تقي زاده

تقي زاده

Après la guerre de Jamal et la fuite des gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) déclara une amnistie générale alors que les vainqueurs en général, considéraient les biens et les femmes des vaincus comme leur propriété.
L’Imam ‘Ali (AS) a pardonné aux gens de Bassora leur violence et leurs délits, les avertissant bien sûr dans une lettre, du danger que représenterait pour eux, la moindre entorse aux règlements.

«Vous savez ce que vous avez fait avec moi, quel serment vous avez violé et de quelle hostilité vous avez fait preuve à mon égard mais je vous ai pardonnés, mon sabre a épargné les fuyards, j’ai accepté ceux qui s’étaient repentis et j’ai fermé les yeux sur vos fautes. Si vous refaites des erreurs, fomentez les mêmes projets d’opposition et d’hostilité, mon armée est prête, les généraux sont en selle et si vous nous y obligez, je vous attaquerai de telle sorte que la guerre de Jamal vous semblera minime bien que je connaisse la valeur de vos généraux et ce que vous disent les conseilleurs. Je n’autoriserai jamais l’oppression des bienfaisants ni ne briserai le serment fait avec les gens sincères».

Nahjol Balãghe, lettre 29

Quand le calme revint à Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) désigna Abdoullah ben Abbas comme gouverneur et retourna à Koufa. On l’avertit qu’Abbas ne se comportait pas bien envers les gens de Bassora, l’Imam ‘Ali (AS) envoya sur le champ, une lettre qui est la 18ème lettre du Nahjol Balãghe disant:
«Sache que Bassora est aujourd’hui, le siège du diable et un terrain propice à la fitna, cependant conduits-toi bien avec les gens et fait disparaitre la terreur de leur cœur. On m’a rapporté ton mauvais comportement et ta violence envers la tribu de Bani Tamim. Les hommes de Bani Tamim sont des gens forts dont le courage n’a jamais cessé de se manifester dans les combats, que ce soit avant et après l’Islam, personne n’a pu les devancer. Fais donc preuve de patience»

jeudi, 30 juillet 2015 09:15

Où va Erdogan?

Le gouvernement turc a obtenu au cours de la réunion extraordinaire de l'Otan convoquée à Bruxelles le soutien politique officiel de l'alliance à sa soi disant guerre contre D'achat en Irak et e Syrie.mais Erdoğan veut plus.:le soutien militaire de l'Otan . Car il dit que so pays à été pris pour cible et que par conséquent il a le droit de se défendre. Erdoğan sait probablement que la Turquie est en danger. On ne sait de quelle attaque Erdoğan parle: celle du PKk ou celle de Daech contre les kurdes de Suruc laquelle a fait 32 morts. L'implication de Daech dans l'attentat de Suruc est entouré d'un hallo d'incertitude.au contraire à son habitude, Daech s' est refusé à le revendiquer. Seul Le PM turc confirme le rôle de Daech dans cette attaque.et c'est bizarre! Depuis 4 ans en effet, les terroristes ta firms ne tarissent pas d'éloge à l'endroit d'Ankara. La Turquie a trafiqué des milliers de jihadistes vers la Turquie.des milliards de dollars ont été transférés via les banques turques et cette générosité turque a profité pareillement aux rebelles modérés et extrémiste. La plus grosse erreur d'Erdogan aura été en effet sa fausse évaluation de vraies capacités de ses ennemis à savoir le régime syrien et de ses alliés bien que Daech, al Nora et Ah rare al Charm aient pu occuper quelques localités syriennes à l'aide du triangle Turquie/Qatar/Arabie.le cas us belle lancé par Ankara à Daech sous prétexte que ce dernier est une menace pour l'Europe, les États Unis suscite ainsi de nombreuses questions sur les vraies intentions d'Ankara. Erdoğan vient de s' engager de force dans la guerre contre Daech non pas pour combattre le terrorisme mais dans l'espoir de s' approprier le soutien us/otan dans sa guerre contre le PKK. Une organisation que la Turquie a placée depuis 40 ans en tête des organisations terroristes .Ankara veut aussi que les États Unis et l'Otan combattent les kurdes syriens qui se battent en ce moment contre Daech à Kobani .Après 15 ans de quiétude, de sécurité et de paix la Turquie glisse vers deux guerres qui la placent contre des sunnites très dures: des kurdes qui totalisent une population de 18 millions de personnes et des ta firms de Daech dont la brutalité ne connaît aucune limite. La victoire dans ces deux guerre ou dans l'une des deux reviendrait trop chère en termes financiers et humains et demanderait du temps. Et ce alors que le taux de croissance en Turquie vient de tomber de 7% à 3% et que la crise de gouvernance se complique de jour en jour avec une coalition au pouvoir des plus fragiles. Par ailleurs on entend de plus en plus les américains dire qu'en l'absence de Assai, Daech arriverait au pouvoir en Syrie. Comme ce qui s' est produit en Libye et en Irak et si ces rumeurs selon lesquelles les États Unis seraient entrés en contact avec les Russes pour leur faire part de leur souhait de voir Assad rester au pouvoir s' avèrent vraies, il faudrait dire que la Turquie est le grand perdant dans toute cette affaire. Car Erdoğan a mis tous ses oeufs dans le seul panier syrien.il a tout misé sur la chute d'Assad. et puis ces rumeurs pourraient effectivement vraies en ce qui concerne le quitus US à Assad car il y a peu Poutine a mis en avant un plan de sortie de crise impliquant la Turquie; l'Arabie saoudite, la Syrie et la Jordanie. nous ne voulons effectivement pas jouer le rôle de mauvaise augure mais la réalité est que le plan du démembrement de la région s'approche peu à peu de la Turquie , une Turquie qui se croyait le bastion imprenable, impénétrable à toutes les menaces. une Turquie qui a tout fait pour démembrer l'Irak et la Syrie à l'aide des groupes armés . le virus frappe la Turquie et il se peut qu'il contamine aussi l'Arabie saoudite ...Erdogan se trouve dans un réel imbroglio .. il se noie peu à peu dans les sables syriennes alors qu'il faudrait qu'il se batte à la fois contre les kurdes et Daech...

