تقي زاده

تقي زاده

Dans un discours devant les familles des martyrs prononcé ce samedi à Téhéran, Téhéran, l'ayatollah Khamenei, rappelant l'attaque américaine contre l’avion de passagers iranien en 1988, qui a tué 290 civils, a souligné que la démolition le dispositif est seulement un des nombreux actes de terrorisme contre l’Iran.

Le chef a dit que les ennemis savent est l'une des exigences fondamentales de l'époque actuelle, avertissant de tentatives pour dissimuler les crimes de l’ennemi.

" Ceux qui veulent couvrir l'inimitié mal USA et certains de ses disciples à travers les parcelles de médias et de propagande sont en fait trahir la nation et de l'Etat ", a-t-il souligné.

" La nation iranienne doit être préparé pour l'ampleur de l'hostilité des ennemis à affronter et à contrecarrer (leurs parcelles) dans le domaine de la guerre douce, comme dans la culture, des sphères politiques et sociales ", a-t-il affirmé.

Se référant aux attaques terroristes de Juillet 1981 (7 de 1360 Tir mois du calendrier lunaire) qui a pris fin la vie de l'ancien président Mohammad Ali Rajai ; ancien Président de la magistrature, l'ayatollah Mohammad Beheshti ; et l'ancien Premier ministre Mohammad Javad Bahonar, le chef spirituel a souligné que de telles attaques ont souligné les hostilités portées contre la Révolution islamique d’Iran (1979) ont aucun fruit.

À son avis, ceux qui ont mené les attaques en 1981, non seulement opérer librement en Europe et aux États-Unis, mais tiennent des réunions avec les autorités de ces pays pour aborder les questions des droits de l'homme.

À cet égard, l'ayatollah Khamenei a souligné que ces positions mettent en évidence les doubles normes et l'avidité des sponsors de droits de l’homme.

Le groupe terroriste pro-américain Moudjahidine Khalq (MKO, pour son sigle en anglais) était responsable de ces attaques et l'effusion de sang de milliers de civils et les autorités iraniennes, après la victoire de la Révolution islamique.

Les membres de ce petit groupe se sont enfuis de l'Iran à l'Irak en 1986, où il a également collaboré avec le dictateur irakien Saddam Hussein exécuté dans le massacre de Kurdes irakiens et la répression des soulèvements populaires dans le sud de l'Irak en 1991.

Les rapports de "Flightglobal" établissent que les armes américaines n'ont pas l'efficacité nécessaire, pour faire la guerre contre des pays, tels que la Russie, la Chine et l’Iran, et qu’elles ne peuvent servir qu'à attaquer l’Irak, la Syrie et l’Afghanistan.
Les Etats-Unis ont dépensé des sommes pharamineuses, pour acheter des bombes, à courte portée, et ils n’ont pas investi, suffisamment, pour fabriquer des armes, à longue portée, capables d’éviter les radars, et des armes téléguidées. Selon "Flightglobal", entre 2001 et 2014, les Etats-Unis ont acheté plus de 304.750 armes, pour viser des cibles à une distance de 80 kilomètres, ce qui constitue 96% des armements achetés par le gouvernement américain. Dans l’optique des experts militaires, les armes à courte portée ne sont efficaces que, lorsque les chasseurs bombardiers s’approchent de l’objectif, sans oublier le fait que ces armes n'ont plus d'efficacité, dans les opérations, sur grande échelle.

" Suivant combattants vendredi EIIL mené des attaques contre les chiites à Bahreïn " et annoncé un Daesh senior de la nationalité bahreïnie, Turki al-Binali par pendaison dans son message Twitter.

Notez que mois Turki al-Binali passé le prosélytisme des EIIL dans le petit pays du Golfe Persique sans avoir aucun problème avec la police , cependant, a récemment été inclus dans la liste des 72 citoyens, il a révoqué le nationalité.

Le vendredi, au moins 25 civils koweïtiens ont été tuées et 200 blessées dans un attentat à la bombe par Daesh dans Imam Mosquée Sadiq (P) au Koweït.

