
تقي زاده
Un Iran, membre de l’Union économique eurasienne, "pire coup anti-Israël" de Poutine ( presse israélienne)
Les Occidentaux s’inquiètent de l’adhésion éventuelle de l’Iran à l’Union économique eurasienne (UEE), ce qui lui permettrait de contourner les sanctions américaines. La vraie inquiétude vient en fait de la montée en puissance de la Russie qui dirige, entre autres, cette Union.
Après la visite en Russie du président du Parlement iranien, Mohammed-Bagher Qalibaf, la revue israélienne Israel Hayom s'est penché sur toutes les inquiétudes des pays occidentaux : « Les États occidentaux craignent que l'adhésion à l'Union dirigée par la Russie ne permette à Téhéran de contourner les sanctions américaines et de faire progresser son programme nucléaire. » Le président du Parlement iranien, Mohammad-Bagher Qalibaf, a déclaré vendredi que son pays prévoyait de rejoindre l'Union économique eurasienne (UEE) dirigée par la Russie. Téhéran ferait ses premiers pas pour rejoindre l'organisation des nations d'Europe de l'Est et d'Asie occidentale et centrale dans deux semaines.
Frappes au drone simultanée contre Abha et Djeddah; les nouveaux Patriot de McKenzie ont perdu le pari
Le sprinte final à Maarib: sur fond d'avancées fulgurantes d'Ansarallah qui vient de libérer le sud-ouest de la ville, la cinquième frappe au drone simultanée contre l'aéroport d'Abha au sud du royaume vient avoir lieu. Décidément, les drones et Qassef K2 font sensation, si on y ajoute à cette cinquième attaque à l'essaim, cet autre raid, là encore, au drone contre le port stratégique de Djeddah. La dernière attaque contre ce port stratégique qui alimente l'Europe en pétrole, a eu lieu le 19 novembre 2020, date à laquelle Netanahu et Ben Salamne s'étaient donnés rendez vous à Noem pour fêter leurs retrouvailles.
Washington et Séoul simulent la guerre avec la Corée du Nord. Que fait entre temps Kim Jong Un?
Où en est le lien USA/Pyongyang? Et bien les États-Unis de Biden et son allié, la Corée du Sud simulent désormais la guerre avec la Corée du Nord. Les États-Unis et la Corée du Sud ramèneront leur exercice militaire annuel visant à « se défendre » face au Nord. L'exercice a été suspendu en raison des pourparlers de Donald Trump avec Kim Jong-un et, plus tard, en raison de la pandémie. De vrais exercices? Presque.. En effet "les alliés mèneront un exercice de poste de commandement simulé par ordinateur à la mi-mars, ont rapporté dimanche 14 février les médias sud-coréens", cité par RT russe. Le journal Korea Herald a cité des sources disant qu'un jeu de guerre de neuf jours simulera des opérations de combat contre Pyongyang. Cet événement sera le premier exercice américano-sud-coréen sous l’administration de Joe Biden, un premier de nature virtuelle.
Et si sans le vouloir, Daech bis de Biden avait fait entrer l'armée de l'air iranienne en Irak?
Ces exercices baptisés Grand-Prophète 16 que le CGRI a lancé cette semaine, presque aussitôt après près de 20 jours de manœuvres militaires d'envergure, Grand Prophète 15 et Eqtedar 99 naval, aérien, aérospatial, terrestres dans le golfe Persique, et au cente de l'Iran, on s'en doute sont porteurs d'un message qui n'en déplaise aux Américains, est bien adressé à leur président : à la mi janvier, le chef du CentCom a annoncé vouloir concentrer sur la côte ouest saoudienne, les bases US en Arabie saoudite, ce, pour éviter à avoir compter des tas de cercueils de soldats US si d'aventure un face-face maritime avec l'Iran venait à éclater dans le golfe Persique. Il a parlé même d'un besoin pressant pour les troupes US d'une "arrière base" qui permettrait la projection rapide de "troupes" dans les bases américaines situées au golfe Persique et ce, toujours en prévision d'une guerre navale avec l'Iran. Plus d'un analystes a qualifié de retrait "naval" US face à l'Iran cette mesure qui est allé de paire avec la vraie fausse offre de paix US avec Ansarallah. Ce retrait serait intervenu au termes de deux grands exercices, tenus en décembre et en janvier où l'Iran a exploité une pléthore d'atouts militaires nouveaux, allant d'un missile Sejjil de haute précision ayant frôlé l'USS Nimitz dans le nord de l'océan Indien à ces nuées de drones rôdeurs perçant les répliques des Patriot, de Dôme de fer et de THAAD...
