تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 31 octobre 2019 10:08

L’IMAM ar-REZA (psl) ET MA’MOUN

Ma'moun a voulut pieger l'imam Ridah (psl) en lui proposant d'être à ses côtés.
Mais l'Imam va déjouer tous les plans de Ma'moun et réussir à faire rayonner le véritable Islam pour toujours.
A la mort funeste de Haroun Rachid, Ma’moun s’auto-proclame calife après avoir tué Al Amine (fils de Haroun).
Ma’moun savait que son pouvoir était fragile et susceptible de contestation populaire. Et il craignait la notoriété, la popularité, le charisme et l’influence de l’Imam Ridah (as) sur la population.
Le nouveau calife, afin de renforcer son pouvoir, planifia donc une stratégie pour tenter de piéger l’Imam Ridah (as).

1. LA PRETENDUE MAIN TENDUE:
Ma’moun voulut tromper la population en leur faisant croire qu’il s’est réconcilié avec l’Imam Ridah (as) en lui imposant de quitter Médine et de venir vivre avec lui à Marw.
En réalité il avait contraint l’Imam (psl) de venir vivre dans son palais dans le seul but d’affaiblir ce dernier en l’éloignant de ses fidèles partisans d’une part, et de faire croire aux gens que l’Imam (psl) a soutenu son pouvoir, ce qui légitimerait son califat.

2. L’IMAM REFUSE LA RUSE DE MA’MOUN:
A l’arrivée de l’Imam Ridah (as) à Marw, Ma’moun se dit prêt à démissionner du califat et de laisser sa place l’Imam (as). L’imam voit que le calife voulait le salir et prouver qu’il était un homme avide de pouvoir afin de l’humilier par après ; c’est pour cette raison qu’il rejette l’offre de Ma’moun.
Mais Ma’moun utilise une nouvelle stratégie en proposant à l’Imam Ridah (as) d’être son adjoint et futur héritier. Une fois de plus l’Imam (as) refuse.
Ma’moun sort ses griffes et menace l’imam de mort s’il n’acceptait pas ce poste en lui disant :
« Omar bnl Khattab avait organisé une consultation entre six personnes dont l’un d’eux était ton grand-père Ali bn Abi Talib. Omar avait posé comme condition de couper la tête de quiconque parmi eux refuserait.
Par conséquent tu devras impérativement accepter ce poste, sinon je n’aurai pas le choix» [1]
Et plus tard Ma’moun menacera directement l’Imam Ridah (as) en ces termes :
« Je jure que tu dois accepter le poste de futur héritier, sinon je t’y contraindrai ; et quand tu refuseras je couperai ta tête » [2]

3. LA CONDITION FIXEE PAR L’IMAM (psl) :
L’Imam Ridah (as) choisit de temporiser la situation afin d’avoir une meilleure occasion de transmettre le message divin et de mieux propager l’islam.
Il cède de manière relative aux pressions de Ma’moun mais lui fixant une condition très stricte :
« J’accepte ta proposition à condition que je ne donne aucun ordre ni interdiction, ni ne donne aucune délibération ni aucun jugement ; je ne nomme ni destitue personne et je n’apporte aucun changement dans ton administration ». [3]
Ma’moun accepta toutes ces conditions, ainsi l’Imam Ridah (as) détruisit tous les plans maléfiques du calife, il resta en vie et propagea l’héritage du Prophète et de tous les imams qui l’avaient précéder.
C’est ainsi que la vérité finit par triompher et le soleil des enseignements d’Ahloul Baït (pse) brilla de nouveau et ne cesse d’éclairer les cœurs des fidèles.
L’Imam Ridah (as) avait ainsi accompli pleinement sa mission avant de tomber en martyr par empoisonnement de Ma’moun.

