تقي زاده

تقي زاده

Une fois de plus un convoi logistique de la coalition américaine a été visé dans le sud de l’Irak. L'explosion fait suite aux nombreuses autres qui se sont produites au cours du mois écoulé contre les convois américains. Tout ceci sur fond de l’indignation du peuple irakien contre la présence destructrice des États-Unis en Irak, ayant atteint son apogée suite à la grâce présidentielle de Trump accordée aux agents de Blackwater ayant massacré des civils irakiens en 2007.

Citée par le site web Dijlah ce lundi 28 décembre, une source de sécurité irakienne a fait état de l’explosion d’une bombe en bordure de route sur le trajet d’un convoi logistique de la coalition américaine dans la province d’al-Diwaniyah, dans le sud de l’Irak.

N’ayant pas fait de victimes ni de pertes matérielles, selon la source, l’explosion est similaire à celle produite le 26 décembre contre un convoi logistique américain sur la route internationale de Bagdad.

Le secrétaire général du mouvement Asaïb Ahl al-Haq d’Irak a fait part de l’implication d’une entreprise de sécurité britannique ayant décroché un contrat avec l’aéroport de Bagdad dans l’assassinat le 3 janvier 2020 du général Qassem Soleimani et du numéro deux des Hachd al-Chaabi, Abou Mahdi al-Mohandes.

Cité par Fars News, le secrétaire général du mouvement Asaïb Ahl al-Haq, Qais al-Khazali, a affirmé que la société britannique G4S, chargée de la sécurité de l’aéroport de Bagdad, avait eu un rôle dans l’assassinat de Soleimani et d’Al-Mohandes.

Le Roi-nu du  Maroc n'a pas pu contenir la rue, la tromper avec cette ridicule prétention qu'est la normalisation = le Sahara marocain. Des centaines de Marocains ont bravé l'interdiction royale et organisé, samedi 26 décembre, de nouvelles manifestations de protestation dans plusieurs villes du pays contre la normalisation entre le régime marocain et l’entité sioniste. Des centaines voire des milliers puisque la censure ambiante ne laissent fuiter aucune information politiquement incorrecte.

Et vu la liste des villes, ces défilés auraient été bien géants : Rabat, Fès, Oujda, Casablanca, Tétouan ...toutes y ont passé pour un premier éclatement de colère anti Rabat et anti sioniste. Les protestataires qui portaient des drapeaux de la Palestine ont scandé des slogans contre la normalisation avec Israël et contre les crimes commis par ce régime à l’encontre des Palestiniens. Ces rassemblements ont eu lieu alors que les services de sécurité marocains à Rabat ont refusé, il y a deux semaines, d’autoriser la tenue d’un sit-in de dénonciation contre la normalisation prévu devant le Parlement.

Mettant en garde l’OTAN, le vice-ministre russe de la Défense a averti que Moscou riposterait à tout déploiement de missiles américains en Europe.

Dans une interview accordée à la revue Rossiyskaya Gazeta le dimanche 27 décembre, le vice-ministre russe de la Défense, Alexander Fomin, a mis en garde l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) sur les activités militaires effectuées à proximité des frontières de la Russie, affirmant que Moscou répondait au déploiement de missiles américains en Europe.

« Les menaces de recourir à la force constituent une violation directe de la Charte des Nations unies. De telles actions ne resteront pas sans une réponse appropriée de notre part. Nous sommes toujours partis du principe que les problèmes les plus complexes doivent être traités à la table des négociations », a déclaré Alexander Fomin.

À l’occasion de l’anniversaire de la Bataille d’al-Furqan (la guerre de 2008), le Mouvement de résistance islamique de la Palestine, Hamas, a annoncé que « la Résistance reste toujours notre option principale pour faire aboutir la lutte contre l’ennemi sioniste ; ce régime n’aura aucune place en terre de Palestine ».

Dans un communiqué émis à l’occasion du jour anniversaire de la Bataille d’al-Furqan, cité par l’agence de presse Tasnim, le Hamas a annoncé :

« Nous ne sommes pas pressés pour la guerre, mais au cas où l’ennemi se ferait l’illusion de mener des agressions contre le peuple palestinien et de verser le sang des Palestiniens, nous lui ferons alors une surprise tellement sévère qu’il n’aurait jamais pu s'imaginer ; et grâce à Dieu, l’ennemi quittera Gaza, vaincu. »

« La libération des prisonniers palestiniens, aussi, restera l’un des objectifs remarquables du Hamas ; la Résistance ne s’apaisera pas un seul instant tant que les prisonniers ne seront pas libérés », ajoute le communiqué.

« Aujourd’hui, marquant l’anniversaire de la guerre de 2008, la Résistance est beaucoup plus forte et beaucoup plus préparée qu’auparavant, jouissant d’un appui populaire beaucoup plus solide que le passé », a affirmé le mouvement Hamas, et d’insister que la libération des prisonniers palestiniens faisait toujours partie des premières priorités du mouvement.

