
تقي زاده
Leçons tirées de la bataille d'Uhud
Bien que les Musulmans subirent de lourdes pertes dans cette bataille, les effets de cette défaite leur furent bénéfiques; en effet, ils tirèrent la leçon de cette guerre qu’ils avaient perdue parce qu’ils n’avaient pas suivi les ordres du Prophète (صلى الله عليه وآله و سلم). Leur défaite était une épreuve pour eux, et des cendres de la bataille, ils ressortirent plus déterminés et désireux de défendre leur foi et leur cause : l’Islam.
Le Coran prend, après la bataille d'Uhud, une attitude critique en évaluant les comportements des Musulmans dans cette bataille : ((Ne faiblissez pas, ne vous attristez pas, vous êtes supérieurs si vous êtes croyants [purs et sincères]. Si une blessure vous atteint, le groupe [ennemi] a été blessé aussi. Ces journées, Nous les faisons alterner chez les hommes afin que Dieu distingue les croyants et choisisse parmi vous des témoins. Dieu n’aime pas les injustes, et afin que Dieu purifie les croyants et anéantisse les mécréants [injustes].)) (Coran III, 139-141). La défaite dans cette bataille a provoqué, dans la conscience islamique, un profond sentiment d'épuisement, de faiblesse et de grisaille. Ils se demandaient avec lourde insistance à l'intérieur de leurs âmes : Comment tout cela a-t-il pu avoir lieu ? Et pourquoi ? Mais face à cela, le Coran prend une attitude de refus face à cet état d'abattement qui a régné parmi les croyants, car l'abattement et la tristesse expriment un état d'écrasement intérieur face à la défaite. Ils traduisent un repli spirituel qui détruit le sentiment d'honneur et de dignité. Dieu fait jaillir dans les âmes des croyants l'élan de la foi et ses significations en liaison avec la place qu'occupe le croyant dans la vie. Selon la véritable mesure des choses, le croyant est le supérieur, car son attachement à Dieu lui donne le sentiment de posséder la plus grande puissance. Son élan à partir de la règle de la foi lui inspire l'idée supérieure. Son action au service de la vie l'attire vers le haut, vers la réalisation des buts de son action. C'est ainsi que la foi se transforme en un élément de force qui porte le croyant à se sentir plus fort que tous les éléments de faiblesse, de peur et d'affliction. La foi l'appelle à se sentir fort et spirituellement joyeux en souffrant et en se sacrifiant sur la voie du jihâd.
Ainsi, Dieu a appelé les Musulmans -après leur avoir demandé de renoncer à l'affliction et à l'abattement et de se sentir supérieurs sur la voie de la foi- et les a placés face à la réalité du tableau : ((Si une blessure vous atteint, le groupe [ennemi] a été blessé aussi.)). Si les Musulmans sont vaincus et atteints d'une blessure dans la bataille d'Uhud, les mécréants avaient été dans une situation pareille dans la bataille de Badr. La défaite n'est pas quelque chose d'immuable pour ceux qui la subissent dans telle ou telle bataille. La victoire n'est pas, non plus, une loi inéluctable et permanente qui régit la vie des vainqueurs lorsqu'ils l'emportent dans telle ou telle bataille. Le Vaincu peut finir par être vainqueur, tout comme le vainqueur peut finir par être vaincu.
