تقي زاده

تقي زاده

À l’âge de 14 ans, il écrivit une pièce en cinq actes nommée «Sahar» qui fut présentée dans plusieurs villages du sud du Liban. Un membre de sa famille nommé Mansour Jordak, qui était un grand mathématicien, voulut l’envoyer en Europe pour poursuivre des études de sciences et de mathématiques mais à cause de son attachement à sa région et ses beautés, et son intérêt pour la littérature et la poésie, Georges Jordak refusa et alla poursuivre des études de littérature arabe à Beyrouth dans un collège religieux.
Il écrivit son premier livre intitulé «Wagner et la femme» au sujet duquel le cheikh Abdoullãh Alaili a déclaré qu’il n’avait aucun égal dans la littérature contemporaine. Après ses études au collège religieux de Beyrouth, il commença à écrire de façon régulière pour des journaux libanais et arabes, et à enseigner la littérature arabe, la philosophie et surtout les œuvres littéraires de l’Imam ‘Ali (AS) dans plusieurs lycées de Beyrouth.

Pour enrichir ses cours, il fut obligé de se référer à de nouvelles œuvres sur cette personnalité littéraire, ses idées et son rôle social, et commença à lire des livres sur l’Imam ‘Ali (AS) se rendant compte que la majorité des livres faisaient référence à des questions secondaires et restreintes, en relation avec une époque et un lieu précis, importantes pour la plupart des gens d’un point de vue historique, mais insuffisantes pour les autres époques car elles se limitaient au droit de succession de l’Imam ‘Ali (AS) après le prophète (AS) que les auteurs défendaient plus ou moins sans aucune allusion aux idées de l’Imam ‘Ali (AS) sur la vie, l’être humain et les besoins de la société humaine.

Le président américain Barack Obama a estimé lundi 6 avril que demander à l'Iran de reconnaître Israël dans le cadre de l'accord global naissant sur son programme nucléaire serait une "erreur de jugement fondamentale".
« Subordonner l’accord nucléaire à une reconnaissance par Téhéran d’Israël, cela revient à dire que nous ne signerons aucun accord, à moins que la nature de l'ordre iranien ne change complètement. Et c'est, je pense, une erreur de jugement fondamentale. »
Le Premier ministre du régime sioniste, Benyamin Netanyahu ne cesse de s'employer pour torpiller un éventuel accord nucléaire global entre l’Iran et les 5+1.

La plupart des chefs de Daech sont des officiers de l’armée dissolue baathiste de l’Irak.
Cela a été révélé par le "Washington Post" se penchant sur la nationalité du principal chef de Daech, Abou-Bakr Al-Baghdadi.
Citant Abou Hamza, l’un des chefs terroristes, qui s’est enfui en Turquie, après les divergences de vue apparues avec la ligne de conduite de Daech, le "Washington Post" a dévoilé que les officiers baathistes sont dans les postes de commandement de Daech d’autant plus qu’ils décident les tactiques militaires et des plans de guerre. Pour le rappel, avec la chute du régime de Saddam en 2003 et la dissolution du parti baathiste, ce parti a continué ses activités destructives, grâce au soutien des partisans intérieurs et extérieurs. L’Irak a vécu, de très difficiles jours, sous la dictature de Saddam qui avait fait recours, durant les 24 années de son règne, à la répression, au massacre et à l’exode forcé de certaines confessions et ethnies. Le paroxysme des crimes du parti baathiste c’est, certainement, le massacre des Kurdes irakiens, dans l’opération Anfal entre 1988 et 1989. Selon les chiffres publiés, 182.000 Kurdes ont été tués ou portés disparus à la suite de cette opération. Les complots de ce parti se sont poursuivis, en collaboration avec Daech, après l’époque du Premier ministre Nouri al-Maliki lors des consultations qui se faisaient pour la désignation du nouveau Premier ministre, Haïdar al-Abadi. Ainsi la ville de Mossoul a été investie en juin 2014, avec la collaboration flagrante du parti dissolu baathiste et ses supporters dont les Etats-Unis, l’Arabie et Israël. La collaboration de Daech avec ce parti dissolu est très profonde. Les officiers baathistes qui sont expérimentés dans la répression, et qui massacraient facilement le peuple irakien, procèdent aujourd’hui, à des actes répugnants, de la décapitation des otages aux comportements ignobles envers les femmes Yézidis, sans compter d’innombrables d’autres crimes que ces terroristes n’hésitent de commettre avec un grand sang-froid.

