تقي زاده

تقي زاده

Hossein Assadi, responsable de ces compétitions, a déclaré que 10000 concurrents de 82 pays participeront aux olympiades sur le Coran et les hadiths organisées par le centre Djame’at-ol-Mostafa (AS), dans 12 disciplines.

« Ces olympiades commenceront le 20 novembre 2013, avec le message de l’Ayatollah Arafi, directeur du centre Djame’at-ol-Mostafa (AS), et le discours de l’Hodjat-ol-islam Ghara’ati.

Certaines épreuves se déroulent en ligne et les épreuves orales se dérouleront du 3 au 5 février 2014 à Qom, avec des réunions spéciales pour les mémorisateurs coraniques.

Les épreuves concernent 12 disciplines et sont organisées en 5 langues sous la direction d’un jury de 200 spécialistes qui éliront un candidat comme chaque année, qui sera « la personnalité coranique » de l’année », a-t-il dit.

Cette révolution islamique, nationale et anti impérialiste a réussi grâce au leadership du Faqih.

Yahya Bounaud, musulman français, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que la révolution iranienne était une révolution islamique, nationale et anti impérialiste.

« Cette révolution islamique, nationale et anti impérialiste a réussi grâce au leadership du Faqih. Il y avait plusieurs groupes au moment de la révolution qui ont joué un rôle différent mais respectaient ces trois principes.

Parmi les différents groupes qui existent en Iran, aucun ne défend une présence étrangère et tous sont anti impérialistes. Dans les pays apparemment indépendants, nous voyons toujours certains groupes soutenus par l’étranger qui assure par ses moyens financiers et de propagande, son ingérence dans ces pays.

Ce n’est pas le cas en Iran où il existait un guide, l’imam Khomeiny, qui a rassemblé toutes les tendances et conduit la révolution à la victoire. L’époque de l’imam Khomeiny a été marquée par la guerre imposée avec l’Irak d’où l’Iran est sorti la tête haute, grâce aux directives de l’imam.

A l’époque de l’Ayatollah Khamenei, qui lui a succédé, il n’y a pas eu de guerre mais une occupation des pays voisins, l’Irak et l’Afghanistan, qui n’a pas détourné la révolution de ses principes.

En Libye, en Tunisie et en Égypte, il s’agissait seulement d’une révolte et non d’une révolution comme celle qui a eu lieu en Iran même si les partis islamiques ont remporté la victoire aux élections grâce à leurs activités avant les mouvements contre les régimes en place.

En Égypte, il y a trois groupes islamiques, les Frères musulmans, les salafistes et les wahhabites, et les courants traditionnels entre le soufisme c'est-à-dire le respect des Ahl-ul-bayt (AS) et l’université Al Azhar.

Quand les salafistes ont vu les Frères musulmans accéder au pouvoir après la chute de Moubarak, ils ont cherché à détruire les mausolées mais cela est tombé au moment où Al Azhar interdisait tout manque de respect aux Saints Imams (AS).

Les religieux d’Al Azhar dont le chef était auparavant choisi par le Président, ont changé le règlement de l’organisme et décidé que ce serait les membres qui choisiraient le futur responsable évitant ainsi qu’Al Azhar ne tombe aux mains des salafistes ou des frères.

Les pays occidentaux utilisent le terme de « printemps arabe» pour pouvoir soutenir ces mouvements et les révolutionnaires, et éviter un soutien à des « mouvements islamiques » ou à des « insurgés ». Ce terme a été choisi pour leur permettre de s’ingérer à nouveau dans les affaires de ces pays, cette fois-ci au niveau culturel.

La révolution a permis aux groupes traditionnels qui sont pour les Ahl-ul-bayt (AS) de se faire entendre notamment au Caire où il existe 72 centres de pèlerinage et une rue nommée Al Ashraf qui compte de nombreux monuments historiques et des tombeaux des descendants des Ahl-ulbayt (AS) », a-t-il dit.

L’ambassadeur de la république islamique d’Iran à Beyrouth a affirmé : « Les négociations entre l’Iran et les 5+1 jouent un rôle positif dans la région et dans le monde. »

Selon le site de la chaîne d’information Al Manar, s’exprimant après une rencontre avec le mufti du Liban, le cheikh Mohammad Rachid Qabbani, l’ambassadeur de la république islamique d’Iran à Beyrouth a indiqué : « Il est naturel que les négociations avec les 5+1 influencent positivement le monde, la région et notamment le Liban. »

Roknabadi a émis l’espoir que vue le besoin de la communauté musulmane en le renforcement de l’unité islamique au sein de tous les musulmans et l’unité nationale entre tous les factions politiques au Liban, les points de vue de ces groupes seront en accord avec ceux du mufti libanais.

