
تقي زاده
Le Soudan se dote d’une académie des sciences coraniques
Ouverture de l’exposition coranique au mois béni du Ramadan
Le Président iranien critique Riyad pour avoir privé les pèlerins iraniens
Selon le président, l'attitude de Riyad dans ce dossier déstabilise la région et profite à Israël. Hassan Rohani a dénoncé le sionisme et l’arrogance mondiale comme étant à l'origine du terrorisme. Rohani a rappelé ensuite la vaillante résistance du peuple iranien qui a déjoué jusqu'ici toute manœuvre de déstabilisation.
Une bousculade mortelle à la Mecque a provoqué en 2015 la mort des milliers de pèlerins dont 464, de nationalité iranienne. A deux reprises, les responsables iraniens ont négocié avec Riyad pour s’assurer du bon déroulement du grand pèlerinage de cette année. Mais des entraves saoudiennes ont finalement privé les pèlerins iraniens du Hajj 2016.
Larijani redevient le président permanent du Parlement iranien
Il a remporté cette élection entre les députés iraniens en obtenant 237 voix des 276 personnes qui ont voté.
L’autre candidat était Mostafa Kavakebian qui a obtenu seulement 11 voix et 28 députés ont choisi de donner des votes blancs.
A noter que dans les 8ème et 9ème Parlement islamique d’Iran, Ali Larijani occupait aussi le poste du président de Majlis.
Les stratégies pour utiliser les exemples religieux dans une réunion basée sur la femme et la famille musulmane
Une des stratégies présentées lors de cette réunion pour l'utilisation des exemples religieux dans la vie des musulmans était la mise en œuvre de l'art pour développer la riche culture islamique et faire connaître aux jeunes les exemples religieux.
L'Iran soutient toujours la Syrie et l'Irak dans la lutte contre le terrorisme
La République islamique déploie des conseillers militaires dans ces pays afin de défendre les pays islamiques car "les nations islamiques et musulmanes sont importantes pour nous", a-t-il souligné.
Quant à la ville stratégique d'Alep dans le nord de la Syrie, il a déclaré que "les territoires occupés à Alep seront libérés (des terroristes) par le front de résistance".
L'Iran, principal allié régional des gouvernements syrien et irakien dans leur lutte contre les groupes militants, a informé à maintes reprises qu'il avait envoyé des conseillers militaires dans les deux pays.
Al-Hashad al-Shabi: général Soleimani se produit en Irak à la demande du gouvernement de Bagdad
"La présence de conseillers militaires de l'Iran en Irak, comme le major-général Qassem Soleimani, commandant des Forces Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) de l'Iran, n'a eu lieu à la demande du Gouvernement iraquien" Il a souligné dimanche le commandant adjoint de ces forces, Abu Mahdi al-Muhandis.
Selon le ministre irakien de la Défense, les forces irakiennes ne nécessitent pas l'intervention étrangère pour éradiquer le terrorisme dans son pays, et d'utiliser leur propre équipement peut mettre fin au terrorisme.
Afin d'atteindre cet objectif, il a continué, les forces populaires irakiennes tirent profit des conseils de l'Iran.
"Depuis le début de la guerre, les conseillers iraniens et sa tête notre cher frère Qasem Soleimani sont restés avec nous (...) Sa présence répond à la demande du Gouvernement iraquien et l'approbation du commandant en chef des forces armées Irakiens ", a-t-il conclu.
Avec ces déclarations, le commandant Al-Muhandis répond aux allégations jeudi dernier, le ministre des Affaires étrangères saoudien, Adel al-Jubeir, qui, dans une interview avec la chaîne russe RT a accusé la République islamique d'Iran d'ingérence dans les affaires intérieures de l'Irak avec le déploiement de ses conseillers militaires.
En fait, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hussein Jaberi Ansari, a déclaré vendredi que "la présence de conseillers militaires iraniens en Irak sous le commandement du général Qassem Soleimani est à la demande du gouvernement légitime de ce pays, afin de lutter contre les terroristes et les extrémistes qui ont poussé l'Irak et la région dans l'instabilité et l'insécurité ".
Le même général Soleimani rejeté samedi les allégations saoudiennes et a réitéré que la nation irakienne n'a pas besoin d'interventions étrangères pour résoudre leurs problèmes.
Ankara, doté de bombes anti-bunker
Le secteur de défense militaire en Turquie dit avoir réussi à mettre au point des " bombes anti-bunker" dont il compter doter les F14 et les F16 turcs.
" Ces bombes perforantes sont destinées à détuire les stocks de munitions et des tranchées en béton, affirment les industriels de la Défense turc, cités par l'agence de presse iranienne FarsNews.
" La firme MKEK a réussi à fabriquer des bombes qui pèsent quelques 907 kilogrammes et dont les avions de chasse F14 et F16 turcs devront être dotés, affirme l'un des responsables de la firme, citée par l'agence de presse Anatoli.
La bombe anti-bunker turque aurait été fabriqué à partir d'un modèle américain, Mark-84. Le prototype américain est capable de percer et de détruire les stocks de munition, les entrepôts souterrains d'essence, des barrages, des anthènes radars ou encore des unités d'artillerie.
L'information n'a pas été confirmée par des sources indépendantes.
L'ONG Médecins Sans Frontières met en garde contre la situation critique des réfugiés syriens en Turquie
La vie des réfugiés syriens étant en danger, l'ONG Médecins Sans Frontières lance un appel à Ankara.
La Turquie doit ouvrir sa frontière aux dizaines de milliers de Syriens pris au piège après une offensive lancée vendredi par le groupe Daech dans la province d'Alep.
L'offensive des terroristes takfiristes contre Alep ont provoqué la fuite de plus de 8 mille civils de Marea et ces civils se sont réfugiés plus au nord près d'Azaz, une ville à quelques kilomètres au sud de la frontière turque.
Selon Médecins Sans Frontières (MSF), ils ont rejoint les quelque 100 mille civils déjà réfugiés dans la région d'Azaz après les différentes offensives qui ont eu lieu dans la province d'Alep depuis février.
La livraison de l’eau lourde aux Américains se fera attendre
Ali Akbar Salehi a déclaré en réponse à une question portant sur la date de livraison de l’eau lourde aux Américains : « Compte tenu de notre manque de confiance envers les Américains, manque de confiance qui s'accroit après la confiscation de nos 2 milliards de dollars, les Américains doivent payer une somme à l’avance. »
« Les Américains pouvaient ne pas payer l'eau lourde que l'Iran tient à lui livrer. Nous nous sommes de toutes les manières engagés à proposer à la vente le surplus de notre eau lourde. » ; Néanmoins, ceci ne vaut pas dire que nous serions perdus si personne ne se portait acheteur. Dans ce cas, nous ferons comme avant, c'est-à-dire : produire et mettre en réserve notre surplus d’eau lourde.»
En s’adressant aux occidentaux et plus particulièrement aux Américains, Salehi a déclaré : « Ils le savent eux-mêmes que nous sommes prêts à leur vendre notre surplus d’eau lourde. S’ils ne le veulent pas, nous ferons comme avant. »
Et quant à l’achat par les Russes de 40 tonnes d’eau lourde, le président de l’Organisation iranienne de l’Energie atomique a fait noter que des négociations étaient en cours et que la vente n’était pas encore définitive.