Le pape François et l'ayatollah Sistani signent un pacte de fraternité humaine
Il a souligné : « Le pape François et l'ayatollah Sistani signeront un pacte pour la fraternité humaine visant à promouvoir la confiance mutuelle entre les adeptes de toutes les confessions ».
« Il appelle, a-t-il dit, à un engagement envers des valeurs comme la paix, la fraternité, la coexistence pacifique, la justice et la bienveillance ».
Des militants français s'opposent à un projet de loi "anti-musulman" avant le vote du Parlement
Le débat législatif intervient alors que les craintes de violence extrémiste persistent après les récents attentats radicaux, dont l'un a entraîné la décapitation d'un enseignant.
Le gouvernement centriste du président Emmanuel Macron soutient que le projet de loi est nécessaire pour protéger les valeurs françaises comme l'égalité des sexes et la laïcité, et pour empêcher les idées radicales de s'enraciner et d'inspirer la violence.
Mais ceux qui ont participé à la manifestation de dimanche ont déclaré que la France dispose déjà d'outils juridiques pour ce faire, et que le projet de loi stigmatise la deuxième religion du pays, même si la majorité des musulmans français n'épousent pas de points de vue extrémistes.
Certains l'ont décrit comme un stratagème politique de Macron pour gagner les électeurs conservateurs et d'extrême droite avant l'élection présidentielle de l'année prochaine.
"Ce n'est pas la peine d'attaquer toute une communauté parce qu'une personne a commis un acte horrible", a déclaré Zeyneb Bouabidi, une femme de Conflans-Saint-Honorine, en banlieue parisienne, où le professeur Samuel Paty a été décapité en octobre après avoir montré à sa classe des caricatures du prophète Mahomet (SAWA) publiées dans le journal satirique Charlie Hebdo pour une discussion sur la liberté d'expression.
Bouabidi a décrit les discriminations qu'elle a subies à l'université et dans son travail à cause de son nom à consonance arabe, et craint que des lois comme celle-ci n'aggravent la situation.
"Elle craint que des lois comme celle-ci n'aggravent la situation. Mais je suis dans mon pays ! Je suis née en France", dit-elle.
Un collectif de musulmans, d'antiracistes, de gauchistes, de pro-palestiniens et d'autres groupes d'activistes a organisé le rassemblement de dimanche près de la place du Trocadéro, en face de la Tour Eiffel, pour demander la suppression de la loi. Environ 150 personnes ont pris part à cette manifestation pacifique, dont des musulmans et des non-musulmans.
Le gouvernement insiste sur le fait que le projet de loi ne vise pas les musulmans. Il réprimerait l'enseignement fondamentaliste en exigeant que tous les enfants de trois ans et plus soient scolarisés, et renforcerait les règles relatives au financement et au fonctionnement des mosquées et des associations religieuses.
D'autres religions, des bouddhistes aux catholiques romains, se sont plaints qu'elles pourraient également subir les retombées de ce projet de loi.
Zarif dénonce critique après une déclaration sur l'uranium métal
"En vertu de quelle logique l'IRAN doit-il arrêter ses mesures correctives prises une année entière après que les Etats-Unis se soient retirés du PAGC - et continuent de le violer ? Qu'ont fait les E3 pour remplir leurs obligations ? a ajouté Zarif.
Cette décision est intervenue après que les trois États de l'UE aient affirmé que l'Iran risque de perdre l'occasion de réaliser pleinement l'accord en commençant à produire de l'uranium métal.
Dans une déclaration faite vendredi, la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne ont déclaré : "En intensifiant son non-respect de l'accord, l'Iran compromet la possibilité d'une diplomatie renouvelée pour réaliser pleinement les objectifs du PAGC".
"Nous demandons instamment à l'Iran de mettre fin à ces activités sans délai et de ne prendre aucune nouvelle mesure non conforme concernant son programme nucléaire", a ajouté la déclaration du trio.
La déclaration du E3 est intervenue après que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ait déclaré mercredi que l'Iran avait commencé à produire de l'uranium métal.
L'Iran a déjà clairement indiqué que son initiative de produire du combustible avancé pour un réacteur de recherche à Téhéran avec de l'uranium métal n'est pas en contradiction avec le traité de non-prolifération ou les engagements de l'accord de garanties.