La sécurité de Bahreïn se lève dans les lieux saints

Le régime bahreïni a soulevé dimanche le niveau de sécurité dans les mosquées et lieux saints de la monarchie pour prévenir les attaques terroristes.

Dans ce contexte, le ministre de l'Intérieur du régime Manama, Sheikh Rashed bin Abdullah Al Khalifa, a déclaré que, après l'attaque par un terroriste saoudien contre un mausolée chiite au Koweït, ce régime a décidé d'augmenter la sécurité et des mesures de précaution dans les lieux saints.

D'autres rapports que ces mesures consistent en des caméras installation et utilisent des technologies modernes dans les mosquées afin de protéger la vie des citoyens bahreïnies la menace de groupes terroristes.

Après l’attaque, le Koweït a relevé le niveau maximum de sécurité dans les domaines du pétrole, qui sont considérés comme la principale source de revenus.

Selon un législateur koweïtien a dit, cette dernière attaque est la raison du silence des dirigeants du pays pour le renforcement des groupes terroristes en Syrie et en Irak, ainsi que le soutien de certains pays de la région à ces bandes de takfiris.

Au cours des dernières années, certains des pays de la région comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, la Jordanie et la Turquie ont fourni toutes sortes de soutien aux groupes terroristes en Syrie et en Irak pour promouvoir leurs propres objectifs politiques.

lundi, 29 juin 2015 21:51

Alep: les pro-Erdogan, contrés....

A Alep et dans sa banlieue, d’autres unités de l’armée ont détruit des véhicules des réseaux terroristes, dans la périphérie de l’Académie aérienne, à l’Ouest de l’aéroport de Naïrab, aux alentours de l'Ecole de l'armée de l'air, à Zibdiah, à Hanano, à Oweijah, à Fafine, à Mir Hossen, à Izaz, à Tamourah et à Talet Chawayah. 

Une source militaire, à Alep, a déclaré que des unités de l’armée avaient mené des opérations intensives contre des repaires des terroristes, ce qui a fait des tués et blessés, parmi eux, dans les quartiers de Zabdieh et Hanano.

Dans la banlieue de Lattaquié, la source a fait savoir que de nombreux terroristes, dont certains étaient de nationalités étrangères, ont été éliminés, au mont de Zahiah et à Kitef Roman.

Des unités de l’armée et des forces armées ont détruit des entrepôts d’engins, d’obus et de roquettes, un véhicule doté d’une mitrailleuse et un autre véhicule blindé, liquidé /10/ terroristes et blessé /22/ autres, à Salma, Qassab, Drochan, Raouda et Kansaba, dans la banlieue-Nord de Lattaquié, a déclaré une source militaire à Sana.

lundi, 29 juin 2015 21:49

La fin du "Moyen Orient" ?

