تقي زاده

تقي زاده

« En s’entourant de radicaux, Donald Trump prépare le terrain pour servir les intérêts d’Israël et faire basculer le Moyen-Orient dans une nouvelle crise ».

Fawzi ben Younes ben Hadid, auteur et blogueur tunisien, a rédigé un article pour le quotidien Rai al-Youm au sujet des récents changements au sein de l’administration américaine.

Cet article, publié le dimanche 25 mars, évoque la nomination de John Bolton, connu pour ses tendances anti-islam.

« En plaçant John Bolton au poste très sensible de conseiller à la sécurité nationale, Donald Trump a en effet écarté toute possibilité d’opposition à ses politiques et à ses décisions, dont le transfert de l’ambassade des États-Unis à Qods, les politiques anti-migratoires, la lutte antiterroriste et les politiques concernant la Syrie, la Corée du Nord et d’autres dossiers intérieurs et extérieurs. Il paraît que Donald Trump montre les dents à tous les pays qui n’entretiennent pas de bonnes relations avec les États-Unis et Israël, bien que nombreux soient les responsables américains à s’opposer à de telles politiques hostiles qui, selon eux, auront des conséquences défavorables pour les États-Unis. Par ailleurs, certains États ont adopté des lois qui restreignent l’impact des tendances impérialistes de Washington, mais ce que Trump aime croire est que les États-Unis sont le seul pays à pouvoir faire ce qu’ils veulent et à connaître ce qui est bon pour d’autres pays mieux qu’eux-mêmes.

Dans une conjoncture où l’accord nucléaire est qualifié de “mauvais accord” par Donald Trump, l’Iran continue d’honorer ce document international qui a été l’aboutissement d’années de négociations intensives et délicates. Du côté des Européens, la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et d’autres puissances du Conseil de sécurité sont unanimement en faveur du maintien de l’accord nucléaire », indique le quotidien.

Et d’ajouter : « Tout appel de Donald Trump à modifier l’accord nucléaire met en évidence la tendance des États-Unis à faire fi de la teneur de ce document et à le rendre inefficace. C’est exactement ce que souhaitent Donald Trump et le Premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahu. Le scénario qu’ils envisagent après une possible annulation de l’accord nucléaire serait probablement une campagne d’intoxication médiatique ou une guerre économique contre la République islamique d’Iran.

En revanche, l’Iran fait de son mieux pour respecter l’accord nucléaire. Et même si les États-Unis décident un jour de s’attaquer à l’Iran, celui-ci sera fin prêt pour y faire face.

Cela dit, de nouvelles évolutions pourraient se produire dans la région, d’autant plus que l’Arabie saoudite vient d’adopter une nouvelle approche envers Israël. Les Saoudiens ont permis à Israël d’utiliser l’espace aérien de l’Arabie saoudite alors que cela contredit tous les principes et toutes les résolutions du monde arabe qui interdisent toute sorte de relations avec Israël, en tant qu’entité raciste et colonisatrice. Mais bien que cela soit en contradiction flagrante avec les principes du monde arabe, les autorités saoudiennes, ces jours-ci, ne s’en cachent plus. On s’attend à ce que le prince héritier Mohammed ben Salmane demande bientôt, lors d’une réunion s’apparentant à une mascarade, aux États arabes de normaliser leurs relations avec Israël. »

L’ex-chef d’état-major des forces armées soudanaises a mis en garde contre l’influence d’Israël dans le bassin du Nil, a rapporté l’agence de presse Sputnik

« L’influence israélienne dans le bassin du Nil consitue une menace pour la sécurité nationale du Soudan », a déclaré dimanche Emad Adawi, ex-chef d’état-major de l’armée soudanaise.

Le général Adawi a rappelé le droit du Soudan à fermer ses frontières avec l’Érythrée, ajoutant que divers facteurs, dont l’influence israélienne dans le bassin du Nil, menaçaient la sécurité nationale du Soudan.

Cet ex-responsable militaire du Soudan a noté que certains pays attaquaient les terres agricoles du Soudan et que cela était aussi une menace pour la sécurité intérieure de son pays.

Le chef d’état-major des forces armées de la Fédération de Russie a déclaré que tous les réseaux terroristes opérant en Syrie étaient dirigés depuis l’étranger.

Le général Valéri Guérassimov a réaffirmé, ce dimanche 25 mars, que tous les réseaux terroristes opérant en Syrie recevaient leurs armes, fonds et ordres depuis l’extérieur des frontières syriennes.

