تقي زاده

تقي زاده

La porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marzieh Afkham a condamné dans les termes les plus vifs la fusillade terroriste de mercredi après-midi contre les locaux du journal Charlie Hebdo : tout acte commis contre les êtres innocents est condamnable puisque contraire aux principes des enseignements islamiques". " Tout abus envers la liberté d'expression, tout extrémisme intellectuel, toute offense envers les personnalités aimées et respectées des peuples, des religions, toute profanation des valeurs et des symboles religieux sacrés sont inadmissibles et contraires à l'Islam", a souligné Mme Afkham. " L'acte terroriste dont la France a été témoin fait partie de ces actes extrémistes, de ces violences folles, étendues depuis une décennie dans le monde, violences qui est née de l'attitude ambivalente des puissances occidentales vis-à-vis de l'extrémisme", a-t-elle ajouté. 

jeudi, 08 janvier 2015 01:00

Bal tragique à Paris .....

Des tueurs viennent de liquider plusieurs artistes, dessinateurs et journalistes de Charlie Hebdo. Attentat contre une liberté d’expression qui raillait l’islam.

Le discours médiatique mainstream a quelque chose d’insupportable. Les voilà tous à babiller, à se disputer, à tenter de raisonner sur le dernier événement qui va faire vendre. Mais surtout je remarque le deux poids et deux mesures, à deux points de vue. L’Occident dans tout ce qu’il peut représenter de plus dégoûtant.

Terrorisme

Des pays entiers comme l’Irak, la Libye, la Syrie, le Liban même, vivent le terrorisme, sans que les bonnes consciences occidentales ne s’en émeuvent. Pis, en Syrie particulièrement, ces mêmes médias qui sont unanimes à condamner le terrorisme ici, le supportent et l’encouragent là-bas, aujourd’hui encore.

Ils l’encouragent en désignant à la vindicte un « régime », l’État syrien, dont Bachar Al-Assad est en effet le chef. Depuis des années ils ont l’outrecuidance de condamner cet État qui lutte contre le terrorisme pour la protection de sa population.

Mieux, complices d’hommes politiques comme Obama, Cameron ou Fabius, ils ont poussé une frange désœuvrée de la jeunesse française à partir en Syrie, y combattre « Bachar ». Et cette jeunesse est partie, se livrant en Syrie, depuis 2011, à des actes bien pire que celui d’aujourd’hui.

Cette jeunesse, aujourd’hui, elle revient. Aguerrie. Et je l’avais prédit, nous avons semé le vent, nous allons récolter la tempête. Mais il ne faut pas oublier les responsables au passage. Les mêmes qui aujourd’hui pleurent hypocritement sur leurs douze morts.

Liberté d’expression

Il y a un an, quasi jour pour jour, le 9 janvier 2014, un autre attentat contre la liberté d’expression secouait le pays. Un attentat fomenté par notre actuel Premier ministre, Manuel Valls, avec la complicité de François Hollande, visant à interdire de spectacle de Dieudonné à Nantes.

Il y a un an les mêmes politiques et journalistes qui défendent aujourd’hui la liberté d’expression ne le faisaient pas. Ils défendaient les limites de cette liberté. Les bornes qu’il ne faut pas franchir.

D’ailleurs, il est effarant d’entendre aujourd’hui que l’on accuse Dieudonné et Alain Soral d’être responsables de l’attentat contre Charlie Hebdo. Comment une telle chose est-elle possible ? Ce n’est pas la première fois, nous l’avions déjà noté, que l’on tente d’amalgamer (celui-là est permis) étrangement cette dissidence française avec l’islam du djihad.

Peut-être veut-on éliminer, physiquement ou moralement, les seuls qui en réalité sont susceptibles, dans les tristes circonstances que nous traversons, de garder la tête froide, et de délivrer la bonne analyse critique.

Damien Viguier, 7 janvier 2015

Si vous posez la question cette question au peuple iranien: comment avez-vous pu arriver à la victoire face au régime Pahlavi qui était soutenu par les puissances mondiale?, il vous répondra c'était seulement grâce au Dieu que nous avons gagné la victoire, a déclaré cheikh Ahmad Badr el-Dine Hassoun, grand Mufti de la Syrie lors de la 28e conférence de l'Unité islamique.

Ayant lieu dans le même jour que le noble prophète de l'islam est né, cette conférence est le facteur principal dans l'Unité islamique, a-t-il souligné.