Notes:
(1) Kashful Ghummah Vol.3, P.65 : إنّ عمر جعل الشورى في ستة أحدهم جدّك، وقال من خالف فاضربوا عنقه، ولابد من قبول ذلك
(2) Rawdatoul Wà’izin P.247 : والله لئن قبلت ولاية العهد وإلااجبرتك على ذالك. فإن فعلت وإلا ضربت عنقك
(3) Al Irshad P.310 : فاجابه الإمام (عليه السلام) الى ذلك على أن؛ لا يامر، ولاينهى، ولا يولي، ولا يعزل،  ولا يتكلم بين اثنين في حكم، ولا يغيّر شيئاُ هو قائم على أصوله

Alors que que les médias irakiens font état du tir de deux obus de mortier visant, ce mercredi 30 octobre, l'ambassade américaine dans la région d'al-Khadra ou zone verte de Bagdad, le Pentagone vient d'annoncer la mort de l'un de ses soldats en Irak. Le militaire a été tué, selon le communiqué du département à la Défense, dans la base de Taji au nord de la capitale, base visée lundi dernier par trois tirs de roquettes toujours non revendiquées. Le Pentagone refuse de reconnaître la mort du soldat au cours de ces tirs de roquettes mais tout porte à croire que Nathan J. Irish aurait péri dans cette attaque. 

Le militaire américain Nathan J. Irish.

Army Times, site dédié aux troupes d'occupation US à travers le monde, insiste surtout sur la mort du soldat dans un "incident non militaire" sans toutefois convaincre le lecteur qui se rappelle d'une violente frappe au mortier contre la base militaire américaine de Taji, où sont déployées outre les soldats US, de nombreux contingents de forces irakiennes. Cette base abritait à la veille de l'invasion irakienne de 2003 la garde nationale de Saddam. Le communiqué du Pentagone qui ne donne aucun détail sur la mort du soldat Irish dit qu'une enquête est ouverte pour éclaircir les circonstances du décès. 

Parallèlement et pour la seconde fois depuis le début des manifestations sociales en Irak, le vendredi 25 octobre, des obus de mortiers se sont abattus sur la zone verte non loin de l'ambassade américaine. Selon la chaîne d’information irakienne Al-Sumaria cité par RT, « L’attaque au mortier contre le secteur ultra-sécurisé de Bagdad a tué un militaire et en a blessé un autre ».

C'est la pire des choses qui puissent arriver aux parties qui ont tout misé sur le Rojava pour provoquer l'effondrement de l'État syrien : une conversion des forces kurdes, en une partie de l'armée syrienne. Il s'agirait en effet d'une mutation aux dimensions géostratégique, les FDS ayant été formées, armées et entraînées pendant des années par les instructeurs américains, français, britanniques, allemands et israéliens. Pour les parties otaniennes qui faute de mieux en sont désormais à caresser l'idée de la création de leur zone tampon dans le nord syrien, cette offre est vécue comme un coup de théâtre dans la mesure où une intégration des unités kurdes au sein de l'armée nationale ne pourrait passer sans que des "données confidentielles " ne soient remis au préalable aux forces syriennes et évidemment à leurs alliés russe et iranien. 

Dans un communiqué, le commandement en chef de l’armée syrienne souligne donc que celle-ci a libéré une grande partie de l’est et du nord-est de la Syrie (Djézireh, correspondant approximativement à la province de Hassaké) et que par conséquent les FDS devraient rejoindre leurs rangs pour se battre contre les agresseurs turcs qui menacent les territoires syriens. 

 

Washington est beaucoup plus dangereux que Daech. « Les États-Unis prétendent diriger un "monde libre" et lutter contre Daech alors qu’ils sont plus dangereux et plus hors la loi que Daech en ce qui concerne la violation des lois internationales et les droits de l’Homme. La preuve: les États-Unis entendent empocher le revenu pétrolier de la Syrie, sous prétexte de la protection des gisements d’hydrocarbure d’Idlib », lit-on dans Rai al-Youm.  