Le président russe, Vladimir Poutine (G), et le chef d’état-major des forces armées russes, le général Valéri Guérassimov, le 24 mai 2017 à Moscou. ©AP

« Ce à quoi la Syrie fait face, depuis des années, est une guerre non déclarée menaçant son existence. Certains pays ont tout fait pour fournir aux terroristes des armes, des fonds et des instructions pour ainsi canaliser ce qu’ils appellent “les manifestations populaires” dans l’objectif de porter atteinte à la Syrie », a-t-il souligné.

Le chef d’état-major des forces armées russes a déclaré que les combats en Syrie, auxquels a participé la Russie, lui donnaient la motivation nécessaire pour améliorer ses systèmes de défense, destinés à repousser les attaques des ennemis.

Ces dernières semaines, le régime de Tel-Aviv a montré d’autres signes qu’il était en train de se préparer à une guerre contre le Hezbollah au Liban. Une telle action lui coûterait pourtant très cher, en raison des capacités militaires du Hezbollah et des points faibles d’Israël.

Le magazine Newsweek répertorie quelques-uns des points faibles du régime israélien :

1. Le réservoir d’ammoniaque de Haïfa : 

Seyyed Hassan Nasrallah a déclaré lors d’entretiens donnés fin décembre et début janvier à la chaîne Al-Mayadeen, en faisant allusion à la guerre que souhaitent lancer Trump et Netanyahu contre la Résistance dans la bande de Gaza, au Liban ou bien en Syrie : « La Résistance fait des efforts en vue d’accéder à toutes les armes qui rendront une victoire possible en cas de guerre future. Nous devons posséder des armes avancées pour nous y préparer. »

Seyyed Hassan Nasrallah avait déjà menacé à plusieurs reprises le régime occupant : « Face à la stupidité du régime sioniste, tous ses centres sensibles seront ciblés par les missiles du Hezbollah. »

Assez rapidement après ces déclarations de Nasrallah, le régime israélien avait fait fermer son site de Haïfa en transférant ses réserves d’ammoniaque dans un autre endroit.

Nasrallah a rétorqué : « Où irez-vous cacher les navires avec lesquels vous faites entrer l’ammoniaque dans les territoires occupés ? »

C’est alors que Nasrallah a invité les Israéliens de tenter de cacher aussi les installations de Dimona.

2. Les installations de Dimona :

« Aujourd’hui, j’appelle l’ennemi à fermer non seulement le réservoir d’ammoniaque de Haïfa, mais aussi à démanteler les installations nucléaires de Dimona, car nous pouvons transformer toute menace israélienne en une opportunité. Nous pouvons faire des armes nucléaires d’Israël une menace pour Israël lui-même, pour le régime et pour ses colonies. L’ennemi connaît les capacités et la force de frappe de la Résistance au Liban et il sait que lorsque le Hezbollah dit qu’il peut faire quelque chose, c’est qu’il le peut vraiment », a déclaré le secrétaire général du Hezbollah libanais.

L’installation nucléaire de Dimona dans les territoires occupés. (Photo d’archives)

3. La compagnie électrique de Jaffa :

Créée en 1923, la compagnie électrique de Jaffa est située dans la ville de Haïfa et elle contrôle et coordonne la production d’électricité de 17 sites situés dans 5 régions des territoires occupés.

Importante métropole commerciale, Haïfa a été dotée ces dernières années d’un réseau ferroviaire important qui la relie à d’autres villes et même à d’autres pays.

La station centrale est située près du port de Haïfa et il n’a été jusque-là ciblé qu’une seule fois par des missiles de la Résistance.

Un ex-commandant suprême de l’OTAN a déclaré que les nouvelles nominations au sein de la Maison-Blanche allaient causer une montée des tensions dans la péninsule coréenne et une dégradation des relations de l’OTAN avec la Chine et l’Iran.

James G. Stavridis, qui a été le commandant suprême des forces alliées en Europe de juillet 2009 à mai 2013, a en effet mis en garde dans une interview à la radio contre les récentes décisions du président américain Donald Trump, et plus précisément la nomination de John Bolton en tant conseiller à la sécurité nationale et de Mike Pompeo comme secrétaire d’État. Il a affirmé que ces nouvelles désignations allaient dans le sens d’un accroissement des tensions dans la péninsule coréenne et d’une escalade avec l’Iran et la Chine.

