تقي زاده

تقي زاده

L'Armée syrienne a lancé une contre-attaque visant les positions des terroristes du Front al-Nosra rebaptisé Hayat Tahrir al-Cham dans le nord-ouest de Hama. Les forces de l’armée syrienne ont réussi à reprendre aux terroristes de Hayat Tahrir al-Cham la ville de Kafr Houd.
 
Selon une source sur le terrain, l’armée syrienne a repris Kafr Houd après une courte bataille contre les terroristes de Hayat Tahrir Al-Cham tuant 14 d’entre eux.   

Les opérations de l'armée syrienne aux alentours des provinces de Hama et Idlib où l’accord de Sotchi a été violé à plusieurs reprises, ont débuté le 26 avril dernier. Elles se poursuivent désormais au sud d’Idlib.

Les unités de l’armée syrienne ont infligé de lourds dégâts matériels aux terroristes coupant leur voie de ravitaillement dans la banlieue sud d’Idlib et la banlieue nord de Hama en représailles à la violation du cessez-le-feu dans la zone de désescalade.

En vue de compenser leur défaite, les groupes terroristes ont vainement tenté d’attaquer les positions de l’armée syrienne dans la banlieue nord de Hama. Lors de ces affrontements les terroristes ont subi de lourds dégâts matériels et des pertes en vies humaines.

Aux sermons de la prière de l'Aïd al-Fitr, célébrée ce mardi à Téhéran, l'Ayatollah Khamenei a souligné que le Deal siècle, projet destiné à liquider la Palestine échouera.

Quelques heures plus tard et alors qu'il recevait les ambassadeurs des pays musulmans, le Leader de la Révolution islamique est revenu sur le danger qui menace la Palestine avant de lancer un avertissement aux "complices arabes" du régime d'Israël. 

L'armée syrienne et ses alliés ont libéré 23 villages occupés par les terroristes dans la banlieue de la province de Hama, au cours des derniers jours.  

Les opérations de l'armée syrienne aux alentours des provinces de Hama et Idlib où l’accord de Sotchi a été violé à plusieurs reprises, ont débuté le 26 avril dernier. Elles se poursuivent désormais au sud d’Idlib.

18 villages au nord et à l’ouest de Hama ainsi que 5 districts au sud de la province d’Idlib ont été libérés des mains des groupes terroristes, rapporte un site médiatique proche de "l’opposition" syrienne, Enab Baladi.

Parmi les villages repris par les forces syriennes, on peut citer Janaba, Tel Osman, Jabriya et Tel Huwash au nord et à l’ouest d’Idlib, al-Qasabiya, Hardaneh, Humayrat et Qaroutiya au sud.

La télévision officielle syrienne a annoncé mercredi 5 juin le début d’autres opérations de l’armée contre les axes de circulation et les lignes de ravitaillement des terroristes à Tarmala, à Nafir et près de Khan Cheikhoun, détruisant la majorité des caches des groupes terroristes tels que le Front al-Nosra et Jaych al-Izza et faisant des tués et blessés parmi ces derniers.

Le 26 mai dernier, la libération du village stratégique de Kafr Nabudah, au nord de la province de Hama à la frontière de la province d'Idlib,  est considérée comme une grande avancée sur le champ de bataille. Elle a fait reculer de plusieurs kilomètres les lignes de défense des terroristes.

Selon d’autres dépêches, la Turquie a livré une grande quantité d’armes au Front al-Nosra. Les forces opérant sous le commandement turc à Idlib et Alep au nord de la Syrie ont été déployées dans les zones de conflit en soutien à al-Nosra.

Dans le convoi d’armements fourni se trouveraient des dizaines de véhicules blindés, des rampes de lancement de missiles Grad, des missiles antichars et des missiles Thaad.

Les groupes terroristes dominent toujours la province d’Idlib et une partie du nord de la province de Hama.

