تقي زاده

تقي زاده

« L’ambassadeur des États-Unis à Berlin Richard Grenell s’adresse à l’Allemagne comme si elle était une colonie américaine lorsqu’il s’agit du gazoduc Nord Stream 2 », s’est indigné Klaus Ernst, président de la commission du Bundestag pour l’économie et l’énergie.

« Les déclarations de l’ambassadeur américain en Allemagne Richard Grenell sur la construction du gazoduc Nord Stream 2 laissent croire que l’Allemagne est une colonie des États-Unis, ce qui est inadmissible », a déclaré ce jeudi 16 mai Klaus Ernst, le président de la commission du Bundestag pour l’économie et l’énergie, cité par Sputnik. 

« Les Américains souhaitent vendre leur gaz sur le marché européen. Les mesures qu’ils entreprennent ne sont pas toujours agréables. Elles sont tournées non seulement contre les Russes mais aussi contre les Européens, par exemple contre les sociétés allemandes participant au projet Nord Stream 2. Les agissements de l’ambassadeur américain en Allemagne sont inadmissibles, on a l’impression que nous sommes une colonie des États-Unis », a indiqué M. Ernst, lors d’une conférence consacrée à la coopération gazière Russie-UE.

L'ambassade de Russie à Washington a déclaré que Moscou répondrait certainement de manière appropriée aux nouvelles sanctions américaines prises dans le cadre de la loi Magnitski, sanctions qui ajoutent l’unité spéciale des forces de réaction rapide de la République tchétchène et cinq citoyens russes sur la liste des sanctions.

Selon l’agence de presse TASS, l’ambassade russe aux États-Unis a annoncé dans un communiqué que Moscou réagirait fermement aux nouvelles sanctions américaines prises dans le cadre de la loi de Magnitski.

De surcroît, le département du Trésor des États-Unis a sanctionné l’unité spéciale des forces de réaction rapide de la République tchétchène et cinq citoyens russes. 

Selon le communiqué, « les nouvelles mesures anti-russes prises par les autorités de Washington concernant la loi dite Magnitski constituent une autre tentative unilatéral contraire au droit international. Moscou répliquera à ces actions. Normalement, lorsque nous réagissons à de telles actions, nous disons toujours que ce n'est pas le choix de la Russie. Nous souhaitons coopérer avec les États-Unis, mais il semble que la partie américaine ne partage pas cette idée» .

Les sanctions américaines contre les forces de la réaction rapide de la République autonome russe de Tchétchénie affecteront non seulement la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme, mais aussi la capacité de ces forces à prendre des mesures positives dans la région arctique ».

L'ambassade de Russie a également souligné que cette décision non constructive du gouvernement américain nuirait à la portée des récents pourparlers entre les principaux responsables russes et américains à Sotchi.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a nommé jeudi le Contre-amiral Ali Fadavi commandant en second du Corps des gardes de la révolution islamique et le général de brigade Mohammad Reza Naqdi au poste de commandant adjoint du CGRI pour la coordination.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a nommé jeudi le Contre-amiral Ali Fadavi commandant en second du Corps des gardes de la révolution islamique et le général de brigade Mohammad Reza Naqdi au poste de commandant adjoint du CGRI pour la coordination.

L’ayatollah Khamenei, qui est également commandant en chef des forces armées iraniennes, a salué les services des deux commandants supérieurs dans leurs postes militaires, affirmant que les deux ont été promus à de nouveaux postes sur proposition du commandant en chef de la CGRI, en raison de leur précieuse expérience et leurs compétences pour s’acquitter de leurs responsabilités.

Le contre-amiral Fadavi était le commandant adjoint de la GRC pour la coordination et, avant cela, le commandant de la marine du CGRI.
 
Le brigadier général Naqdi était le commandant de la force iranienne Basij (volontaire) et a occupé d'autres postes importants à CGRI avant d'être promu au nouveau poste de CGRI.

Le mois dernier, l’ayatollah Khamenei a également promu au grade de major général le brigadier général Hossein Salami, commandant du corps de la CGRI, et l’a nommé chef du Corps des gardes de la révolution islamique après la fin de ses deux mandats de cinq ans.

Il a rendu hommage au service du général de division Jafari au cours de ses 10 années de service et a déclaré: "Compte tenu de la déclaration du général de division Mohammad Ali Jafari sur la nécessité de modifier le commandement (du haut) de l'IRGC, ... et compte tenu de votre précieuse expérience et de vos compétences En exerçant des fonctions de direction et en assumant diverses responsabilités au sein de l'institution révolutionnaire, jihadiste et populaire du CGR, je vous promets au rang de major général et vous nomme commandant en chef du corps des gardes de la révolution islamique. "

Le chef a demandé au nouveau commandant en chef de continuer sur la voie du major-général Jafari et d'améliorer les capacités et l'état de préparation complets du CGRI dans tous les secteurs, de développer la spiritualité et le savoir-faire et de stimuler la promotion culturelle.

