تقي زاده

تقي زاده

Le ministre des Affaires étrangères d'Iran, Ali Akbar Salehi, a condamné dimanche la mort de personnes innocentes au cours des récents événements en Egypte.

Selon M. Salehi, l'armée d'Egypte est national et il est toujours, et a toujours défendu l'indépendance nationale et la souveraineté territoriale de leur pays, mais «malheureusement, certaines personnes innocentes ont été assassinés dans ce pays dans les événements récents, que nous condamnons ".

Le ministre iranien des Affaires étrangères a tenu une brève conférence de presse, a exprimé son optimisme que les élites politiques, ethniques et des groupes égyptiens pour mettre fin à la division apparue en Egypte avec la coopération, l'empathie et la consultation, afin d'éviter cette Donc, l'entrée malveillante de votre pays, qui ne ferait que compliquer la situation avec leurs parcelles.

" La nation égyptienne qui finira par décider du sort de ce pays", a déclaré M. Salehi. Salehi, se souvenant que l'Egypte dispose d'une nation grande et historique, il a ajouté que "ce pays a une place effective dans la région", donc confiance que pays arabe a dit être en paix aussi vite que possible.

Dans une autre partie de sa peine, M. Salehi interrogé sur l'activité la plus importante du ministère iranien des Affaires étrangères au cours des deux dernières années, vous avez dit, même si le pays a été pressé dur par des sanctions unilatérales, le ministère des Affaires étrangères n'a pas encore réussi à jouer un rôle important, ce qui compense une grande partie de ces liens avec la collaboration d'autres organes.

Rappelez-vous que Salehi a également tenu une conversation téléphonique mardi avec son libanais, Adnan Mansour, dans laquelle il condamne la récente attaque terroriste qui a eu lieu dans le sud de Beyrouth, la capitale libanaise, incident au cours duquel au moins 53 personnes blessés.

 

Le président élu de la République islamique d'Iran, Hassan Rohani, a salué le développement de partenariats et d'améliorer le niveau des relations avec des pays comme l'Ukraine, la Thaïlande, les Comores et le Sri Lanka.

En réponse au message de félicitations du Président de l'Ukraine, Victor Ianoukovitch, Rohani a exprimé l'espoir que les deux pays agissent en fonction de l'évolution des relations bilatérales que le respect et l'intérêt mutuel des deux peuples.

Par ailleurs, dans un autre message au Premier ministre de Thaïlande le président iranien élu a déclaré que les anciennes relations et des gens sympathiques gouvernement persan et en Thaïlande, sont une bonne raison de développer plus avant les liens binationaux entre les deux États d'Asie.

Et comme pour les messages de félicitations des présidents des Comores et le Sri Lanka Rohani a souligné l'ampleur des relations bilatérales avec ces deux pays sur la base des intérêts de leurs peuples.

 

Le Directeur général de l'Organisation, Irina Bokova, la science et la culture des Nations Unies pour l'éducation, a déclaré samedi que l'entité responsable est prête à coopérer et à augmenter le niveau de relations avec le gouvernement du président élu de l'Iran, Hassan Rohani.

Irina Bokova Rohani tandis que le féliciter de sa victoire à l'élection présidentielle de la République islamique d'Iran, le 14 Juin, a indiqué: "L'Unesco ne ménagera pas ses efforts pour élargir la coopération avec l'Iran."

Grâce à son message, le Directeur général de l'UNESCO a souhaité bonne chance pour Rohani, et a exigé une augmentation dans les relations entre l'Iran et l'organisme international dit pendant le mandat du futur président.

 

Le commandant de la Force navale de l'armée iranienne, Sayari Habibolá, et le commandant de la marine russe,Viktor Chirkov, a rencontré samedi à la Russie, ont convenu d'accroître les relations bilatérales et régionales, en particulier dans le domaine de la sécurité des voies navigables communes et international.

Renforcement de la coopération dans la mise en place de la sécurité dans la mer Caspienne, au nord de l'Iran et du sud de la Russie, avec la participation des pays voisins dont les côtes dans ces eaux, la conduite d'exercices conjoints, l'envoi de bateaux des deux pays et collaboration dans le domaine de l'éducation et les mesures techniques nécessaires, de l'avis des autorités militaires.