Stavridis a affirmé qu’à ses yeux, le choix de Bolton était révélateur du fait que le président américain cherchait à adopter une politique encore plus sévère envers la Corée du Nord.

Le commandant de la police des frontières iranienne, le général de brigade Qasim Rezai, a souligné que le pays est dans de bonnes conditions de sécurité et que ses forces maintiennent une grande maîtrise des renseignements sur les mouvements des ennemis dans les zones frontalières.

"Aujourd'hui, la République islamique d'Iran jouit des meilleures conditions de sécurité et est considérée comme une forteresse forte et impénétrable", a déclaré le général iranien lors d'une cérémonie dimanche.

Il a noté que les gardes-frontières iraniens tentent de surveiller les manœuvres des ennemis le long des zones frontalières, et pendant les vacances du Noruz (nouvel an persan débutant le 21 mars), leurs forces feront double emploi pour contrecarrer les complots hostiles contre les Pays.

Plus tôt ce mois-ci, un haut responsable du ministère iranien des renseignements a annoncé que les forces de sécurité avaient déjoué plusieurs conspirations et tentatives menées par plus de 30 groupes terroristes autres que Daech (Daech, en arabe) qui cherchaient à créer l'insécurité dans le pays. Pays.

"En plus de l'EIIL, les actions de 30 groupes terroristes ont été contrecarrées par les forces de sécurité iraniennes ces dernières années", a déclaré un haut responsable du renseignement pour les opérations antiterroristes dans la province méridionale de Fars, cité par les médias locaux.

Le sous-ministre a également souligné que, bien que la domination de Daech ait pris fin dans certains pays de la région, il faut plus de vigilance pour faire face aux terroristes et aux nouvelles stratégies de leurs partisans.
 
L'Iran reste préparé pour les complots auxquels il fait face étant donné que les ennemis du pays persan, dirigé par les États-Unis et 

Les dirigeants des groupes de miliciens kurdes au nord de la Syrie ont déclaré que suite à l'agression turque sur la ville d'Afrin, plus de 200 000 Syriens avaient été déplacés. 
 
Selon les responsables kurdes, les habitants de la région n'avaient plus de logement et plus d'accès à l'eau et à la nourriture.

Hevi Mustapha, un des leaders kurdes a déclaré: " Les personnes qui ont une voiture dorment dedans et celles qui n'en ont pas, dorment avec leurs enfants, sous les arbres."

Les forces dirigées par les Turcs ont réussi à s'emparer hier, 18 mars, du centre de la ville d'Afrin dans le nord de la Syrie et à achever le contrôle de la région après huit semaines de combat et la retraite des miliciens kurdes.

Mustapha raconte qu'il existe toujours à Afrin, des civils qui sont exposés aux menaces venant des groupes dirigés par la Turquie.
Le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, s’adresse aux Iraniens depuis la ville sainte de Machhad, à l’occasion du Nouvel An iranien. 
 
Le mercredi 21 mars 2018, qui coïncide au 1er farvardin 1397, le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a prononcé un discours devant la grande foule des pèlerins du vénéré Imam Ali ibn Moussa al-Reza, huitième imam des chiites duodécimains, à l’occasion du Jour de l’an de l’année 1397 du calendrier iranien.

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « Les principaux préceptes et slogans de la Révolution islamique sont multiples : l’indépendance, la liberté, la démocratie, la confiance en la puissance nationale, la justice et par-dessus tout l’application des lois et des principes de la Charia dans le pays. Et ces valeurs ont été préservées exactement comme au premier jour de la Révolution. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a ajouté : « Aujourd’hui, le pays jouit d’une indépendance pleine et entière. C’est l’une des premières demandes du peuple depuis l’avènement de notre Révolution. Il s’agit, en réalité, de la réaction du peuple iranien à deux cents ans de domination étrangère. Il faut que nos jeunes avisés prennent en compte ce point important. Avant la victoire de la Révolution islamique, les puissances hégémoniques du monde avaient imposé leur domination à notre pays pendant près de deux cents ans, et les gouvernements iraniens se tenaient dans l’ombre de cette domination étrangère. Cela veut dire que le pays était contrôlé par les puissances étrangères. Par conséquent, la demande principale de la nation iranienne consistait à revendiquer l’indépendance de l’Iran. »

Le Leader de la Révolution islamique a affirmé : « Je peux dire avec certitude qu’aujourd’hui, aucun pays du monde n’a un tel degré d’indépendance que la nation iranienne. En effet, tous les pays du monde doivent respecter d’une manière ou d’une autre une série d’observations face aux grandes puissances mondiales. La nation iranienne est la seule nation qui ne permet en aucun cas que sa volonté soit soumise à celle d’une autre puissance. »

Dans une autre partie de son discours, le Leader de la Révolution islamique a déclaré :

« Il y a quelques semaines, j’ai dit que nous avons un certain retard en ce qui concerne l’établissement de la justice sociale.

