تقي زاده

تقي زاده

la Résistance palestinienne a tiré 13 missiles contre les colonies sionistesn en représailles aux raids aériens des avions sionistes repris conter Gaza. Gaza, où des milliers d'habitants cherchent, en ce moment, des refuges. La Résistance a riposté à ces raids sauvages, en tirant 20 missiles contre les territoires occupés. à Ashekelon, l'un des missiles a provoqué un incendie. Les abris, dans les villes israéliennes, sont ouverts. Le ministre sioniste de l'Economie a demandé à Netanyahu de rappeler sa délégation négociatrice, au Caire, et de reprendre ses raids contre Gaza; c'est ce conseil que Netanayahu suit, en ce moment.

Les Etats-Unis peuvent adopter de nouvelles sanctions contre la Russie qui a conclu un accord pétrolier avec l'Iran, a déclaré jeudi le vice-ministre américain des Finances David Cohen.M.Cohen a indiqué qu'il n'était pas encore clair si l'accord signé par Moscou et Téhéran portait sur l'échange de pétrole contre nourriture ce qui ne serait pas compatible avec le régime de sanctions frappant Téhéran.Selon lui, les Etats-Unis ont déjà déclaré aux autorités russes qu'ils adopteraient des sanctions contre les sociétés participant à cet accord de troc.

La branche militaire du Hamas a annoncé, ce vendredi matin, la mort de 4 de ses combattants, au cours "d'une opération d'équipement et de préparation", dans le Nord de la bande de Gaza. Dans un communiqué, les brigades Qassam reconnaissent la mort en martyr de Yasser Salman, de Mohamad abou Zaher, de Ziya Abou Charah et de Ghassan al-Kahlout, au cours d'une opération de "préparation et d'équipement", dans le cadre des combats à venir contre "l'ennemi sioniste"! L'explosion a été qualifiée de "suspecte" par les Palestiniens. Attentats ciblés planifiés par Israël? Les dernières informations font état de l'absence de tout accord entre Israël et la Résistance, au sujet d'une prolongation de la trêve!!

Le prochain sommet de l’Otan le 4 septembre au Royaume-Uni sera un point tournant dans la course vers la guerre initiéepar le Premier ministre britannique David Cameron. Celui-ci a fait parvenir aux chefs de gouvernement des pays membres de l’Otan une lettre faisant part de ses demandes.

Dans son rapport à la Commission restreinte de la Chambre des Communes sur les questions de défense, Cameron use de la même rhétorique, affirmant que l’alliance a fait preuve de « complaisance » à l’égard de la Russie et qu’elle n’est pas prête à faire face à la menace d’une attaque russe contre certains de ses membres, en particulier les pays Baltes qu’il juge « particulièrement vulnérables ». Il a demandé l’installation à titre préventif d’équipements militaires dans ces pays, « une présence continue des troupes de l’Otan à des fins d’entraînement dans la région, et des exercices militaires à grande échelle incluant des représentants de tous les 28 pays membres de l’Otan ».

Dans un langage voilé, le rapport prévoit des « révolutions de couleur » similaires à celle qui a frappé l’Ukraine dans les pays Baltes, sans préciser bien sûr qu’elles seront manipulées par Londres et Washington.

L’instabilité de la Russie, la vision du monde embrassée par le Président Poutine, et l’incapacité de l’Occident à répondre de manière active en Ukraine, signifient que nous devons confronter urgemment la possibilité, bien qu’elle soit faible, de voir la Russie répéter de telles tactiques ailleurs. En particulier, les pays membres de l’Otan autour de la Baltique sont vulnérables.

Le 5 août, le Secrétaire général de l’Otan Anders Fogh Rasmussen, dont le mandat doit expirer sous peu, écrivait à son tour une lettre ouverte dans le Financial Times de Londres disant que l’Otan doit répondre lors de son prochain sommet aux demandes exprimées par la Commission de la Chambre, ajoutant que sept pays membres de l’Otan dont le Royaume-Uni sont d’ici là « en train de développer une force expéditionnaire conjointe ».

Le général britannique Sir Adrian Bradshaw, commandant-adjoint de l’Otan, se trouvait pour sa part en tournée aux Etats-Unis fin juillet-début août pour discuter « du changement de paradigme sur la sécurité en Europe dû aux récentes actions et tactiques de la Russie en Ukraine », selon un communiqué de l’alliance. Sa visite précédait immédiatement celle de Cameron au quartier général de l’Otan à Bruxelles et visait à promouvoir le même objectif : préparer les chefs de gouvernement des pays membres à satisfaire les demandes qui seront faites lors du sommet du 4 septembre.