Ce sont les puissances régionales qui redéfiniront désormais les équations mondiales ; les USA se soucient d’arranger leur retrait du Moyen-Orient, sans perdre la face, selon un journal libanais.
Quel que soit leur commanditaire et eu égard au temps et à l’endroit où elles ont eu lieu, les frappes du dimanche 12 mai contre les pétroliers au port de Fujaïrah aux Émirats arabes unis transmet un message important : le temps est venu pour que les Américains quittent le golfe Persique et le Moyen-Orient.

« Les événements de l’après-Fujaïrah, évolution stratégique dans les conflits mondiaux au sujet du Moyen-Orient » : tel est le titre d’un article paru par le journal libanais Al-Binaa. L’auteur de l’article, Mohammad Sadeq al-Hosseini, estime que la fin de la présence aérienne et maritime des États-Unis dans la région stratégique du Moyen-Orient est désormais certaine et les puissances régionales qui redéfinissent les équations mondiales devront désormais y travailler.


« Pour défendre leurs intérêts, les États-Unis n’ont pas besoin et n’envisagent pas d’enter en guerre contre l’Iran. Par contre, une coopération positive avec l’Iran pourrait assurer les intérêts de Washington. D’autre part, les pays arabes du golfe Persique ne pourront pas supporter une guerre dans la région. »

Les concertations entre les États-Unis et la Russie, d’une part, et avec l’Union européenne, de l’autre, permettent de conclure que toutes les parties sont à la recherche d’une entente au sujet des mécanismes sécuritaires censés résoudre les tensions actuelles, pour passer à une future étape de collaborations internationales y compris le méga-projet chinois des « Nouvelles Routes de la soie », ajoute l’article.

Le silence des pays arabes du golfe Persique et leur mise à l’écart des contacts internationaux — malgré le fait que les récentes explosions aient eu lieu au port de Fujaïrah aux Émirats arabes unis — confirment, en quelque sorte, ce qu’on vient de dire, écrit le journaliste arabe, rappelant que lundi à Bruxelles, après une rencontre avec le secrétaire d’État US, la responsable de la politique étrangère de l’Europe a insisté sur le maintien de l’accord nucléaire avec l’Iran.

Selon le journal Al-Binaa, les évolutions en cours à l’heure actuelle laissent prévoir que les Américains vont arranger leur retrait du Moyen-Orient et des autres régions du monde, avec le souci de ne pas perdre la face et de façon à suggérer que leur retrait se fait une fois les résultats escomptés obtenus.
La ministre libanaise de l’Intérieur a déclaré que le Hezbollah faisait partie intégrante du tissu social du Liban et qu’il constituait la stratégie défensive du pays face à Israël.
 une interview exclusive, accordée ce mardi 14 mai au quotidien saoudien Okaz, la ministre libanaise de l’Intérieur Raya Haffar el-Hassan a exclu le désarmement du Hezbollah.

« À ce stade, nous essayons de régler les problèmes du pays et nous ne serons pas en mesure de le faire sans avoir le parti politique du Hezbollah et le courant Amal présents à la table du dialogue. Nous essayons de créer des connexions parmi tous les partis politiques du Liban », a déclaré Raya el-Hassan.

Le Hezbollah ne contrôle pas l’aéroport de Beyrouth

Madame la ministre a balayé d’un revers de main toutes les rumeurs selon lesquelles le Hezbollah contrôlerait l’aéroport international de Beyrouth.

« Le Hezbollah fait partie intégrante de la société libanaise. Il prend part aux élections, il est représenté par des députés au Parlement et il a une partie des portefeuilles ministériels du Liban. Les rumeurs sur l’aéroport de Beyrouth sont de nature politique et le gouvernement libanais en connaît bien les objectifs », a déclaré la ministre libanaise de l’Intérieur.

Concernant la décision des États-Unis et du Royaume-Uni de placer le Hezbollah sur la liste des organisations terroristes, Mme el-Hassan a déclaré que cette décision n’aurait aucun impact sur le cabinet et le Parlement du Liban.

Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah, a averti jeudi que toute force israélienne qui oserait entrer dans le sud du Liban serait anéantie.

L’Iran ne s’ingère pas dans les affaires du Liban

Interrogée pour savoir si les ingérences de l’Iran et de la Syrie ont causé le report de la formation du gouvernement au Liban, la ministre a répondu que la mise en place d’un État au Liban était une question entièrement intérieure et qu’elle ne concernait pas les parties étrangères.

« Il n’existait aucune ingérence étrangère. Tous les partis politiques du Liban ont des appuis sur le plan régional mais il n’existait aucune ingérence directe à ce propos », a-t-elle souligné.
 
Des manifestations anti-israéliennes se sont déroulées, ce mardi 14 mai, dans les différentes localités des hauteurs du Golan, occupées par le régime israélien.
 
