تقي زاده

تقي زاده

Hujjat ul-Islam val moslemin Hamid Shahriari, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a visité la mémorial des martyrs sunnites et chiites de Paveh.
 
Le Dr Hamid Shahriari, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a assisté mercredi matin au service commémoratif des martyrs sunnites et chiites de Paveh, le premier jour de son voyage dans la province de Kermanshah.

Le Dr Shahriari a déclaré dans un discours: "Sans aucun doute, les luttes des martyrs et des guerriers de l'Islam resteront stables tout au long de l'histoire de la révolution."

Déclarant que nous devons le sang des martyrs, il a dit: ce que les martyrs nous ont fait est un cadeau précieux; C'est un cadeau de sécurité et d'indépendance.

Le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a ajouté: "Aujourd'hui, nous sommes témoins de la sécurité dans tout le pays, et cette sécurité est due aux luttes des moudjahidines et au sang pur des martyrs."

Le Dr Shahriari a souligné: "Pendant la révolution, nous avons résisté à toutes sortes d'attaques des ennemis de la révolution, et c'est la leçon et la résistance que l'Imam Khomeini (RA) nous a enseignées."
Le Leader de la révolution islamique, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei, a déclaré que l'Iran en avait assez des promesses vides concernant l'accord nucléaire de 2015, exigeant des actions pratiques pour le respect du PAGC par les autres parties.
L'ayatollah Khamenei a prononcé mercredi un discours télévisé à l'occasion de l'anniversaire du soulèvement populaire du peuple de Tabriz, qui a eu lieu le 18 février 1978.

Le dirigeant a clairement indiqué lors de la vidéoconférence que l'Iran a entendu beaucoup de bonnes paroles et de promesses concernant le plan d'action global conjoint, mais que l'accord a été violé dans la pratique.

L'Ayatollah Khamenei a souligné que ce qui importe pour l'Iran cette fois-ci, ce sont les actions seules, et non les promesses comme par le passé.

"A propos du PAGC, des promesses ont été faites par l'autre partie. Je dis une chose : nous avons entendu de nombreuses promesses qui ont été violées et contredites dans la pratique. De simples mots ne suffisent pas. Cette fois, il ne s'agit que d'actions ! De l'action ! Si la République islamique voit des actions de l'autre côté, elle agira aussi", a souligné le Guide, selon le site Internet Khamenei.ir.

 "Nous fixons la condition et la condition ne sera pas retirée", a souligné l'Ayatollah Khamenei.

 "L'ordre dominant a toujours cherché des excuses contre la Révolution islamique. Un jour, ce sont les droits de l'homme, une fois la théocratie vilipendée, une fois la question nucléaire et une fois les questions régionales. Ce ne sont que des excuses. La principale préoccupation est que l'Iran ne cède pas à leur domination", a déclaré le Guide.

Dans des remarques faites plus tôt en février, l'ayatollah Khamenei a déclaré que l'Iran ne reprendra le respect intégral de l'accord nucléaire qu'une fois que les États-Unis auront levé toutes les sanctions sur Téhéran d'une manière pratique et vérifiable.

Le Guide a fait valoir que les États-Unis et l'UE3, qui ont violé tous leurs engagements au titre du PAGC, n'ont pas le droit de poser des conditions à l'Iran.

Les trois parties européennes au PAGC - la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne - n'ont pris aucune mesure pratique pour honorer l'accord après le retrait unilatéral des États-Unis de l'accord, exhortant Téhéran à rester attaché à l'accord.

La nouvelle administration américaine a également refusé de lever les sanctions anti-iraniennes imposées par son prédécesseur et a fixé les conditions d'un retour à l'accord que Donald Trump a abandonné en 2018.

En référence à la puissance balistique du Hezbollah, un ancien général de l’armée israélienne a déclaré que les missiles de haute précision, même si le Hezbollah en dispose quelques centaines, suffisaient à « couler les territoires occupés dans les ténèbres pour un an ».

Lors d’une interview accordée à la chaîne 7 de la télévision israélienne, Yitzhak Brick, général israélien à la retraite, a déclaré qu'Israël était confronté à une menace existentielle provenant de la capacité balistique du Hezbollah dont le nombre se chiffre à 150 000 ; les missiles parmi lesquels des centaines sont de haute précision et capables de transporter des dizaines de kilogrammes d’explosifs.

« Il suffit [de tirer] trois ou quatre missiles de haute précision sur une centrale électrique pour qu’Israël ne parvienne plus à produire de l’électricité, il ne s’agit pas d’un câble qui peut être brûlé et remplacé, mais d’une centrale électrique qui doit être reconstruite ; la même chose peut arriver pour les réserves d’eau », a-t-il indiqué.

vendredi, 19 février 2021 00:25

Le mini-drone du CGRI doté de mitrailleuse?

Les quadrirotors sont principalement employés par les forces militaires et de renseignement pour la collecte d’informations dans les zones spécifiques sur de courtes distances. Il a été aussi question de les armer. Mais pour la première fois, c’est dans la région de l’Asie occidentale et au cours de la dernière décennie que le potentiel élevé de ces appareils au combat s’est manifesté. Avec l’escalade du conflit en Syrie et en Irak, puis le déclenchement de la guerre civile en Libye et les conflits en Afghanistan, les quadrirotors ont été largement utilisés pour des missions de reconnaissance et d’offensives.

Lors des récents exercices des forces terrestres du CGRI, les drones quadrirotors sont entrés dans la phase opérationnelle et offensive.