L’US Navy est une force énorme mais largement basée sur des groupes de porte-avions que l’armement moderne a peut-être rendus obsolètes

Les Etats-Unis aiment à se voir comme les maîtres des océans de la planète. Après tout, le pays – qui dépense dix fois plus pour ses forces militaires que les neuf pays suivants réunis – est de loin la plus grande force navale. Et comme depuis la guerre du Vietnam, ils n’ont agressé que des adversaires militairement inférieurs, ils sont extrêmement confiants dans leur conviction qu’ils peuvent vaincre tout le monde tout le temps. Il n’est pas surprenant que certains jeunes Américains portent même des T-shirts avec le logo : United States Navy : la mer est à nous.

Pour répondre à cette fierté et à cette arrogance, peut-être faut-il l’aborder avec une certaine compréhension au vu de la supériorité numérique de l’US Navy. Au total, elle compte actuellement dix porte-avions opérationnels (deux en réserve), tandis que la Russie et la Chine n’en ont qu’un seul chacune.

Les porte-avions sont la grande fierté de la marine américaine, ils sont également parfaits pour rendre visuellement manifeste son droit à régner sur les mers. Ils sont donc bien aimés par les présidents américains, comme des décors d’où ils peuvent prononcer des discours quand vient le temps de dire aux gens que cette nation unique a une fois de plus remporté une victoire héroïque.

Quel moment passionnant, en effet (au moins pour les Américains), lorsque George W. Bush a atterri dans un avion de chasse sur l’USS Abraham Lincoln (non, pas en tant que pilote), puis, avec la banderole mission accomplie et un good job bien senti, annonçait au peuple la fin de la guerre en Irak . Comme nous le savons, la destruction de l’Irak a été menée par les Américains sous le label de l’opération Iraqi Freedom. Nous pouvons encore nous demander ce que la liberté avait à voir là-dedans, mais c’est une autre histoire.

En plus de leur intérêt comme impressionnantes estrades pour un orateur, les porte-avions remplissent aussi, bien sûr, un but militaire. Ils peuvent être considérés comme de petits aéroports flottants, qui peuvent expédier jusqu’à cent avions de chasse sur la scène des opérations. Comme ils sont équipés des meilleures armes, de radars et de systèmes de défense, ils n’ont jusqu’à ce jour connu presque aucune menace, d’autant plus que dans le passé l’US Navy stationnait de préférence au large des côtes d’États déserts et sans défense.

Mais que se passerait-il si la puissante l’US Navy rencontrait ses pairs ? Le titre de cet article donne déjà la réponse : pas très bon, et il se pourrait que les fans de l’US Navy patriotique aillent rapidement cacher leurs T-shirts dans le placard.

Retour dans les années 1970. L’amiral Rickover, le père de la marine nucléaire, a dû répondre à la question suivante devant le Sénat américain : « Combien de temps nos porte-avions pourraient-ils survivre dans une bataille contre la marine russe ? » Sa réponse a causé la désillusion : « Deux ou trois jours avant qu’ils ne coulent, peut-être une semaine s’ils restent au port. »

La raison de la durée de vie fortement réduite du porte-avion dans une bataille contre les Russes est l’existence d’un danger mortel sous l’eau : les sous-marins modernes – surtout les russes – sont si puissants et difficiles à localiser qu’ils peuvent envoyer de gros cuirassés et porte-avions par le fond en un clin d’œil. La faiblesse de l’US Navy est leur vulnérabilité quand ils sont en concurrence avec un ennemi qui – en utilisant le langage des Américains – domine les mers en dessous de la surface de l’eau. Bien sûr, les analystes militaires américains sont conscients de cette faiblesse, donc on se demande pourquoi l’US Navy adhère encore à la doctrine du plus c’est gros, plus c’est beau et continue de s’appuyer sur une armada de porte-avions et de navires de guerre.