Des habitants syriens des hauteurs du Golan, occupés par Israël, sont descendus dans la rue pour condamner la récente décision du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de donner le nom du président américain Donald Trump à une nouvelle colonie.

Selon l’agence de presse officielle syrienne (SANA), « les habitants de Majdal Shams, de Bakaata, d’Ayn Qinyah et de Masaada ont déclaré, à travers une série de manifestations de protestation, que la décision de Netanyahu était de nature agressive et illégale et contredisait la charte et les résolutions de l’ONU ». 

Le régime israélien n’a pas pu réaliser au Liban le même scénario qu’il avait mis en œuvre au Golan syrien. Ce qui a empêché ce scénario, c’est la capacité de dissuasion du Hezbollah libanais.

Sedqi al-Maqt, récemment libéré d’une prison israélienne, a souligné que les habitants des hauteurs du Golan étaient soumis à des mesures injustes imposées aux Syriens vivant dans les territoires occupés.

Le dimanche 12 mai, Benjamin Netanyahu a annoncé qu’il donnerait le nom du président américain Donald Trump à une nouvelle colonie sur le plateau du Golan.

La décision de Netanyahu intervient juste un mois après que le président américain a reconnu la « souveraineté » d’Israël sur le Golan.
« Il n’y aura aucune guerre ; la résistance reste l’option définitive du peuple iranien face aux États-Unis », affirme le Leader de la Révolution islamique.
Lors d’une audience accordée à des responsables de l’ordre islamique, le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a affirmé qu’il n’y aura pas de guerre.
 
« La meilleure option du peuple iranien est la résistance face aux États-Unis et dans ce face-à-face, c’est les États-Unis qui se verront obligés de faire machine arrière », a précisé l’Ayatollah Khemenei.
 
« Cette confrontation n’est pas militaire ; car il n’est pas établi qu’une guerre sera déclenchée. Personne ne cherche la guerre, ni nous ni eux. Ils savent bien qu’ils n’auraient aucun intérêt à déclencher une guerre. Cette confrontation est celle des volontés, et notre volonté est la plus forte. Parce que nous nous soumettons au décret de Dieu, ce qui renforce d’ailleurs notre volonté. »
 
Ailleurs dans ses propos, le Leader a expliqué pourquoi il n’est pas sage de négocier avec les États-Unis :
 
« Certains à l’intérieur du pays disent : mais quel est le problème avec les négociations ? La négociation est comme un poison. Et tant que le gouvernement actuel restera au pouvoir aux États-Unis, négocier avec Washington sera doublement empoisonné. »
 
Dans l’optique du Leader de la Révolution islamique, les Américains, loin de vouloir respecter les principes du dialogue, se focalisent sur nos points forts.
 
« Ils proposent de négocier sur notre armement défensif : “Négocions sur votre armement défensif, discutons ! Pourquoi fabriquez-vous des missiles de telle ou telle portée ? Réduisez la portée [de vos missiles], afin que vous ne pussiez pas riposter et frapper notre base [militaire] si nous frappons la vôtre.” Eh bien, ça va de soi qu’aucun Iranien sage et patriote n’acceptera de négocier ses propres points forts. Ou encore, ils disent : “Négocions à propos de votre profondeur stratégique” ; ce qui veut dire : acceptez de renoncer à votre profondeur stratégique aussi. »
 
Sur ce fond, le Leader a estimé que dialoguer ne serait pas sage, surtout avec l’administration américaine actuelle qui ne respecte aucun principe.
 
L’Ayatollah Khamenei a ajouté :
 
« Il n’y a nul doute que l’hostilité américaine, dont on a été témoin depuis les premiers jours de la Révolution islamique, a adopté aujourd’hui un caractère très évident. Cette hostilité a toujours existé auparavant, mais elle n’a jamais été aussi explicite qu’aujourd’hui. Aujourd’hui ils le montrent clairement et se permettent de menacer clairement. Et il faudrait se rappeler que quiconque menace à haute voix, sa puissance réelle n’est pas à la hauteur de sa voix. »
 
« Ils [les responsables américains] respectent les intérêts du régime israélien, plus que tout autre État. Ce sont les sionistes qui ont une mainmise sur beaucoup d’affaires [aux États-Unis]. Les Américains ont besoin de faire du bruit. Ils disent que leur comportement a changé [celui de] l’Iran ! Eh bien oui, ils ont quelque part raison ; en ce sens que la haine du peuple iranien envers l’Amérique est 10 fois plus grande qu’auparavant. Ce changement, on peut le constater dans le fait que leur objectif de porter atteinte aux intérêts de la RII devient chaque jour de plus en plus inaccessible. Ce changement, on peut aussi le constater dans le fait que la volonté de notre jeune génération pour préserver les lignes directrices du pays a augmenté, tout comme la vigilance de nos forces sécuritaires et militaires. »
 