L’Imam ‘Ali (AS) au début de la guerre s’est adressé ainsi à ses soldats: «Ne commencez jamais le combat avant eux (les ennemis) car grâce à Dieu, vous êtes dans le droit et le fait que vous n’ayez pas commencé le combat avant eux, sera une autre preuve de votre bon droit. Si avec l’autorisation de Dieu, ils sont vaincus et s’enfuient, ne tuez pas ceux qui ont tourné le dos et ne blessez pas celui qui ne peut se défendre. Ne tuez pas les blessés et ne vous attaquez jamais aux femmes».

Nahjol Balãghe, lettre 14 et Histoire de Tabari, vol 3

Le respect des droits des femmes du camp ennemi

A l’époque de l’Imam ‘Ali (AS), beaucoup de généraux emmenaient leurs femmes avec eux et en cas de défaite, ces femmes étaient faites prisonnières. L’Imam ‘Ali (AS) veillait à ce que les droits de ces femmes soient respectés

jeudi, 30 juillet 2015 09:11

Syrie : Israël bombarde Quneitara!!

les chasseurs bombardiers israéliens ont bombardé une localité dans la banlieue de Quneitara. selon la chaine Al Mayadeen, le raid aurait provoqué la mort de trois membres des comités populaires dans cette localité où des combats opposent régulièrement les terroristes takfiris souteus par Israêl à l'armée syrienne et aux forces de la Résistance libanaise.

Les autorités pakistanaises ont annoncé mercredi avoir tué le chef du plus violent groupe armé islamiste anti-chiites du Pakistan, auteur de nombreux attentats meurtriers dans le pays ces dernières années, et 13 de ses partisans lors d'une fusillade.
Malik Ishaq, leader du Lashkar-e-Jhangvi (LeJ), proche d'AL-Qaïda, est mort avec 13 autres membres de son groupe, dont deux de ses fils, dans un affrontement avec la police, a annoncé à l'AFP le ministre de l'Intérieur de la province du Pendjab (est), Shuja Khanzada.

Malik Ishaq, récemment arrêté par la police, a selon les autorités locales péri dans les faubourgs de la ville de Muzaffargarh alors que ses partisans ont tenté d'intervenir pour le libérer.