Parmi les images que nous offre la fin de la bataille d'Uhud, avec la défaite qui a succédé au triomphe initial; et qui a mis en évidence beaucoup de points négatifs, intellectuels et spirituels, qui ont caractérisé les divers personnages ayant participé au combat, nous trouvons celle qui nous est présentée par les Nobles Versets suivants : (([Rappelez-vous] lorsque vous fuyiez, sans faire attention à personne, et derrière vous, le Prophète vous appelait. [Dieu] vous a infligé tristesse sur tristesse [passagère de ce monde] afin que vous ne vous affligiez pas ni [à propos] de ce qui vous a échappé ni [à propos] de ce qui vous a frappés [et que votre attention et votre cœur soient tournés uniquement vers Dieu].Dieu connaît vos actes. Il a fait descendre sur vous une sécurité après votre tristesse, un sommeil s’empara d’un groupe d’entre vous. [Les gens de] l’autre groupe [ne] se souciaient que d’eux-mêmes et imaginaient de Dieu comme les païens, [une imagination] contraire à la vérité. Ils disaient : « Si nous avions eu [un soutien de dieu de] victoire, nous n’aurions pas été tués ici ». Dis [-leur] : « Si vous étiez restés dans vos maisons, ceux dont la mort était écrite seraient quand même allés à leur lit (où la mort les attendait) ». [Tout cela est arrivé] afin que Dieu éprouve ce qui se trouve dans vos poitrines et purifie [par l’épreuve] ce qui est dans vos cœurs. Dieu connaît les secrets des cœurs.)) (Coran III, 153-154).
Ces Versets montrent comment les Musulmans ont éprouvé la tristesse psychologique que Dieu a implantée dans leurs âmes lorsqu'ils ont éprouvé cet état d'effondrement et de fort regret consécutifs à leurs méfaits, avant de se trouver dans une situation à laquelle ils ne s'attendaient point. Et cela en réaction à la tristesse qu'ils ont causée au Prophète ((صلى الله عليه وآله و سلم , aux Musulmans et à l'Islam.
15 Du mois Shawal est la mémoire de la Bataille d’Ouhoud à Médine
Ce mois nous rappel l`histoire du bataille d'Ouhoud au 15 shawal de 3e année hijir a Médine, au cours de quel l'oncle du Messager d'Allah(p), Hamza fut martyrisé ainsi qu'environ soixante-dix Compagnons, en majorité des Ançâr, tombèrent en Martyrs. Le Prophète (Que la Bénédiction soit sur lui et sur sa Sainte Famille) lui-même fut blessé au front, et l'une de ses dents de devant fut cassée.
Hamza était l’un des notables de Qurayche. Il était l'un de ses combattants les plus courageux et les plus forts. Il était souvent désigné comme le lion d'Allah. Il a joué un rôle majeur dans la protection et la défense de l'appel à ses débuts, en particulier dans la bataille de Badr, mais il fut martyrisé dans la bataille d’Uhud à la suite de la conspiration de Hind, la femme d'Abu Sofiane, qui a tiré sa foi de son cadavre et l'a mangé, pour assouvir sa soif de vengeance de la mort de son père que Hamzah avait tué lors de la bataille de Badr.
Il a été pleuré par le Messager comme aucun autre martyr ne fut pleuré, et le Prophète(p) nous a invités à visiter sa tombe à chaque fois que nous arrivons à Médine(On voit la pluparts des pèlerins qui visitent les tombeaux des Martyres d'Uhud ayant des larmes aux yeux en souvenir de souffrance du Prophète(p),sa famille et ses compagnons, c'est très émouvant!).
Il est recommandé au pèlerin de visiter les martyrs de montagne Ouhoud car il est attesté que le prophète (صلى الله عليه وآله و سلم) les a visités ainsi que sa fille bien aimée Fathma Zahra(p), elle y alla chaque jeudi et pria pour les martyrs.
Le prophète (صلى الله عليه وآله و سلم) disait :
« Quiconque qui me rendre visite, mais ne visite pas mon oncle Hamza me persécute ».
Que Allah nous accord cette visite pieuse, Amine.
Nous disons à Hamza : « Que la paix soit sur toi, ô meilleur des martyrs. Que la paix soit sur toi, ô lion d'Allah et le lion de Son Prophète. Nous témoignons que tu as combattu pour Allah, le Tout Puissant et Glorieux, tu as donné de ta personne, désirant ce qui est auprès de Dieu (qu’Il soit Glorifié) tu as désiré les récompenses disponibles à travers Allah, le Très-Glorieux....Que la paix soit sur toi le jour où tu naquis, le jour où tu as été martyrisé, et le jour où tu ressusciteras.