« Regardez combien les ennemis se trompent dans leur évaluation de la situation. Leur président dit : il y a une manifestation tous les vendredis à Téhéran contre l’ordre au pouvoir. Alors que premièrement, il ne s’agit pas de vendredis, mais de samedis ; et deuxièmement, c’est à Paris et pas à Téhéran. »
vendredi, 17 mai 2019 11:30

Les nuits blanches du mois Ramadan

•La 13ème nuit de Ramadan

Elle est la lère nuit des nuits ‘blanches’ (de pleine lune). Il y a 3 choses à faire :

1)    La douche rituelle (les grandes ablutions)

2)    La prière de 4 raka ’ats, en récitant pour chaque raka ’at après al-Hamd, Le Culte Pur 25 fois.

3 )La prière de 2 raka ’ats que nous avons déjà mentionnée lors de la 13ème nuit des mois de Rajab et de Sha’aban. Pour chaque raka'at, réciter après al-Fâtihah (I), les sourates Yâ Sîn (XXXVI), Le Royaume (LXVII) et Le Culte Pur (CXII).

La 14ème nuit de Ramadan

-Prier les mêmes 4 raka ’ats avec 2 saluts.

- Lire l’invocation Le Sauveur (al-Mujir) que, si nous la récitons pendant les jours «blancs» (de pleine lune) du mois de Ramadan, nos péchés sont pardonnés par Dieu, même s’ils sont au nombre des gouttes de la pluie, des feuilles des arbres, des [grains] de sable de la terre.

•La 15ème nuit de Ramadan

C’est une nuit bénie et il y a des actes.

1)La douche rituelle (les grandes ablutions)

2)La visite (ziyârat) à l’imam Hussein(p)

3)La prière de 6 raka ’ats en récitant après al-Fâtihah (I), les sourates Yâ Sîn (XXXVI), Le Royaume (LXVII) et Le Culte Pur

(CXII).

4)La prière de 100 raka'ats en récitant, pour chaque raka ’at, après al-Fâtihah, Le Culte Pur (CXII) 10 fois.

Sheikh Mufîd rapporte dans al-Maqna ’at, du Prince des croyants(p) qu’à celui qui fait cette prière, Dieu Très-Elevé envoie 10 Anges qui repoussent loin de lui ses ennemis, des djinns et des hommes, et lui envoie 30 Anges au moment de la mort qui le protégeront du Feu.

5)[Il est rapporté] de [l’imam] as- Sâdeq(p) : on lui(p) demanda : «Que vois-tu pour celui qui se tient près de la tombe d’al-Hussein(p), la nuit de la mi-Ramadan ?» Il(p) répondit : «Bakh ! Bakh !» (en signe de glorification et de satisfaction de cet acte). A celui qui prie 10 raka ’ats auprès de sa tombe, la nuit de la mi-Ramadan, après la prière du soir (autre que la prière de la nuit), en récitant pour chaque raka ’at, après Fâtihah al-Kitâb (I), Le Culte Pur (CXII) 10 fois et qui demande le refuge auprès de Dieu contre le Feu, Dieu inscrit l’affranchissement du Feu. Et il ne meurt pas avant d’avoir vu des Anges lui annoncer le Paradis et des Anges l’assurer contre le Feu.»

•Le 15ème jour de Ramadan

En ce jour en l’an II de l’Hégire, a eu lieu la naissance de l’imam Hassan al-Mujlabâ(p).

Al-Mufîd dit qu’a eu lieu également en ce jour, en l’an 195H, la naissance de l’imam Mohammed at-Taqî(p). Cependant, la date la plus connue est différente de celle-là.

En tout cas, ce jour est un jour très noble. Et pour l’aumône et les bonnes actions en ce jour, il y a beaucoup de récompenses..

 

************************************

 

La 17ème nuit de Ramadan

 

C'est une nuit très bénie. Durant cette nuit, eut lieu l’affrontement des deux armées à Badr, celle du Messager de Dieu(sawas) et celle des incroyants de Quraish et le jour suivant, eut lieu l’expédition militaire de Badr où Dieu accorda la victoire à l’armée du Messager de Dieu(s) sur les associationnistes. 
Elle fut la plus grandiose victoire de l’lslam. C’est pourquoi nos savants dirent qu’il est recommandé de multiplier les aumônes et les remerciements durant ce jour.

Et pour la douche rituelle et les actes d’adoration durant la nuit, il y a également une faveur grandiose. Je dis : Selon de nombreux propos rapportés, le Prophète(s) demanda à ses compagnons la nuit d'al-Badr : «Y a-t-il quelqu'un d’entre vous qui, durant cette nuit, veut bien aller au puits nous apporter à boire ?» Ils se turent et personne ne se leva pour le faire.