Et d’ajouter: « Nous pensions que les forces et les blindés de l’armée américaine qui s’étaient installés dans l’est de Deir ez-Zor avaient pour mission de protéger les puits de pétrole et de gaz face aux terroristes de Daech. Mais nous avons ensuite entendu et lu que Donald Trump avait proposé que cette région soit sous la protection des géants pétroliers comme ExxonMobil et Chevron et que le revenu des exportations de ces produits d’hydrocarbure soit versé sur le compte du Trésor des États-Unis. »

Le quotidien Rai al-Youm continue: « Daech pille le pétrole syrien et en dépense le revenu pour payer les salaires de ses éléments qui sont éparpillés dans une région d’une superficie de 250 000 kilomètres carrés depuis Mossoul, en Irak, jusqu’à Raqqa, en Syrie. Mais le point est que Daech est un groupe terroriste qui ne respecte aucune loi mais l’administration américaine est celle qui prétend diriger un "monde libre" et vouloir renforcer les liens entre les pays alors qu’elle occupe des pays sous prétexte du rétablissement de la démocratie, des droits de l’Homme et de l’État de droit.

Ça, c’est choquant et incroyable mais on peut l’attendre toutefois d’un homme d’affaires comme Donald Trump qui ne pense qu’à des transactions et des dollars. Ce qu’il dirige en effet sont des bandes de mafias et de voleurs et non pas un grand pays comme les États-Unis. Les ressources pétrolières et gazières dans l’est de l’Euphrate appartiennent à la nation syrienne de toute race et religion confondue et les forces d’occupation américaines n’ont pas le droit d’en piller même un seul baril.

Honte aux États qui resteront silencieux face au pillage des richesses de la Syrie par l’administration hors la loi des États-Unis qui est plus dangereuse que Daech pour les lois internationales. L’administration américaine soutenait un Daech dont le revenu du pétrole syrien dépassait les 30 millions de dollars par mois alors qu’elle prétendait le combattre. Maintenant, le revenu qu’on pourrait tirer des ressources pétrolières de la Syrie dépasse même les 30 millions de dollars car de nouveaux puits de pétrole viennent d’être découverts et la production est revenue au même niveau qu’avant la crise, soit 380 000 barils par jour ».

Ce mercredi à Genève se tient la toute première réunion d'une « assemblée constituante » chargée par l'ONU de décider de l'avenir de la Syrie. Ce Comité constitutionnel comprend 150 membres issus de trois groupes : 50 choisis par le gouvernement syrien, 50 par l'opposition et 50 par l'émissaire de l'ONU.

Les ministres iranien, russe et turc des Affaires étrangères présents à cette occasion à Genève ont salué mardi soir le lancement du Comité constitutionnel syrien, prévu pour mercredi. Dans une déclaration finale émise à l’issue de leur réunion trilatérale mardi à Genève, les ministres iranien, russe et turc des Affaires étrangères ont souligné la ferme détermination des pays garants du processus d’Astana pour soutenir la souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale de la Syrie. 

Lors d’une conférence de presse conjointe avec ses homologues russe et turc, le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a déclaré que le début des activités du Comité constitutionnel marquerait le lancement du processus politique en Syrie, sans manquer de préciser que « l’Iran et la Russie ne quitteront pas le territoire syrien, tant que le gouvernement et le peuple syriens ne le demandent pas ».

« Le peuple syrien souffrait d'un désaccord depuis huit ans et nous avions réitéré qu'il n'y avait pas de solution militaire à la crise en Syrie », a ajouté M. Zarif.

La réunion du Comité constitutionnel syrien est le début d’un processus difficile et le travail de ce comité marquera le début du processus politique dans ce pays, a-t-il indiqué.

« À la fin, les conclusions du Comité constitutionnel devront être acceptées par tous les Syriens. Elles doivent être le résultat de leur travail, et ne doivent pas être influencées par des puissances étrangères. »

La Russie lance des exercices de défense aérienne en Égypte pour montrer le développement de son influence régionale.