Le titulaire iranien le plus élevé, qui est en Russie pour assister à la soutenance Afficher maritime internationale (IMDS, pour son sigle en anglais), qui s'est tenue dans la ville russe de Saint-Pétersbourg, a également rencontré ses homologues d'Allemagne, de Grèce, de Pologne, Pakistan, les Émirats arabes unis (EAU) et au Koweït.

En ce sens, Sayari échangé sur des sujets liés aux questions maritimes, la coopération pour la mise en place de la sécurité dans les chaînes internationales, ainsi que la lutte contre les pirates et le terrorisme.

La délégation iranienne de haut niveau dirigée par le professeur Sayari est en visite en Russie, suite à une invitation du ministre de l'Industrie et du Commerce du pays eurasien, Denis Valentinovitch Manturov, à participer à l'IMDS 2013.

Sayari également être accordée à une conférence de presse devant les médias russes et discuter des capacités de la Force navale de l'armée iranienne, en particulier en ce qui concerne les réalisations.

 

La 21ème exposition internationale de Coran, intitulée "Coran, mode de vie islamique", a ouvert ses portes, vendredi, en présence du président sortant d'Iran, dans la capitale iranienne.

Iran: Ouverture de la 21ème exposition internationale de Coran

ABNA: Mahmoud Ahmadinejad a remercié les activistes élus de Coran lors de ses déclarations prononcées dans la cérémonie de l'ouverture de cette 21 ème exposition internationale de Coran.

Cette exposition sera ouverte pour un mois et 40 catégories y seront tenues, avec comme thème: éducation, recherche, sciences basées sur le Coran, réveil islamique, mode de vie et exposition des œuvres coraniques. Des activistes coraniques venus de 50 pays du monde entier, y sont au rendez-vous.

 

Le directeur de l'Organisation de l'aviation civile de l'Iran, Hamid Reza Pahlavani a exprimé lundi leur forte opposition à l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI, pour son sigle en anglais) à utiliser le terme faux »du golfe Arabique» au lieu de Nom réelle et exacte du «Golfe Persique».

Après l'OACI, dans une circulaire, va utiliser le terme inexistant et le mal, le responsable iranien a envoyé une lettre au secrétaire général de cette entité internationale, Raymond Benjamin, qui a dénoncé l'acte illégal.

Dans sa lettre, Pahlavani souligne la fausse utilisation de ce terme a été vu ces dernières années dans les publications de l'OACI, en dépit du refus répété de l'Organisation de l'aviation civile de l'Iran à cette dénomination.

Compte tenu des différentes structures de l'écriture élaborées par les Nations Unies (ONU) sur l'utilisation de l'expression du «Golfe Persique» au lieu d'un autre mot, il est nécessaire que l'OACI, qui est considérée comme l'une des filiales Nations Unies, les structures obéissent ONU.

Dans la lettre de plainte, le fonctionnaire perse en plus d'insister sur l'intégrité territoriale de la République islamique, a prié le Secrétaire général de l'OACI corriger la surveillance et de prendre les mesures nécessaires afin de résoudre ce problème pour de bon.

Malgré l'existence de nombreux documents historiques montrant que le golfe Persique a pris ce nom pour l'éternité, les Etats arabes s'efforcent d'éliminer le mot « persan ».

L'ONU a publié ses lignes directrices en édition de 1994, à titre de rappel, selon laquelle, d'utiliser le nom correct de « Golfe Persique » est nécessaire.

Sayed Hassan Nasrallah est totalement rassuré en dépit des derniers évènements survenus sur la scène libanaise et syrienne.

Selon le journal libanais Assafir, cette impression s’est manifestée lors d’une rencontre qui a réuni dernièrement le numéro un du Hezbollah à un parterre des cadres et des dirigeants du parti, et au cours de laquelle il a affirmé que « toutes les campagnes d’incitation portées contre sa personne et contre le parti n’altèreront en rien la voie suivie » et assurant que « malgré l’atmosphère d’escalade, les conséquences de ce qui se passe sera au profit de la Résistance ».