Le colonel Douglas McGregor, un vétéran de combat médaillé, auteur de quatre livres, doctorant et analyste militaire, donne la réponse : « Stratégiquement, cela n’a aucun sens, mais la construction de grands navires, bien sûr, crée beaucoup d’emplois. »

Donc la menace des sous-marins russes, des torpilles et des missiles anti-navires est bien connue par les Américains – un fait que le livre de Roger Thompson, Leçons non apprise : La culture du statu quo dans l’US Navy, souligne également. Un bref extrait :

 

En 2003, Howard Bloom et Dianne Star Petryk-Bloom ont averti que tant les Russes que les Chinois ont maintenant le missile mortel SS-N-22 Sunburn à leur disposition. Ce gros missile à longue portée, équipé d’ogives nucléaires ou conventionnelles, est extrêmement difficile à détecter et donc à détruire. Selon le Groupe d’information de Jane, il est plus que capable de couler n’importe quel porte-avions américain. Plus précisément, Timperlake (un diplômé de l’Académie navale) et Triplett ont prévenu que le missile Sunburn est conçu pour faire une seule chose : détruire les porte-avions américains et les croiseurs de la classe Aegis.


Le missile SS-N-22 rase la surface de l’eau à deux fois et demi la vitesse du son jusqu’à ce que, juste avant l’impact, il se relève et pique tout droit sur le pont du navire. Son ogive nucléaire de deux cents kilotonnes a presque vingt fois la puissance explosive des bombes atomiques larguées sur Hiroshima. La marine américaine n’a aucune défense contre ce système de missile. Comme a dit l’amiral à la retraite Eric McVadon : « C’est assez pour couler deux fois la 7e Flotte US (Pacifique). »

En plus de cette notion liée à la faiblesse presque inévitable des grands navires de guerre, il y a une autre raison à la vulnérabilité de l’US Navy et aux forces armées des États-Unis en général : leur arrogance et la sous-estimation corrélative de leurs adversaires. Toute personne qui sous-estime son ennemi est poussée à l’imprudence et détient les mauvaises atouts dans le cas d’une attaque surprise. Ce qui s’est passé en 2000, lorsque le porte-avions américain USS Kitty Hawk a été pris à contre-pied par les Russes.

Voici quelques extraits de l’article de Jon Dougherty, « La Marine russe prend Flyover par surprise » (World Net Daily) :

Une paire d’avions de chasse russes qui ont fait au moins trois passages à grande vitesse au-dessus d’un porte-avions américain stationné dans la mer du Japon en octobre a constitué une menace beaucoup plus grave que le Pentagone a bien voulu l’admettre ; les avions russes étaient facilement en mesure de détruire le vaisseau s’ils avaient eu des intentions hostiles, dit le personnel de la Marine.

 

Selon les rapports, le 9 octobre, une force aérienne russe composée d’un Su-24 Fencer et d’un Su-27 Flanker a survolé le USS Kitty Hawk à basse altitude sans rencontrer d’opposition, alors que le navire était en cours de ravitaillement.

 

Le 9 novembre, des chasseurs et des avions de reconnaissance russes ont fait une deuxième tentative pour se rapprocher du porte-avion, une répétition pour laquelle le Pentagone, ainsi que des témoins oculaires à bord des navires, ont déclaré que le navire avait été préparé. Mais c’était le premier incident en octobre qui avait causé l’alarme.

 

Le porte-parole du Pentagone, Kenneth Bacon, a déclaré lors d’une conférence de presse régulière le 30 novembre que les chasseurs russes ont été détectés sur le radar bien avant leurs survols à grande vitesse. Des officiers de marine à bord des navires qui ont parlé de l’incident sous la condition de l’anonymat, étaient d’accord avec cette version.

 

Cependant, au moment où le centre d’information de combat du porte-avions a alerté le commandant du navire, le capitaine Allen G. Myers, que les chasseurs russes étaient en vue, aucun des avions du navire n’était en vol. Le navire transporte 85 avions, selon les chiffres de la Marine, et a un équipage de plus de 5500 hommes.

 

Des témoins ont déclaré que Myers a immédiatement ordonné le lancement des avions d’alerte, mais l’escadron de chasse en alerte était dans le statut Alerte-30 - un temps de lancement minimum de 30 minutes où les pilotes sont dans la salle d’attente, mais ne sont pas dans les cockpits prêts à décoller.