L'Iran accueille cette conférence importance que de nombreuses capitales islamiques étaient prêtes à l'organiser. L'Iran ne se soumet qu'à Dieu et résiste face aux pressions des arrogants, a-t-il indiqué.

Si vous posez la question cette question au peuple iranien: comment avez-vous pu arriver à la victoire face au régime Pahlavi qui était soutenu par les puissances mondiale?, il vous répondra c'était seulement grâce au Dieu que nous avons gagné la victoire, a-t-il insisté.

Aujourd'hui, les ennemis et les groupes takfiris tuent les jeunes sous prétexte de constituer un califat. Nous devons apprendre aux jeunes que l'Imamat a priorité sur le califat. Les califats étaient sous l'Imamat de l'Emir des croyant, le vénéré Imam Ali, a-t-il dit.

La communauté islamique unie vit dans une situation de paix. La paix et la tolérance sont les bases de la communauté islamique unie, a déclaré le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
La conférence de l'Unité islamique suit des objectifs. Le premier objectif consiste à préparer les conditions pour les réunions des oulémas du monde musulman, a dit l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques lors d'une émission télévisée de la chaîne 2 de la télévision iranienne.


Il est regrettable que certains malentendus a créé des divisions parmi les communautés islamiques. Ces réunions essaient de lever les sources de divergences, a-t-il précisé.


Le deuxième objectif de la conférence consiste à présenter l'islam comme une religion de miséricorde. Aucune religion ne peut égaler l'islam dans le domaine de l'idéologie développant l'unité dans les communautés, a-t-il indiqué.


L'extrémisme et le takfirisme constituent les défis les plus grands devant la communauté humaine. L'Occidents et l'arrogance mondiale essaient présenter par tous les moyens l'islam comme une religion de violence et de guerre. Alors que l'islam est basé sur la fraternité et sur la paix, a-t-il expliqué.


Les oulémas wahhabites sont très actifs dans l'instruction des criminels dans les pays occidentaux pour les transformer en extrémistes pour commettre des crimes dans les régions islamiques, a souligné ce scientifique islamiques.


Le troisième objectif que le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques suit est d'expliquer le danger de la création des crises au sein de la communauté islamique, a-t-il ajouté.

Présenter la résistance palestinienne par l'Occident comme un courant terroriste vise à arrêter les victoires des Palestiniens, a-t-il ajouté.

Un éventuel affaiblissement de la Russie serait très dangereux pour le monde entier, estime l'ancien chancelier allemand Sigmar Gabriel.

Dans une interview accordée au journal Bild am Sonntag, M.Gabriel a mis en garde l'Occident contre des tentatives d'affaiblir Moscou «sur le plan économique comme politique».

«Celui qui le veut risque de provoquer une situation encore plus dangereuse pour nous tous en Europe», a déclaré l'ex-chancelier fédéral.

Selon lui, aux Etats-Unis aussi bien qu'en Europe, il existe des forces qui souhaitent voir la faillite définitive de la «grande puissance rivale». Cependant, un tel scénario ne correspond pas aux intérêts des Européens, souligne M.Gabriel.

Auparavant, l'ex-chancelier a qualifié d'erronée la politique de renforcement ultérieur de sanctions antirusses.

Les relations entre la Russie et l'Occident se sont dégradées sur fond de crise en Ukraine et d'adhésion de la Crimée à la Russie. Les Etats-Unis, l'Union européenne, le Canada ainsi que l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont adopté le premier train de sanctions contre la Russie à la mi-mars 2014. Fin juillet dernier, les Etats-Unis et l'UE ont instauré des sanctions contre plusieurs secteurs de l'économie russe.

Moscou a riposté en imposant un embargo sur les denrées alimentaires provenant des Etats-Unis, de l'UE, de l'Australie, du Canada et de la Norvège.

Le président iranien, Hassan Rohani, a pris son discours dans la cérémonie d'ouverture de la 28e conférence de l'Unité islamique tenue à Téhéran. Commémorant l'anniversaire de la naissance du grand prophète de l'islam et celui de son fils, Imam Sadiq (AS), il a confirmé que la situation actuelle du monde musulman exige l'unité des pays islamique.

Nous devons mobiliser les coopérations entre les pays islamiques aux différents niveaux dont celui économique. Nous devons aller de la théorie vers les activités pratiques, a-t-il précisé.


Nous ne pouvons pas à la réalisation de l'unité islamique complète sans se coopérer dans le domaine culturel. Une interprétation unique du noble coran approuvé par toutes les écoles islamiques peuvent être un bonne exemple pour la coopération entre les écoles islamique.