Le Prince des croyants, Imam Ali(s) prit un récipient et s’en alla chercher de l’eau. C’était une nuit sombre, froide. Le vent soufflait. Il arriva au puits qui était profond et sombre. Ne trouvant pas de seau pour puiser l’eau, il descendit dans le puits et remplit le récipient. Puis il grimpa [du puits] et prit le chemin du retour quand une tempête se leva. Il s’assit par terre tant elle était forte.

Quand elle se calma, il se leva et continua son chemin. Une seconde tempête se leva, comme la première, qui lui coupa le chemin. ll s’assit par terre jusqu’à ce qu’elle se calmât, puis il se leva et continua son chemin.

Quand arriva une troisième tempête qui souffla plus fort contre lui, il s’assit à nouveau par terre jusqu’à ce qu’elle s’arrêtât. Il se leva alors et continua son chemin jusqu’à atteindre le Prophète(s).

Le Prophète(s) lui demanda les raisons de son retard.Il(s) dit : -«Trois tempêtes se sont levées contre moi, me secouant fortement. J’ai dû m’asseoir jusqu’à ce qu’elles se dissipassent.

-Sais-tu ce qu’étaient ces tempêtes, ô ‘Ali ? -Non ! -La 1ère tempête était [l’Ange] Gabriel avec 1000 Anges.

Il(p) te salua et ils te saluèrent. La 2de était l’Ange Michâ’îl avec 1000 Anges. Il(p) te salua et ils te saluèrent. La 3ème tempête était [l’Ange] Isrâfil avec 1000 Anges. Il(p) te salua et ils te saluèrent. Tous sont descendus pour nous venir en aide.» »

Je dis : Cela indique ce que certains ont dit, que le Prince des croyants(p) avait 3000 hauts faits en une [seule] nuit. Sayyed alHimyârî l’indiqua dans un poème à sa(p) louange.

vendredi, 17 mai 2019 11:27

10 ramadan, le dece du hazrate Khadija

Les propos de l’Ayatollah Safi en rapport avec l’éminente personnalité de la dame Khadija 

 

http://www.taqrib.info/french/images/stories/khadije.jpgKhadija (paix sur lui) fut un modèle ostensible de la perfection, du génie, de la compréhension et de la perspicacité, que très peu de gens pouvaient se mesurer à elle en ce domaine, s’agissant des hommes que des femmes.

 

Parmi les qualités qui caractérisaient la dame Khadija, nous pouvons citer entre-autres la chasteté, la noblesse de caractère, la pureté, la générosité, la sociabilité, la sincérité, l’amabilité et la loyauté. A l’époque préislamique, elle fut appelée l’immaculée et la maitresse des femmes Quraychites et à l’avènement de l’Islam, elle est reconnue comme l’une des quatre dames du paradis jouissant de la prééminence et de la suprématie, qui mise à part sa chère et valeureuse fille, aucune de ces dames ne possède ni son rang ni sa mérite.

Elle fut un grand bienfait pour le Messager de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille), une bénédiction dans l’océan de bénédictions divines. Elle fut une épouse intelligente, sage, bienveillante et  compatissante ; un excellent repos pour le cœur et l’esprit ; un soutien à l’opiniâtreté ; et  la personne capable de conjurer la lassitude et l’anxiété de l’homme, surtout de celui qui, en dehors de la maison et au sein de la communauté, exerçait d’importantes activités ; celui qui esquissait un immense dessein-pour la délivrance du monde- ; celui à qui la responsabilité dans la déclaration de la guerre et du jihad incombait ; celui qui fut l’objet d’attaque de la part des antagonistes et d’agression de celle des ennemis.

Si un homme en dehors de la maison est en guerre contre les ennemis et fait face à des attaques féroces, des moqueries, des réprimandes, des désagréments et des tourments de la part des gens et, aussi dans la maison, il se retrouve face à une épouse ignorante, maussade, apathique et insolente qui l’empêche d’accomplir sa tâche, de se concentrer sur son objectif en vue d’atteindre le but auquel il s’est fixé, qui ne se cesse de le reprocher et qui le contraint à abandonner la lutte et à se résigner ; du fait que chaque jour son mari fait l’objet de répression et de moquerie de la part des ignorants, elle cède à la lassitude et à la mélancolie et ne fournit aucun effort dans le sens de trouver la solution aux problèmes de son mari ; sans nul doute, les difficultés de cet homme ne feront que doubler.

Le Prophète de l’Islam (salut et paix sur lui et sur sa famille), le porteur du plus important message céleste, a reçu de la part de Dieu la mission de se dresser contre les superstitions et le symbole du polythéisme, d’idolâtrie et de la tyrannie ; d’affranchir de la privation les peuples sans défense ; d’œuvrer à l’éradication de la pauvreté, de l’ignorance et de la sottise ; de lutter contre la corruption-sous toutes ses formes-, la débauche et tout ce qui témoigne de la bassesse-du cœur et de l’esprit- ; d’en découdre avec les insoumis, les infidèles, les idolâtres fanatiques, les chefs de tribus et les esclavagistes ; et de s’attaquer aux coutumes-rétrogrades-, aux religions futiles et aux fanatismes aveugles.