 

Bacon, le porte-parole de l’US Navy, a seulement déclaré aux journalistes qu’il y a « peut-être eu un léger retard » pour envoyer les intercepteurs, expliquant que parce que le Kitty Hawk se ravitaillait en carburant, il ne naviguait pas assez vite pour lancer ses avions.

 

Un officier de la marine à bord du navire a déclaré : « Quarante minutes après que le CO [Officier commandant] a suspendu l’état d’alerte,les avions russes ont effectué un nouveau passage à 500 noeuds, à 200 pieds d’altitude, juste au-dessus de la tourelle du porte-avion. »

 

Avant que le Kitty Hawk n’ait pu faire décoller un seul chasseur, les chasseurs russes ont fait deux autres passes. Pire, selon des témoins, le premier avion sur le pont était un EA-6B Prowler – un appareil utilisé principalement pour le brouillage électronique des radars et des défenses aériennes de l’ennemi, pas un chasseur capable d’intercepter un autre avion de guerre.

 

« Le EA-6B a fini dans un un-contre-un avec un Flanker juste en face du navire, a déclaré un témoin. Le Flanker était sur lui... Il hurlait à l’aide quand enfin un Hornet F/A-18 de notre escadron a quitté le pont et fait l’interception. Il était trop tard. »

 

Des personnels de la marine ont noté que « l’ensemble de l’équipage regardait au-dessus de leurs têtes pendant que les Russes s’amusaient de notre incapacité à les intercepter ».

 

L’administration Clinton a minimisé l’incident... La BBC, cependant, a dit qu’il était évident, au vu des photographies prises par les jets russes, qu’il y avait panique à bord quand les avions ont fait leurs survols.


Nos lecteurs américains vont maintenant peut-être dire que cet incident humiliant s’est produit il y a 15 ans et qu’une telle chose n’est plus possible de nos jours. Mais la plupart des lecteurs de Russie Insider se souviennent des événements d’avril 2014, lorsque le destroyer ultra-moderne USS Donald Cook a été paralysé par un seul SU-24.

Pour les lecteurs qui, malheureusement, ont raté l’histoire, la voici. Au début du mois d’avril l’année dernière, les Américains ont envoyé l’USS Donald Cook dans la mer Noire, avec l’autorisation de la Turquie, pour protester contre l’annexion russe de la Crimée et démontrer leur force militaire. Le destroyer était équipé du système de combat Aegis le plus avancé, un des systèmes d’armes navales qui assurent la détection, le suivi et la destruction de plusieurs cibles en même temps. L’USS Donald Cook est aussi équipé de quatre grands radars, dont la puissance est comparable à celle de plusieurs stations. Pour sa protection, il transporte plus de 50 missiles anti-aériens de divers types.

Selon la Convention de Montreux, les navires de guerre des États qui ne sont pas riverains de la mer Noire sont autorisés à rester dans celle-ci pour un maximum de 21 jours. Les Américains, bien sûr, ont ignoré cette règle, et la Russie a répondu en envoyant un SU-24. Le Sukhoi n’était pas armé, mais équipé avec le dernier appareil de la guerre électronique, appelé Khibiny.

Lorsque le SU-24 s’est approché du destroyer, tous les systèmes de radar et de contrôle, les transferts d’information, etc., de l’USS Donald Cook ont été soudainement paralysés par Khibiny. En d’autres termes, le système Aegis apparemment supérieur était complètement hors-service, comme lorsque vous éteignez votre téléviseur avec la télécommande.

Par la suite, le SU-24 a simulé des attaques de missiles à basse altitude sur l’USS Donald Cook aveugle et sourd, et on peut imaginer que les deux pilotes des SU-24 ont eu beaucoup de plaisir. Malheureusement, à cette époque, il n’y avait ni John McCain, ni le commandant de l’Otan, Phillip Breedlove, à bord du navire – ils auraient certainement gardé des impressions durables de cette démonstration.

Après cet incident, l’USS Donald Cook a choisi de rentrer immédiatement et à pleine vitesse vers son port d’attache en Roumanie, où 27 membres de l’équipage en état de choc ont démissionné du service actif.

Cette histoire nous montre que les Américains surestiment encore largement les capacités de leurs forces armées et ne réalisent pas (ou ne veulent pas admettre) que la technologie militaire de la Russie est supérieure, dans de nombreux domaines, et dispose d’un avantage qui ne peut être compensé rapidement.