C’est ma conviction, mais les malveillants ont interprété autrement mes propos comme si le pays n’a jamais rien fait pour établir la justice. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré : « Je dois souligner que de grands travaux ont été effectivement réalisés pour accélérer l’établissement de la justice sociale. Pourtant, il faut admettre qu’il y a encore une grande distance entre ce qui a été réalisé jusqu’à présent et ce qui est le souhait du peuple musulman iranien. Sinon, il suffit de comparer la situation actuelle du pays avec l’époque d’avant la Révolution islamique ou la situation d’autres pays du monde. Ici, en Iran, l’écart entre les classes sociales est moins prononcé. Les couches défavorisées ont un accès plus large aux services comme à l’éducation nationale, la santé, etc. Cette situation est meilleure, sans aucun doute, à celle de beaucoup d’autres pays. »  

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « Ici, j’ai noté les statistiques de la Banque mondiale. Il s’agit d’une source étrangère et j’aimerais vous en présenter ici un résumé. Selon ces statistiques, le coefficient de Gini était supérieur à 50 avant la Révolution. Le coefficient de Gini est un indice souvent utilisé pour indiquer l’inégalité des revenus entre les différentes classes sociales, entre les riches et les pauvres dans une population donnée. Plus ce chiffre est grand, plus il existe un écart social important entre les différentes couches de la population. Ce chiffre, qui était supérieur à 50 avant la Révolution, a diminué à 38 en 2015. C’est un chiffre qui montre que notre nation a réussi à diminuer cet écart. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a présenté ensuite un autre exemple, celui des statistiques internationales de la Banque mondiale concernant le taux de pauvreté en Iran. À ce propos, le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « D’après ces statistiques, avant la Révolution islamique, la pauvreté absolue touchait 46 % de la population iranienne. Cela signifiait que près de la moitié des Iraniens comptaient parmi les victimes de la pauvreté absolue. Selon ce document, ce chiffre a diminué à 9,5 % en 2014. Tout cela indique que beaucoup de travail a été effectué en Iran pendant cette période. »

Le Leader de la Révolution islamique a affirmé : « Malgré toutes les pressions qu’elle a subies, la République islamique a réalisé de grandes œuvres en ce qui concerne l’établissement de la justice sociale, et nous avons enregistré des progrès considérables dans ce domaine. Pourtant, la propagande de nos ennemis dit le contraire. En tout état de cause, la justice que nous souhaitons établir en raison de nos valeurs et idéaux est supérieure à ce que nous avons réalisé jusqu’à présent. Par conséquent, notre slogan de justice est un slogan véridique qui restera éternel, grâce à Dieu, dans notre pays. »

Dans une autre partie de son discours, le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a déclaré qu’un système économique endogène ne signifiait pas qu’il fallait fermer les portes du pays sur le monde extérieur. Il a ajouté que les différents gouvernements du pays avaient souhaité, à des périodes différentes, obtenir des prêts de la Banque mondiale, mais que le Leader de la Révolution islamique les en avait dissuadés.

L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré : « Le fait de ne pas se rendre compte de l’importance de l’économie endogène a toujours été l’un des obstacles majeurs devant le progrès national. Or, ce système endogène est une composante très importante du plan de l’économie de la résistance, car ce système se fonde sur la production de la richesse par les forces et les activités intérieures du pays. Il faut détourner le regard de l’extérieur pour concentrer toute notre attention sur nos capacités internes. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a ajouté : « Pendant les années passées, les différents gouvernements du pays ont souhaité à plusieurs reprises obtenir des prêts de la Banque mondiale ou du Fonds monétaire international, mais je les ai dissuadés de le faire. Ils avaient même pris les premières mesures, mais je leur ai expliqué que ce serait une grande erreur que de demander des prêts aux étrangers, car nous devrions nous engager à respecter leurs conditions pour chaque prêt. »

Le Leader de la Révolution islamique a souligné : « Notre économie doit se baser sur un système endogène, mais cela ne signifie pas qu’il faut fermer les portes du pays sur le monde extérieur. »