« Les jours prochains prouveront la justesse des options prises ces deux dernières années aussi bien pour le Liban que pour la Syrie », a-t-il prévu.

Son éminence a également évoqué la relation du Hezbollah avec le mouvement palestinien Hamas, entachée par les positions prises par ce dernier sur la crise syrienne. Il a assuré qu’elle est aussi étroite qu’elle l’était auparavant et nié les informations sur la participation des combattants du Hamas dans le conflit syrien. Il a également signalé que la collaboration entre les deux parties se poursuit, surtout pour faire face à l’atmosphère confessionnelle délétère dans la région.

Selon lui, les évolutions politiques régionales et sur le terrain vont en s’améliorant, et ce qui se passe en Iran au niveau des élections présidentielles ont aussi confirmé la justesse de la voie suivie par la République islamique : « Ce scrutin a donné le meilleur exemple d’une démocratie populaire en République islamique sous le parrainage de la Wilayat el-fakih et les résultats de ces élections sont dans l’intérêt de l’Iran et du peuple iranien et montrent que le guide est resté neutre », a-t-il poursuivi.

A noter que le Hezbollah se prépare à adopter une nouvelle politique pour contrer la campagne politique et médiatique menée par le courant du Futur et les groupuscules islamistes contre lui depuis les évènements de Saïda et qui ont mis fin au phénomène du cheikh AlAssir.

Des responsables du Hezbollah feront part aux programmes et débats télévisés et rencontres populaires pour mettre au clair ses positions attachées à l’unité islamique et nationale. Selon AsSafir, le Hezbollah est également disposé à rentrer en contact avec tous les mouvements islamistes pour faire face aux défis qui menacent la région.

Le président iranien élu Hassan Rohani a affirmé samedi que son gouvernement appliquerait une politique d'entente constructive avec le monde et défendrait tous les droits de l'Iran.

la modération ne signifie pas en politique étrangère reddition ni querelle. Elle signifie une entente constructive et effective avec le monde, a-t-il déclaré, lors d'une intervention télévisée.

Dans le discours modéré, le réalisme est un principe de base en tenant compte des valeurs et des idéaux de la République islamique, a-t-il ajouté.

L'entente constructive avec le monde et le dialogue avec les autres doivent être menés sur la base de l'égalité et du respect mutuels, des intérêts (...) et de la confiance mutuelle, a-t-il dit.

Cette politique sera menée en tenant compte de tous les droits de la nation (notamment en matière nucléaire, ndlr), de la volonté et de la grandeur du pays en suivant les directives du guide suprême l'ayatollah Ali Khamenei, le numéro un du pays, a-t-il déclaré.

Le nouveau président a aussi prôné une politique de détente mutuelle avec l'Occident. M. Rohani, un religieux modéré, a été élu le 14 juin dernier avec 50,7% des voix et doit succéder le 3 août prochain à M. Ahmadinejad.

Le message des électeurs était un message de paix et de réconciliation, un message d'unité et de cohésion nationale. Un message du refus de la violence et de l'extrémisme, a déclaré encore M. Rohani, en ajoutant que tout le monde doit comprendre ce message et y répondre de manière appropriée.

Les Iraniens ont choisi un nouveau chemin (...) Ils ont voulu dire qu'ils voulaient le changement (...) le prochain gouvernement est engagé par le vote de la majorité de la population (...) et le chemin choisi qui est celui de la modération, a-t-il dit.

Il a aussi affirmé que l'élection du 14 juin avait mis un terme à toutes les ambiguïtés et toutes les questions sur la légitimité de l'Etat islamique.

M. Rohani a assuré que le prochain gouvernement ne sera pas partisan, il n'est redevable à aucun parti et tendance politique. Il utilisera les personnalités les plus compétentes de toute tendance politique à condition qu'elles soient modérées.

Le président iranien élu Hassan Rohani a affirmé samedi que son gouvernement appliquerait une politique d'entente constructive avec le monde et défendrait tous les droits de l'Iran.

la modération ne signifie pas en politique étrangère reddition ni querelle. Elle signifie une entente constructive et effective avec le monde, a-t-il déclaré, lors d'une intervention télévisée.