Donc, aussi longtemps qu’un seul avion de chasse russe peut désactiver un navire de guerre américain complet muni des derniers systèmes d’alerte et des missiles les plus sophistiqués en appuyant simplement sur un bouton, la réponse à la question Combien de temps l’US Navy peut-elle survivre ? est aujourd’hui la même qu’au bon vieux temps de la guerre froide.

Le chef de la majorité républicaine du Sénat américain, Mitch McConnell, a dénoncé lundi les concessions que l'administration Obama a faites à l'Iran sur le nucléaire. Il a confirmé que le Sénat aurait son mot à dire, malgré l'avertissement du président américain.
"L'administration doit expliquer au Congrès et aux Américains pourquoi un accord intérimaire aboutit à une réduction de la pression contre l'un des Etats qui soutiennent le plus le terrorisme", a déclaré Mitch McConnell dans un communiqué.

Jeudi dernier à Lausanne, le groupe de pays 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) et l'Iran ont conclu un accord-cadre sur le programme nucléaire iranien.

L'homme fort du Sénat a répété sa promesse d'examiner dans la chambre haute du Congrès la proposition de loi dite Corker-Menendez. Le texte, dans sa forme actuelle, obligerait le président Obama à donner 60 jours au Congrès pour examiner et éventuellement bloquer, par un vote, tout accord final sur le nucléaire.

Risque de précédent
La Maison Blanche refuse cette approche. Elle estime que l'engagement de l'exécutif suffit, et que l'immixtion du Congrès risque de créer un précédent.

Accord-cadre salué
Par ailleurs, trois groupes de pression d'Américains juifs, arabes et iraniens ont salué lundi dans un communiqué commun l'accord-cadre conclu le 2 avril entre les grandes puissances et l'Iran sur son programme nucléaire. Ils ont estimé qu'il pourrait régler les conflits au Moyen-Orient.


"Ce règlement peut constituer un premier pas important vers une réduction des tensions régionales et ouvrir la voie à la résolution de nombreux conflits", se félicitent-ils encore, saluant le fait que "la diplomatie fonctionne".

Le groupe rebelle Daech a publié sur internet une vidéo mettant en scène des rebelles détruisant à coups de fusils et de pioches des antiquités sur le site irakien de Hatra, dont la destruction a été dénoncée il y a un mois par l'Unesco.
Hatra, cité antique vieille de 2.000 ans inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, est située à 100 km au sud de Mossoul, dans le nord de l'Irak.

Sur les images, on voit des insurgés arracher des sculptures murales, les viser au fusil d'assaut et endommager une statue à coups de pioche. Les pièces montrées dans la vidéo sont cependant constituées de tiges métalliques, indiquant qu'il pourrait s'agir d'antiquités ayant été restaurées ou de répliques plus récentes.

Hatra, ville fortifiée mêlant architectures orientale et occidentale, était particulièrement bien conservée. Elle est située à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Mossoul, occupé par les rebelles en Irak, où ils ont réduit en miettes des dizaines d'oeuvres dans le musée de la ville.

Daech s'en est également pris à la cité antique de Nimroud, toujours dans le nord du pays, où des insurgés ont pénétré au volant de bulldozers. L'Unesco a vivement dénoncé les attaques des rebelles contre le patrimoine irakien, affirmant dans un tweet posté après la diffusion de la vidéo sur Hatra: "Nous devons nous ériger contre les forces qui cherchent à diviser l'Irak".

Le président américain Barack Obama a vivement défendu l'accord-cadre sur le nucléaire conclu la semaine dernière avec l'Iran, le qualifiant d'"opportunité unique dans une vie", a rapporté lundi le New York Times.
Cet accord a été conclu jeudi sous sa forme provisoire, après huit jours de négociations intenses entre le ministre iranien des Affaires étrangères et ses homologues britannique, chinois, français, américain et allemand, dans la ville suisse de Lausanne.

Cet accord prévoit des dates limite sur les activités nucléaires de l'Iran.

En échange, les États-Unis et l'Union européenne arrêteront leurs sanctions contre Téhéran adoptées en conséquence de ce litige sur le nucléaire, et lèveront toutes les résolutions de sanction passées du Conseil de sécurité de l'ONU.