Les polythéistes ont mobilisé tous les moyens à leur disposition, entre autres des braves herculéens et vaillants, des poètes satiriques et ironiques, des canailles et des bandits-de grand chemin- , des hommes et des femmes, des autochtones et des étrangers, dans le but de contrecarrer les objectifs fixés par cette illustre personnalité, et pour qu’ils puissent enfin la tourmenter et la maltraiter, ainsi que certains de ses partisans, en la causant de l’affliction, en la chargeant d’injures, en parsemant d’épines et de brindilles de bois mort les chemins auxquels elle empruntait, en l’outrageant en état de prière et d’adoration et en coupant leurs relations avec elle, ainsi qu’avec ses compagnons. Ils ne mettaient à sa disposition, ainsi qu’à celle de ses partisans, ni la nourriture ni la boisson, de même que le fruit. En gros, le décor extérieur fut planté dans la perspective d’une guerre et d’une bataille à livrer contre le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), et tous les polythéistes s’opposaient catégoriquement à son appel, ainsi qu’à son message.

Avec l’existence de tous ces ennemis, de tous ces obstacles et de toutes ces difficultés, et si au milieu de tous ceux-ci le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), chaque jour lorsqu’il rentrait à la maison et qu’il se trouvait face à cette épouse, considérée comme la maitresse des femmes Quraychites, étant pourvu de cette personnalité-tant inventée-et propriétaire de toute cette richesse et de toute cette opulence, avec un visage triste et protestataire qui, par compassion, par pitié ou par objection, lui demandant d’abandonner son appel et de ne pas exposer sa propre personne à toutes ces humiliations et moqueries ; dans quelle situation étrange et délicate se plaçait-il ?!

Si cette respectueuse épouse, laquelle a mis à la disposition de son mari son immense richesse pour qu’il puisse la dépenser dans le chemin de Dieu et dans l’assistance  aux pauvres, lui faisait cette proposition : qu’il est convenable que le peuple et les tribus présents t’intronisent comme leur chef et leur rois, sois transigeant ; ne te préoccupes pas de leur religion et ne fais pas attention à leur coutume ; et ne troques pas notre vie paisible et tranquille contre celle débordante d’incident et d’anxiété ; comment le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) parvenait-il à la persuader ? Et quelle personne a-t-elle le pouvoir de verser du baume sur les blessures de l’âme et du corps de cette illustre personnalité ?

Sans doute, d’un bout à l’autre, la vie du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) de l’intérieur à l’extérieur de la maison fut parsemée d’obstacles, de menaces et d’écueils. Mais la grâce de Dieu a ainsi ouvert les fenêtres du cœur de Khadija à la compréhension de la justesse de l’appel de l’Islam et a orienté son âme vers la lumière et l’abondance de la connaissance et de la sagesse, de telle sorte qu’au grand jamais le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) ne soit exposé à un tel spectacle déplorable à l’intérieur de la maison.

Docteur Binti Shati dit : « possédant cette disposition d’accepter avec une grande foi l’appel historique de son mari, en l’accueillant les bras ouverts avec un cœur rempli d’amour et de tendresse au moment où il revenait de la grotte de Hira ; hormis le fait qu’elle croyait à sa sincérité et au fait que Dieu ne le laissera jamais seul, elle n’entretenait aucun doute dans son cœur ; quelle autre épouse pouvait-elle être si ce n’est Khadija ?

Est-ce qu’à part Khadija, n’existait-elle pas une autre dame richissime qui, dans l’opulence, la quiétude et le respect, pouvait avec une totale approbation et tranquillité de l’âme s’abstenir de mener une  vie luxueuse, extravagante, glorieuse et fastueuse, afin de rester auprès de son mari, dans les moments les plus difficiles de la vie, et de l’assister dans les malheurs et dans les difficultés qu’il rencontrait dans le chemin conduisant à la réalisation de l’objectif auquel il croyait en sa justesse, point du tout ! Seule Khadija remplissait ses critères, les autres femmes n’étant pas à son auteur, hormis celle qui partage sa classe et son rang.»(1)

Dieu a offert Khadija au Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) en échange de la ville de Mecque, de sa population, de leur amabilité, de leur amour et de leur accueil de l’appel à l’unicité ; celle-ci lorsque cette illustre personnalité rentrait à la maison, elle s’empressait d’aller à sa rencontre, en la réservant un accueil chaleureux, en l’interrogeant sur son état, en la témoignant de l’amabilité, en la remémorant la mansuétude, la victoire et la grâce de Dieu, en essuyant la poudre et la poussière se trouvant sur son visage rayonnant et en faisant disparaitre dans son cœur, avec tant de consolation, l’affliction et le tourment dont elle fut l’objet de la part de gens.