"Les membres de son groupes ont ouvert le feu, et la police a répliqué. Malik Ishaq, ses deux fils et onze autres de ses partisans ont été tués, et six policiers blessés" dans la fusillade, a expliqué sous couvert d'anonymat à l'AFP un responsable de la police impliqué dans l'opération.

Le chef du LeJ et ses deux fils avait été arrêté par la police le 25 juillet, a-t-il ajouté.

Mushtaq Rasoor, le médecin chef de l'hôpital public du district de Muzaffargarh, a confirmé à l'AFP avoir reçu 14 dépouilles à la suite de cet incident.

Le LeJ est l'un des groupes armés islamistes réputé les plus violents du Pakistan, "spécialisé" dans les attaques contre les minorité, notamment les chiites, qu'il accusé d'être des traîtres à l'islam radical qu'il prône.

Il a revendiqué plusieurs attentats sanglants contre les chiites ces dernières années, notamment contre la communauté ethnique hazara du Baloutchistan, un province du sud-ouest.

La mort de M. Ishaq intervient alors que le Pakistan a annoncé en fin d'année dernière, à la suite du massacre dans une école de Peshawar (nord-ouest) par un commando rebelles taliban, qu'il n'aurait plus aucune tolérance envers les groupes extrémistes armés.

Le ministère égyptien des AE a émis un communiqué où il dit suivre de près et avec inquiétude des évolutions dans le nord de la Syrie. les informations rapportées par les médias font état de la colère du Caire à la suite de l'intervention militaire de la Turquie contre le nord syrien. cette colère est aussi liée aux informations selon lesquelles la Turquie chercherait à créer une zone tampon dans le nord de la Syrie. selon le site Bawaba al Fajr, le communiqué du mardi de la diplomatie égyptienne est une réaction très claire contre l'offensive militaire turque en Syrie. le communiqué du ministère égyptien des AE ajoute : " la lutte contre les terroristes takfiris en Syrie devra respecter l'intégrité territoriale et la souveraineté syrienne. selon cette source, les Egyptiens seraient surtout en colère contre les Etats Unis qui ont annoncé soutenir les frappes anti syriennes de la Turquie alors que l'Egypte entretient des relations très orageuses avec la Turquie. l'Egypte se considère comme l'allié privilégié de Washington et s'attend à ce que ce dernier en tient compte plus sérieusement.

Frustrés et vaincus, les terroristes du Front Al-Nosra sont priés, par leurs commandants, de quitter la ville syrienne de Zabadani.
Le centre du commandement du groupe terroriste Al-Nosra a ordonné à ses éléments armés de fuir Zabadani où ils ont subi des dégâts et des pertes considérables. A Zabadani, les terroristes d’Al-Nosra se sentent très frustrés et leurs rangs se sont effondrés. Un grand nombre d’éléments terroristes qui voulaient quitte cette ville syrienne, ont été arrêtés par l’armée. Par ailleurs, un certain nombre de membres du Front Al-Nosra, pour la plupart de nationalité syrienne, se sont mis à la table du dialogue avec l’armée syrienne en vue de se rendre ou de déposer leurs armes au contraire des ordres du commandant du Front Al-Nosra à Zabadani. Une vingtaine d’éléments terroristes ont été tués et blessés lors d’un assaut des militaires de l’armée syrienne contre Zabadani et celui des combattants de la Résistance contre les localités entourant les jardins de Baqine et de Madhaya, dans le sud de Zabadani.

Le président iranien Hassan Rohani a été invité par son homologue français François Hollande à se rendre en France en novembre, a déclaré mercredi le chef de la diplomatie française Laurent Fabius, en visite en Iran.
"Je suis porteur d'une invitation de la part du président de la République française au président iranien à se rendre en France, s'il le veut bien, au mois de novembre", a déclaré M. Fabius lors d'une conférence de presse.

"Si j'avais à résumer en deux termes le sens et l'état d'esprit dans lequel j'accomplis cette visite, je dirais le respect et la relance", a déclaré M. Fabius, premier chef de la diplomatie française à se rendre en Iran en 12 ans.