Ces propos de M. Obama surviennent alors que la Maison Blanche a entrepris la campagne pour faire reconnaître l'accord-cadre qu'elle a conclu, porteur de l'espoir d'une transformation de la sécurité au Moyen-Orient, selon The Times.

Certains députés américains travaillent sur des projets de loi demandant une révision du Congrès sur tout accord conclu avec l'Iran, et menaçant de nouvelles sanctions si les pourparlers avec la République islamique ne parviennent pas à un accord final d'ici à la fin juin.

Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a estimé que cet accord laissait à l'Iran la capacité de "produire les matériaux nécessaires pour produire un grand grand nombre de bombes nucléaires", en levant les sanctions "pratiquement dès le départ".

M. Obama a fait valoir que les inspecteurs seraient en mesure de surveiller "l'ensemble de la chaîne nucléaire", et qu'un " comité sur les approvisionnements" examinerait les importations iraniennes pour s'assurer que le matériel reçu soit bien adapté à un usage nucléaire pacifique. Les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique " pourront aller partout", a-t-il souligné.

Le document stipule que tous les embargos liés au programme nucléaire iranien seront soulevées. La levée de toutes les sanctions

Zarif et Mogherini ont déclaré que tous les sanctions économiques et financières du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU), imposées multilatéralement Europe et unilatéralement par les Etats-Unis contre Téhéran sera levée après la mise en œuvre du " Plan d'action conjoint “.

Parmi les embargos économiques être éliminés inclure les interdictions bancaires, d'assurance et d’investissement, ainsi que d'autres services dans différents domaines tels que la pétrochimie, du pétrole, du gaz, de l'automobile et industrielle.

Dans le même temps, toutes les sanctions concernant le programme nucléaire de l'Iran contre les institutions physiques et morales et les organismes privés et publics y compris les embargos contre la Banque centrale de l'Iran et d'autres institutions financières, la Society for Worldwide Interbank Financial Télécommunication (SWIFT, en anglais), l'aviation et le transport et bâtiment-citerne réservoir Compagnie nationale iranienne ( NITC, en anglais) sera immédiatement annulée.

En outre, tous les pays du groupe 5+1 (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie et Chine, plus l’Allemagne) se sont engagés à éviter de nouvelles sanctions liées au programme nucléaire de pays Persique.

Contourné toutes les résolutions du Conseil de sécurité

Les deux propriétaires, Mogherini et Zarif ont affirmé que, selon les accords conclus, le Conseil de sécurité a publié une nouvelle résolution de l'ONU sur le programme nucléaire de l'Iran et de déclarer nulle et non avenue toutes les résolutions précédentes.

Formulaire de mettre en œuvre le « Plan d'action conjoint »

À la fin des négociations sur le nucléaire, les parties vont commencer la rédaction du plan d'action conjoint, selon la présidence iranienne immédiatement, avant de tourner à la date limite du 30 Juin (PressTV indique de 1 Juillet).

Une fois le document finalisé, le plan d'action conjoint sera adopté en tant que résolution du Conseil de sécurité de l'ONU et de forcer tous les Etats de l'ONU pour mettre en œuvre l'initiative de mâcha, la résolution sera approuvé au titre de l'article 41 du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies à annuler toutes les résolutions antérieures sur l’Iran.

Georges Jordak est né dans le sud du Liban, dans une des plus belles et des plus anciennes régions du monde, dans une famille d’origine Qassani, dans un village de la région de Jabal. Il grandit dans une famille amoureuse de la science et à la recherche de la vérité, et fut fortement influencé par son frère Fouad Jordak, lexicologue, ingénieur et poète.
Dans ses mémoires, il évoque souvent ses fuites du collège pour se réfugier dans la nature et lire le Nahjol Balãghe, le Majma’ol-Bahrein de Nassif Al-Yajzi, et les livres de poésie de Motanabi que son frère Fouad lisait et lui avait recommandés surtout le Nahjol Balaghe qu’il lui avait recommandé de lire et de mémoriser car «tous les bienfaits sont pour ceux qui lisent ce livre et en mémorisent les enseignements», disait-il.

