
تقي زاده
Si vous aidez la cause d’Allãh, Il vous aidera!
"Un des points sur lequel j’ai toujours insisté dans le domaine des croyances, des perspectives et des sentiments, est une véritable et sincère confiance aux promesses d’Allãh le Très-Haut, et aux promesses divines. C’est une question qui à mon avis, ne doit pas être négligée. Allãh le Très-Haut, nous a fait ces promesses dans le Coran: «Si vous aidez la cause d’Allãh, Il vous aidera» [Coran, 47: 7], «Allãh va certainement aider ceux qui défendent Sa cause» [Coran 22: 40].
* La Révolution islamique
Cela peut sembler impossible et improbable à ceux qui n’ont pas connu l’assistance divine. Mais vous et moi avons vécu cela. Nous avons vu comment une chose impossible est devenue possible. Il n’y a rien qui était plus improbable que le renversement par la seule présence des gens dans les rues et sans armes, d’un régime arrogant et oppressif, dépendant des puissances mondiales, et ensuite son remplacement par un gouvernement islamique. Ce gouvernement islamique n’a pas été fondé en fonction des normes et des critères occidentaux. Au contraire, il s’appuie sur l’Islam et la jurisprudence islamique. Qui aurait cru qu’une telle chose soit possible? Mais cet événement qui semblait impossible, a eu lieu.
* Les émeutes intérieures
Les émeutes qui ont été organisées pendant les premières années après la Révolution avant la Défense sacrée en sont un autre exemple. Comme vous le savez, ces émeutes étaient organisées par des individus à l’extérieur du pays et à l’est, à l’ouest, au nord et au sud du pays. Dans quelle partie du pays ces émeutes tribales n’existaient-elles pas ? Quels pays et quel gouvernement nouvellement formé, qui n’a pas d’armée équipée ni les forces de sécurité compétentes, pourraient affronter et surmonter ces émeutes? Mais la République islamique l’a fait.
* La Défense sacrée
La guerre imposée et la Défense sacrée sont un autre exemple. Ces choses ont été mentionnées mille et mille fois mais nous devons évoquer le souvenir de ces événements. La guerre imposée était non seulement menée par un pays voisin contre nous mais était une guerre internationale contre nous, qui bénéficiait de toutes sortes de moyens. Tout le monde s’est uni contre nous sans pouvoir occuper même un millimètre de notre territoire. Est-ce un succès mineur? Il en est de même pour d’autres événements. Ce sont les promesses qui ont été remplies. Si d’autres personnes ont lu dans le Saint Coran: «Si vous aidez la cause d’Allãh, Il vous aidera» [Coran 47: 7], nous l’avons expérimenté dans la pratique.
Lors du pèlerinage à la Mecque, certains pèlerins de pays étrangers, quand ils comprenaient que j’étais iranien, me posaient parfois des questions bizarres, comme celle de savoir si les sunnites avaient ou non, des mosquées en Iran.
Réponse : Contrairement à ce que prétendent les ennemis de l’islam, les sunnites ont deux fois plus de mosquées que les chiites, en République islamique d’Iran.
L’Hodjat-ol-islam Agha Yunessi, responsable des minorités religieuses à la Présidence, dans sa dernière interview, a déclaré qu’en Iran, les sunnites avaient plus de 15000 mosquées et que le nombre des mosquées sunnites était plus élevé que le nombre des mosquées chiites.
D’après les statistiques, il existe une mosquée pour 500 Hanafites ou Chaféites.
Les avions de combat israéliens ont mené des frappes aériennes sur Gaza
Israël a mené des attaques aériennes et procédé à des tirs d’artillerie contre des positions palestiniennes dans la bande de Gaza assiégée.
Les forces israéliennes ont tiré des obus d’artillerie sur un poste de contrôle appartenant aux forces de la Résistance palestinienne dans le nord-est de la ville de Beit Hanoun, au nord de Gaza, vendredi soir.
Un avion de chasse israélien a également pris pour cible des combattants de la Résistance dans l’est de Beit Hanoun, a indiqué le Centre d’information palestinien, ajoutant qu’ils avaient survécu à la frappe aérienne.
Gaza: les appareils israéliens attaquent deux localités palestiniennes
Des appareils du régime israélien ont lancé, jeudi 7 décembre, dans la soirée des frappes aériennes contre des positions palestiniennes dans la bande de Gaza.
Les avions de chasse du régime israélien ont largué des bombes sur deux localités dans la bande de Gaza.
L’artillerie du régime israélien a également pilonné à deux reprises aujourd’hui, vendredi 8 décembre, un poste de contrôle des forces de la Résistance à l’est du camp des réfugiés palestiniens de Maghazi situé au centre de la bande de Gaza.
Le régime de Tel-Aviv prétend avoir frappé ces deux localités en riposte aux tirs de trois roquettes depuis Gaza vers le sud de la Palestine occupée. L'une d'elles aurait frappé le sud de la Palestine occupée alors que les deux autres auraient explosé avant d'atteindre leurs cibles, a prétendu l'armée israélienne.
Qods: le monde, emporté par une vague de colère anti-américaine
Aux quatre coins du monde, depuis hier 7 décembre, une vague déferlante de colère a pris forme, pour protester contre la reconnaissance par Donald Trump de la ville de Qods, en tant que capitale d'Israël.
En Iran comme partout ailleurs, les Iraniens sont descendus dans la rue après la prière du vendredi pour crier haut et fort leur indignation envers la reconnaissance par le président américain de Qods comme capitale d'Israël.