En vertu de l'accord conclu entre l’Iran, la Russie et la Turquie le 17 septembre 2018 à Sotchi, la province d'Idlib et le nord de Hama sont définis comme une zone de désescalade. La Turquie a érigé 12 postes d'observation et l'Iran et la Russie en ont créé 8 à Idlib.

Les troupes turques occupent désormais 20 postes d’observation.

L’US Navy a dénoncé l’interception de son avion U.S. P-8A Poseidon par un chasseur russe Su-35 au-dessus de la Méditerranée orientale, accusant l’aviation russe d'avoir mis en danger la sécurité des avions US. Il s'agit d'une information particulièrement sensible dans un contexte de tension à Idlib et alors que les médias mainstream ne cessent de suggérer une possible "disposition russe" à tomber d'accord avec Israël et les Etats-Unis sur la suite à donner à la guerre en Syrie. 

Citée par Sputnik, la 6ème flotte de l’US Navy a annoncé le mardi 4 juin sur son site qu’un avion de chasse russe Su-35 avait intercepté à trois reprises son avion de patrouille maritime U.S. P-8A Poseidon au-dessus de la Méditerranée et dans l’espace aérien international.

Les 4 et 5 mai marqueront encore pour bien longtemps la mémoire collective des Israéliens, si tant est qu'une telle mémoire existe : les 690 missiles tirés contre les colonies sionistes ont largement changé la donné et marqué l'émergence d'un bloc de la Résistance qui à la faveur des trahisons et des lâchetés cristallisées autour du Deal du siècle, semble avoir attirer à lui, toutes les forces vives du Moyen-Orient. De nouvelles révélations viennent de se faire sur ces 48 heures de bataille de la Résistance israélienne contre Israël. Interrogé par Qassam.ps, Abu Ma'az, commandant des Brigades Izz al-Din al-Qassam, branche armée du Hamas a apporté de nouvelles précisions sur la puissance du feu palestinienne, manifestée début mai.

« La portée moyenne de nos missiles tirés contre les colonies israéliennes s'est nettement améliorée, un fait que mêmes les Israéliens ont reconnus à contre cœur.  Mais outre la portée de nos engins, l''intensité de nos tirs s'est amplifiée : les combattants palestiniens ont tiré des centaines de missiles à large charge explosive en moins de trentaine heures en direction de la Palestine occupée.  Et puis la riposte aux frappes israéliennes contre Gaza s'étendue sur un large rayon qui inclut la région stratégique de Beer-Sheva :  85 missiles se sont abattus sur Beer-Sheva tandis qu’Ashdod a été pris pour cible de 80 missiles. »

Pour la première fois depuis le premier sommet Kim/Trump, la Corée du Nord lance un sévère avertissement aux Etats-Unis : " Que les Américains ne mettent à l'épreuve la patience de Pyongyang". Cette mise en garde marque un tournant dans ce dossier alors que le président US et son entourage ne cessent de minimiser la crise ouverte entre Washington et Pyongyang. La Corée du Nord va-t-elle finir par surprendre l'administration US et par la désarmer totalement? 

Au seuil de l’anniversaire du sommet de Singapour qui s’est tenu entre Donald Trump et Kim Jong-un, la Corée du Nord a lancé, ce mardi 4 juin, une mise en garde contre les États-Unis. Pyongyang pointe du doigt Washington, car il exerce des pressions injustifiées et contre-productives. La déclaration finale du sommet du 12 juin 2018, qui entérine l’engagement des deux pays à faire une dénucléarisation complète de la péninsule coréenne tout en garantissant la sécurité de la Corée du Nord, pourrait être compromise si Washington poursuit ses pressions sur Pyongyang pour renoncer unilatéralement à l’arme nucléaire », indique le texte, publié par l’agence de presse officielle nord-coréenne, KCNA.