Pour la première fois, l’armée russe a lancé ce mercredi en Égypte des exercices de défense aérienne à grande échelle, qui témoignent, selon les analystes, de l’approfondissement des liens entre Moscou et les forces armées des pays africains, ce qui a attiré l’attention des commandants militaires américains.

Ces exercices militaires interviennent une semaine après que le président russe, Vladimir Poutine, ont organisé à Sotchi un sommet des dirigeants africains sur le renforcement du rôle de Moscou dans le continent africain, allant du commerce et de la vente d’armes à des partenariats militaires.

Alors que les relations entre les États-Unis et l’Égypte ont été mises à rudes épreuves depuis la décision de la Maison Blanche de restreindre la vente d’armes au Caire, Moscou a signé de nombreux accords avec l’Égypte, dont un accord de 2 milliards de dollars conclu cette année pour fournir au Caire plus de 20 avions de combat Su-35.

Le président du Liban, Michel Aoun, a chargé le Premier ministre démissionnaire Saad Hariri d'expédier les affaires courantes du pays jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement, a annoncé le palais présidentiel dans un communiqué, ce mercredi 30 octobre 2019.

Estimant qu'il se trouvait dans une impasse, Saad Hariri a présenté mardi après-midi la démission de son gouvernement formé en janvier dernier, au 13jour des manifestations dans le pays.

Dans un communiqué, Michel Aoun a implicitement accepté cette démission, assurant qu'il avait « demandé au gouvernement de poursuivre la gestion des affaires courantes jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement », conformément à la Constitution libanaise.

La démission du Premier ministre Saad Hariri a compliqué la situation actuelle. Contre son gré, il semblerait ne pas faire le poids face aux diktats étrangers et dans l'incapacité de sortir son pays de la crise.

En Syrie, d’âpres affrontements ont opposé les troupes syriennes à l’armée turque à Tall al-Ward, en banlieue de Ras al-Aïn, rapporte SANA.

Selon l’agence de presse officielle syrienne SANA, d’intenses affrontements ont éclaté, mercredi 30 octobre, entre les troupes syriennes et turques à Tall al-Ward, en banlieue de Ras al-Aïn, dans le nord-est de la Syrie. 

L’agence de presse syrienne a rapporté que les forces d’occupation turques et les mercenaires à la solde d’Ankara avaient pris le contrôle des villages d’al-Mahmoudiya et al-Dariv, en banlieue de Ras al-Aïn.

 

« Les habitants des régions proches de Tall Tamer sont en fuite », indique SANA.

Selon la même source, « les terroristes à la solde de Recep Tayyip Erdogan ont ouvert le feu sur les habitations des habitants de Tall al-Ward. De leur côté, les éléments des Forces démocratiques syriennes ont versé une grande quantité de pétrole dans un géant fossé avant de le mettre en feu afin d’empêcher les avions de chasse turcs de bombarder la région ».

Hier mardi 29 octobre, des obus d'artillerie tirés par l’armée turque se sont abattus non loin des militaires russes et ont failli les toucher alors qu'ils se trouvaient déployées dans la ville frontalière d'al-Darbasiyah.

Si les tirs n'avaient pas manqué leur cible, l'affaire aurait pu provoquer une réelle crise entre Moscou et Ankara, et ce, au moment où les représentants des deux parties se trouvaient à Genève pour parler de la Constitution syrienne. 

La cérémonie de remise de diplômes aux étudiants de l'École militaire de l’armée de la RII a eu lieu ce mercredi 30 octobre, en présence du commandant en chef des forces armées, l'Ayatollah Khamenei. Le Leader de la Révolution islamique a mis en garde contre des projets visant la sécurité des États de la région. Cette cérémonie s'est déroulée à l'École des officiers du centre de commandement de la DCA iranienne, Khatam ol-Anbiya.  