-Le 25 shawwâl est l’anniversaire de la mort de l’Imâm Jafar as-Sâdiq (p), le 6e descendant du Prophète( psl), un grand personnage, très connu par tous les écoles islamiques ,surtout par le milieu scientifique,Il avait un rôle très important dans la transmission de la sunna du prophète psl via la chaine de transmission par la famille du saint Prophète psl.
-Pour rappel, le 8 Shawal 1345 AH (21 Avril 1925), les Mausolées de Cimetière de Jannat Al Baqî (Médina) furent démolis par le roi Ibn Séoud,(les wahhabites au pouvoir). En effet au cours des siècles, plus de 1200 années, Le Cimetière Al-Baqî resta un emplacement sacré, abritant les tombes de descendants, des femmes, le fils et les compagnons du Noble Prophète(p),(avec des mausolées, des tombes bien respecte et distingué )....
"Les Iraniens ont aidé la Syrie dans sa lutte contre les terroristes" (Bogdanov)
La Russie défend désormais vigoureusement la présence des conseillers militaires iraniens en Syrie.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères et représentant du président russe pour le Moyen-Orient, Mikhaël Bogdanov, a qualifié de constructif le rôle de l’Iran dans la lutte que même le gouvernement et l’armée syriens contre les terroristes. Ces propos coupent court avec les commentaires qui, basés sur les propos du président russe, affirmaient que la Russie demandait le retrait de l'Iran de la Syrie.
Israël a envoyé un message à la Syrie pour lui rappeler ses lignes rouges
L’armée israélienne a fixé par l’intermédiaire des États-Unis et de la Russie ses lignes rouges pour les combats en cours entre le gouvernement syrien et les terroristes le long de sa frontière nord, excluant tout affrontement direct avec les forces pro-Assad tant que ces dernières prendront seules le contrôle de la zone de conflit.
« Les responsables de l’armée israélienne ne s’attendent pas à une confrontation directe entre les forces israéliennes et l’armée syrienne à la suite d’opérations de l’armée syrienne contre le Front al-Nosra et Daech dans le sud-ouest de la Syrie, près de la frontière avec Israël », a écrit Haaretz cité par Sputnik.
USA : les conseillers de Trump sont divisés sur l’Iran
Des sources américaines et israéliennes confient à Haaretz que la Maison-Blanche est divisée sur la stratégie à adopter à l’égard de l’Iran, John Bolton poussant à un changement de l'ordre de la République islamique et James Mattis cherchant un nouvel accord avec Téhéran.
Certains des principaux conseillers et membres du cabinet du président Donald Trump, avec à leur tête le conseiller pour la sécurité nationale à la Maison-Blanche John Bolton, pensent qu’il existe aujourd’hui une occasion rare de provoquer l’effondrement de l’Ordre islamique en Iran.
Dans un autre camp, d’autres conseillers estiment que les États-Unis devraient réfléchir à un nouvel accord global avec la RII.
La Maison-Blanche a dernièrement accru sa pression économique sur l’Iran en mettant en œuvre une série de sanctions dures, accompagnées d’efforts diplomatiques pour réduire les exportations de pétrole de l’Iran vers les pays asiatiques et européens. Ainsi, l’administration US n’a qu’un objectif : ramener l’Iran à la table des négociations où un nouvel accord devrait être trouvé.
Contrairement à l’ultranationaliste Bolton, le secrétaire à la Défense James Mattis est sceptique quant à un « changement de régime », selon les sources. Il est préoccupé par le fait qu’une telle action pourrait conduire à « une guerre totale avec l’Iran », causer des dommages à l’économie mondiale et mettre en péril les alliés américains au Moyen-Orient.
Entre Mattis et Bolton se trouve le secrétaire d’État, Mike Pompeo, qui est entré au département d’État en mai et a surtout traité le dossier nord-coréen.
Pompeo est peu favorable à la négociation d’un « meilleur accord » avec l’Iran et a fait le choix d’une politique de « pression maximale ». En tant que membre du Congrès, il a été l’un des plus féroces détracteurs de l’accord sur le nucléaire de 2015. Cependant, il semblerait qu’il se soit rapproché de la position de Mattis.