 

La guerre de drone bat son plein à Hama. Alors que les forces de l'armée syrienne ont encerclé le mont de Kabani, principale base arrière de l'armée turque et de ses supplétifs pour lancer des attaques contre Lattaquié et la base russe de Hmeimim, l'armée syrienne a affirmé avoir violemment repoussé les appareils kamikazes des terroristes qui visaient l'aéroport militaire de Hama. 

Les drones ont été interceptés et détruits près de l’aéroport situé dans la localité de Job Ramla à Hama. Pour l’instant, aucun détail officiel n’a été publié mais cette attaque n'est pas la première. La DCA syrienne a promptement réagi à l'attaque qui n'est pas une première. 

Hama fait partie des dernières zones en Syrie où les supplétifs qaïdistes de l'armée turque et des Etats-Unis se battent contre l'armée syrienne. Il y a une semaine, l'avancée fulgurante de l'armée syrienne s'est soldée par la reprise de la localité stratégique de Kfar Naboudah. Après un cessez-le-feu de 48 heures rompu le long de l'axe Idlib-Hama, l'armée syrienne a donc repris son offensive dans ces régions du nord-ouest de la Syrie.

 

À peine quelques heures après le refus du Leader iranien de tout dialogue sous pression avec les Etats-Unis, Donald Trump a affirmé depuis Londres vouloir dialoguer avec le président iranien Hassan Rohani. Il n'a pas écarté non plus les risques d'une confrontation militaire avec l'Iran. Et pourtant ... Lundi, le commandant en chef du groupe aéronaval USS Lincoln a reconnu ne pas vouloir s'aventurer dans les eaux du golfe Persique et préférer éviter des "tensions inutiles". Rai al-Youm analyse ce refus d'engagement militaire de la part des Américains qui n'est peut-être pas si volontaire qu'il paraît. " Le Renseignement militaire américain a dû collecter des infos comme quoi les Iraniens sont capables de contrer une attaque maritime d'envergure et ce, pas seulement à l'aide de leurs missiles sol-mer dont la portée atteint les  350 miles (563 km)" écrit le journal.

« De nombreux experts l'ont dit et redit : la difficulté de la navigation en période de conflit et des manœuvres militaires au large des eaux du golfe Persique ainsi que le pouvoir dissuasif de l’Iran seraient les principales raisons pour lesquelles le porte-avions Abraham Lincoln a évité le détroit d'Hormuz, quitte à se maintenir à une distance d’environ 450 miles (724 km). Et pourtant, les alliés arabes de Washington s'attendaient impatiemment à ce que les navires de guerre américains soient stationnés dans le détroit d’Hormuz et que surtout, le porte-avions d’Abraham Lincoln rejoigne la cinquième Flotte de l’US Navy à Bahreïn. Alors pourquoi les décevoir? », a noté le journal.

Lundi matin, l’armée israélienne a attaqué la Syrie et ciblé les forces militaires du pays sur l’aéroport militaire T4, dans la province de Homs.

Une source du terrain a déclaré concernant les détails de ces attaques au missile : « L’armée du régime sioniste a utilisé des drones pour lancer ces attaques sur l’aéroport militaire T4. » Elle a ajouté que le drone en question était probablement entré depuis l’espace aérien libanais dans la province syrienne de Homs en ajoutant : « Ce drone a tiré trois missiles sur l’aéroport militaire T4. »

Le gouverneur général de la Banque Centrale d’Iran s’est rendu en Corée du Sud afin de rencontrer les responsables de ce pays et de tenir des négociations monétaires et bancaires.
Lors de sa visite à Séoul, Abdolnasser Hemati, gouverneur général de la Banque Centrale d’Iran, aura des négociations avec son homologue sud-coréen, le ministre de l’Economie et le vice-ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.

Récemment, au cours d’une rencontre avec l’ambassadeur de la Corée du Sud en Iran, M. Hemati avait critiqué le comportement insupportable des banques sud-coréennes pour l’utilisation d’Iran des ressources de la Banque Centrale.