"Nous sommes deux grands pays indépendants, la France respecte l'Iran, sa culture, son rôle dans l'histoire (...) et ses souffrances, je pense aux souffrances qui ont été éprouvées pendant la guerre Iran-Irak", entre 1980 et 1988, a ajouté M. Fabius.

Le ministre a également évoqué le "respect que nous devons aux engagements pris" lors de l'accord nucléaire du 14 juillet entre l'Iran et les grandes puissances (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie et Allemagne).

Cet accord vise à limiter le programme iranien en échange de la levée progressive des sanctions internationales imposées depuis 2006 à son économie.

Face aux critiques en Iran contre l'attitude de Paris, présentée comme "dure" pendant les négociations, M. Fabius a répondu que la France avait eu une "attitude constante, ferme, constructive".

Il a également annoncé la visite en septembre d'une délégation économique française accompagnée de deux ministres.

Espérant le développement des relations irano-françaises concernant l'énergie nucléaire, le ministre iranien des Affaires étrangères a dit: nous espérons que les malentendus du passés soient levés et nous sommes témoignes du développement dans la direction des intérêts communs.
L'Iran et la France ont d'anciennes relations bilatérales. Ces relations ont connu des hauts et des bas au cours de ces dernières années. Nous espérons aller vers des relations plus sérieuses et plus renforcées, a déclaré Mohammad Javad Zarif dans une conférence de presse avec son homologue français.

Nous avons entamé de bonnes discutions et il est décidé que nous poursuivons les voies vers le développement des relations, a-t-il indiqué.

Avec l'application de l'accord, la situation sera favorable pour les coopérations économiques dans le domaine de l'énergie, des constructions d'automobiles et dans le domaine de transporte, a-t-il ajouté.

Lutter contre l'extrémisme, le terrorisme, la drogue et coopérer dans le domaine de l'environnement constituent les questions discutées entre nous et les Français, a-t-il marqué.

La chef de la diplomatie de l'Union européenne Federica Mogherini a salué mardi un nouveau chapitre dans les relations avec l'Iran à l'occasion de sa première visite à Téhéran, effectuée moins d'un mois après la conclusion d'un accord nucléaire historique.
La visite de Mme Mogherini est survenue à la veille de celle de Laurent Fabius, la première depuis 12 ans d'un ministre français des Affaires étrangères en République islamique d'Iran.

L'accord nucléaire conclu le 14 juillet entre Téhéran et les grandes puissances va ouvrir un nouveau chapitre dans les relations entre l'Iran et l'UE, et il s'agit maintenant de le mettre en oeuvre, a dit Mme Mogherini lors d'une conférence de presse avec le ministre des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif.

Elle a discuté avec M. Zarif et le président Hassan Rohani de leur volonté commune d'appliquer l'accord, et d'entamer un dialogue de haut niveau.

De la même façon que des efforts ont été entrepris pour parvenir à l'accord, nous devrions nous concentrer sur son application exacte et complète afin que nos nations et le monde puissent en apprécier les bénéfices, a dit M. Rohani.

L'Iran a toujours respecté ses engagements et je n'ai pas d'inquiétude quant à l'application de l'accord. Je sais parfaitement bien qu'il le sera, a affirmé de son côté M. Zarif. Nous avons parlé des mesures qui doivent être prises. Nous atteindrons ce stade d'ici 60 à 70 jours.

Téhéran continuera à collaborer avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), j'espère que les Etats-Unis et l'UE continueront à appliquer leurs engagements, a-t-il ajouté.

M. Zarif a en outre affirmé que son pays et l'UE avaient décidé de commencer une nouvelle phase de dialogue de haut niveau, portant sur la coopération dans les domaines de l'énergie, des transports, du commerce, de l'environnement, des droits de l'Homme (...) des crises régionales (...).

L'UE a joué un rôle important pendant les années de négociations entre l'Iran et les puissances du 5+1 (Grande-Bretagne, Chine, France, Russie, Etats-Unis et Allemagne).

Mme Mogherini, dont la visite en Iran est la première en tant que chef de la diplomatie de l'UE, avait participé activement à la dernière phase des négociations.

Les opposants à l'accord, en particulier Israël, l'Arabie saoudite et les Républicains américains l'ont critiqué à des degrés divers.