend d’une puissance occidentale qui leur enlève leur prestige, leurs richesses et leur pétrole.
Tant que ces pays seront contrôlés par des gouvernements occidentaux, ils ne réussiront jamais à réaliser l'unité à laquelle le Coran a prêté attention. Je crois que la menace aujourd'hui est plus dangereuse que la menace de 1980 quand Saddam a envahi l'Iran. Aujourd'hui, la guerre économique, politique et culturelle que les Occidentaux mènent contre nous, nous menace encore plus.
Dans la guerre de Saddam contre l’Iran, nous avons tous abandonné nos ethnies et défendu ensemble notre pays mais à présent ces guerres culturelles menacent cette unité. Les religieux sunnites doivent prier pour les religieux chiites et vice versa. Si nous émettons des fatwas les uns contre les autres comme en Afghanistan, et appelons à des explosions et à des meurtres, nous n'aurons pas cette sécurité. Le Prophète (bénédiction et salut de Dieu sur lui) a déclaré dans dernier pèlerinage, qu’après moi, il ne devra y avoir aucune division ni que certains d'entre vous puissent offenser les autres. Notre chemin vers la victoire dans le monde et dans l'au-delà, consiste donc à revenir aux enseignements du Coran.»
La cérémonie du dévoilement des œuvres distingués dans le domaine du rapprochement islamique
12 livres préparés par le centre de la recherche du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques à l’aide des organisations culturelles et l’institut culturel Darolhadis ont été dévoilés par le président iranien Hassan Rohani et le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques l’ayatollah Mohsen Araki.
Ces œuvres couvrent de différentes questions liées au monde musulmans. On peut trouver des questions historiques et récentes parmi les sujets abordés dans ces livres.
La Palestine ne sera pas sortie des questions principales du monde mususlman
Le complot le plus importante est formulé contre les musulmans dans ces dernières années est la création d’une mentalité qui met en doute l’animosité des grandes puissances mondiales envers le monde musulman, a suivi le président iranien.
Dans le monde occidental et les Etats-Unis en tête, les ennemis de l’islam essaient de faire oublier les crimes commis contre les musulmans. Des millions de palestiniens sont dispersés dans le monde. Les ennemis de l’islam veulent marginaliser la question des déplacés palestiniens. Ils voulaient que les musulmans et les Palestiniens faisaient confiance au régime sioniste. Mais cela n’est pas réalisé, a-t-il insisté.
Les Etats-Unis ne sont pas amis de la région et du monde musulman. La résolution des questions de la région doit être réalisés par les peuples de la région. Ils apportent du sang et de l’injustice pour notre région. La Palestine doit être libéré par le peuple palestinien, a-t-il marqué.
Prendre les Etats-Unis comme des amis est une erreur stratégique. Il est regrettable que certaines responsables des pays islamiques ont tendu la main d’amitié vers le régime sioniste, a-t-il ajouté.
La Révolution islamique e empêché le Deal du siècle
Indiquant les propos du Guide suprême qui disait la Palestine est le cœur du monde musulman, il a insisté : aujourd’hui, le peuple palestinien est la cible des attaques et des de différents complots des ennemis, mais grâce à la Résistance, ils restent début face aux ces crimes.
La victoire est réservée aux Palestiniens parce que notre peuple est familier de la martyre et de la Résistance, a-t-il suivi.
Le régime israélien cherche à détruire l’identité d’Al-Qods. Nous pouvons résister face aux ennemis avec notre coordination et notre unité à condition que notre peuple soit soutenu, a-t-il marqué.
Nous sommes témoignes d’une progression de la Résistance en Palestine, a poursuivi le représentant du Hamas dans la cérémonie d’ouverture de la 33ème conférence de l’Unité islamique.
Indiquant la tenue des élections en Palestine, Rashagh a dit : tous les Palestiniens cherchent à réanimer leurs droits légaux.
Le Deal du siècle est un complot israélo-américain. Malheureusement, certains régimes arables y sont mêlés. Avec le Deal du siècle, ils cherchent à voler les ressources palestiniennes, a-t-il alarmé.
Les ennemis veulent réaliser le Deal du siècle à l’aide des certains régimes arabes, mais le soutien complet de la République islamique a empêché sa réalisation.
La prière de l’unité des participants à la 33ème conférence de l’Unité islamique
La majorité des participants à la 33ème conférence de l’Unité islamique ont participé à la prière. Cheikh Naeem Ghassem et de grandes personnalités islamiques ont également participé à la cérémonie.
Lors cette prière très vive, les chiites et les sunnites étaient côte à côte dans les rangs de la prière collective.
Économie: l'antidote de Nasrallah contre les USA
Le discours du lundi 11 novembre de Nasrallah a eu un volet économique. Le secrétaire général du mouvement de résistance libanais a redit que les concertations en vue de former le nouveau gouvernement, surtout après la démission de Saad Hariri, ne doivent pas être suspendues.
Le discours du lundi 11 novembre de Nasrallah a eu un volet économique. Le secrétaire général du mouvement de résistance libanais a redit que les concertations en vue de former le nouveau gouvernement, surtout après la démission de Saad Hariri, ne doivent pas être suspendues.
Et il estime que les conditions sont réunies à l’heure actuelle et malgré la crise, pour prendre des décisions efficaces et mettre en œuvre des mesures économiques innovantes, en ouvrant les portes du Liban aux différents pays comme l’Irak, la Syrie, la Chine et la Russie, rapporte l’agence de presse Tasnim.