« Le plus grand dommage que les ennemis puissent causer à un pays est de le priver de sécurité et c’est ce qu’ils ont déjà commencé à faire dans certains pays de la région. Les États-Unis et les services de renseignements occidentaux, tout en profitant de l’argent des pays rétrogrades provoquent des troubles. C’est la pire animosité et la haine la plus dangereuse contre une nation », a souligné le commandant en chef des forces armées iraniennes.

« Nous conseillons aux responsables irakiens et libanais de combattre l’insécurité en priorité. Leurs peuples ont des revendications, mais ils doivent savoir que ces revendications ne sauraient se réaliser que dans le cadre de la structure légale de l'Etat. Quand le cadre étatique est brisée, rien ne serait se faire faire. Lorsqu'il y a un vide dans un pays, rien de positif ne peut être réalisé », a souligné le Leader de la Révolution islamique.

Plus loin dans ses propos, le Leader de la Révolution a fait allusion à la Marche du grand retour qui se tient chaque vendredi dans la bande de Gaza, pour dire que ces manifestations aboutiront un jour au retour des Palestiniens dans leur patrie. « Aujourd’hui, nous sommes témoin du fait que l’Arrogance mondiale a échoué dans la région ; les Américains ont dit, eux-mêmes, qu’ils ont dépensé 7.000 milliards de dollars mais rien n’est à portée de main », a précisé le Leader.

Dans une autre partie de son discours, le Leader de la Révolution islamique a déclaré que la vigilance des Iraniens et de leurs forces armées ont déjoué tous les complots de l’ennemi contre la République islamique d’Iran.

Il a décrit ensuite la différence entre les forces armées des puissances arrogantes et l’armée de la République islamique d’Iran : « La principale mission des forces armées des puissances arrogantes est de porter atteinte aux intérêts d’autres nations, de les attaquer et d’envahir leur territoire. Or, les forces armées iraniennes suivent une logique de défense avec forme et fermeté sans jamais adopter une position offensive envers les autres nations. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a évoqué ensuite les crimes commis par des armées américaines, britanniques et françaises pendant depuis un siècle dans divers points du monde, dont le sous-continent indien, L’Extrême-Orient, l’Asie du Sud-ouest et le continent africain, et a souligné que la force militaire a toujours été un instrument au service des objectifs illégitimes de l’Arrogance mondiale.

En conclusion, le Leader de la Révolution islamique a mis l’accent sur quatre points importants : se méfier de l’ennemi, rester vigilant face aux moindres mouvements des ennemis, éviter de sous-estimer ou de surestimer l’ennemi, et ne pas s vanter des victoires et des succès acquis face aux ennemis.

mercredi, 30 octobre 2019 14:14

Le mois de Rabî‘ al-Awwal

Le mois de Rabih-Awal est un mois possédant un secret dont on doit tirer profit : la Naissance du Noble Messager de l'Islam, le Prophète de Dieu, Mohammad (Pslf).

 
La veille (nuit) du premier jour du mois :
 
C’est en cette nuit de l’an 13 de l’hégire que le Prophète (Pslf) émigra de la Mecque vers Médine illuminée en se cachant dans la grotte Thûr et le Prince des croyants (Psl) fit don de sa vie en dormant à sa place dans son lit, non loin des sabres des tribus associationnistes. Son excellence, son réconfort et sa fraternité avec le Prophète (Pslf) apparurent ainsi aux mondes.

Par ce geste de sacrifice, l’Imam Ali a montré sa préséance sur toute l’humanité et Allah a révélé le verset coranique suivant à son égard : « 
Et il y a parmi les gens celui qui se sacrifie pour la recherche de l'agrément d'Allah. Et Allah est Compatissant envers Ses serviteurs » [2:207]
Le 1er jour du mois :
 
Selon les dires des savants, il est très recommandé de:
- Faire le jeûne en ce jour pour remercier Allah du bienfait qu’IL nous a accordé en sauvant le Prophète (Pslf) et l’Imam Ali (Psl).

- De même il est recommandé de faire la visite pieuse à eux deux sur place ou de loin.