Syrie /Al-Tanf : comment la Syrie et alliés étoufferont dans l’œuf le complot " Biden"?
Ce deuxième vol militaire iranien en moins d’une semaine à avoir été envoyé le 10 février à Lattaquié et qui s’est posé à la base aérienne russe de Hmeimim sous protection rapprochée des batteries de missiles Toshka de l’armée russe, lesquels missiles ont royalement et presque simultanément à l'atterrissage de l’appareil iranien, intercepté puis détruit en plein ciel de la base, une flopée de missiles de croisières US/Israël, n’a pas été la seule surprise que l’Iran a tenue à faire au président Joe Biden avec l’aide efficiente de son partenaire russe: Certes, cette liaison aérienne militaire désormais « régulière » entre Téhéran et Hmeimim qui toute raison garder semble faire écho au récent message iranien à Poutine, va booster la puissance « aérienne et aérospatiale » de la Syrie et partant du Hezbollah aux portes d’Israël, avec en toile de fond davantage de batteries de missiles anti- missiles, de missiles tactiques, de dispositifs de brouillage et de suppression, ainsi que des radars et de drones de tout genre à déployer sur la frontière syro-libanaises ou encore à Idlib occupé par le Sultan.
Deux pays où Moscou intensifie son assistance militaire
La Russie a fait du Venezuela une véritable puissance militaire afin qu'elle domine ses voisins ; elle a également renforcé la puissance du gouvernement en place en Algérie, pour que le pétrole reste entre les mains d'une puissance alliée à la Russie et à la Chine et ne tourne pas autour des États-Unis.
Le journal Al-Quds Al-Arabi a écrit que la Russie a adopté une nouvelle stratégie qui se cristallise en le renforcement des capacités militaires de ses alliés, en particulier des puissances qui disposent de ressources énergétiques telles que le gaz et le pétrole. Moscou a réussi à faire du Venezuela une véritable puissance militaire en Amérique latine malgré l’embargo, de manière à ce qu’il possède la force aérienne la plus importante de la région. La Russie a mis en œuvre la même stratégie en Algérie ces dernières années.
Yémen: Attaque de drones contre les bases militaires saoudienne
L'armée yéménite a annoncé le succès de son opération de drones contre les positions militaires saoudiennes dans le sud-ouest du pays, en riposte à l’agression de la coalition saoudienne contre le Yémen et les civils yéménites.
Le porte-parole des forces armées yéménites, Yahya Saree, a déclaré que l'unité d'UAV avait pris pour cible trois aéroports et une base militaire saoudienne en déployant trois drones.
“L'unité UAV a réussi à cibler des positions militaires sensibles à l'aéroport international d'Abha et à la base aérienne du roi Khalid à Khamis Mushait avec trois drones", a écrit ce vendredi 12 février le brigadier général Yahya Saree sur son compte Twitter.
Yaya Saree a noté que les drones déployés étaient de type «Qasef-2k» et avaient atteint les cibles avec précision. Qasef-2k est un drone kamikaze à longue portée.
Saree a souligné que l'opération avait eu lieu à des moments différents aujourd'hui en réponse à l'escalade des frappes aériennes au Yémen et à l'intensification du siège qui, imposé par la coalition saoudienne, a mis les civils yéménites en proie à la famine.
Situés dans le sud-ouest de l’Arabie saoudite, la base aérienne du roi Khalid à Khamis Mushait et l’aérodrome d’Abha, figurent parmi un nombre d’aérodromes et de hangars militaires qu’a établis l’Arabie saoudite au cours de ces dernières années pour stationner des chasseurs et stocker des munitions utilisés lors des frappes sur le Yémen.
Se réservant le droit de répondre à toute agression contre le peuple yéménite, l'armée yéménite et les combattants d’Ansarallah considèrent les attaques aux drones et aux missiles comme légitimes. Ils insistent sur le fait que les opérations ne prendront fin que lorsque le siège contre le Yémen sera levé et que la coalition d’agression dirigée par Riyad aura mis un terme à la guerre contre les civils innocents.
Infligeant de lourds dégâts à l’Arabie saoudite, les attaques des forces armées yéménites se poursuivent alors qu'un colonel sioniste à la retraite prévient qu'une victoire d’Ansarallah dans cette guerre représente une grande menace contre les intérêts de Tel-Aviv et de Washington.