تقي زاده
L’armée française combattra Assad ?
Il y a quelques jours la chaîne française France 24 publiait au cours de l'un de ses débats télévisés une photo mettant en scène un véhicule blindé français. Un véhicule blindé de type "Aravis" déployé à Deir ez-Zor. Son journaliste, Wassim Nasr, confirmait, à l'appui de cette photo, la présence de l'armée française dans la région de Deir ez-Zor où la France "combattrait les résidus de Daech". Or, les terroristes de Daech, formés et armés par les forces spéciales occidentales à Al-Tanf, quittent par dizaines cette même base avant de s'engager dans des combats acharnés contre l'armée syrienne. Depuis plusieurs mois les FDS continuent à faire de grandes percées sur la rive est de l'Euphrate et ce, à l'appui des raids américains qui frappent tous les villages récalcitrants ceux qui refusent le débarquement des forces US/OTAN et leurs supplétifs.
Plusieurs terroristes ont été tués à Idlib et à Hama
Après avoir observé les agissements de deux groupes terroristes à l’ouest de Jisr al-Choghour, dans la banlieue d’Idlib et aux alentours de la cité d’Al-Lataminah dans la banlieue nord de Hama l’armée syrienne a tué plusieurs terroristes.
L’artillerie de l’armée syrienne a pilonné les positions d’un groupe terroriste affilié au Front al-Nosra opérant dans la zone la plus lointaine du sud de la banlieue d’Idlib tuant plusieurs terroristes dont un sniper appelé Iyad Kassar et détruisant leurs équipements, a rapporté l’agence de presse syrienne, SANA.
Les forces de l’armée syrienne ont pris pour cible le samedi 15 septembre un repaire des terroristes de Kataeb al-Izza aux alentours de la ville de Hassaria. Elles ont tué plusieurs terroristes du Parti du Turkistan qui étaient en train de piéger les maisons et les biens publics de la ville d’al-Hawayaz dans la banlieue nord de Hama.
Les menaces des États-Unis contre l’Iran proviennent de leur faiblesse
Les États-Unis menacent l’Iran en Irak et en Syrie, mais ces menaces témoignent de la faiblesse des États-Unis et non pas de leur force, a déclaré Abdel Bari Atwan.
Le célèbre journaliste du monde arabe s’est penché à travers un article sur l’échec prématuré des États-Unis au Moyen-Orient dont les propos de l’ambassadrice américaine à l’ONU sur l’influence croissante de l’Iran dans la région en témoignent.
L’éditorialiste de journal Raï al-Yaum a déclaré que la guerre entre l’Iran et les États-Unis était en train de se déplacer sur la scène irakienne et que l’administration américaine s’adresse au gouvernement iranien comme si l’Iran était le véritable patron de l’Irak.
Selon Atwan, ce qui nous pousse à tirer cette conclusion est l’avertissement de la Maison Blanche à l’Iran. Les États-Unis tiendront l’Iran responsable de toute attaque qui entraînerait des dommages aux installations du gouvernement des États-Unis, a menacé la Maison Blanche dans un communiqué.
En référence aux accusations du président américain sur l’implication de l’Iran dans les attaques contre les missions diplomatiques américains en Irak, le journaliste arabe a écrit que le communiqué de la Maison Blanche était superficiel, car le consulat iranien à Bassora a été incendié par des manifestants qui scandaient des slogans anti-iraniens.
L’armée turque envoie des armements supplémentaires à la frontière syrienne
L’armée turque a envoyé des renforts pour appuyer ses forces massées sur les frontières avec la Syrie, a rapporté l’agence d’information turque Anadolou.
Les nouveaux convois d’armes et d’équipements envoyés ce dimanche 16 septembre sont arrivés dans la province turque de Kilis, frontalière avec la Syrie.
Les convois militaires comprennent des véhicules blindés, des canons d’artillerie et des chars de combat.
L’envoi de nouveaux convois d’armes vers les frontières syriennes intervient alors que l’armée syrienne se prépare pour lancer une opération d’envergure contre le dernier grand bastion des terroristes en Syrie.
Il est à noter que les avions de combat russes et syriens ont déjà commencé leurs frappes ponctuelles contre les positions des terroristes dans cette province frontalière avec la Turquie.
« La "déclaration de principes"; un document usé à corde aux conditions irréalisables »
L’initiative américaine, qui se cache sous le nom de « déclaration de principes », assujettit le gouvernement Assad à la rupture des relations avec l’Iran s’il désire bénéficier du soutien des États-Unis.
Le nouveau paquet de proposition des États-Unis, autrement dit « déclaration de principes », stipule que l’administration Trump acceptera de soutenir le gouvernement syrien si celui-ci remplit les conditions évoquées dans ce document, dont et surtout la rupture des relations entre la Syrie et l’Iran.