Il avait mémorisé une grande partie de ces livres et spécialement le Nahjol Balãghe avant ses 13 ans, et décelé la grande personnalité de l’Imam ‘Ali (AS). Son frère récitait aussi de nombreux poèmes sur l’Imam ‘Ali (AS), son intelligence, sa grandeur, sa brillante vie, son statut élevé, que son petit frère apprenait par cœur et récitait quand ils avaient des invités.

samedi, 04 avril 2015 09:36

Le réveil des Musulmans

Une première. Dimanche prochain, à La Mecque, des oulémas, des penseurs et universitaires viendront de plusieurs pays, pour participer à la Conférence internationale sur «l'Islam et la lutte contre le terrorisme». Ils se pencheront, notamment, sur «l'instrumentalisation de la religion, dans le terrorisme». De nombreux autres ateliers se tiendront, au cours de cette rencontre, sur des thèmes, comme «le sectarisme religieux», «la méconnaissance de la Chariaâ», «la notion du Jihad, dans l'Islam», «la faiblesse de la société civile», «le rôle des médias», celui de l'éducation. Bref, un tour d'horizon, qui se veut complet autour de ce fléau qu'est le terrorisme. Pour aboutir sur «les meilleures approches et expériences de lutte» contre ce fléau. Une telle réunion aurait dû se tenir, dès le début des années 1990, lorsque ce terrorisme avait pris, pour première cible, l'Algérie. Il est vrai que le phénomène, par sa nouveauté, déroutait les observateurs les plus avertis. Aujourd'hui, et après un quart de siècle et des centaines de milliers de morts, à travers le monde, les élites musulmanes tentent de réagir. Cependant, et à moins de créer une structure de coordination, pour le suivi des recommandations, qui seront arrêtées, à cette conférence de La Mecque, la portée d'une telle réunion risque d'être sans effets. Pourtant, les Musulmans ne peuvent pas laisser, indéfiniment, l'Islam endosser ces actes, qui le diabolisent et font de lui la première cible des terroristes. Jeudi dernier, dans son intervention, à la Conférence sur «la lutte contre la violence extrémiste», tenue à Washington, Barack Obama, le Président américain, a qualifié «d'affreux mensonge», l'idée, selon laquelle l'Islam serait responsable de tous les actes terroristes qui secouent la planète. Il a, par la même occasion, dénoncé «les interprétations tronquées de l'Islam», qui tendent à le mettre en cause. Même conviction, chez le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, qui a annoncé, au cours de cette conférence, qu'il allait, prochainement, organiser une réunion des dirigeants religieux du monde entier. Pour ces deux grands responsables, il ne s'agit, ni d'un conflit de civilisations, ni de guerre de religions. Par contre, nous assistons à une guerre contre la religion musulmane. Qui ne date, malheureusement, pas d'aujourd'hui. Déjà, dans les années 1950, d'innombrables exemplaires de livres contrefaits du Saint Coran avaient circulé, à travers le monde. Beaucoup de théologiens avaient dénoncé, en son temps, le phénomène. On comprend mieux, avec le recul, l'intention des faussaires. Il faut se rappeler, aussi, qu'il y a, seulement, quelques années, les médias occidentaux défendaient le port du voile. Même à l'école. L'objectif était de le répandre, pour mieux le dénoncer, comme c'est le cas, aujourd'hui. Grâce à l'Internet, les ennemis de l'Islam sont passés à son instrumentalisation, à l'échelle planétaire. Al-Qaïda, GIA, Gspc, Al Qaïda au Maghreb islamique, (Aqmi), Boko Haram, Daesh, Ansar, on ne sait plus quoi, une multitude de sigles ont jailli, pour désigner l'Islam, comme l'ennemi de l'humanité. L'étrange, dans cette affaire d'atteinte à l'Islam, à grande échelle, est le fait que personne n'a l'air de se rendre compte que les principales victimes de ce terrorisme dit «islamique» sont musulmanes. Que ce même terrorisme brûle toutes les mosquées, sur son passage. Que ce même terrorisme n'a jamais fait allusion au calvaire des Palestiniens, au plus fort des atrocités à Ghaza. Que ce même terrorisme frappe au Sinaï, en Irak, en Syrie, au Liban. Autour d'Israël, mais jamais, à l'intérieur. Ce pays est, d'ailleurs, absent de tous les «communiqués islamistes». Alors que ce même terrorisme décapite, également, des Chrétiens? Que faut-il de plus que ces «grosses ficelles», pour se rendre compte que l'Islam est instrumentalisé?