Ce week-end, l’avocat personnel de Trump, Rudy Giuliani, s’est exprimé à Paris lors de la conférence annuelle des Monafeghines et a avancé que le régime iranien allait s’effondrer.
« Ceux qui écoutent Mattis et Pompeo sur la question iranienne, mais ignorent l’influence de gens comme Giuliani et Sheldon Adelson, ne comprennent pas vraiment comment fonctionne l’administration Trump », a déclaré un diplomate européen à Haaretz ce week-end.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a également ajouté son grain de sel. Au cours des dernières semaines, Netanyahu a publié un certain nombre de vidéos s’adressant au peuple iranien, tentant de monter une image instable de l'Iran.
USA: le département de la Défense modifie sa déclaration de mission
Pour la première fois en vingt ans, le département de la Défense des États-Unis modifie sa déclaration de mission, excluant la directive préconisant de « dissuader les guerres » et incluant un objectif consistant à « maintenir l’influence américaine à l’étranger ».
Selon le journal britannique The Independent, le département de la Défense a apporté des modifications à l’énoncé de ses objectifs stratégiques pour la première fois en vingt ans, une initiative qui a surpris les médias spécialisés dans les affaires militaires.
« La mission du département de la Défense est de fournir la force militaire nécessaire pour éviter la guerre et protéger la sécurité du pays », pouvait-on lire dans la mouture précédente du texte. Or, dans la nouvelle version, il est écrit : « La mission du département de la Défense est de fournir une force commune d’attaque pour défendre la sécurité des États-Unis et maintenir l’influence américaine à l'étranger. »
La première déclaration date de l’époque de Bill Clinton dans les années 1990, et a été maintenue durant les mandats de George W. Bush et de Barack Obama.
« Les USA empêchent l’armée syrienne de déloger les terroristes sur la rive de l’Euphrate »
Le Hezbollah irakien a révélé les localités où se cachent les terroristes de Daech et les éléments des Forces démocratiques syriennes sur la rive orientale de l’Euphrate.
Les Kataeb Hezbollah, aussi appelées le Hezbollah irakien, ont révélé, le mercredi 27 juin, les localités où se cachent les terroristes de Daech et les éléments des Forces démocratiques syriennes, soutenus par les États-Unis, sur la rive orientale de l’Euphrate. Le Hezbollah irakien a souligné que les États-Unis tentaient d’empêcher l’armée régulière syrienne de déloger les terroristes opérant sur la rive orientale de l’Euphrate.
« Les Américains comptent réorganiser les terroristes de Daech en Irak, d’où leurs attaques visant les combattants des Hachd al-Chaabi sur la frontière irako-syrienne », a déclaré le porte-parole du Hezbollah irakien, Mohammed Mohi.
Et d’ajouter : « Sur la rive orientale de l’Euphrate, il existe une région avec une superficie de 2.000 km² qui couvre al-Qaïm jusqu’à Tall Safouk, au sud de Tal Afar, et c’est bien dans cette région que les résidus des terroristes de Daech se sont abrités. De l’autre côté en Syrie, sont déployés les militaires américains et les éléments des FDS qu’ils soutiennent. Les combattants des Hachd al-Chaabi sont, pour leur part, déployés sur la frontière irako-syrienne afin de repousser les attaques terroristes de Daech. »

Le porte-parole du Hezbollah irakien a souligné que les Américains et les éléments des FDS empêchaient, d’une part, l’armée syrienne de s’approcher de l’est de l’Euphrate et de libérer cette zone et d’une autre part ils mettaient sous pression les combattants des Hachd al-Chaabi afin de perturber leur mission et de rendre le terrain propice à la réorganisation de Daech à l’intérieur de l’Irak.
« La meilleure réaction aux mesures des Américains est le renforcement de notre présence sur la bande frontalière sans fournir de prétexte aux Américains qui souhaitent contraindre Bagdad de nous faire reculer de nos positions », a-t-il réaffirmé.
La France a rappelé son attachement à l’accord nucléaire
La France a rappelé son attachement à l’accord nucléaire en réponse aux récentes menaces des Américains qui intiment l'ordre à l'Europe de réduire à zéro ses achats du pétrole iranien d'ici le 3 novembre.