La tentative britannique d’entraîner les Etats-Unis et autres pays membres de l’Otan dans la guerre ne séduit pas tout le monde cependant, et est reconnue par certains pour ce qu’elle est simplement : une expression de la volonté britannique à déclencher une Troisième Guerre mondiale.

Aux Etats-Unis, le sénateur d’Etat Richard Black, un républicain de Virginie et ancien colonel des Marines décoré, répondait de la manière suivante aux gesticulations de Cameron :

La proposition radicale du Premier ministre Cameron est un ticket pour une Troisième Guerre mondiale. Il suggère que l’alliance atlantique ne soit désormais plus confinée à la défense de ses pays membres. Il veut maintenant qu’elle défende l’Ukraine, qui ne fait pas partie de l’Otan. Ses propositions risques d’entraîner les Etats-Unis dans une Troisième Guerre mondiale autour de l’Ukraine, qui est en faillite, une oligarchie dysfonctionnelle dans les mains d’une demi-douzaine de milliardaires corrompus.

La Russie a des intérêts vitaux en Ukraine orientale, où réside une population russophone nombreuse. Les Etats-Unis n’ont que les intérêts les plus triviaux concernant le retour de villes russes en Russie ou non. Sommes-nous prêts à risquer la guerre nucléaire et les destruction de nos villes pour cela ?

L’économiste américain Lyndon LaRouche a pour sa part déclaré que si les Britanniques se lançaient dans une guerre contre la Russie, « les îles Britanniques seraient démolies » en un instant. Il a ajouté que le bluff des britanniques ne devait pas être pris au sérieux, surtout pas par les Etats-Unis qu’ils souhaiteraient entraîner à leurs côtés. Les Etats-Unis étant l’unique bras armé de cette géopolitique britannique, la lucidité recommande donc sans délai de destituer un Barack Obama capable à tout instant de basculer dans ce piège.

Les négociations nucléaires entre l'Iran et les grandes puissances, interrompues fin juillet, reprendront avant l'assemblée générale annuelle de l'ONU, dont l'ouverture est programmée le 16 septembre, a annoncé jeudi une source européenne.

Le lieu où se tiendra la discussion reste à déterminer, et celle-ci pourrait être suivie d'une réunion associant les ministres à New York pendant l'assemblée générale elle-même, a précisé dans un e-mail le porte-parole de la diplomatie européenne, Michael Mann.

L'Iran et le groupe 5+1 (États-Unis, Russie, Royaume-Uni, France, Chine et Allemagne) se sont quittés le 19 juillet à Vienne en se donnant quatre mois supplémentaires, jusqu'au 24 novembre, pour parvenir à un accord définitif devant garantir le caractère pacifique du programme nucléaire de la République islamique, en échange d'une levée des sanctions internationales qui visent celle-ci.

Après une série de six rounds de négociations depuis février, les deux parties semblent avoir rapproché leurs positions sur certains points, notamment sur le réacteur à eau lourde d'Arak, susceptible de fournir du plutonium et sur une augmentation des inspections des sites nucléaires iraniens.

La pause estivale n'est pas totale, puisque des délégations diplomatiques américaine et iranienne ont rendez-vous ce jeudi à Genève pour des entretiens bilatéraux.

D'autres rencontres au niveau des experts techniques pourraient se tenir en août.

Dans le noble coran, il y a des versets qui pourraient expliquer les conditions d’un journaliste responsable. Le premier devoir des journalistes consiste à informer les gens sur la réalité, a déclaré l’ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.

Une cérémonie de commémoration des journalistes et des activistes des médias s’est tenue dans le musée des martyres à Téhéran en présence de l’ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques ; et des responsables du Conseil et des médias.

Au début de la cérémonie, Saïd Fanian, directeur général de l’agence de presse TAGHRIB (APT) a félicité la journée des journalistes et des activistes des médias. Il a remercié le soutien de l’ayatollah Araki à l’agence de presse TAGHRIB (APT).

Dans la suite, l’ayatollah Araki a salué l’Imam Khomeiny, les martyres et les grandes personnalités qui créé une évolution dans l’ère actuel. J’espère qu’on compare les conditions de l’Iran avant et après la Révolution islamique. Tout ce que nous avons acquis près la Révolution est due à l’Imam Khomeiny, aux grandes personnalités et aux martyres tombés dans la guerre, a-t-il précisé.

Nous saluons les journalistes martyres qui ont été tués en exerçant leur devoir. Ils ont donné leur vie lorsqu’ils essaient de transmettre le message et les pensées du noble prophète de l’islam, a-t-il indiqué.

L’un des difficultés que nous affrontons est la propagande des ennemis contre l’islam. Nous sommes aujourd’hui dans une guerre froide contre l’islam et les musulmans, a-t-il ajouté.