La crise syrienne, qui a déjà trouvé une solution avec la première conférence de Genève en juin 2012, continue malgré tous les accords négociés avec les États-Unis. À l’évidence, l’administration Obama n’obéit pas à son chef, mais est divisée entre deux lignes politiques : d’une part les impérialistes favorables à un partage du monde avec la Chine et éventuellement la Russie (c’est la position du président Obama) et, d’autre part, les impérialistes expansionnistes (réunis autour d’Hillary Clinton et du général David Petraeus).

À la surprise générale, l’éviction du directeur de la CIA et de la secrétaire d’État lors de la ré-élection de Barack Obama n’a pas mis fin à la division de l’administration, mais l’a au contraire renforcée.

Ce sont à nouveau les impérialistes expansionnistes qui ont relancé la guerre contre la République populaire de Corée, sous le prétexte d’une cyber-attaque contre Sony Pictures attribuée à Pyongyang contre toute logique. Le président Obama a en définitive souscris à leur discours et signé un décret de « sanctions ».

Il semble que les partisans de l’expansion impériale se soient d’abord regroupés pour créer le Center for a New American Security, qui a joué au sein du Parti démocrate un rôle équivalent à celui du Project for a New American Century (et aujourd’hui de la Foreign Policy Initiative) au sein du Parti républicain. À ce titre, ils ont joué un rôle important durant le premier mandat de Barack Obama et, pour certains, ont intégré l’État profond d’où ils continuent à tirer les ficelles.
Les faucons libéraux

Le Center for a New American Security (CNAS) a été créé en 2007 par Kurt Campbell et Michèle A. Flournoy.

Ces deux intellectuels avaient travaillé préalablement ensemble au Center for Strategic and International Studies CSIS). Ils y avaient dirigé la publication, deux mois après les attentats du 11 septembre 2001, de To Prevail : An American Strategy for the Campaign Against Terrorism (Pour triompher : une stratégie américaine pour la campagne contre le terrorisme) [1]. L’ouvrage glosait la décision du président Bush d’attaquer non seulement des groupes terroristes, mais aussi des États qui les soutiennent, voire des États faillis qui échouaient à les combattre sur leur sol. S’inspirant des travaux de la Task Force sur le terrorisme du CSIS, il préconisait un développement considérable des agences de renseignement afin de surveiller le monde entier. Bref, Campbell et Flournoy acceptaient la narration officielle des attentats et justifiaient la « guerre au terrorisme » qui allait endeuiller le monde durant plus d’une décennie.

En 2003, Campbell et Flournoy signaient avec treize autres intellectuels démocrates un document intitulé Progressive Internationalism : A Democratic National Security Strategy (Internationalisme progressiste : une stratégie démocrate de sécurité nationale) [2]. Ce manifeste soutenait les guerres post-11-Septembre tout en critiquant la faiblesse diplomatique du président Bush. Dans la perspective du choix du candidat démocrate en 2004, les signataires entendaient promouvoir le projet impérial états-unien (défendu par George W. Bush) tout en critiquant la manière dont il exerçait le leadership, notamment le doute qu’il avait semé parmi les alliés. Les signataires étaient alors étiquetés « faucons libéraux ».
Kurt Campbell et Michèle Flournoy lors de la cérémonie de lancement du CNAS, en 2007
Le CNAS

Lors de sa création (2007), le CNAS affirmait vouloir renouveler la pensée stratégique états-unienne après la Commission Baker-Hamilton et la démission du secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld. Le lancement eut lieu en présence de nombreuses personnalités, dont Madeleine Albright, Hillary Clinton et Chuck Hagel. À l’époque, Washington cherchait une échappatoire à son enlisement en Irak. Campbell et Flournoy entendaient préconiser une solution militaire qui permette aux armées US de continuer à occuper l’Irak sans avoir à y épuiser leurs forces. Pour poursuivre son expansion mondiale, l’impérialisme états-unien devait d’abord élaborer une stratégie contre-terroriste qui lui permette de ramener ses troupes en Irak à un format réduit.