Amin Hotheit revient sur le projet du "démembrement des pays du Moyen Orient" qui est selon lui "une manoeuvre médiatique" à " ne pas toutefois prendre à la légère"! Dans un article publié dans les colonnes du journal Al Bana, Hotheit écrit : " on ne peut évidemment pas renier les signaux qui plaident tous en faveur d'une marche générale vers l'implosion des Etats du Moyen Orient . les partisans de cette option y voient même la seule solution aux cinq ans de guerre sans merci dans la région, guerres dont les premières étincelles ont éclaté il y a plus de dix ans. Or il est désormais évidement que le démembrent ne peut se faire aussi facilement. le succès du projet américain de balkaniser le Moyen Orient est sujet aux plus grandes des incertitudes . en réalit ce qui a été ressenti comme le méga coup d'état stratégique des Etats Unis au début, n'est plus qu'un projet anémique. mais Washington s'y accroche !! Au lieu de coopérer avec le gouvernelment de Bagdad, les Etats Unis cherchent ainsi à interagir avec les "dirigeants de trois régions éthniques irakiennes". le soutien aérien de la coalition us aux kurdes syriens dans le nord est de la Syrie, soutien qui s'est soldé par le recule de Daech et l'avancée des kudes vers Kobani , Tal Abyaz , Hassaka et la banlieue nord de Raqqa s'inscrit dans ce sens . n'oublions pas non plus les tentatives israéliennes de ces derniers jours visant à créer une ceinture sécuritaire dans le sud de la Syrie et du Liban , une ceinture qui incluerait les druzes . tous ces événements pourrait faire croire à une chose : l'implosion des pays du Moyen Orient est désormais une réalité et que l'unique chose à faire , c'est de renforcer la position des groupes ethniques concernés" . un premier après celui de la mise en cause de la souveraineté des Etats indépendants, est celui du sort des chrétiens d'Orient . un démembrement de l'Irak par exemple en trois région kurde, sunnite et chiite exclut de facto les chrétiens d'Irak . idem pouer la Syrie où les kurdes , les sunnites et les alaouites auront droit de cité mais pas les chrétiens. Les chrétiens de Liban ne sont pas non plus à l'abri . bien qu'intègre, un Liban post projet de démembrement perdra son âme et sera transformé un Etat aparemment uni mais bien divisé dans les faits. donc le démembrement est-ce une solution? non. un Moyen Orient bien divisé signifierait davantage de guerre, l'implosion des armées nationales, l'épuisement des forces vives des Etats , et des guerres illimitées . de ce chaos seul Israël sortira gagnant . sur cette base l'axe de la Résistance s'y oppose . comment ? la Résistance a pour politique de principe la protection des Etats centraux surtout en Syrie et en Irak , le refus de toute révision de la démarcation des frontières des pays. l'axe de la Résistance qui inclut la Syrie, l'Iran, l'Irak le Hezbollah cherche à mettre sur place un système sécuritaire régional pour contrer le projet de démembrement. la réaction des druzes syriens et israéliens devra s'étandre à titre de réaction contre le projet de démembrement . la lutte contre les terroristes takfiris devra se poursuivre comme elle se fait aujourd'hui à Qalamoun et à Daraa. le démembrement n'est pas une réalité . c'est un projet médiatique qui se veut imposer comme réalité

Le groupe terroriste et takfiri Daech a exécuté plus de 3000 Syriens dont des centaines de civils en l’espace d’un an.
Le groupe dit « Groupe des droits de l’Homme » en Syrie, a annoncé dans un rapport que depuis le 29 juin 2014, 3027 exécutions par Daech ont été enregistrées. 1787 civils dont 74 enfants figurent parmi les victimes. Ces chiffres comprennent aussi ceux qui ont récemment été massacrés par ce groupe terroriste à Kobani.

lundi, 29 juin 2015 21:47

"Moscou soutient Assad" (Poutine)

«Moscou ne désire pas le changement de leader, en Syrie, et il soutient Bachar al-Assad», a déclaré le président russe.
Le Président russe, Vladimir Poutine, a reçu, lundi, à Moscou, le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem. Lors de cette entrevue, le Président Poutine a déclaré qu’il ne soutenait pas le changement de leader en Syrie, croyant que Bachar al-Assad devrait rester au pouvoir.
«Nous savons que les évolutions en cours, en Syrie, sont de nature très complexe, d’autant plus que la Syrie s’expose à l’agression d’un terrorisme international. Dans une condition si compliquée, la réussite dépend de divers facteurs. Une défaite militaire serait, aussi, probable, mais on est sûr que c’est le peuple syrien qui l'emportera, en dernier ressort», a déclaré Vladimir Poutine, avant d’ajouter : «Nous soutenons, toujours, la Syrie, les responsables syriens et le peuple de ce pays. Notre politique reste immuable». Pendant les quatre dernieères années, où la Syrie s’enlisait dans une crise alimentée par le terrorisme international, Moscou n’a jamais lâché le gouvernement et le peuple syriens et a mis en garde l’Occident, à plusieurs reprises, contre le soutien aux groupes terroristes et à ses phénomènes néfastes.