Le secrétaire général du Hezbollah a dénoncé « la politique américaine consistant à empêcher les entreprises chinoises d’investir au Liban » :
« Voyons ensemble les obstacles posés par les États-Unis : les compagnies chinoises sont prêtes à venir au Liban pour y lancer des investissements. Mais les Américains empêchent l’avènement des compagnies chinoises au pays. (…) Aujourd’hui, l’une des raisons de la colère US envers le Premier ministre irakien Adel Abdel Mahdi est la visite de ce dernier en Chine pour conclure des accords économiques. Nous pouvons sauver notre pays si nous ouvrons nos portes aux Chinois. Ils sont en Syrie et ils vont reconstruire le pays. Le gouvernement syrien a ouvert ses portes. Pourquoi le Liban va-t-il se soumettre aux diktats US ? »
Et l’un des autres pays qui selon Nasrallah pourra aider à la croissance économique du Liban, c’est l’Iran :
« Les compagnies iraniennes publiques et privées sont prêtes à venir au Liban pour lancer des investissements et créer des emplois pour les Libanais. »
La politique américaine empêche la roue de l’économie de tourner, selon le secrétaire général du Hezbollah qui ailleurs dans son discours a évoqué un autre exemple d’ingérence américaine dans la vie économique du Liban :
« Pourquoi les compagnies libanaises ne doivent-elles pas participer au processus de reconstruction en Syrie ? En raison des menaces US de sanctions ! Je connais des compagnies arabes qui sont allées en Syrie pour décrocher des contrats dans le cadre du processus de la reconstruction. Mais une fois qu’elles étaient de retour dans leurs pays, les Américains ont contacté les dirigeants desdits pays et les ont menacés de sanctions. »
Dans l’optique de Nasrallah, les campagnes selon lesquelles le Liban n’est pas un pays sûr sont ainsi un « mensonge US pour entraver le secteur économique ». « Je vous le jure que le Liban est plus sûr que n’importe quel État américain ».
Le secrétaire général du Hezbollah a ensuite fait allusion à la politique des sanctions US contre les banques :
« Les responsables US viennent intimider les banques libanaises tous les jours dans le but de faire pression sur le Hezbollah. Je l’ai dit dès le premier jour : notre argent n’est pas déposé dans les banques libanaises. Les sanctions US sur les banques font partie des sanctions contre le pays. Ceci vise à provoquer une guerre civile. Les restrictions sur le transfert des fonds depuis l’étranger à l’intérieur du Liban font également partie des sanctions US. »
Et pour faire face à tous ces problèmes, le chef du mouvement de résistance libanais a proposé un antidote :
« Le gouvernement doit redonner un souffle nouveau aux secteurs agricole et industriel. Nous sommes devant une opportunité historique : l’Irak, ce pays riche en ressources naturelles, constitue un marché très important pour le transfert des produits libanais. Ceci nécessite un seul pas : le gouvernement libanais doit s’entendre avec le gouvernement irakien pour redynamiser les circulations commerciales à travers le passage d’Aboukamal vers l’Irak. »
« Les Américains n’ont épargné aucun moyen pour entraver l’ouverture des passages, sous prétexte d’entraver l’acheminement des missiles. Je vous le jure, nous avons un surplus de missiles et nous n’avons plus de place pour les ranger. »
« Ouvrir la route vers l’Irak fera revivre l’artère de vie de notre pays. Pour sauver le pays, nous devons remettre en marche la roue de l’économie. Je vous le confirme : les USA empêchent le gouvernement actuel d’activer l’économie du pays et c’était également leur approche envers le précédent gouvernement libanais. Nous avons besoin d’un gouvernement souverain qui ose dire “non” aux Américains ».
Et en ce qui concerne le pétrole, ce sont toujours et encore les Américains qui empêchent l’exploitation de ces ressources, selon le secrétaire général du Hezbollah.
Seyyed Hassan Nasrallah a aussi dénoncé les allégations sans fondement du secrétaire d’État américain, Mike Pompeo qui a prétendu que les États-Unis allaient « sauver le Liban de la domination iranienne ». Et puisqu’ils pensent que l’influence iranienne « réside dans la Résistance, les Américains veulent éradiquer la Résistance qui protège le Liban, qui le défend contre toute agression. », a-t-il souligné.
Et pour finir, le secrétaire général du Hezbollah libanais a affirmé :
« Le gouvernement libanais doit sauver le pays, empêcher toute corruption et commencer des réformes sérieuses. Les composantes de la Résistance quant à elles doivent rester plus vigilantes et clairvoyantes que jamais. Nous serons prêts à tout sacrifice pour hisser haut nos bannières ».
CHARITÉ ( SADAQA)
Allah dit dans le saint Coran: «Prélève sur leurs biens une Sadaqa par laquelle tu les purifies et les bénis. Et prie pour eux, ta prière est une quiétude pour eux. Et Allah est Audient et Omniscient.» ? Saint Coran, (9:103)
Le Messager d'Allah (pslf) a dit: Faites la charité et guérissez vos malades par la charité car en vérité, la charité repousse les accidents et les maladies, et elle augmente vos vies et vos bonnes actions.
? Kanz al-'Ummal, no. 16113
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Toute bonne action est considérée comme de la charité
Et aussi Il a dit: «En vérité, tout musulman doit faire chaque jour un acte de charité.» On lui demanda: «Qui à la capacité de faire cela ?» Il répondit: «Enlever un obstacle d'un chemin est un acte de charité, guider une personne vers son chemin est un acte de charité, rendre visite au malade est un acte de charité, commander le convenable est un acte de charité, interdire le blâmable est un acte de charité, et répondre aux salutations de paix est un acte de charité.»
? Bihâr al-Anwâr, vol. 78, p. 206, no. 54