Logiquement, Campbell et Flournoy travaillent donc avec le général David Petraeus qui venait d’être nommé commandant de la Coalition militaire en Irak parce qu’il était l’auteur du manuel de contre-insurrection de l’armée de terre US. Ils engagent un expert australien, David Kilcullen, qui va devenir le gourou du général Petraeus et concevra la Surge (la poussée). Selon lui, le retournement des insurgés irakiens est possible par la combinaison de deux facteurs (la carotte et le bâton) : d’une part un salaire sera versé aux résistants qui changeront de camp et veilleront à établir l’ordre sur leur territoire et, d’autre part, une forte contrainte sera exercée sur eux par une augmentation temporaire de la présence militaire US. Cette stratégie sera mise en œuvre avec le succès que l’on connaît : le pays traverse d’abord une phase d’intense guerre civile, puis revient lentement au calme après avoir été profondément détruit. En réalité, le retournement d’une partie de la résistance irakienne n’a été possible que parce qu’elle était organisée sur une base tribale.

De fait, durant cette période, le CNAS et le général Petraeus sont indissociables. Kilcullen devient conseiller de Petraeus, puis de la secrétaire d’État Condoleezza Rice. La fusion est telle que le colonel John Nagl, un conseiller de Petraeus, devient président du CNAS lorsque Campbell et Flournoy entrent dans l’administration Obama.

L’originalité du CNAS, c’était d’être un think tank démocrate qui collabore et intègre des faucons républicains. Il multiplie d’ailleurs les rencontres et les débats avec des membres du Project for a New American Century. Il est financé par des industriels de l’armement ou des prestataires de la Défense (Accenture Federal Services, BAE Systems, Boeing, DRS Technologies, Northrop Grumman), des financiers (Bernard L. Schwartz Investments, Prudential Financial), des fondations (Carnegie Corporation of New York, The William and Flora Hewlett Foundation, Ploughshares Fund, Smith Richardson Foundation, Zak Family Charitable Trust) et des gouvernements étrangers (Israël, Japon, Taïwan).

Durant la campagne électorale, Campbell et Flournoy publient leurs recommandations pour le prochain président : The Inheritance and the Way Forward (L’héritage et la voie à suivre) [3]. De la période Bush, ils remettent en question le principe de la « guerre préventive » et la pratique de la torture. En outre, ils préconisent de réorienter la guerre au terrorisme de manière à éviter le « choc des civilisations » qui priverait Washington de ses alliés musulmans.
Trois générations de femmes au CNAS : Madeleine Albright,
Hillary Clinton et Michèle Flournoy.
L’administration Obama

Élu président des États-Unis, Barack Obama désigne Michèle Flournoy pour surveiller la transition au département de la Défense. Logiquement, elle est nommée sous-secrétaire à la Défense chargée de la politique, c’est-à-dire qu’elle doit élaborer la nouvelle stratégie de Défense. Elle est alors le n°2 du département et gère un budget de 200 millions de dollars.

De son côté, Kurt Campbell est nommé au département d’État pour diriger le bureau de l’Extrême-Orient et du Pacifique.

Campbell et Flournoy vont alors être les promoteurs de la stratégie du « pivot ». Selon eux, les États-Unis doivent se préparer à un affrontement futur avec la Chine. Dans cette perspective, ils doivent lentement faire pivoter leurs forces armées d’Europe et du Moyen-Orient élargi vers l’Extrême-Orient.

Le CNAS est tellement en vogue que de nombreux collaborateurs vont entrer dans l’administration Obama :
Rand Beers deviendra secrétaire à la Sécurité de la Patrie,
Ashton Carter, sous-secrétaire à la Défense chargé des acquisitions, puis secrétaire à la Défense,
Susan Rice, ambassadrice aux Nations unies, puis conseillère nationale de sécurité,
Robert Work, adjoint du secrétaire à la Défense,
et encore :
Shawn Brimley, conseiller spécial du secrétaire à la Défense pour la stratégie, puis directeur de la planification au Conseil de sécurité nationale,
Price Floyd, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour les relations publiques,
Alice Hunt, assistante spéciale au département de la Défense,
Colin Kahl, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour le Proche-Orient, puis conseiller de sécurité nationale auprès du vice-président,
James Miller, sous-secrétaire à la Défense adjoint pour la politique,
Eric Pierce, adjoint du chef du département de la Défense chargé des relations avec le Congrès,
Sarah Sewall deviendra, en 2014, sous-secrétaire d’État pour la Démocratie et les Droits de l’homme,
Wendy Sherman deviendra, en 2011, sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques,
Vikram Singh, conseiller spécial du secrétaire à la Défense pour l’Afghanistan et le Pakistan,
Gayle Smith, directrice pour le Développement et la Démocratie au Conseil national de sécurité,
James Steinberg, adjoint de la secrétaire d’État,
Jim Thomas, assistant adjoint du secrétaire à la Défense pour les Ressources,
Edward (Ted) Warner III, conseiller du secrétaire à la Défense pour le contrôle des armements.