Le procureur général égyptien, Hicham Barakat, a succombé à ses blessures lundi après avoir été la cible d'un attentat à la bombe au Caire, ont annoncé à l'AFP deux ministres.
Il "est décédé", a déclaré le ministre de la Justice à l'hôpital où le procureur avait été transporté. Un autre ministre a confirmé cette annonce. Le 21 mai, la branche égyptienne du groupe Daech avait appelé ses partisans à s'attaquer aux juges en riposte à la pendaison d'hommes reconnus coupables d'avoir mené des attaques au nom de l'organisation extrémiste.

Dimanche, soixante et une personnes ont été tuées, pour la plupart des rebelles de Daech, dans les affrontements, les frappes aériennes et les pilonnages à travers l'Irak, ont appris les médias de sources en charge de la sécurité.
Dans la province d'Anbar, l'artillerie de l'armée a pilonné les positions de Daech à Saggara, près de la ville de Haditha, à environ 200 kilomètres au nord-ouest de la capitale irakienne Bagdad, faisant 26 morts chez les insurgés de Daech et détruisant deux de leurs véhicules, a indiqué une source provinciale en charge de la sécurité, sous couvert d'anonymat.

Parallèlement, les forces de sécurité et les milices chiites et sunnites alliées ont repoussé les attaques sporadiques des combattants de Daech contre les positions de l'armée dans trois villages et le secteur d'Alous, près de la ville de Heet aux mains de Daech, à environ 160 kilomètres à l'ouest de Bagdad, tuant 15 combattants de Daech et détruisant huit de leurs véhicules, a ajouté la source.

Egalement dans cette province, jusqu'à dix personnes ont été tuées et 19 autres blessées dans les frappes aériennes menées par l'aviation irakienne sur plusieurs quartiers de la ville de Falloujah aux mains de Daech, à environ 50 kilomètres à l'ouest de Bagdad, selon la même source.

Dans la province de Salaheddine, les forces de sécurité et les milices alliées connues sous le nom de Hachd al-Chaabi, ou Mobilisation populaire, ont attaqué une position de Daech à un secteur desertique près de la ville de Samarra, à environ 120 kilomètres au nord de Bagdad, tuant neuf insurgés et détruisant deux de leurs véhicules transportant des armes et des munitions, a indiqué une source provinciale en charge de la sécurité.

Les deux Parlements rivaux libyens ont eu pour la première fois des pourparlers directs dimanche à Skhirat, au Maroc, sous l'égide de l'ONU, mais sans parvenir à conclure un accord sur la formation d'un gouvernement d'union nationale.
En proie au chaos depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye compte deux Parlements --et deux gouvernements-- qui se disputent le pouvoir, l'un à Tripoli, et l'autre à Tobrouk (est) reconnu par la communauté internationale.

Depuis jeudi dernier, les délégations représentant ces deux Parlements étaient de nouveau réunis à Skhirat, une station balnéaire proche de Rabat, afin de tenter de s'entendre sur un quatrième projet d'accord, soumis début juin par l'ONU.

Après des entretiens séparés jusqu'à samedi avec M. Leon, les deux camps --ainsi que des acteurs de la société civile-- ont tenu une réunion commune dimanche, une première depuis la mi-mars. Après s'être félicités des avancées obtenues, ils ont toutefois échoué à signer un protocole d'entente, comme cela était envisagé.

Trois points essentiels du projet d'accord des Nations unies ont été modifiés sans notre consultation, a affirmé à la presse Ashraf Ashoh, membre de la délégation du Congrès général national (CGN, Parlement de Tripoli).

Mohamed Saleh al-Makhzoum, un responsable du CGN, a affirmé que les membres de sa délégation allaient ainsi regagner Tripoli dès lundi matin afin de consulter le Parlement. Il a évoqué un retour au Maroc à partir de jeudi.

En fin de soirée dimanche, les représentants du Parlement de Tobrouk et la mission de l'ONU en Libye (Manul) n'avaient, pour leur part, pas réagi.

Samedi, l'émissaire de l'ONU, Bernardino Leon, s'était voulu optimiste. Malgré les difficultés, je suis convaincu que nous obtiendrons une solution juste, avait dit M. Leon lors d'un iftar, le repas de rupture du jeûne du ramadan.