Ibn Ishaq dit : bien qu’il ne prêtait pas l’oreille à la parole de gens, en rapport à la répulsion et à la réfutation, celle-ci suscitait de l’angoisse et de l’amertume dans sa pensée et dans son for intérieur ; cependant, Dieu par l’intermédiaire de Khadija éloignait de lui cette angoisse. Khadija rendait flexible la rudesse des paroles sévères qu’on lui adressait et lui affirmait sa qualité de véridique. Aussi, elle considérait comme sans valeur et sans importance le comportement de gens, ainsi que leur désinvolture.

Certes, Khadija fut la première femme avoir accepté la religion islamique et avoir prié avec le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), mis à part Ali Bin Abi Talib (paix sur lui) qui avant et après la révélation fut en permanence le compagnon et le disciple de celui-ci (salut et paix sur lui et sur sa famille) et qui ne s’est jamais éloigné  un seul instant de son chemin et de sa tradition, aucune autre personne parmi les serviteurs de Dieu ne la devancer dans l’acceptation de l’Islam. Avec une clairvoyance hors norme, des réflexions judicieuses et avisées et une conjecture juste qu’elle possédait, Khadija a accepté l’invitation du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille). L’excellent et brillant antécédent du Messager de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille), sa moralité, sa loyauté, sa probité et son intégrité dans la garde des dépôts ; l’aide aux faibles et l’assistance aux pauvres ; la modestie, la sobriété et l’abnégation ; la largesse, l’hospitalité ainsi que toutes les qualités admirables de cette illustre personnalité ; tous ceux-ci aux yeux de Khadija, cette femme de grande expérience et de haute sagesse, furent personnifiés. Et elle savait que cet antécédent singulier et vierge dans un tel environnement, obscur et plein de perversion et de corruption, fait partie de signes de la prophétie.

Khadija connaissait très bien le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) et savait que celui-ci se préservait de toute futilité et détestait le mensonge.

C’est pour cela Khadija n’a pas posé la moindre résistance et n’a hésité en aucun moment dans l’acceptation de l’Islam ; et de ce premier pas, elle est devenue le soutien et l’assistante  du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille). Ainsi, pour soutenir la religion de Dieu, elle a mis sa fortune et tous ses biens à la disposition du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille).

Khadija aussi, tout comme le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), ne fut pas épargnée de la persécution de polythéistes, les femmes l’ont délaissée et ont rompu tout contact avec elle ; celles-ci invectivaient contre elle et lui tenaient des propos grossiers, voire même au moment de l’accouchement, elles ne sont pas venues à son secours, en la laissant seul face à son sort.

Mais, Khadija scrutait l’avenir pendant que les autres se distrayaient. Elle savait que la religion de Mohammad est la seule véridique, que bientôt l’adoration de Dieu unique prendra la place de celle des idoles et que Dieu va secourir son Prophète, et jour après jour la renommé de celui-ci partait en flèche.

Certes, Khadija a atteint un rang en Islam que parmi les dames, à l’exception de sa fille qui est la maitresse des femmes des mondes, aucune d’elles n’a atteint ce rang et cet honneur, et Dieu a placé la progéniture du Prophète sur une telle dame. Le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), en pleine ardeur juvénile, à l’âge de vingt cinq ans, s’est marié à Khadija qui avait atteint la quarantaine. Durant à peu près vingt quatre ans, Khadija fut la lanterne de la maison du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), sa compagne et son réconfort ; et celui-ci n’a pas connu d’autres femmes du vivant de celle-ci, c'est-à-dire jusqu’à l’âge de cinquante ans pour sa part et soixante et cinq ans pour celle de Khadija.

Aussi, après Khadija, quoiqu’il a connu plusieurs femmes en raison d’exigences de bon sens et de certaines considérations, mais aucune d’elles n’a reçu à prendre la place de celle-ci, et le vide créé par sa perte s’est fait vite sentir dans la maison du Messager de (salut et paix sur lui et sur sa famille) et elles n’ont pas su le remplir ; le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) n’a eu aucun enfant avec elles et sa postérité est restée attacher à Khadija.

Le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) n’a jamais pu oublier Khadija, il se souvenait de sa moralité et de ses qualités, et manifestait de la bienfaisance et de la bienveillance aux personnes qui furent ses amies et ses connaissances.