Plus loin dans ses propos, le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « La République islamique d’Iran a réussi à déjouer les plans des États-Unis dans la région. Pendant l’année qui s’est écoulée, la République islamique a hissé dans la région le drapeau de la grandeur, de la dignité et de la puissance de la nation iranienne. »

L’honorable Ayatollah Khamenei a souligné : « La République islamique a eu un rôle remarquable pour briser le dos du takfirisme au Moyen-Orient. Dans une grande partie de notre région, la République islamique a réussi à sauver les populations du mal que leur infligeaient les groupes takfiristes. C’était un très grand exploit. Mais maintenant, ceux qui interviennent dans les affaires intérieures de toutes les régions du monde se permettent de protester et de dire que les Iraniens auraient eu tort de le faire. Mais cela ne les regarde absolument pas. »

Le Leader de la Révolution islamique a déclaré : « La République islamique a réussi à déjouer le plan des États-Unis dans la région. En quoi consistait le plan des Américains ? Le dessein des États-Unis était de créer des groupes violents, oppresseurs et sauvages comme Daech pour détourner l’attention des nations des activités du régime sioniste afin que personne n’ait le temps de penser à l’injustice que le régime sioniste inflige aux nations de la région. Pourtant, nous avons réussi à déjouer ce plan. »

« Les États-Unis sont incapables de sécuriser la région. Ils ne peuvent ni ne veulent vaincre les terroristes. Ils les ont d’ailleurs créés pour garantir la sécurité d’Israël. Le cas de l’Afghanistan est un exemple bien clair. Cela fait 14 ans que les États-Unis s’ingèrent en Afghanistan sans pouvoir sécuriser ce pays. »

Et le Leader de la Révolution de préciser : « L’Iran est présent là où les États le lui demandent. L’Iran a apporté son assistance à divers États non pas en fonction de ses passions ou de ses sentiments mais pour des raisons et des considérations parfaitement logiques. Il va sans dire que les États-Unis ne pourront atteindre leurs objectifs et qu’ils finiront par perdre. »
Dans un message, le Guide suprême de la révolution islamique l'ayatollah Sayed Ali Khamenei a félicité le nouvel an à tous les Iraniens surtout les familles des martyres et des blessés de la défense sacrée. 
 
Le Guide supreme iranien a également présenté ses voeux de la nouvelle année aux jeunes et aux adolescents qui sont les epoires du pays dans son chemin scientifique.

L'année 1396 (année persanne, 2017-2018) avait des événements mauvais et bons. L'année 96 était celui de la grandeur du peule iranien. Au début de l'année, plus de 40 millions Iraniens ont participé à l'élections présidentielle et conseils minicipaux. La grande présence du peuple iranien a un grand sens et la participation des Iraniens à la marche de 22 Bahman (l'anniversaire de la révolution islamique) était aussi grandiose, a dit  le Guide suprême.

Le leader iranien a également indiqué les défaites des ennemis de l'Iran pour provoquer des insécurités dans les derniers mois de l'année dernière. Le peuple iranien a contré les individus qui voulaient créer des dégats dans le pays, a-t-il indiqué.

Changer des menaces régionales en occasion fait partie des acquis de la Révolution islamique d'Iran. Une des menaces régionales était atteinte à la République islamique d'Iran, mais l'Iran n'a pas permis la réalisation de ces menaces. Notre pays a changé les menaces en occasions, a marqué le Guide suprême iranien.

Le Guide suprême a nommé cette année celle du ''Soutien aux productions iraniennes''.
dimanche, 25 mars 2018 22:12

Une conférence anti-islam aux Etats-Unis

Un groupe anti-islam américain envisage d’organiser une conférence dans l’Etat de Minnesota.
Selon Timeturk, intitulé “Saisis le danger”, le groupe prévoit d’organiser une conférence anti-islam dans le Minnesota.


Le groupe a annoncé qu’il va organiser cette conférence sous le thème de “l’Islam une menace pour l’Amérique” à Saint Paul de Minneapolis dans le Minnesota.


Lors de cette conférence, un ancien agent de la police fédérale (FBI), John Guandolo interviendra pour mettre en garde contre les musulmans et le développement de l’islam en Occident.


La décision d’organiser cette conférence a suscité bien des réactions sur les réseaux sociaux.


John Guandolo est un activiste et théoricien anti-islam qui a organisé de nombreux séminaires et conférences contre l’islam.