Dans le discours modéré, le réalisme est un principe de base en tenant compte des valeurs et des idéaux de la République islamique, a-t-il ajouté.

L'entente constructive avec le monde et le dialogue avec les autres doivent être menés sur la base de l'égalité et du respect mutuels, des intérêts (...) et de la confiance mutuelle, a-t-il dit.

Cette politique sera menée en tenant compte de tous les droits de la nation (notamment en matière nucléaire, ndlr), de la volonté et de la grandeur du pays en suivant les directives du guide suprême l'ayatollah Ali Khamenei, le numéro un du pays, a-t-il déclaré.

Le nouveau président a aussi prôné une politique de détente mutuelle avec l'Occident. M. Rohani, un religieux modéré, a été élu le 14 juin dernier avec 50,7% des voix et doit succéder le 3 août prochain à M. Ahmadinejad.

Le message des électeurs était un message de paix et de réconciliation, un message d'unité et de cohésion nationale. Un message du refus de la violence et de l'extrémisme, a déclaré encore M. Rohani, en ajoutant que tout le monde doit comprendre ce message et y répondre de manière appropriée.

Les Iraniens ont choisi un nouveau chemin (...) Ils ont voulu dire qu'ils voulaient le changement (...) le prochain gouvernement est engagé par le vote de la majorité de la population (...) et le chemin choisi qui est celui de la modération, a-t-il dit.

Il a aussi affirmé que l'élection du 14 juin avait mis un terme à toutes les ambiguïtés et toutes les questions sur la légitimité de l'Etat islamique.

M. Rohani a assuré que le prochain gouvernement ne sera pas partisan, il n'est redevable à aucun parti et tendance politique. Il utilisera les personnalités les plus compétentes de toute tendance politique à condition qu'elles soient modérées.

Le 29 juin 2013 est baptisé "journée de lutte contre les armes chimiques et microbiennes".  Ce jour marque, également, le 26ème anniversaire du bombardement chimique, par l’ancien régime dictatorial de Saddam, de la ville de Sardasht, située dans l’Ouest de l’Iran. Ce régime, appuyé par les deux superpuissances de l’époque, les Etats-Unis et l’Union soviétique, ainsi que par les pays mercenaires de la région, lança, le 22 septembre 1980, son offensive aérienne et terrestre contre l’Iran. Cette guerre s’acheva, après huit années, en été 1988, sans que l’ancien régime irakien de Saddam Hussein puisse atteindre ses objectifs. Durant cette guerre imposée, l’armée irakienne a fait usage d’armes chimiques et microbiennes contre les combattants et les civils iraniens. C’est, en juin 1987, que l’aviation irakienne a largué des bombes chimiques sur quatre quartiers de forte affluence populaire de la ville de Sardasht. 110 habitants de cette ville sont tombés en martyrs et 8.000 autres ont été asphyxiés par des gaz toxiques, dont les séquelles continuent, toujours, de les faire souffrir. Voyant, dans cette offensive, un acte inhumain, la République islamique d’Iran a baptisé Sardasht, la première ville, victime des armements chimiques. A l’époque, les instances internationales n’ont pas réagi à ce crime de guerre, car elles soutenaient le régime de Saddam. Mais, le Conseil de sécurité a fini, en 1986, par préparer une résolution, pour condamner l’usage des armes chimiques par le régime de Saddam, résolution qui s’est heurtée au veto américain. C’est pour cette raison que la fondation pour la préservation et la propagation des valeurs de la défense sacrée, dans un communiqué, publié, aujourd’hui, a souligné que le bombardement chimique de la ville iranienne de Sardasht, en juin 1987, par le régime Baath irakien, était un document éclaboussant les prétendus défenseurs des droits de l’Homme. «Le silence odieux des instances internationales, à l’égard des crimes inhumains du régime Baath irakien, durant la guerre imposée, a servi de prélude aux crimes de guerre commis, à l’encontre des nations musulmanes, en Irak, en Afghanistan et en Palestine.