Le texte exige également que le gouvernement syrien soumette sa Constitution à des amendements de sorte que les prérogatives du président soient largement restreintes au profit de celles du Premier ministre. Le gouvernement syrien est, de même, appelé à « démanteler toutes ses armes de destruction massive », à faire subir à ses services de sécurité des modifications importantes et à organiser des élections libres sous la supervision des Nations unies. La teneur de cette « déclaration de principes » demande une réflexion plus profonde. Le premier point à prendre en considération est que le contenu ne constitue pas une nouveauté. Là, ce qui attire l’attention est le moment où a été mis en avant ce paquet de propositions. Cette « déclaration de principes » a été remise à l’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie juste au moment où le gouvernement syrien est à deux pas de la libération entière de ses territoires. Il paraît que la victoire de l’armée syrienne face aux terroristes et la récupération, par le gouvernement syrien, de sa souveraineté ont poussé les États-Unis à reconnaître, malgré eux, une réalité qu’est « la Syrie indépendante ». Ils pourraient même aller plus loin en acceptant, de justesse, l’appartenance de cette « Syrie indépendante » à l’axe de la Résistance, juste sous le nez d’Israël.
Le retour du service militaire obligatoire divise le Maroc
Présenté 12 ans après la suppression de la conscription, le texte a été adopté par le gouvernement et doit être débattu au Parlement la semaine prochaine.
Des peines allant d'un mois à un an de prison sanctionneront ceux refusant de répondre à l’appel. Des exemptions sont prévues en cas d'inaptitude physique, d'études ou pour celles qui élèvent des enfants.
L'annonce a suscité un flot de commentaires, au Maroc comme à l'étranger, avec des interrogations sur le sort des nombreux binationaux, les motivations du projet ou son adéquation avec les besoins des jeunes.
Certains ont créé une page Facebook regroupant près de 4.000 membres. Le but est de dire leur "refus" d'un projet de loi "annoncé sans qu'il n'y ait eu le moindre débat", explique Abdellah, 24 ans, un des modérateurs.
D'autres mettent en corrélation le rétablissement du service militaire obligatoire et la prolifération de mouvements de protestation.
Irak: le chef du Parlement est élu
Les députés élus en mai ont porté à la présidence de la chambre le sunnite Mohammed al-Halboussi, soutenu par le bloc dominé par l'Alliance de la Conquête de Hadi al-Ameri.
Ils lui ont choisi comme premier adjoint Hassan Karim, l'ancien maire d'arrondissement de Sadr City, bastion de Moqtada Sadr à Bagdad.
Pour la première fois depuis la chute de Saddam Hussein en 2003, les chiites s'étaient présentés divisées au scrutin législatif de mai.
Un adolescent palestinien de 16 ans succombe à ses blessures après avoir manifesté à Gaza
Les manifestations contre les forces d'occupation israéliennes ont commencé il y a six mois. Les manifestants plaident en faveur du droit au retour dans leur pays, qu'ils ont été contraints de quitter ou ont fui lors de la création d'Israël en 1948.
Selon le ministère de la Santé palestinien, l'armée israélienne a mortellement abattu 178 personnes depuis le début des protestations le 30 mars. Plus de 19.000 autres ont été blessées.
Le guide suprême assiste à la cérémonie de deuil de Muharram
C'était la première nuit de deuil au Husseinieh Imam Khomeini (RA) à Téhéran pour le martyre de l'Imam Hussein (AS) et de ses compagnons.
Un grand nombre de personnes et les responsables de l’ordre islamique étaient également présents à l’événement.
La cérémonie a commencé avec la récitation de l'élégie par Seyed Majid Banifatemeh et Mansour Arzi.
La cérémonie comprenait également un discours du haut dignitaire religieux l'Hojat-ol-Islam Kazem Sediqi, dans lequel il a développé différents aspects du soulèvement de l'Imam Hussein (AS) et les leçons de l'école d'Ashura.
Les musulmans chiites et d'autres personnes dans différentes parties du monde organisent chaque année au mois de Muharram des cérémonies pour célébrer l'anniversaire du martyre de l'Imam Hussein (AS) et de ses compagnons.
Les cérémonies d’Ashura en Afrique du sud
Contrairement à ce qu’on attendait après l’attaque contre une mosquée chiite de la ville de Verulam dans la région de Durban, où l’imam a été tué et deux personnes gravement blessées, ces cérémonies sont organisées avec encore plus de zèle que les autres années, dans les différentes villes d’Afrique du sud.

Une grande cérémonie a été organisée au Centre islamique d’Afrique du sud à Johannesburg dans un contexte de précautions sécuritaires, où les Hodjat-ol-islam Seyed Abdoullah Hosseini, Mohsen Radmard, directeur du centre Jame’at-ol-Mostafa (as) de Johannesburg, et Karimi, responsable des relations culturelles et islamiques à Machhad, ont fait des discours.

Les chiites d’Afrique du sud d’origine européenne, africaine, arabe, turque et pakistanaise, ont commencé leurs activités en 1980 dans les mosquées sunnites, et leur nombre n’a cessé d’augmenter.

Les chiites de Cape Town qui sont là depuis près de 30 ans, et ont contribué au développement de cette ville et au dialogue interreligieux, ont d’excellentes relations avec les adeptes des autres religions et confessions musulmanes, et cela a contribué au renforcement de cette école en Afrique du sud.



