Âgé de 63 ans, Anthony Warner, principal suspect du récent attentat à la bombe dans le centre-ville de Nashville, capitale du Tennessee, a été tué dans l’explosion, ont affirmé les autorités fédérales.

Des centaines d'agents de police fédéraux et locaux ont travaillé pour mener une enquête sur l'affaire, ayant nommé, dans la nuit du dimanche 27 décembre, Anthony Warner comme l’auteur de l’attentat. 

«Il était présent lorsque la bombe a explosé et il a péri dans l'attentat», a déclaré Don Cochran, procureur américain pour la Jurisprudence de la Cour de district fédérale du Tennessee.

Loin d’être prêts d’indiquer s’il s’agit d’un attentat terroriste, les responsables américains ont déclaré qu'il n'y avait aucune preuve que quelqu'un d'autre ait été impliqué dans l’explosion, les enquêteurs insistant que l'explosion était probablement un attentat suicide.

Abou Dhabi aurait une alternative pour remplacer le président égyptien, en période de litige. La donne a changé entre l'Égypte et les EAU, tandis que de multiples motifs encouragent le président égyptien à prendre ses distances chaque jour davantage avec les EAU dont le rôle dans le processus de normalisation, ainsi que dans le projet de construction d'un nouveau canal maritime en faveur d'Israël, devient de plus en plus difficile à gérer pour Le Caire.

Depuis le coup d’État d’Abdel Fattah al-Sissi et la chute du gouvernement affilié aux Frères musulmans en Égypte, on était témoin de gigantesques aides financières d’Abou Dhabi au Caire qui avait réussi à subvenir à ses besoins en pétrole et à attirer l’investissement étranger.

Pendant toutes ces années, Le Caire faisait preuve d’une entente sans précédent avec Abou Dhabi envers les évolutions régionales, si bien que les deux parties adoptaient une politique de chevauchement dans leurs prises de position envers d’importants dossiers régionaux, dont la Libye, le barrage de la Renaissance, la guerre au Yémen, la normalisation avec Israël, etc.

Mais les relations entre l’Égypte et les EAU ont commencé depuis quelque temps à s’affaiblir pour des raisons dont la plus importante, selon les observateurs politiques, serait le rôle d’Abou Dhabi dans l’établissement des négociations préliminaires avec Tel-Aviv concernant la construction d’un nouveau canal maritime entre la mer Rouge et la Méditerranée, à l’image du canal de Suez situé en Égypte. Entre l’Égypte et les EAU rien ne va plus et c’est sur quoi revient un article du journal qatari Al-Araby Al-Jadeed basé à Londres dans son numéro de ce 28 décembre.

Le vice-ministre russe des affaires étrangères a déclaré que Moscou est opposé à l'ajout de nouveaux éléments à l'accord nucléaire iranien.
Sergei Ryabkov a fait ces remarques lundi, ajoutant que les mesures progressives proposées par le ministre russe des affaires étrangères Sergey Lavrov ces derniers jours sont des principes importants dans les détails de l'accord nucléaire.

Il a ajouté que l'ajout de nouveaux éléments à l'accord nucléaire existant aggravera les choses, ajoutant que proposer des initiatives telles que le PAGC plus est une mauvaise décision et inappropriée.

En mai 2018, l'administration de Donald Trump a retiré les États-Unis de l'accord nucléaire iranien de 2015, officiellement connu sous le nom de PAGC, et a réimposé des sanctions à l'Iran dans le but de saper les intérêts économiques du pays en interdisant aux autres pays de faire des affaires avec la République islamique.

Par la suite, l'Iran a introduit des réductions à ses propres engagements dans le cadre du PAGC afin de "rétablir l'équilibre entre ses droits et ses obligations".
Un journaliste de CNN, Jim Acosta, affirme que des partisans du président américain Donald Trump et un certain nombre de ses associés ont menacé de le tuer.
Jim Acosta, un journaliste de CNN qui a été licencié à plusieurs reprises par Donald Trump lors de ses conférences de presse, affirme que des partisans de Trump ont menacé de tuer plusieurs journalistes.

Selon Hill, Acosta a déclaré que lui et plusieurs autres reporters de la Maison Blanche ont été menacés d'assassinat pour avoir couvert des nouvelles de l'administration Trump.

"Je ne suis pas le seul journaliste de la Maison Blanche à avoir été menacé de mort", a déclaré le journaliste à CNN.

"C'est une sorte d'hostilité omniprésente et anti-démocratique envers le processus journalistique qui, je l'espère, ne se reproduira jamais", a-t-il déclaré.

"C'est très dangereux et préjudiciable à notre démocratie".

CNN a poursuivi l'administration de M. Trump lorsqu'elle a eu des difficultés à entrer à la Maison Blanche pour son correspondant principal, Jim Acosta. Selon le droit administratif de la Maison Blanche, les journalistes doivent obtenir un permis spécial pour couvrir leur travail.