Selon ce rapport, le mufti libanais a reçu l’ambassadeur iranien au Dar-ul-Ifta libanais à Beyrouth. Les deux parties ont passé en revue les dernières évolutions régionales et internationales, les négociations entre l’Iran et les Etats-Unis et leurs conséquences pour le Liban ainsi que les perspectives d’une coopération bilatérale.

Deux explosions ont secoué mardi matin les environs de l'ambassade d'Iran à Beyrouth faisant au moins 19 martyrs, dont une femme, et une centaine selon le correspondant de la chaine AlManar.

 

 

 

 

Ahlul Bayt Nouvelles Agence (ABNA) :"La première explosion est due à un attentat suicide. L'extrémiste à bord d'une mobylette qui voulait prendre d'assaut l'ambassade a été tué par un des gardes du corps de l'ambassade iranienne. Deux minutes après, une deuxième explosion a retenti due à une voiture piégée de type Renault Rapid", a déclaré le correspondant d'AlManar.

 

 

 

 

 

La chaine AlManar a diffusé des images des lieux, montrant des corps et des blessés, des flammes et des colonnes de fumée noire s'élevant des immeubles avoisinants.

La moitié des victimes sont des ouvriers de nationalités étrangères: bengalais, éthiopiens et iraniens (famille des fonctionnaires habitant près de l'ambassade).

Aucun fonctionnaire de l'ambassade iranienne n'a été touché par les deux explosions, a assuré notre correspondant.

L'Arabie pointé du doigt

En réaction à cette explosion, les politiciens du 8 mars ont pointé du doigt l'Arabie saoudite et "Israël".

Dans ce contexte, le député du bloc du Hezbollah, Ali Ammar a accusé certains pays arabes, en allusion à l'Arabie saoudite et "Israël" qui soutiennent les takfiris d’être derrière ces crimes ayant couté la vie à des civils.

M.Ammar a assuré que la libération d'AlQuds restera l'objectif de la résistance.

 

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry s'est montré prudent quant à ses attentes concernant les pourparlers avec l'Iran, alors que ce dernier reprendra les négociations sur son dossier nucléaire avec les grandes puissances mondiales cette semaine.

Le chef de la diplomatie américaine a annoncé qu'il n'avait "pas d'attentes particulières", alors que les responsables américains et russes sont optimistes quant à une percée dans le nouveau cycle des négociations, qui se tiendra à partir de mercredi à Genève, en Suisse, entre l'Iran et le Groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, plus Allemagne).

"Je n'ai pas d'attente particulière en ce qui concerne les négociations de Genève", a déclaré M. Kerry aux journalistes après une rencontre avec son homologue turc Ahmet Davutoglu au Département d'Etat américain.

"L'Iran et le Groupe 5+1 reprendront les négociations le 20 novembre à Genève, alors qu'aucun accord n'avait été convenus lors des pourparlers intensifs ayant eu lieu du 7 au 9 novembre.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pressé lundi le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas de venir au Parlement israélien, la Knesset, pour y "reconnaître le lien entre les Juifs et Israël".

M. Abbas doit "venir au Parlement israélien", le sommant de "reconnaître la vérité historique: les Juifs ont un lien de près de 4.000 ans avec la terre d'Israël" s'exprimait le premier ministre sioniste lors d'un discours à la Knesset à l'occasion de la visite du président français François Hollande, qui lui a succédé à la tribune.

Le Premier ministre israélien a exigé à plusieurs reprises que les Palestiniens reconnaissent "Israël comme l'Etat du peuple juif", une revendication catégoriquement rejetée par les dirigeants palestiniens qui y voient notamment une demande de renonciation a priori du "droit au retour" des réfugiés.

Le président russe Vladimir Poutine a évoqué lundi une chance réelle de résoudre la question nucléaire iranienne, des espoirs dissipés par son homologue français François Hollande, qui a formulé différentes exigences et réclamé un maintien des sanctions contre l'Iran.

Alors que Genève accueille mercredi la troisième réunion en un peu plus d'un mois, Vladimir Poutine a souligné qu'une chance réelle était apparue pour trouver une solution à ce vieux problème, a indiqué le Kremlin après un entretien téléphonique du président russe avec son homologue iranien Hassan Rohani.

L'enjeu de cette réunion est de commencer à mettre fin aux soupçons vieux d'une décennie sur les efforts nucléaires de Téhéran, qui assure que son programme est uniquement civil.

La semaine dernière, déjà à Genève, l'espoir d'un accord s'était évanoui après trois jours d'intenses négociations, après notamment des exigeances de la France.