Le ministère français des Affaires étrangères a annoncé, le mercredi 27 juin, que Paris resterait attaché à la mise en œuvre du Plan global d’action conjoint (PGAC), signé entre l’Iran et les 5+1.
Interrogé pour savoir quelle sera la réaction de la France à la demande du département d’État américain appelant ses alliés à ramener leurs importations de pétrole iranien à zéro d’ici le mois de novembre, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a déclaré :
« Nous avons pris note des déclarations américaines et nous aurons rapidement l’occasion de les examiner avec nos partenaires européens. Nous restons attachés à la mise en œuvre du PGAC dans toutes ses dimensions. C’est pourquoi nous étudions les moyens avec attention avec nos partenaires internationaux pour que l’Iran continue de bénéficier des contreparties économiques de l’accord, et pourvu qu’il continue de respecter intégralement ce dernier. »
Dans la foulée, une conférence, portant sur les défis auxquels seront confrontées les sociétés françaises après le retrait des États-Unis de l’accord nucléaire, aura lieu ce jeudi 28 juin, au Sénat de France, à l’initiative du Centre Iran-France.
Syrie : Washington tire le tapis sous les pieds de ses alliés
« Les États-Unis ont déjà renoncé au renversement du gouvernement Assad », a-t-on appris du quotidien britannique The Independent.
Robert Fisk, analyste renommé du quotidien britannique The Independent, a fait paraître, le mardi 26 juin, un article pour expliquer comment les Américains ont lâché leurs alliés en Syrie.
« On l’appellera la grande trahison. Et elle est en cours depuis longtemps. Le message décevant de Washington aux miliciens anti-Assad qu’il soutenait dans le sud de la Syrie, le message selon lequel ils ne pourront plus attendre aucune aide de la part de l’Occident pour lutter contre le gouvernement Assad ou les Russes, restera gravé dans l’Histoire. Il s’agit d’un tournant dans la guerre en Syrie : une trahison honteuse si vous faites partie des résidus de l’Armée syrienne libre ou de ses acolytes autour de la ville de Deraa ou une nouvelle victoire pour le gouvernement Assad qui compte reprendre le contrôle de la Syrie dans son entièreté.
Des missiles russes et des bombes syriennes frappent déjà la campagne au sud et à l’est de Deraa ainsi qu’à l’extérieur de Quneitra et de Soueïda après que les miliciens ont refusé une paix négociée la semaine dernière.
Les déplacés fuient à nouveau les villes, mais les mots utilisés dans le message américain destiné aux miliciens, un message auquel Reuters a eu accès et qui n’a jusqu’ici pas été nié par les États-Unis, sont à la fois décevants et frustrants : “Vous ne devriez pas prendre vos décisions sur fond de l’hypothèse ou de l’attente d’une intervention militaire de notre part. L’administration américaine comprend les conditions difficiles auxquelles vous êtes confrontés et elle conseille toujours aux Russes et au régime syrien de ne pas prendre de mesure militaire qui viole la zone [de désescalade].”
Les militaires israéliens en Afghanistan, sous la couverture de troupes émiraties
Selon un accord conclu entre le gouvernement afghan et les Émirats arabes unis, Abou Dhabi envoie quelque 200 soldats en Afghanistan.
Le quotidien afghan Weesa vient de révéler ce mercredi que près de 90 militaires israéliens, qui maîtrisent parfaitement la langue arabe, seront expédiés en Afghanistan sous la couverture de troupes émiraties.
Cette décision a été prise en secret après les consultations des Émirats arabes unis avec Israël et les États-Unis, selon le journal. La coopération de plus en plus étroite entre Israël et les Émirats arabes unis a suscité de vives inquiétudes à Kaboul en ce qui concerne les objectifs cachés de la présence des militaires émiratis en Afghanistan.
Il y a un mois, le journal Afghanistan Times avait rapporté que les États-Unis voulaient confier aux militaires israéliens la mission de combattre les talibans dans la province de Farah près de la frontière iranienne.