En Malaisie, les fidèles se sont rassemblés après avoir participé à la prière du vendredi, devant l'ambassade des États-Unis à Kuala Lumpur.
En Indonésie, des centaines de personnes se sont rassemblées devant l'ambassade américaine à Jakarta, en brandissant le drapeau de la Palestine. Entre 500 et 1000 personnes ont pris part à cette manifestation, selon la police de Jakarta.

Au Yémen, les citoyens de Saada dans le nord du pays ont défilé et protesté contre la reconnaissance par Donald Trump de la ville de Qods comme capitale d'Israël. Les manifestants yéménites ont demandé aux Palestiniens de ne pas se fier aux régimes arabes qui emboîtent le pas à Israël et aux États-Unis.
En Jordanie, des centaines d'étudiants ont pris part à de vastes manifestations de protestation où ils ont scandé des slogans contre les États-Unis et Israël et exprimé leur solidarité avec le peuple palestinien.
Ces manifestations ont eu lieu dans plusieurs universités de Jordanie.

Au Liban, un grand nombre d'habitants des camps de réfugiés palestiniens à Beyrouth ont brûlé les drapeaux d'Israël et des États-Unis.
Ils ont également appelé les autres habitants à rejoindre ce mouvement de colère. Idem pour l'Université de Beyrouth qui a été le théâtre d'une manifestation de protestation contre la récente décision de Donald Trump.
Au Pakistan, des centaines de manifestants sont descendus dans la rue à Islamabad, Karachi, Peshawar et plusieurs autres villes afin de soutenir le peuple palestinien.
Sur le plan diplomatique, le gouvernement pakistanais a demandé à Washington de passer en revue toute décision visant à modifier le statut légal et historique de Qods.

En Tunisie, un grand nombre d'habitants de la capitale (Tunis) sont descendus dans la rue, jeudi 7 décembre, à l'appel de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT). Brandissant les drapeaux de la Palestine, les protestataires en colère scandaient des slogans contre les États-Unis et Israël et réclamaient l'expulsion de l'ambassadeur américain de Tunis.
Ils ont également appelé tous les pays à se mobiliser pour aider le peuple palestinien à remporter sa lutte équitable contre les Israéliens. Les manifestations similaires se sont déroulées dans d'autres villes de la Tunisie, en soutien à la souveraineté palestinienne de la ville de Qods.
Au Maroc, des étudiants et professeurs d'université se sont réunis à Guercif, chef-lieu d'une province éponyme, afin d'exprimer leur solidarité avec les Palestiniens.
Dans la foulée, l'Union marocaine du travail (UMT) a appelé les Marocains à se rassembler dimanche 10 décembre devant le bâtiment du Parlement.

En Turquie, les principales places des différentes villes ont accueilli les protestataires qui condamnaient haut et fort la récente décision de Donald Trump. Par ailleurs, des manifestants se sont réunis devant le consulat des États-Unis à Istanbul où ils ont scandé des slogans anti-américains et anti-israéliens en brandissant les drapeaux de la Turquie et de la Palestine. Une manifestation similaire s'est aussi déroulée à Ankara, près de l'ambassade américaine.
En Allemagne, des centaines de personnes de nationalité arabe et de confession musulmane ont pris part à un rassemblement, pas loin de l'ambassade américaine à Berlin.
Les protestataires ont souligné que rien ne changeait l'identité arabo-islamique de Qods, "capitale éternelle de la Palestine".

Aux États-Unis, la ville de Chicago, appartenant à l'État de l'Illinois, a été la scène d'une manifestation lors de laquelle des milliers de personnes se sont dites hostiles à la décision de leur président.
Sur les pancartes, portées par les manifestants, étaient libellés des slogans comme: "Qods est une ligne rouge!", "États-Unis! Israël! Coupez-vous la main de Qods!"
Une manifestation semblable a eu également lieu à New York.