Aicha dit : « je n’ai jamais été autant jalouse d’aucune des femmes du Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) comme je l’ai été de Khadija. Parce que le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) se commémorait beaucoup d’elle et lorsqu’un mouton est égorgé, il envoyait une partie de celui-ci à des amies de Khadija ». (2)

Et on a aussi rapporté d’Aicha : « le Messager de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille) ne quittait pas la maison sans pour autant se souvenir de Khadija et parlait d’elle avec bonté et délicatesse, en la complimentant et en faisant son éloge ». (3)

Anas Ibn Malik a rapporté que le Prophète de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille) a dit : « les meilleures femmes du monde sont : Mariam Binti I’mran, Asia Binti Muzahim, Khadija Binti Khuwaylid et Fatima Binti Mohammad (salut et paix sur lui et sur sa famille) ». (4)

Il est rapporté d’Ibn A’bas : «le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) a tracé quatre lignes sur le sol et a dit : « savez-vous la signification de celles-ci ? ». Ils ont déclaré : « Dieu et son Messager sont les plus savants ». Le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) a dit : « les femmes les plus vertueuses du paradis sont : Khadija Binti Khuwaylid, Fatima Binti Mohammad (salut et paix sur lui et sur sa famille), Mariam Binti I’mran et Asia Binti Muzahim –l’épouse du Pharaon-. » (5)

Il est rapporté dans Sireh Ibn Isham : « un jour Jibril est venu au service du Messager de Dieu, en disant : « fais parvenir la salutation à Khadija de la part de Dieu».

Le Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille) a dit : Jibril ici présent te transmet la salutation de la part de ton seigneur. Khadija a alors dit : Dieu, la Paix suprême, de lui vient la paix, et que la paix soit sur Jibril ». (6)

Et dans le récit de Hakim, Khadija a dit :

« Certes, Dieu est la Paix suprême, que la paix soit sur Jibril ; et que la paix, la miséricorde  et la bénédiction de Dieu soit sur toi ». (7)

L’une des priorités de Khadija fut de toujours rendre hommage au Prophète (salut et paix sur lui et sur sa famille), avant et après la révélation, et d’approuver sa parole. Les qualités et la noblesse de la moralité de Khadija sont tellement légion que la plume de votre humble serviteur est impuissante pour les élucider. Que la paix de Dieu soit sur elle ; sur son époux, le Messager de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille) ; sur sa fille, la maitresse des femmes des mondes ; sur son gendre Ali, le commandeur des croyants et le maitre des musulmans ; et sur ses petits fils, les Imams infaillibles.

Lutfullah Safi

Bibliographie :

1- Ahlul Bayt – Tawfiq Abu A’lam, p.102, tarjumeh Naql be Ma’na.

2- Asdolghobeh, tome 5, p.436 et autre livre.

3- Idem.

4- Asdolghobeh, tome 5, p.437, Al-Isti’ab, Bahamsh Al-Ashabeh, tome 4, p.284-485.

5- Idem.

6- Kashfu Ghamah, tome 2, p.124, O! Khadija, Jibril ici présent te transmet la salutation de la part de ton seigneur. Khadija a alors dit : « Dieu, la Paix suprême, de lui vient la paix, et que la paix soit sur Jibril ».

7- Kashfu Ghamah, tome 2. Farsi, p.124, Dieu est la Paix suprême, que la paix soit sur Jibril ; et que la paix, la miséricorde  et la bénédiction de Dieu soit sur toi.

Khadija est resté auprès de son mari, le Prophète de Dieu (salut et paix sur lui et sur sa famille) dans les moments les plus difficiles de la vie et l’a assisté dans les malheurs. Elle fut une femme compréhensive et intelligente, généreuse, sociable, aimable, loyale et sincère.

 

Khadija rendait flexible la rudesse des paroles sévères qu’on lui adressait et lui affirmait sa qualité de véridique. Aussi, elle considérait comme sans valeur et sans importance le comportement de gens, ainsi que leurs désinvoltures.

vendredi, 17 mai 2019 11:25

Hazrat khadija

Au nom Allah le miséricordieux , le plus miséricordieux

 

Le 10 du Mois Ramadan 3 ans avant l`Hijir, est l'anniversaire de décès  triste de Grande Dame d`Islam, la vénérée Khadija. Dame Khadija la première femme du Noble Prophète(pslf), la première femme croire en lui et la mère de Dame Fatima Zahra, l`impeccable.

Prophète(pslf) a perdu dans la même année deux grand soutient, sa femme douce et pieuse Khadija(Tahira) et son grand oncle Abou-Taleb.Il fut très triste et appela cette année « l’année du chagrin ».

Il suffit pour l’honneur de Dame Khadija, qu’Allah lui envoie une salutation spéciale pour lui rendre hommage grâce à son service au prophète et à son message.  En effet, il a été évoqué dans un récit  qu’Allah envoya le loyal Gabriel au Prophète (que la bénédiction d'Allah soit sur lui et sur sa famille) pour lui dire :

« O Mohamed, dis à Khadija qu’Allah t’envoie ses salutations »
Elle lui répondit:
«
ان الله هو السلام ، وفیه السلام ، الیه السلام ، وعلی جبرئیل السلام
Allah c`est lui Salam, c`est de lui le Salam et se retourne vers lui le Salam, et sur l`ange Gabrielle le Salam."