le site américain Global Fire Power spécialisé dans le militaire, le technique et l'économie a publié un rapport analytique de l'Iran à " titre de l'un des plus puissants pays du Moyen Orient". " l'Iran est l'un des pays les plus puissants du Moyen Orient qui en dépit des sanctions onusiennes s'est doté des capacités nucléaires. il existe de graves tensions entre l'Iran et les Etats Unis depuis déjà plusieurs décennies et pourtant les iraniens possèdent des missiles qui pourraient même atteindre le sol américain - ndlr: la maneuvre est bien perceptible. les Etats Unis cherchent à faire entrer les missiles iraniens sur la scène des néfociations nucléaires. " le site poursuit :" l'Iran occupe le huitième rang mondial en termes de nombre de soldats et de militaires et le pays possèderait quelques 545000 forces militaires prêtes à se battre , ce qui le place tout de suite après la Corée du sud, la Corée du nord et le Pakistan. l'armée iranienne dispose aussi de chars , de navires de guerre , d'avions de chasse et son budjet militaire s'élève à quelque 6.3 milliards de dollars. ce qui distingue l'Iran d'autres pays de la région c'est que ce pays est capable de fabriquer de quoi se défendre ou attaquer ses ennemis. l'Iran est à même de produire des chars , des sous marins, . il peut procédé à des techniques de rétroingénierie pour concevoir des drones . et si cet Iran là arrive à fabriquer des bombes atomiques , il pourra chambouler de nombreuses équations" le rapport qui s'accompagne de nombreuses photos poursuit : " il se peut que l'Iran ne soit pas encore une superpuissance mais ce pays a des capacités qui l'ont rendu capable de faire face aux pressions américaines, européennes et onusiennes"

« la marine iranienne a envoyé, ce matin, de sévères sommations, en langues anglaise, farsi et arabe, aux navires et bateaux américains US, présents au Nord du Golfe persique », a annoncé une source bien informée au sein de la marine irakienne, dans une interview avec la chaine Al-Sumeriya News. « Hier soir, un navire américain, présent au Nord du Golfe persique a insecte une un bateau de pêche iranien, ce qui suscité la vive protestation de la flotte marine iranienne et c'est pour cette raison qu'elle en envoyé, ce matin, via des radis, de sévères sommations en langues anglaise, arabe et persane à la flotte US présente dans le Golfe persique », a précisé encore cette source.

mercredi, 07 janvier 2015 01:00

Qalamoun, perdu?!

selon une source syrienne, les principales localités de la région stratégique de Qalamoun restent aux mains des forces syriennes qui de surcroit, mènent à l'aide de l'Armée de l'Air syrienne d'intenses raids contre les régions situées entre Qalamoun Est et Ouest. les unités de l'armée ont lancé ces derniers jours et en tirant profit des combats inter terroristes entre Jaysh al Islam et Jaysh al Oma une vaste offensive sur tous les axes de Ghouta est . les cités de Kfar Batna , de Beit Saham et de Hamouriya ont été ainsi le théâtre de très violents affrontements. parallèlement à ces opérations menées par les unités d'infanterie et d'artillerie de l'armée syrienne , l'aviation a violemment bombardé les positions d'Al Nosra à Douma après avoir constaté des agissements sur l'axe Mairie /Tal Kurdi ou encore la cité Mideaa. l'artillerie lourde a visé de son côté l'axe des jardins de Arbaïn : ces frappes ont permis aux unités d'infanterie de l'armée syrienne sur l'axe Harssata Al Sanawiya; les soldats syriens ont repoussé les tentatives d'infiltration terroristes contre la région de Al Zabdani. à Qalamoun, les sources syriennes font état de l'emprise totale des forces syiennes sur les principaux axes et les principaux points de la région de Qalamoun. un assaut d'Al Nosra contre Al Massroub a été ainsi repoussé. les terroristes ont lancé un appel à la mobilisation de fond mais les renforts sont droit tomber dans un piège tendu par les soldats syriens. le résultat ? des dizaines de morts dans les rangs des terroristes. selon cette source, de vastes frappes aériennes ont été menées contre les régions situées de Qalamoun de l'est et de l'ouest . les forces d'infanterie ont patrouillé les cités de Raas al Aïn, de Rankos, de Falita, de Raas al Maraa. ces cités ont été expurgées de la présence des terroristes .