تقي زاده

تقي زاده

Le président iranien Hassan Rouhani a déclaré samedi que le pays avait réussi à contenir la propagation de la troisième vague de la maladie COVID-19 plus rapidement que ce à quoi la population s'attendait.
S'adressant à une réunion de l'état-major national de lutte contre la maladie du coronavirus, le président a exprimé sa gratitude à la nation iranienne pour sa tentative de respecter les protocoles sanitaires lors des cérémonies organisées à l'occasion de l'anniversaire du martyre de Hazrat Zahra (fille du prophète Mohammad) et de l'anniversaire du martyre du général Qassem Soleimani ces derniers jours.

Soulignant le rôle important du Guide de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, dans l'expression des directives pour la pandémie, il a ajouté que le Guide suprême a souligné la nécessité de respecter les protocoles sanitaires basés sur des considérations religieuses et juridiques.

Le chef de l'exécutif a toutefois noté que l'ensemble du pays, au lieu de quatre villes, connaît une situation appropriée en termes de propagation du coronavirus.

Il a en outre mis en garde contre une nouvelle vague de propagation du coronavirus au cours des deux prochains mois de l'hiver, exhortant les gens à respecter tous les protocoles lorsqu'ils se rendent à des réunions de famille ou utilisent des véhicules de transport public.

M. Rouhani a poursuivi en disant que le Covid-19 était également un test historique pour les pays et leurs dirigeants dans le monde entier, ajoutant que certains États accordaient une attention excessive à leurs problèmes économiques et réfutaient d'imposer des restrictions ; ainsi, en fin de compte, ils exposaient à la fois l'économie et la population à de graves problèmes.

« La riposte à l’assassinat de Qassem Soleimani pourrait même avoir lieu à l’intérieur des États-Unis », a déclaré le commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique. Mercredi,  le commandant en chef de la Force Qods, le général Qaani a affirmé devant les députés iraniens que Trump, pompeo, la chef de la CIA se trouvaient désormais en tête de la liste noire iranienne soit les personnes directement impliquées dans le meurtre terroriste du général Soleimani

L'Iran a identifié 48 autres ressortissants américains impliqués dans l'assassinat du 3 janvier 2020 du commandant en chef de l'axe de la Resistance dont la mémoire est célébrée ce vendredi et samedi de Gaza au Yémen en passant par la Syrie le Liban et l'Iran bien sûr. Ce vendredi le général Qaani a tenu un discours particulièrement percutant où il a mis en garde les États-Unis.

Lors d’une cérémonie, tenue ce vendredi 1er janvier au matin, à l’Université de Téhéran, pour commémorer le premier anniversaire de l’assassinat de Qassem Soleimani, le général de corps d’armée, Ismaïl Qaani a déclaré que le martyr Soleimani était le héro de la nation iranienne et de l’Ummah islamique. « Il a brisé le pouvoir de l’Arrogance », a-t-il martelé.

À la veille du 1er anniversaire de l'assassinat du grand général Soleimani et du commandant en chef des Hachd, un 11eme convoi militaire US a été attaqué.

Le site d’information Saberine News a rapporté dans un communiqué que « Ashab al-Kahf » (Compagnons de la grotte), l'un des groupes de la Résistance avait attaqué le convoi US laissant en fumées et en cendres des véhicules américains.

 

Au premier anniversaire de la mort en martyre du haut commandant de la Résistance, le général Soleimani, l’armée israélienne attend une intensification des tensions avec les combattants de la Résistance sur le front nord des territoires occupés.

Le Hezbollah libanais affirme qu'il se vengera des États-Unis et préservera le drapeau hissé par le général Soleimani dans la région contre l’arrogance. 

«Le général Soleimani est un véritable chef de file de la lutte sur le chemin de Dieu, avant et après son martyre. Nous sommes des hommes d'action et nous prendrons notre revanche sur les États-Unis », a déclaré le président du Conseil exécutif du Mouvement de la Résistance libanaise (Hezbollah), Seyed Hashem Safi al-Din.

Sur fond des tentatives de Washington de mettre fin aux investissements de la Chine en Irak, une mine de 30 kilogrammes attachée à la coque d'un pétrolier affilié à l’Oil Export Company (SUMO) a été découverte près du port de Faw dans la province irakienne de Bassora.

Dans l’après-midi du jeudi 31 décembre, un objet non identifié attaché à la coque d'un navire a été repéré dans les eaux internationales, à 45 km des ports irakiens de Um Qasr et de Faw, a indiqué le communiqué publié par le bureau du renseignement irakien.

Sur fond de ses relations déjà tendues avec Washington, la Chine se dit prête à répondre à toutes les menaces après que les États-Unis ont envoyé deux navires de guerre dans le détroit de Taïwan. 

Pékin a exprimé jeudi 31 décembre sa ferme opposition à la navigation des destroyers américains dans le détroit de Taïwan, exhortant les États-Unis à jouer un rôle constructif pour garantir la paix et la stabilité régionales, plutôt que l’inverse, a rapporté Xinhua.

Stationnés au Japon, deux destroyers américains, l’USS John S. McCain et l'USS Curtis Wilbur ont traversé mercredi le détroit de Taïwan, a déclaré la 7e flotte de l’US Navy dans un communiqué, prétendant que l'exercice était conforme au droit international.

Il y a trois jours le ministre soudanais de l'Information affirmait : « la paix avec Israël est une illusion. » Ce mot semble avoir frappé l'esprit de la cour au Maroc qui moins d'un mois après le tweet de Trump commence a réaliser le piège tendu au Royaume par un axe US/Israël qui cherche surtout pas la paix mais la guerre éternelle au Maghreb. Le journal Haaretz a rapporté que les responsables marocains ont décidé de reporter la normalisation des relations avec Israël jusqu'à ce que la position du prochain président américain sur certaines questions s'éclaircisse.

Des sources diplomatiques à Tel-Aviv ont révélé que le Maroc avançait plutôt lentement dans ses relations avec Israël, en attendant de connaître la position du président élu américain, Joe Biden, sur les engagements du président sortant, Donald Trump envers le Maroc, a écrit le journal Asharq Al-Awsat.

Selon des déclarations rapportées par Haaretz hier, jeudi, Rabat n'a pas l'intention d'annoncer des relations diplomatiques complètes, pour le moment, et se contente d'ouvrir des bureaux de liaison dans les deux capitales. « Le Maroc n'est pas intéressé par la signature d'un accord pour ouvrir deux bureaux de liaison lors d'une cérémonie festive, comme cela s'est produit dans les accords entre Israël et d'autres pays arabes », a écrit Haaretz.

L'Observatoire syrien des droits de l'homme, (OSDH), vitrine médiatique du MI6, a rapporté que les forces russes ont été blessées vendredi à la suite de l'explosion d'un véhicule piégé à la base russe de Tal al-Saman, dans la campagne nord de Raqqa.

L'OSDH a indiqué que les éclats d’obus avaient fait des blessés côté russe. L’attentat a été revendiqué par le groupe terroriste Hurras ad-Din.