Le général de brigade Ali Kouhestani, chef de l’Organisation pour la recherche et l’autosuffisance des forces terrestres du CGRI, a fourni des explications sur la capacité de ces drones et le plan du CGRI pour les améliorer : « Équiper des avions-multirotors (des appareils plus grands et plus puissants élaborés sur la base des quadrirotors) de bombes légères est l’une des performances du CGRI lors de ses récents exercices. Ces bombes qui pèsent environ 3 kg sont conçues pour être utilisées dans des missions spéciales et dans des zones difficiles d’accès pour cibler des individus. La nouvelle génération de ces bombes pèsera environ 5 kg, ce qui augmentera leur pouvoir de destruction et de pénétration. »

Hossein Amir-Abdollahian, l’assistant spécial du président du Parlement islamique d’Iran pour les affaires internationales, a écrit dans un tweet que dans seulement quatre jours, le délai prendrait fin pour les États-Unis et les trois États membres européens de PGAC de revenir à l’accord.

« Sans la levée effective des sanctions, le retrait de l’Iran du Protocole additionnel est définitif », a-t-il tweeté. 

« Nous n’attendrons certainement pas les réunions et les promesses vides de la Maison-Blanche et des trois pays européens », a-t-il ajouté.

Loin de se laisser tromper par la nouvelle approche de la Maison-Blanche vis-à-vis de la guerre au Yémen, les combattants d’Ansarallah poursuivent inlassablement leur avancée vers Maarib. Mais les conditions ne s’annoncent pas prometteuses pour le camp adverse.

Les Émirats arabes unis ont, quant à eux, investi des millions de dollars dans le développement d’un port et d’une piste d’aéroport ainsi que d’autres infrastructures sur une base militaire établie par les colonialistes italiens dans les années 1930 dans la ville d’Érythrée surplombant la mer Rouge. Elle est utilisée depuis septembre 2015 pour le transport d’armes et le transfert de troupes vers le Yémen.

Selon les experts de l’ONU, les EAU y avaient auparavant déployé divers véhicules de guerre, notamment des chars et des véhicules blindés, ainsi que des hélicoptères d’attaque et des drones. Les casernes y ont également été construites pour accueillir les troupes émiraties, yéménites et soudanaises avant d’être transférées à Aden à bord du navire SWIFT-1.

La question de la formation du gouvernement au Liban, qui est dans un état ambiguïté depuis près de quatre mois, est en train de passer d’un problème interne à une crise internationale. Saad Hariri désigné Premier ministre à la mi-octobre 2020 avait l’intention de former un gouvernement en moins de 10 jours. Après l’échec de ses plans conformes aux intérêts de l’Occident, ce dernier vient d’entamer une série de voyages à l’étranger afin de régler l’affaire.

Les parties étrangers, notamment la France qui a récemment cherché à augmenter son influence parmi les politiciens libanais et qui agit en tant que représentant des États-Unis au Liban, sont entrées d’une manière soupçonneuse dans les affaires internes du pays.

Côté actualité « russe » en Syrie, ce n’est certes pas cet non événement que les médias "golfiens" cherchent à mettre en relief, et qui serait un échange "raté" de prisonniers Israël/Syrie sous l’auspice russe qu’il faut retenir, mais bien ces propos pour le moins rares de émissaire spécial russe pour la Syrie, Lavrentiev… Cité par TASS, le haut diplomate n’a pas été  tendre avec Israël qu’il a menacé première fois de « riposte directe » s’il poursuit ses raids aériens contre le territoire syrien : cette mise en garde a été lancée mercredi soir et à l’issu du 15ème sommet d’Astana où la Turquie atlantiste désormais peu confiante en les faveurs du clan démocrate au pouvoir à la Maison Blanche avait répondu oui à l’appel du dialogue de la Russie et de l’Iran.

Lavrentiev a dit : "la position russe est claire : les raids devront cesser puisqu’ils ont dévastateurs. Espérons qu’Israël tienne compte de nos préoccupations surtout au sujet d’une détérioration de la situation en Syrie … Car notre patience à nous tout comme la patience de l’Etat syrien a des limites et que la poursuite des raids pourrait tout simplement provoquer une riposte laquelle riposte tendra la situation. Et personne ne veut d’une détérioration c’est pourquoi nous avons très précisément mis l’accent dans nos contacts avec les Israéliens sur l’inadmissibilité de leurs frappes qui visent un territoire souverain".

Alors que le secrétaire général de l’OTAN affirme vouloir élargir la présence de l’organisation en Irak, des informations font état d’une réactivation du rôle de la France et de la Grande-Bretagne sur la frontière syro-irakienne, et ce, au grand bénéfice des terroristes de Daech. À al-Tanf outre les officiers US, les forces spéciales françaises et britanniques travaillent à la formation des terroristes avant de les envoyer en Irak. 

Cité par RT le 16 février, le porte-parole de l’armée de l’air russe en Syrie a annoncé la destruction d’une base appartenant à des éléments du groupe terroriste Daech dans la province de Homs. 

À la suite des opérations de reconnaissance et de recherche, les forces de l’armée syrienne appuyées par des drones russes ont pu éliminer quatre terroristes à bord de deux véhicules équipés de mitrailleuses lourdes, a-t-il précisé.

Ce jeudi, Abdel Salam, l'un des hauts cadres d'Ansarallah qui vient selon une toute dernière information prendre le contrôle du barrage stratégique de Maarib à l'aide des tribus de la province, ce qui revient à en prendre le contrôle des ressources hydrauliques, dénonçait les Etats-Unis pour avoir mené un double jeu, déblackliser tout en poussant Riyad à frapper Ansarallah. Et Abdel Salam de dénoncer : l'hypocrisie et l'imposture ne répond pas ; vous avez trop perdu pour pouvoir vous rattraper!". Il n'a pas tort : une dernière information fait état de la chute du barrage de Maarib, des hauteurs du sud de la base stratégique de Coufl ainsi que des monts Jabal al Balaq.