Jusqu'à 20 membres de la branche d'Al-Qaïda basée au Yémen ont été tués mercredi lors d'affrontements avec des soldats de la province de Hadramaout, dans le sud-est du Yémen, a rapporté un responsable sécuritaire

"Des dizaines d'hommes armés d'Al-Qaïda ont affronté des unités de l'armée de la 135e brigade blindée à proximité de la ville de Seiyun dans la province de Hadramaout, au moins 20 terroristes ont été tués sur place", a indiqué le responsable sous condition d'anonymat.

"La plupart des attaquants d'Al-Qaïda ont été tués lorsqu'ils sont entrés en conflit avec les troupes au cours de la mobilisation de renforts pour la ville de Seiyun. Des terroristes recherchés ont également été capturés", a ajouté la source.

Trois véhicules militaires et des armes lourdes appartenant à la 135e brigade ont été détruits au cours des combats, selon la source.

Le gouvernement yéménite a mené une offensive à grande échelle contre les bastions d'Al-Qaïda dans les régions du sud du pays depuis le mois d'avril, dans laquelle de nombreux militants ont été tués. L'organisation d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA) basée au Yémen s'est engagée à contre-attaquer.

Selon le ministre de la Défense du pays perse, la République islamique ne reconnaît pas de distinction entre sunnites et chiites dans la défense des musulmans.

Il a également souligné que le nombre de roquettes tirées par des militants palestiniens des territoires occupés, et leur capacité à faire face lors d'une opération au sol par les forces israéliennes souligne la puissance invincible et croissante de la résistance palestinienne.

Le général de division Persique a également noté que les événements dans la bande de Gaza, ainsi que dans l'Irak, dérivées de la politique commune des États-Unis et le régime israélien.

" Le régime sioniste [d'Israël] sera détruite très rapidement à l'unité entre les chiites et les sunnites et nous sommes prêts pour ce jour-là ", a déclaré le général Jaafari.

Il ya 28 jours, le régime israélien a commencé à bombarder les différentes zones de la bande de Gaza, qui a jusqu'ici laissé un bilan de 1 865 Palestiniens tués et environ 9500 blessés.

" Le régime israélien viole de manière flagrante les droits humains parce qu'ils croient en eux. Pour sa part, l'Occident appuie toute mesure adoptée ce régime anti- humaine “, a déploré dimanche Qashqavi.

Le fonctionnaire perse a critiqué le soutien inconditionnel de l'Ouest régime de Tel-Aviv a entravé punir le régime pour ses crimes pays.

"Jusqu'à présent, l'Organisation des Nations Unies et de son Conseil des droits émis 267 résolutions contre le régime israélien, et cinq autres rapports internationaux contre ce régime, mais aucun d'entre eux ont été mis en œuvre par la pression des États-Unis, " a-t-il rappelé.

Selon Qashqavi Washington considère le régime de Tel-Aviv comme une «exception» à la définition de sa politique sur les questions liées aux droits de l'homme.

Le diplomate persan a réitéré que le soutien de la Palestine et de défendre leurs intérêts est l'un des principes de la politique étrangère de la République islamique d’Iran.

Jusqu'à présent, au moins 1830 personnes ont été tuées et plus de 9370 blessés au cours des 27 jours d'attaques israéliennes sur la bande de Gaza assiégée.

Selon le rapport des Nations Unies (ONU) environ 80 pour cent des victimes sont des civils et 30 % des enfants et des adolescents.

Dehqani a annoncé vendredi qu'il n'était pas prévu que le Conseil de sécurité devrait être si indifférent aux crimes du régime israélien, qui ont conduit à de nombreuses critiques de l'opinion publique dans le monde entier.

" Malheureusement, les pays qui prétendent être les défenseurs de la démocratie ignorent la demande pour une grande partie de la communauté internationale à prendre des mesures sérieuses contre le régime israélien, " se sont plaints.

« Conformément à la Charte des Nations Unies, le Conseil de sécurité a la responsabilité de préserver la paix et la sécurité (...) mais nous pouvons témoigner que cet organisme pratique deux poids deux mesures », a-t-il ajouté.

En ce sens, le diplomate iranien a regretté qu'aucun des membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU a pris une position ferme en faveur de la bande de Gaza et pendant les 26 jours d'attaques israéliennes sur l'enclave côtière, le Conseil a tenu quatre réunions à cet égard ; Toute demande de Jordanie.

Une délégation du Mouvement des non - alignés (MAN), qui était Dehqani, a rencontré samedi le président du Conseil de sécurité Eugène Gasana, à exhorter le Conseil à prendre des mesures urgentes contre l'offensive israélienne dans la bande de Gaza.

L'offensive israélienne contre la bande de Gaza assiégée régime ont laissé, à ce jour, 1 656 morts palestiniens, dont plusieurs enfants, et environ 8870 blessés, selon le ministère palestinien de la Santé.