Affaire de Qods : l’OCI se réunit la semaine prochaine à Istanbul
L’ambassadeur d’Iran à Ankara a annoncé qu’une réunion de l’Organisation de la coopération islamique sur le problème de la sainte ville de Qods aurait lieu la semaine prochaine, les 12 et 13 décembre.
Des chefs d’État et des ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’OCI seront présents à cette réunion.
Mohammad Ebrahim Taherian, ambassadeur iranien à Ankara, a déclaré à ce sujet :
« Après des échanges entre les présidents de la République islamique d’Iran et de la Turquie, il a été décidé d’organiser cette réunion de l’OCI en vue de nous unir et de prendre des mesures pour assurer la défense de la première qibla des musulmans du monde entier, à savoir la sainte ville de Qods, sans oublier le soutien qu’il nous faut apporter au peuple palestinien.
Pour toutes ces raisons, les 12 et 13 décembre 2017, nous tiendrons une réunion de l’OCI en présence d’experts, de ministres des Affaires étrangères et de chefs d’État des pays membres de l’OCI. »
L’ambassadeur iranien à Ankara a ajouté que ce plan malsain de Trump avait montré une fois de plus que l’ennemi cherchait à atteindre les musulmans, en profitant des différends qui existent entre eux. La réaction des dirigeants musulmans à l’annonce de Trump a ainsi montré que les musulmans restent unis malgré leurs différends.
Égypte : arrestation de 5 personnes après la prière du vendredi
Le ministère égyptien de l’Intérieur a fait état de l’arrestation de cinq personnes accusées de vouloir attenter à l’ordre public après la prière du vendredi de ce 8 décembre.
Les personnes interpellées faisaient partie du groupe des Frères musulmans. Elles avaient publié sur Internet des images antigouvernementales et envisageaient de mener des actions subversives.
Dans un communiqué publié sur la page Facebook du porte-parole de la sécurité égyptienne, on peut lire que les personnes arrêtées cherchaient à provoquer une vague de panique parmi les manifestants lors de la marche contre la décision de Donald Trump concernant Qods.
Affaire Qods : le Conseil de sécurité se réunit en urgence
Le Conseil de sécurité se réunit en urgence sur la question de la sainte ville de Qods.
La ministre suédoise des Affaires étrangères, Margot Wallström, a écrit sur Twitter : « Aujourd’hui, à la demande de la Suède et de sept autres États membres, la question de Jérusalem est examinée par le Conseil de sécurité des Nations unies. Que Qods devienne la capitale commune d’Israël et de la Palestine est une question qui ne peut être résolue que par la négociation. Toutes les parties doivent prendre des mesures pour parvenir à la paix et la violence doit être évitée. »

La décision du président américain de reconnaître la sainte ville de Qods comme la capitale d’Israël et le transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Qods a suscité de nombreuses critiques dans le monde entier. Aujourd’hui vendredi, de nombreux pays ont été témoins de manifestations de grande ampleur dénonçant les décisions irresponsables et insensées de Donald Trump.
Brexit : Londres et la Commission européenne sont arrivés à un compromis
Londres et Bruxelles ont conclu aujourd’hui, vendredi 8 décembre, un accord de compromis sur le Brexit.
Après une nuit de négociations, le « Monsieur Brexit » de l’UE, le français Michel Barnier, est parvenu à un accord avec son homologue britannique, David Davis, sur la situation des expatriés, le sort de l’Irlande et la facture du départ.
La deuxième phase des discussions, celle qui va régir la relation future entre l’UE et Londres, va donc pouvoir commencer et la date théorique de la concrétisation du divorce est le 30 mars 2019.
Les experts européens restent néanmoins sceptiques et ils avancent que les questions épineuses, à l’instar de la situation de l’Irlande, ne sont pas véritablement réglées.
Ce matin vendredi à Bruxelles, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a déclaré lors d’une conférence de presse commune avec la Première ministre britannique, Theresa May : « La négociation a été difficile, l’accord d’aujourd’hui est un compromis. »
Juncker a rappelé que c’était surtout le sort des expatriés, qui représentent 3 millions d’Européens sur le sol britannique, qui avait été prioritaire : « Ils ont été prioritaires dans cette négociation. Leurs droits resteront les mêmes après le Brexit. »
Les Britanniques ont accepté toutes les conditions financières des Européens, qui exigeaient un chèque de « sortie » pour solde de tout compte d’environ 50 milliards d’euros.
L’agence AP a écrit que le compromis restait ambigu et que les déclarations des responsables semblaient contradictoires.
À cet égard, elle a souligné que d’une part, les Britanniques avaient promis de se retirer du marché commun de l’UE et de son union douanière et que de l’autre, le nouveau compromis annonçait qu’il n’y aurait pas de frontière rigide sous le contrôle strict de la police et des forces de sécurité entre l’Irlande et l’Irlande du Nord. L’Irlande du Nord fait partie du territoire britannique. Or, après le Brexit, le Royaume-Uni n’aura qu’une seule frontière terrestre avec l’Europe, qui sera celle avec la République d’Irlande.
En effet, Theresa May a annoncé ce matin qu’il n’y aurait « pas de retour à une frontière dure » entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande, comme cela avait été exigé par Dublin.
Nigel Farage, ancien président du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni, a écrit dans tweet que ce nouvel accord de compromis « est une bonne nouvelle pour Mme May parce que nous pouvons passer à l’étape suivante de l’humiliation ».
Avec Le Monde
Soulever la sédition entre les chiites et les sunnites est le plus grand danger
La chose la plus dangereuse à laquelle l’ennemi a recouru est la sédition entre les chiites et les sunnites pour perturber le vrai visage de l’islam, alors que le vrai islam appartient à tous les moments, a-t-il précisé.
En remerciant les efforts de l’Iran dans le domaine du rapprochement des écoles islamiques, il a indiqué les progrès réalisés par l’Iran. Vos progrès a suscité l’inquiétude des ennemis, a-t-il ajouté.