Avant M. Poutine, des responsables américains, européens et russes ont affirmé qu'un accord dit intérimaire était cette fois à portée de main.

Dans un discours devant le Parlement israélien, François Hollande a toutefois fait dissiper cet optimisme. La France demande un maintien des sanctions internationales contre Téhéran.

Hassan Rohani a semblé répliquer à François Hollande lundi, selon ses propos rapportés en Iran après son entretien avec Vladimir Poutine.

Lors des récentes négociations à Genève, a dit le président iranien, de bons progrès ont été réalisés, mais tout le monde doit avoir à l'esprit que les demandes excessives peuvent compliquer le processus vers un accord gagnant-gagnant.

L'ex chef du Mossad, Ephraim Halevy ne va pas par quatre chemins: " l'accord nucléaire que les iraniens et les 5+1 négocient, peut être conclu et Israël est incapable de changer les règles du jeu . la seule solution qui reste pour Israël c'est de continuer de faire confiance aux Etats Unis". Halvey qui s'exprimait sur la chaine CNN a affirmé qu'Israël n'a pas d'autres choix que de payer le prix des pourparlers en cours entre l'Iran et l'Occident. . " Nous autres israéliens , nous ne prenons jamais au sérieux les négociations . nous ne voulons pas négocier et ce refus n'ira pas sans avoir des impacts néfastes sur la situation au Moyen Orient . Aucun pays de la région n'est présent à la table des négociations à part l'Iran et ce fait a un prix que nous sommes en train de payer. je ne crois pas que nous soyons en mesure de changer les règles du jeu . nous n'avons pas d'autres choix que de faire confiance aux Etats Unis et à d'autres parties impliquées dans ces négociations". L'ex chef du Mossad a qualifié l'Iran de plus sérieuse menace pour l'existence d'Israël avant de souligner : " Ceci étant dit, Israël n'est pas un pays sans défense ou propre à être si facilement détruit" " Je m'oppose au discours de Netanyahu et à ses prises de position hostiles de Netanyahu contre le nucléaire iranien car les pourparlers sont les meilleurs moyens et on n'a pas d'autres choix que de négocier le nucléaire iranien".

Deux jeunes musulmanes originaires d'Afghanistan et de Somalie ont quitté une école d'infirmières à Prague suite à l'interdiction du port du hidjab dans cet établissement.

La directrice de l'école a rappelé que le port de ce voile qui cache les cheveux, les oreilles et le cou, ne laissant voir que l'ovale du visage, est contraire au règlement de son établissement. « Si quelqu'un veut faire ses études, il devra s'y soumettre, je pense », a affirmé Ivanka Kohoutova.

Selon elle, « les autres élèves ne portent pas non plus de capuchons ou de passe-montagnes et les professeurs ne portent pas de chapeaux ».

Le port du voile n'est pas régi par la législation tchèque. La question « ne figure pas dans la loi scolaire et c'est aux écoles de fixer leur propre règlement », a expliqué le porte-parole du ministère de l'éducation.

Selon la télévision tchèque, l'affaire fera prochainement l'objet d'une plainte auprès du médiateur entre les citoyens et l'administration.

Hollande y a mis tous ses talents de l'apprenti président, il n'y est pas arrivé!

A la veille des pourpalers Iran/5+1 à Genève qui pourraient déboucher sur un très attendu accord nucléaire, la presse israélienne doute de la volonté et de la capacité de la France d'y barrer la route ! "Les positions de Paris envers l'Iran risquent de changer et il se peut que les autorités françaises soient amenées à adapter leurs positions à celles d'autres puissances européennes", les journaux israéliens mettent en garde Netanyahu contre un excès d'enthouiasme face à un Hollande " qui tout compte fait semble en faire un peu trop"!! Ce pessimisme est exprimé alors que la visite de Hollande en Israël a été qualifiée par les commentateurs de tous les bords d'expression la plus pure du suivisme de Paris en vers Tel-Aviv. les analystes la qualifie même de consacration de l'alliance franco israélienne. Mais qu'est-ce qui justifie ce pessimisme et ces doutes exprimés par les journaux israéliens? Pour certains analystes l'enver du décor de la visite de Hollande en Israël aura été le commerce. Le président français qui s'est fait accompagner par des dizaines d'hommes d'affaire s"attend surtout à pouvoir signer des contrats dans le domaine du transport et de l'énergie avec les israéliens. Le non catégorique exprimé par Fabius à Genève qui a bloqué la conclusion d'une entente est censé être payant. En d'autres termes, la France socialiste risque de renoncer à son soutien ferme à "l'ami israélien", si les 5+1 tenaient cette fois à donner satisfaction aux exigences de Paris dans le domaine économique.